Le Service.
Je nai pas honte de moi. Même si ma discrétion peut faire illusion. Je vous avoue que les contraintes que je mimpose dans le domaine de la discrétion me pèsent énormément et que de temps en temps elles volent en éclat. Je nai donc pas honte dêtre comme je suis. Mes envies, mes fantasmes, mes déviances je les assume parfaitement
Jétais à table en train de savourer ma tranche de foie aux petits pois lorsque la sonnette du téléphone se fit distinguer. Comme souvent ce fut ma mère qui allait répondre. Je lentendis discuter quelques instants, avant de poser le récepteur sur le meuble et vienne jusquà moi, dans la cuisine.
- Cest pour toi. Une certaine Dominique. Me lança-t-elle.
- Dominique ? Fils-je incapable de donner immédiatement un visage au prénom.
- Oui, dis-je, en collant le combiné à mon oreille.
- Cest moi Dominique.
Il men fallait pas plus pour reconnaître mon interlocutrice. Cétait bonnement la présidente du club dont j'étais l'entraineur.
- Je mexcuse de te déranger, mais jai un gros problème et je ne savais à qui faire appel, vois-tu ?
- Non
non, texcuse pas. Tu as bien fait de m'appeler. Il s'agit de quoi;
- Jai le gardien du complexe sportif qui vient de mappeler, pour me signaler quil sera à 13H30 sur le terrain annexe pour me déposer les filets ainsi que la clé des vestiaires. Mais voilà, mon mari est parti jouer dans la région parisienne et il a pris notre voiture, donc je suis à pied, et je me vois mal charrier les filets sous mes bras. Et à part toi je ne vois pas qui appeler.
- Bien, je men occupe. Je finis de manger et je fonce au rendez-vous
- Cest que
- Oui, la coupais-je.
- Il faut quun membre du bureau soit sur place pour pouvoir réceptionner les filets.
- Oui bien sur je vois.
Comme je voyais aussi que jallais gâcher mon samedi après-midi. Ce fut tout de même à contre cur que je lui proposais :
- Bon, alors je passe de prendre.
- Oui avec plaisir. Tu men veux pas au moins .
- Non, non
Faisant comme ça ! Fils-je déçus.
Mais le plus désagréable dans cette affaire cétait que javais me coltiner son fiston Thierry. Un agité que rien ne calmer. Même la punition.
À lheure dite, je fus chez elle. Je constatais que pour une fois elle était prête. Vêtue dune jupette assez courte, en coton tellement moulant quelle épousait le sillon de ses fesses autant que le renflement de son sexe, mais aussi le début de ses cuisses grasses. Aux pieds elle portait de jolis escarpins qui accentuaient la cambrure musclée de ses jambes gainées de résille fantaisiste ornés de ce que je devinais être des roses.
Plus haut, elle portait un chemisier. Dont les boutons du haut étaient ouverts. Formant un décolleté tentateur, qui révélait aux regards insidieux, une absence de soutien-gorge. Une vraie récréation
pour ses gros seins. Qui ballotaient lourdement à ses faits et gestes. Un frisson me parcourait tout le corps. J'étais tombé sous son charme. Le fait de voir autant de belle chose en si peu de temps, me réconcilia avec ma décision de lui rendre service.
Ce fut dans cet état dexhortation que je démarrais la voiture et m'engageais dans la circulation, me dirigeant vers la sortie du faubourg. Dominique sur le siège passager. Pour mon plus grand plaisir, un de plus, elle avait cantonné son Thierry à faire ses devoirs. Un moyen comme un autre pour quen se retrouve seul. Je soupçonnais quelle avait un projet en tête. Jétais prêt à bondir sur elle à la première opportunité. J'étais pressé d'arriver sur place.
- Je suis très touché que tu es accepté de me rendre ce service. Me dit-elle, alors que je mengageais sur le parking du stade. Côté visiteur. Au milieu de nulle part. Sur ma droite se tenait une bâtisse faisant office de vestiaire. Bien sûr en ce samedi lendroit était désert, à la différence des jours de match. Je coupais le moteur et serrais le frein à main.
Dominique prit ses aises, en allongeant ses jambes. Jen profiter pour lorgner ses cuisses gainées de bas résille fantaisie.
- Il fait chaud dans la voiture, fit-elle en déboutonnant les boutons de son manteau. Pour en écarter les pans. Ses seins faisaient pointés son chemisier. Je nai pas pu résister de jeter à nouveau un il dans son décolleté. Mes doigts fourmillaient de lenvie de les palper. Je sentais le volume de mes testicules changer. Comme si ma sève en remplissait peu à peu lintérieur. Ma verge se dressa remplissant tout lespace de mon slip. De sa place, elle ne pouvait pas ignorer mon état.
- Le gardien ne va pas tarder. Me forçais-je à dire comme pour me contenir mon excès dexcitation. Mais pour aussi couper court au silence qui sétait installé depuis notre arrivée. Sans doute chacun attendant que lautre prenne linitiative de faire le premier pas.
- Oui. Répondit-elle en regardant sa montre. Il ne va pas tarder. Il est pile 13H30.
Je tournais alors la tête du côté de ma vitre, pour guetter larrivée proche du gardien. Javais délaissé pour quelques instants le décolleté de ma présidente. Je profitais de ce moment dinaction pour agiter mes méninges. Cherchant une ouverture pour me faire la présidente. Surtout que mes besoins sexuels devenaient dévorants. Je me masturbais toutes les nuits, plusieurs fois et souvent même, au cours de la journée.
Je ne savais pas combien de minutes sétaient égrainées et
toujours pas de gardien.
- Il nest pas ponctuel, fils-je en tournant ma tête du côté de ma passagère. Et là je fus témoin dune scène utopique. Sur son siège, ma chère présidente avait relevé sa jupe. Hormis son collant résille avec une fenêtre, elle ne portait strictement rien dessous. On en mangerait, me disais-je. Je restais paralysé par létonnement. Liquéfier devant cette spontanéité immorale. Ma tension artérielle bondit. Irradiant mon corps dondes de bonheur. Javais du mal à détacher mes yeux du gros minou, luisant au milieu dune toison pubienne brute de toutes tailles Je me sentis rougir.
Elle tournait lentement la tête et nos yeux se croisaient. Son sourire avait disparu pour laisser place à un regard lascif, brillant de désir. Toujours en me fixant droit dans les yeux elle posa un pied sur le tableau de bord, et souvrit de façon à faire bâiller largement la corolle poilue de son sexe.
Un sourire un peu fou qui lui faisait retrousser les lèvres, la gourmande, sempressa de précipiter un de ces doigts sur sa fourche entre ensoleiller. Jouant en toute innocence avec sa chatte poilue. Dune caresse sensuelle. Jétais focalisé par ce qui me dérouler sous mes yeux. Dominique commençait à gémir. Lintensité de son regard me transperçait. Les lèvres de sa chatte étaient très foncées au milieu dun fouillis de poils trempés.
Je me suis penché un peu en avant, et jai décelé au lieu et place de lanus, une base dun Plug. La grosse cochonne sétait comblée. Mon désir fut alors poussé à son paroxysme. Je ne pouvais attendre une seconde de plus. La dévorant dun regard luisant de convoitise je posais ma main droite sur le mollet gainé pour le caresser. Le contact mélectrisa. Puis elle monta, contourna le genou, effleura la cuisse tendre. Doucement je remontais vers son sexe. Prise connaissance de la fente glissante de jus puis, sans sattarder plongeait mon index dans la vulve, m'attendant dy toucher le tampon. Mais ce fut quelque chose de dur qui se présenta à moi. La coquine avait comblé ses deux orifices. Cela donnait une idée de laudace dont était capable cette femme.
Entre deux doigts je me suis saisis de la ficelle, et la tirais en arrière. Sous leffet Dominique bondi. La bouche ouverte laissant échapper le langoureux gémissement sous des yeux à demi clos. Mon érection en devenait limite douloureuse. Tirant toujours délicatement sur la cordelette je vis naître un début de sphère argentée qui sous la poussée écartait les lèvres luisantes. Dominique fut alors agitée de tremblements et éjecta de son antre la boule dans son entier ainsi quune vague de mouille.
Gardant la même pression sur la cordelette, une seconde sphère se présenta à l'entrée de son sexe. Jumelle a la première. Écartelant tout sur son passage. Elle aussi accompagné d'une rasade crémeuse. Secouée de spasmes, elle semblait sur le point de jouir. Son clitoris gros comme un téton émergea des poils. Je le cajolais avec le gras de mon pouce. Elle me fit comprendre par un gémissement qu'elle approuvait. Sa tête roulait de droite à gauche tandis que je pinçai son bouton. Elle se tendait, se contorsionnait. Faisant bouger par ses contractions le Plug. Mais pas assez pour le pousser hors de lanus. Elle insista, creusant son ventre pour mieux le bombait par la suite, faisant ainsi sortir millimètre après millimètre le Plug. Alors elle se mit à geindre, et dun nouvel effort, expulsa le joujou de son trou du cul, qui alla sécraser sur le plancher. Son anus était béant prêt à être investi de nouveau.
Ny tenant plus, je descendis de mon siège, pour minstaller genoux sur le plancher. Ma joue câlinant lintérieur dune cuisse
gainée, je respirais son sexe à plein poumons. Comme sous lemprise de cette drogue, je poussais plus loin son périple. Plongeant mon visage au milieu des cuisses écartées et conclut la chute sur la figue, ma langue en caressait déjà le corps.
- Alain, que vas-tu faire là ?
- Lamour, lui répondis-je. Bascule ton siège, tu seras mieux.
Apparemment, elle navait jamais bénéficié dun cunnilingus, comme certaines femmes de cette époque. Elle sexécuta en minaudant. Ma langue simmisça dans sa fente. Son goût était particulier puissant au point dimposer son arôme dans toute ma bouche. Plus je la savoure plus jen voulais davantage. Tout cela me convenait parfaitement. Je lentendais émettre des soupirs. Je lapais furieusement avec lurgence dune bête assoiffée. Ses doigts se glissaient dans ma chevelure. Imprimant à ma tête un lent mouvement de poussée vers son vagin.
J'entreprenais déponger sa source. Essuyant de ma langue, un crème devenu de plus en plus épais. Elle se tendait, se tordait. Jétais fier des sensations que je lui offrais. Mappliquant comme un orfèvre.
Dominique me tenait fermement la tête tandis que son bas-ventre venait de plus en plus rapidement à la rencontre de mon visage.
Malgré toute cette effervescence, mes sens restaient néanmoins en alerte. Ce fut alors que mon oreille détecta un bruit de moteur d'automobile. Tout proche, roulant sur du gravillon.
Submerger dune soudaine panique, je relevais mon visage trempé de sécrétions vaginales. Je me redressais légèrement, malgré lemprise de ma partenaire. Je jetais un coup dil discret entre le tableau de bord et le volant. Je reconnais le fourgon municipal, cétait le gardien. La présidente, bouche ouverte, les yeux fermés, transfigurée par une angélique expression de jouissance ne sétait
aperçus de rien.
Ce fut avec une mâchoire crispée par une crampe ainsi quune langue qui me brûlait que j'allasse au-devant du gardien. Il avait déjà ouvert les portes arrière de son camion. Javais limpression de porter sur moi le parfum de chatte.
Après les saluts dusage, il me fit un petit court sûr comment installation des filets sur leurs supports. Dominique vint nous rejoindre. Elle portait sur son visage les stigmates dune femme qui venait de prendre son pied.
Mais cétait loin des préoccupations de notre gardien. Il ne pensait quà une chose, remplir sa mission et filer au plus vite. D'ailleurs tout de suite après avoir charrié les filets dans mon coffre, il avait insisté pour aller faire létat des lieux. Le tout avait à peine pris quinze minutes.
- Eh bien, cétait un rapide celui-là . Fils-je.
- Tant mieux, répliqua Dominique, lil brillant. Verrouillant la porte dentrée du vestiaire. Nous avons quelque chose à finir. Non, tu ne crois pas ?
Elle membrassa à pleine bouche. Sa main se posa sur mon ventre et me malaxa la verge à travers le jean. Ma respiration s'embrouilla. Mes battements cardiaques s'accélérèrent.
- Tu es prêt à men donner encore .
Je faisais oui de la tête. Je sentais ses doigts cherchaient ma braguette. Une peu gauchement. Cette maladresse accroissait mon désir. Une fois le pantalon à mes chevilles, Dominique posait une main sur le devant de mon slip devenu visqueux.
- Elle est bien dure. Cela ne te gêne pas . Je pense savoir ce quil te faut. Laisse-moi faire. Fit elle mon slip alla rejoindre mon pantalon. Dominique nappartenait pas à la catégorie de simples femmes aux coutumes dites courantes. Mais à celles des créatures faisant lamour pour lamour. La jouissance pour la jouissance. Une assoiffée de plaisir.
Dans mon esprit à cet instant ça ne faisait plus le moindre doute. Jétais le joujou quelle avait choisi pour passer un moment agréable.
Mais alors que je mattendais quelle me prenne en bouche, elle fuit ma présence. Se dandinant de façon obscène. Dans son dos elle tirait sur sa jupe qui remontait, découvrant les cuisses gainées, puis les fesses. Elle en fit un bourrelet quelle coinça à sa taille. Ses mains glissaient dans le sillon étroit, écartant les fesses. Entravé par le jean, je dut faire un grand nombre de petits pas pour arrivée à sa hauteur, alors quelle me fit face, en se déhanchant. Elle attrapa le devant de sa jupe quelle coinça pareillement. Sourire aux lèvres, elle écarta les cuisses avant de tirer ses grandes lèvres avec deux doigts.
- Regarde comme jen ai envie, fit-elle dune voix rauque, en me défiant du regard. Comme je suis large... Aller ne perdant pas de temps.
Elle me prit par ma verge et me tira jusquau vestiaire. Dun geste autoritaire elle me fit masseoir sur le banc. Elle fit passer mon tee-shirt au-dessus de ma tête. Fit glisser son bassin le long de mon torse nu, puis sur mon ventre. Elle sempara de ma verge et la caressa légèrement.
Sappuyant sur mes jambes, elle se redressa légèrement, amena son bassin à la verticale de mon sexe rigide. Sans me quitter des yeux, elle fit glisser la virilité. Au milieu de sa cible puis se laissa descendre lentement. Elle sempala dessus jusquà ce que ses fesses largement écartées, viennent buter sur mes cuisses.
Je savourai cette pénétration. Prenant appui sur ses mains, elle remonta légèrement son bassin. Faisant presque entièrement ressortir mon membre. Avec un soupir de satisfaction, elle se laissa ensuite retomber brutalement sur ma queue, et elle commença un long mouvement de pompe.
Je posais mes doigts sur son anus. Jintroduisis dabord lindex. Puis très vite deux doigts dans le petit orifice. Il était encore tout dilaté, mais surtout bien lubrifié. Jenlevais alors mes doigts, puis lattirais légèrement en avant. Elle comprit tout de suite.
- Tu veux me la mettre dans mon cul me fit-elle. Cest plus sale, mais cest meilleur.
Elle avança son bassin, se pencha et guida ma queue. Cétait gras et pas tellement serré. Cela cédait sans problème. Elle reprit son va-et-vient. Plus lent cette fois. Je sentais monter une chaleur qui était déjà presque un regret. Je me retenais et des gouttes de sueur perlaient sur la nuque. Ma compagne délirait et tremblait. Un spasme la secoua une première fois, puis une autre. Elle cria, elle aimait çà. Son cul branlait mon sexe. Me faisant pénétrer loin en elle. Ses contractions capturaient mon sexe, le malaxaient. Je ne pouvais presque plus bouger tellement elle me serrait. Incapable de résister à un tel traitement, je me laissais aller. Jéjaculais à gros jets, puissants chauds. Elle mattrapa par le cou et me donna un baiser avant de me dire :
- Merci c'était vraiment trop bon. On recommence quand tu veux.
Ses yeux brillaient, rieurs. En tout cas elle avait pris son pied. Comme moi. Je me rajustais, essoufflé. La tête aussi vide que le reste.
Quelques minutes plus tard, jétais chez elle, dans son salon, assis sur le divan, face à son époux.
Putain que jadorais ses instants privilégiés où après la poignée de main, avec celle qui avait tripoté sa femme quelques minutes plus tôt, nous voilà en train de discuter amicalement alors que mon sperme souille encore le cul de sa femme.
Mais le cocu était euphorique, davoir passé avec son équipe un tour supplémentaire de coupe de France.
- Et la bouteille de champagne. Jespère que tu la mis au réfrigérateur. Fit sa femme.
Le mari se mit à rire.
- Cest vraie chérie. Jaurai dû en prendre une.
- Il nest pas tard mon cher. Tu peux toujours aller en chercher une.
- Oh ! Je ne sais pas si
répondit-il.
Sans être Devin, je devinais quelle désirait éloigner son époux.
- Bon je crois que je ne nai pas le choix. Fit-il en se redressant. Tu viens avec moi Alain .
- Non
non, répliqua Dominique, nous devons encore nous mettre daccord pour le match de demain. Tiens Thierry va donc avec ton père.
Le gamin ne se fit pas prier. Laissant choir ses devoirs sur la table, il partit mettre ses baskets. Je savais que jallais de nouveau donner de ma personne.
À peine avait-il franchit la porte dentrée, quelle me sauta dessus.
- Perdant pas de temps, me lançait-elle.
J'eus, un bref instant, l'étrange impression d'être devenue à présent la proie de la dévoreuse Dominique. Elle prit pour loccasion un air supérieur et autoritaire pour me dire :
- Je veux te voir nu comme un ver à mon retour.
Alors que je me déshabillais je lentendis verrouiller la porte dentrée. À son retour elle tenait une bombe de chantilly. Alors Dominique fit quelque chose que je noublierais jamais. Elle pressa sur le spray chantilly déposant une noix de crème épaisse sur le bout du pénis. Me fixant des yeux, elle sagenouilla et approcha à sa bouche entrouverte pour mengloutir. Sa langue lapa la chantilly. Interloqué, le regard rivé au sien, je restais sans voix. Elle se retira pour remettre de la chantilly sur toute la longueur de ma verge. La crème froide et onctueuse me donnait des petits fritssons. La bouche de Dominique revint à la charge cette fois plus ouverte que jamais.
Ses lèvres se refermèrent sur la base de ma verge. À l'intérieur, sa langue s'affairait tandis que les parois internes de ses joues aspiraient mon membre. Dans sa dégustation, madame la présidente poussait des petits grognements. Jaurais tant aimé que cela dure, mais ce nétait pas son avis. Elle se redressa et alla prendre place sur le divan.
Elle approcha la bombe vers sa bouche et s'en aspergea. Une couche épaisse de crème blanche recouvrait ses lèvres.
- Embrasse-moi, mon entraineur !
Je plongeai sur elle. Collant mes lèvres sur les siennes. Dévorant cette crème onctueuse jusquà la dernière trace. Reprenant possession de sa bouche, elle me lança un regard amusé. Elle sallongea sur le dos, ramena ses talons sous ses fesses et souvrit largement les cuisses.
Dans cette position éphémère, elle dirigea la tête du tube de chantilly vers sa fente et laspergea. Puis d'un ton impérieux, elle me dit :
- Et si tu
Sans lui laisser le temps de terminer sa phrase, je magenouillai. Javançai la tête au niveau de sa croupe. Une de ses mains me saisit par les cheveux et me mattira vers sa chatte. Je me mis à brouter le minou de madame la présidente. La bouche grande ouverte, ma langue lapait le haut de ses cuisses, son aine et son pubis. Jaspirai la chantilly à même le buisson de poils. Elle appuya sur ma tête. Mon visage vint sécraser contre son sexe. Me barbouillant de crème sucrée, mais aussi collante.
Je donnais de larges et méthodiques coups de langue. Balayant la chantilly qui peu à peu, disparut. Sa chatte luisait maintenant, de salive et mouille. Dominique reprit son tube de chantilly et logea le bec verseur à lintérieur des grandes lèvres de son antre. La crème débordait sur le clitoris.
Pas besoin de mot pour savoir ce quelle désirait. La bouche ouverte, je replongeais dans son intimité. Mes lèvres enserrèrent son berlingot. Ma langue se logea entre ses grandes lèvres et se faufila dans l'entrée du vagin.
Elle étouffait un long gémissement et se balançait sur son fessier. Oscillant dans tous les sens. Les tressautements de son corps duraient plusieurs secondes, elle vibrait parfois secouée par des ondes intérieures plus violentes. Elle se figea enfin et son corps nétait plus quune statue que je contemplais fasciné.
Il était temps pour moi de penser à ma jouissance. Je me plantais devant elle, debout, précédé par mon orgueilleuse virilité, un sourire conquérant au coin de mes lèvres minces.
Sans perdre un instant, je la pénétrai, mes mains solidement arrimées à ses cuisses. Madame la présidente inspira profondément. Son minou brûlant et glissant comprimait ma verge à chaque coup. Je la ramonais avec frénésie. Les coups que je lui portais et sa propre excitation faisaient vibrer son ventre. Son nombril semblait se contracter.
Je ne voulais cependant pas éjaculer tout de suite, malgré le retour du mari d'un moment à l'autre. Je me retirais pour me calmer un peu.
- On va changer de position, dis-je, essoufflé.
Delle-même, elle se retourna et se mit à quatre pattes sur le canapé. Le cul en l'air. Pour avoir une meilleure assise, elle écarta les jambes. Dans son mouvement elle fit tomber la chantilly qui roula sur le sol. Une idée illumina mon cerveau. Je men suis saisis avant den déversais tout le long de la raie des fesses. Après avoir mis débarrassé de mon entrave, je suis monté sur le canapé et plongeai ma tête sur son croupion. En partant de sa chatte, ma langue remontait sa raie. En suçant tout sur son passage. La chantilly, la mouille, mais aussi mon sperme.
Son anus dilaté semblait vouloir me parler. Mais aucun son nen sort sortir. Il baillait d'envie. Je me mis à embrasser son imposant fessier au goût de sucre vanillé. Je lapais le disque anal avec dévotion.
Jenfonçais mon pénis lentement mais résolumens dans son anus. Petit à petit, il disparut dans ses chairs. Madame la présidente miaula de ravissement. Ma queue était entièrement dans son cul. À l'intérieur de son rectum, je me mis à le faire gigoter en tous sens. Madame la présidente ronronnait de plus belle. Allant jusquà embrasser le tissu du divan.
- Aaaaaah ... Oui Alain ... C'est bon.
Je la chevauchais de plus en plus énergiquement. Voulant jouir avant larrivée du cocu. Mes mains fermement cramponnées sur ses hanches. Ses chairs anales refluaient et s'enfonçaient à chaque va-et-vient. Mon excitation grandissait. La cadence s'accélérait encore. Dominique poussait des cris rauques à chaque poussée.
Je l'enculais avec une telle vigueur quil était évidemment que mon plaisir allait me rattr. Je lui explosai encore une fois dans le cul. Elle reçut mon foutre dans ses entrailles.
Je me retirais dun coup de reins en arrière, alors qu'elle se retourna. Je nai pas pu mempêcher de malaxer son sein droit à travers le chemisier.
- Je regrette de men être occupé.
- Une prochaine fois, lâcha-t-elle.
Signe qu'il y aura une suite. Je venais de trouver une bonne partenaire et elle le moyen de prendre son pied.
- Tu sais que je nai jamais trompé mon mari jusquà maintenant. Tiens-toi le pour dit.
Je ne sais pas si je dois la croire sur parole. Mais cela nétait pas mon affaire.
- Oh ! Sexclama-t-elle, mais tu bandes de nouveau !
En me prenant entre deux doigts.
- Je pensais tavoir vidé les couilles. Il ten reste encore . Quel dommage quil faille que nous redevenions gentils. Tu reviendras me voir .
- Bien sûr, affirmais-je, dans une dernière malaxation, avant de me revêtir.
- Cette fois-ci je saurais te vider complètement les couilles ! Fit-elle en se rajustant.
- Jai hâte de voir ça, lançais-je en enfilant mon slip.
Nous nous dévisageâmes quelques secondes. Mais alors quelle allait sortir du salon pour déverrouiller la porte dentrée elle se retourna pour me dire :
- Sache que toutes les portes de chez moi sont ouvertes pour toi. De la petite à la plus grande
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