Retour Chez Maître Benjamin
Je vous ai parlé il y a quelques temps de Benjamin, le jeune dominateur tout juste majeur qui m'avait complètement retourné le cerveau et annihilé toute volonté. Il m'avait ramené chez lui avant de s'occuper de mon cas et de me laissé, attaché, le cul tendu dégoulinant de sperme. Comme je m'étais senti honteux et souillé après coup... Comme si je n'étais qu'un sale vicieux excité du cul, incapable de refuser une bonne bite (peut-être bien que c'est vrai, cela dit.)
Eh bien figurez-vous qu'il ne m'avait pas laissé partir comme ça. Il m'avait donné son numéro, sans trop me demander mon avis d'ailleurs, en me disant :
"- Tu prends ça. Si jamais tu me rappelles, j'en déduirais que tu veux me revoir et que tu accepteras tout ce que je te pourrais te proposer."
J'avais ri, intérieurement évidemment, je n'aurais pas osé me moquer de lui, il avait trop d'emprise sur moi. Comme si j'allais le rappeler, ce petit mégalo. Il m'avait eu une fois, mais pas deux.
Sauf qu'en fait voilà : j'ai craqué. À peine deux semaine après... Je lui ai envoyé un message.
Simple, concis : "Je peux passer ?"
On savait tous les deux ce que ça voulait dire. Je parie qu'il a rigolé en me lisant.
Donc me voilà devant sa porte, je tremblotte. Incroyable, j'ai le trac.
Je sonne, et lorsqu'il ouvre la porte, un grand sourire se dessine sur son visage.
" - Tiens, mais qui voilà ! Je savais que tu reviendrais tu sais. Je t'ai en mon pouvoir maintenant, je sais que tu reviendras toujours, quoiqu'il arrive."
Il est toujours aussi condescendant ma parole... Mais le pire c'est qu'il a raison. Il m'a supprimé toute volonté, je sais qu'il pourra profiter de moi tant qu'il le voudra cette fois-ci... Mais aussi les suivantes, et je reviendrai toujours... de moi-même.
" - J'avoue que je pensais que tu tiendrais moins longtemps que ça... deux semaines, c'est pas mal. Bon, ne perdons pas de temps, on a beaucoup à faire.
Il ramasse un paquet posé à côté de la porte et me le tend. Dedans il y a une poire à lavement et un collier... Donc il savait vraiment que j'allais revenir. Il avait tout préparé.
" - Le collier tu l'enfiles. À partir de maintenant et jusqu'à ce que j'en décide autrement, tu m'appartiens entièrement. Je fais de toi ce que je veux et tu acceptes. Je t'avais prévenu qu'en me rappelant sur mon téléphone, tu acceptais tacitement toutes les conditions que je pourrais te poser. J'espère que tu te rappelles des deux mots que je t'ai donné l'autre jour à prononcer en cas de problème, sinon t'es dans de beaux draps car je les répéterai pas. Maintenant déshabilles-toi et file à la salle de bain avec la poire pour te laver le cul. Donne-moi ton t-shirt, je vais en avoir besoin."
Je baisse les yeux et m'exécute, honteux.
Lorsque je reviens, il a mon t-shirt à la main et me lance tranquillement :
" - Tourne-toi, je vais t'attacher les mains avec ton t-shirt. Ensuite tu te mettras à quatre pattes et tu écarteras bien les fesses pour qu'on voit ton délicieux petit trou. Je vais faire une photo pour te montrer à quelques personnes, ne t'inquiètes pas, on ne verra pas ton visage."
J'en reviens pas. Il a prévu de me montrer à ses amis, comme un nouveau jouet. C'est si humiliant... et à la fois si excitant ! Alors je me cambre du mieux que je peux pour que sa photo soit bien réussie, je ne voudrais pas que ses amis se moquent de lui et de son nouveau jouet.
" - Bieeen ! Très bien ça ! On a vraiment envie de te le défoncer ce petit trou. C'est parfait ! T'es une bonne petite salope. Ouvre la bouche, je vais te donner ta récompense."
Il me crache dans la bouche, puis dépose un baiser sur mes lèvres.
" - Avale bien."
J'avale, puis je rouvre la bouche pour lui montrer que je suis bien docile et que j'ai bien tout avalé.
" - C'est parfait, tu es très obéissant aujourd'hui.
Tout le monde ? Qu'est-ce qu'il entend par là ?
" - Au fait, j'ai invité un copain. Ça ne te dérange pas j'espère ?"
Alors ça c'est trop... Il veut me partager ! J'essaye de me rappeler du mot qu'il m'a donné, pour que tout s'arrête. Pour dire vraiment que je ne suis pas d'accord. Impossible ! Je stresse, je ne m'en souviens pas. Je vais être obligé de subir ?
" - Il s'appelle Léo. Il est très gentil tu vas voir... et très bien monté !"
Ça y est je sais ! C'est 'Abeille' ! Mais le temps de me souvenir du mot... l'idée a déjà fait son chemin dans ma tête. Deux Maîtres... Deux bites... Rien que pour moi. Mon Dieu ! Non je ne peux pas rater ça !
Au lieu de prononcer le mot salvateur, je regarde mon Maître et souris.
" - J'ai hâte de le rencontrer, Maître.
- C'est très bien !"
Il me palpe les fesses, et me donne une petite fessée.
" - Toujours aussi belles, hein. Bon, on va te préparer tout ça, je veux que tu sois parfait pour Léo. D'autant que si on ne commence pas le travaille maintenant, tu risques de douiller avec lui."
Et sans attendre, il me fourre un doigt dans la bouche pour l'humidifier, puis me l'enfonce d'un coup dans le cul.
Il me travaille comme ça pendant un petit moment, jusqu'à pouvoir m'enfoncer un plug. Puis, il se relève et va s'asseoir dans le canapé.
" - Bon, allume la télé et apporte-moi un verre de vin. Je veux pas m'ennuyer en attendant Léo."
J'obéis, et il se met à pianoter sur ton téléphone. Lorsque je reviens avec une bière, il me fait signe de m'installer à ses pieds et de lui masser.
Je commence à lui masser les pieds, les embrassant de temps à autres du bout des lèvres. Ils sont si lisses, complètement dépourvus de poils.
Une violente claque sur mes fesses m'apprend que j'ai fait quelque chose de travers. Peut-être une pression trop forte pendant le massage.
Au bout d'un moment, il pose sa bière et me tire par le collier pour me montrer l'écran de son téléphone. Il y a une série de photos de gens, qui se montrent en train de se masturber allègrement sur... la photo de moi que Maître Benjamin a prise tout à l'heure.
" - Tu vois tous ces gens ? J'ai posté ta photo dans un chat libertin, ils seraient tous ravis de venir te refaire la déco. Qu'est-ce que tu en dis ?"
Bon Dieu mais il m'exhibe !
Le 7 février 2017 à 14:20, Quinte Essence <quintessence2017@gmail.com> a écrit :
Je vous ai parlé il y a quelques temps de Benjamin, le jeune dominateur tout juste majeur qui m'avait complètement retourné le cerveau et annihilé toute volonté. Il m'avait ramené chez lui avant de s'occuper de mon cas et de me laissé, attaché, le cul tendu dégoulinant de sperme. Comme je m'étais senti honteux et souillé après coup... Comme si je n'étais qu'un sale vicieux excité du cul, incapable de refuser une bonne bite (peut-être bien que c'est vrai, cela dit.)
Eh bien figurez-vous qu'il ne m'avait pas laissé partir comme ça. Il m'avait donné son numéro, sans trop me demander mon avis d'ailleurs, en me disant :
"- Tu prends ça. Si jamais tu me rappelles, j'en déduirais que tu veux me revoir et que tu accepteras tout ce que je te pourrais te proposer."
J'avais ri, intérieurement évidemment, je n'aurais pas osé me moquer de lui, il avait trop d'emprise sur moi. Comme si j'allais le rappeler, ce petit mégalo. Il m'avait eu une fois, mais pas deux.
Sauf qu'en fait voilà : j'ai craqué. À peine deux semaine après... Je lui ai envoyé un message.
Simple, concis : "Je peux passer ?"
On savait tous les deux ce que ça voulait dire. Je parie qu'il a rigolé en me lisant.
Donc me voilà devant sa porte, je tremblotte. Incroyable, j'ai le trac.
Je sonne, et lorsqu'il ouvre la porte, un grand sourire se dessine sur son visage.
" - Tiens, mais qui voilà ! Je savais que tu reviendrais tu sais. Je t'ai en mon pouvoir maintenant, je sais que tu reviendras toujours, quoiqu'il arrive."
Il est toujours aussi condescendant ma parole... Mais le pire c'est qu'il a raison. Il m'a supprimé toute volonté, je sais qu'il pourra profiter de moi tant qu'il le voudra cette fois-ci... Mais aussi les suivantes, et je reviendrai toujours... de moi-même.
" - J'avoue que je pensais que tu tiendrais moins longtemps que ça... deux semaines, c'est pas mal. Bon, ne perdons pas de temps, on a beaucoup à faire. J'ai des projets pour toi tu sais."
Il ramasse un paquet posé à côté de la porte et me le tend. Dedans il y a une poire à lavement et un collier... Donc il savait vraiment que j'allais revenir. Il avait tout préparé.
" - Le collier tu l'enfiles. À partir de maintenant et jusqu'à ce que j'en décide autrement, tu m'appartiens entièrement. Je fais de toi ce que je veux et tu acceptes. Je t'avais prévenu qu'en me rappelant sur mon téléphone, tu acceptais tacitement toutes les conditions que je pourrais te poser. J'espère que tu te rappelles des deux mots que je t'ai donné l'autre jour à prononcer en cas de problème, sinon t'es dans de beaux draps car je les répéterai pas. Maintenant déshabilles-toi et file à la salle de bain avec la poire pour te laver le cul. Donne-moi ton t-shirt, je vais en avoir besoin."
Je baisse les yeux et m'exécute, honteux.
Lorsque je reviens, il a mon t-shirt à la main et me lance tranquillement :
" - Tourne-toi, je vais t'attacher les mains avec ton t-shirt. Ensuite tu te mettras à quatre pattes et tu écarteras bien les fesses pour qu'on voit ton délicieux petit trou. Je vais faire une photo pour te montrer à quelques personnes, ne t'inquiètes pas, on ne verra pas ton visage."
J'en reviens pas. Il a prévu de me montrer à ses amis, comme un nouveau jouet. C'est si humiliant... et à la fois si excitant ! Alors je me cambre du mieux que je peux pour que sa photo soit bien réussie, je ne voudrais pas que ses amis se moquent de lui et de son nouveau jouet.
" - Bieeen ! Très bien ça ! On a vraiment envie de te le défoncer ce petit trou. C'est parfait ! T'es une bonne petite salope. Ouvre la bouche, je vais te donner ta récompense."
Il me crache dans la bouche, puis dépose un baiser sur mes lèvres.
" - Avale bien."
J'avale, puis je rouvre la bouche pour lui montrer que je suis bien docile et que j'ai bien tout avalé.
" - C'est parfait, tu es très obéissant aujourd'hui. C'en sera plus agréable pour tout le monde."
Tout le monde ? Qu'est-ce qu'il entend par là ?
" - Au fait, j'ai invité un copain. Ça ne te dérange pas j'espère ?"
Alors ça c'est trop... Il veut me partager ! J'essaye de me rappeler du mot qu'il m'a donné, pour que tout s'arrête. Pour dire vraiment que je ne suis pas d'accord. Impossible ! Je stresse, je ne m'en souviens pas. Je vais être obligé de subir ?
" - Il s'appelle Léo. Il est très gentil tu vas voir... et très bien monté !"
Ça y est je sais ! C'est 'Abeille' ! Mais le temps de me souvenir du mot... l'idée a déjà fait son chemin dans ma tête. Deux Maîtres... Deux bites... Rien que pour moi. Mon Dieu ! Non je ne peux pas rater ça !
Au lieu de prononcer le mot salvateur, je regarde mon Maître et souris.
" - J'ai hâte de le rencontrer, Maître.
- C'est très bien !"
Il me palpe les fesses, et me donne une petite fessée.
" - Toujours aussi belles, hein. Bon, on va te préparer tout ça, je veux que tu sois parfait pour Léo. D'autant que si on ne commence pas le travaille maintenant, tu risques de douiller avec lui."
Et sans attendre, il me fourre un doigt dans la bouche pour l'humidifier, puis me l'enfonce d'un coup dans le cul.
Il me travaille comme ça pendant un petit moment, jusqu'à pouvoir m'enfoncer un plug. Puis, il se relève et va s'asseoir dans le canapé.
" - Bon, allume la télé et apporte-moi un verre de vin. Je veux pas m'ennuyer en attendant Léo."
J'obéis, et il se met à pianoter sur ton téléphone. Lorsque je reviens avec une bière, il me fait signe de m'installer à ses pieds et de lui masser.
Je commence à lui masser les pieds, les embrassant de temps à autres du bout des lèvres. Ils sont si lisses, complètement dépourvus de poils.
Une violente claque sur mes fesses m'apprend que j'ai fait quelque chose de travers. Peut-être une pression trop forte pendant le massage... Seul Maître Benjamin le sait. Ou peut-être a t-il fait ça juste parce que ça l'amusait.
Au bout d'un moment, il pose sa bière et me tire par le collier pour me montrer l'écran de son téléphone. Il y a une série de photos de gens, qui se montrent en train de se masturber allègrement sur... la photo de moi que Maître Benjamin a prise tout à l'heure.
" - Tu vois tous ces gens ? J'ai posté ta photo dans un chat libertin, ils seraient tous ravis de venir te refaire la déco. Qu'est-ce que tu en dis ?"
Bon Dieu mais il m'exhibe !
" - Tiens, regarde les commentaires des gens."
Je jette un oeil aux messages qui accompagnent les photos.
"La bonne petite salope qui tend son cul pour se faire défoncer." "Tu nous invites ? J'aimerais bien lui apprendre les bonnes manières moi." "Prête-le moi je vais le remplir bien comme il faut." "Oh la sale petite aguicheuse, je crois qu'elle a besoin d'être éduquée !"
Bordel comme c'est excitant ! Je sens mon sexe qui durcit à vitesse grand V. D'ailleurs Maître Benjamin s'en rend compte et me fait une remarque :
"- Alors ça t'excite hein ? T'es tout dur ?"
Il me saisit la bite et la branle très brièvement, puis s'arrête nette. Le teasing a marché, je suis sur les nerfs, il m'a poussé à bout. Je suis désormais prêt à absolument tout pour me faire défoncer.
" - Bon, je ne voudrais pas trop t'exciter. Maintenant tu vas me sucer, tu fais ça si bien."
Il baisse son pantalon et dévoile sa bite déjà noueuse. Sans me faire prier, je m'avance et la saisit à pleine main, un petit sourire gourmand aux lèvres. Je laisse couler un mince filet de bave dessus et l'enfourne d'un coup dans ma bouche.
Tout en regardant Benjamin dans les yeux, le regard soumis, je commence à le sucer comme si ma vie en dépendait. Alternant les va-et-viens de mes lèvres de la base au gland, branlant légèrement le tout quand il n'est pas immergé dans ma gorge, embrassant par moments le gland dur comme le roc.
Je le suce comme ça pendant très longtemps, je n'ai pas tellement la notion du temps, pleinement absorbé par mon labeur, par le plaisir de Maître Benjamin. Au bout d'un moment, l'interphone retentit. Je m'arrête et me tourne en direction de la porte. Et je reçois une torgnole exemplaire. Maître Benjamin me saisit par le collier et me tire pour approcher mon visage du sien.
" - Est-ce que je t'ai dit de t'arrêter ? Fais-moi voir ton cul je vais te donner une punition."
Je lui tends mon cul mais il se lève et va décrocher l'interphone.
" - Oui, vas-y monte."
Il revient et me saisit par le collier, puis commence à m'administrer une série de fessées bien senties. On toque à la porte.
" - Entre, c'est ouvert !"
Maître Benjamin prononce ces mots sans même prendre la peine d'arrêter de me fesser.
La porte s'ouvre et un jeune homme que j'identifie comme le fameux Léo pénètre dans la pièce. Il est un peu plus âgé que Benjamin, il doit avoir à peu près mon âge : 22-24 ans.
Question physique ça n'a absolument rien à voir. Léo est grand, costaud, on devine très bien ses muscles parfaitement dessinés à travers ses vêtements. Exactement mon type de mec..
" - Eh ben, on dirait que j'arrive en pleines festivités.
- Oui, il a besoin d'une bonne correction. Il s'est arrêté de me sucer sous prétexte que l'interphone avait sonné, sans même demander ma permission.
- Et tu me dis que c'est un esclave bien docile ? J'ai du mal à te croire. Je peux participer à la punition ?
- Bien sûr ! Je t'avoue que je ne comprends pas ce qui lui a pris, normalement c'est une vrai salope : il m'obéit au doigt et à l'oeil. Je crois que j'ai réussi à en faire un véritable soumis sans même qu'il ne comprenne ce qui lui arrivait."
Léo s'approche et retire directement son t-shirt, dévoilant un torse puissant. Chacun de ses muscles est parfaitement dessiné, il doit être magnifiquement sportif.
Il me saisit la nuque avec ses immenses mains, serre, et m'envoie une volée de formidables claques sur le cul. Entre chaque fessée, il me palpe vigoureusement le cul, comme pour s'assurer de sa fermeté.
Rien à voir avec les fessées de Maître Benjamin. Celles-ci sont incroyablement puissantes. Elles m'arrachent un cri de détresse. Lui, il rigole.
" - Eh ben. C'est qu'il couine !"
Maître Benjamin rigole à son tour, puis m'envoie une grande gifle et m'aboie dessus :
" - Et qu'est-ce qu'on dit à Léo ?
- Merci Maître.
- C'est bien."
Il s'assoit dans le canapé et fait signe à Léo de faire de même.
" - Va chercher à boire pour Léo, dépêche-toi."
Je file vers la cuisine, le cul en feu. Il doit être rougeoyant à l'heure qu'il est. Puis je reviens avec un verre de vin que je tends à Léo.
" - C'est bien. Maintenant tu t'allonges par terre, bien cambré, le cul tendu moi et tu ne bouges plus. On va regarder la télé."
Je m'exécute. J'entends vaguement qu'ils commencent à se toucher l'un l'autre, à s'embrasser. Comme je suis jaloux de cette tendresse...
" - En tout cas tu ne m'avais pas menti, lance Léo, il a vraiment un superbe cul. J'ai hâte de m'en occuper."
Benjamin installe tranquillement ses pieds sur mon cul, et ils regardent la télé pendant un long moment.
Pendant ce temps, moi, je réfléchis à ma condition d'esclave. Comment j'en suis arrivé là ? Alors que Benjamin ne me plaisait même pas à la base, au contraire même, il m'énervait au plus haut point. J'avais envie de le claquer, c'est lui qui m'a fessé. Et pas qu'à moitié.
Il m'a détruit psychologiquement avec une facilité déconcertante, et me voilà sa chose. Sa petite chose qu'il se permet même de prêter à ses amis.
Je me sens humilié. Et le pire, c'est que ça me plaît.
Finalement, au bout d'un certain temps, une heure, peut-être deux. Benjamin se lève et lance :
" - Bon, on va s'occuper de son cas à cette petite pute."
Léo se lève à son tour et lance joyeusement :
"- Enfin ! J'en pouvais plus d'apprendre."
Puis à moi :
" - Je crois que ça va être ta fête !"
Il baisse son pantalon et se met nue. Cela me donne l'occasion d'apercevoir pour la première fois son énorme membre. Un véritable colosse comme je n'en ai jamais vu. Et pourtant j'en ai vu des bites, de toutes sortes. Benjamin n'avait pas menti quand il disait que j'aurais bien besoin de préparation pour lui.
Devant ma mine déconfite, Léo rigole.
" - Alors, j'espère que tu n'as pas les yeux plus gros que le cul. Rassure-toi, on va y aller doucement. Quoique..."
Ils sont désormais tous deux nus, et s'approchent de moi, jusqu'à presque coller leurs bites à mon visage.
" - Occupe-toi de ça, je veux que tu nous les rendes bien dures pour qu'on puisse s'occuper de ton petit trou."
Mon petit trou n'attend que ça ! Le plug anal qui le remplit commence à ne plus suffire. J'en veux plus.
Je saisis les deux sexes turgescents à pleines mains, un dans chaque main. Et commence à les branler du mieux que je peux. La différence de taille est impressionnante entre Maître Léo et Maître Benjamin.
Je les branle, de haut en bas, de plus en plus vite. Bien entendu je les suce en même temps. Un coup, un coup l'autre. Je salive. Tellement qu'un mince filet se tend entre la bite de Léo, ma bouche, et la bite de Benjamin. Comme la dernière fois avec Benjamin, je ne peux m'y empêcher d'y voir une laisse qui me relie à eux et me retient captif, pour mon plus grand bonheur, et ma plus grande honte.
Léo me tient par le collier, Benjamin tient dans la main une ceinture avec laquelle il me fouette à intervalles réguliers, harassant ma peau déjà rouge des fessées. Puis ils échangent. Les coups de fouet de Léo sont bien pires, j'en gémit. Mes gémissements, la bouche pleine, font beaucoup rire mes deux bourreaux.
Au bout d'une quinzaine de minutes qui me paraissent des heures, Maître Benjamin m'att par les cheveux et me lance sur le sol. D'instinct, je garde le cul bien en l'air.
" Ça suffit ! Lance t-il. Maintenant on passe aux choses sérieuses ! Mets-toi à quatre pattes petites salope. Tu vas sucer Léo."
J'obéis et prends le mastodonte de Léon en bouche. Je l'emmène aussi profond que possible dans ma gorge, mais impossible de l'ingurgiter complètement. Elle est bien trop grosse. Pendant ce temps, Maître Benjamin me retire le plug que j'ai dans le cul, et me pénètre brutalement, sans crier gare.
Je suis rempli. Des deux côtés. Une bite dans ma bouche, et une dans mon cul.
Lorsqu'ils me pénètrent, chacun de son côté, j'ai l'impression que leurs engins vont se rejoindre en moi, jusqu'à se toucher. Je suis comblé.
Les allers-retours s'accélèrent. Encore et encore. Ce n'est plus moi qui suce Léo, c'est lui qui baise ma bouche.
Léo me tient les cheveux. Maître Benjamin m'envoie des fessées. Ce ne sont plus des punitions, c'est juste pour leur plaisir à eux. Ils aiment me malmener. J'aime qu'ils me malmènent.
Ils accélèrent toujours plus. Lorsque soudain, sans que je puisse réellement savoir comment, ils lâchent la sauce simultanément, dans un déluge de râles éjaculatoires. Peut-être se sont-ils fait un signe de tête ?
Toujours est-il qu'ils me remplissent complètement, j'ai l'impression qu'ils ont des litres de sperme, et qu'ils les déversent en moi.
Les va-et-viens ralentissent, jusqu'à complètement finir. Mais chacun garde son vit planté en moi. Devant, et derrière.
Je suis épuisé, luisant de sueur. Eux sont essoufflés. Je me crois sauvé, je pense qu'ils on fini. Mais Maître Benjamin lance dans un sursaut d'énergie :
"- Bon ! Eh ben maintenant on échange !"
Échanger ? Mais je suis au bout de mes forces. J'ai le cul et la gorge complètement remplis de sperme, et ils veulent en remettre une couche ? Ils veulent me foutre le colosse de Léo dans le cul ?
Ils se retirent tous les deux, et je décide de crier le mot. Celui pour que tout s'arrête. Mon salut.
Mon corps, à bout, veut crier. Crier "Abeille !" pour être sauvé. Mais mon esprit, gangrené par l'emprise que Maître Benjamin a sur moi, en veut encore. Il refuse. Rien ne sort.
Je suis condamné à servir, jusqu'à ce que Maître Benjamin n'en décide autrement.
À peine le temps de me remettre, Maître Benjamin me présente sa bite. L'ordre est tacite : "Suce-moi." Ce n'est pas ce qui me fait le plus peur.
Ce qui m'effraie, c'est que je sais que derrière-moi, il y a Léo. Léo et sa bite monumentale. Comment je vais pouvoir supporter ça ?
La réponse ne se fait pas attendre.
Il présente son gland aux portes de mon fondement. Taquine légèrement, je l'entends rigoler au dessus.
Puis il force, sans prévenir. Il me force l'entrée, et ça marche. Je gémis, ça fait un peu mal. Mais la douleur n'est rien comparée au plaisir que cela procure. Sa bite est tellement grande que j'ai l'impression qu'elle va pousser celle de Maître Benjamin, et ressortir par ma bouche.
Comment font-ils pour avoir encore de l'énergie ?
Ils me ramonent puissamment l'intérieur, sans faiblir. Je suis épuisé, mais je donne tout ce que j'ai pour ne pas les décevoir, sinon la punition ne se fera pas attendre.
Léo se penche sur moi en même temps qu'il m'encule. Il colle son torse musclé sur mon dos. Il me branle la bite d'une main. Maître Benjamin ne m'a jamais fait ça. De l'autre, il me les tétons, les tirant, les tournant. Je gémis désormais de plaisir, et de douleur, à chaque coup de bite.
À l'intérieur de moi, c'est un déluge de bite, et de sperme.
Léo me branle de plus en plus vite. Sans surprise, il ne lui faut pas longtemps pour me faire jouir.
Au moment ils me sentent jouir, tous deux se retirent brutalement. Cela rend la jouissance plus forte que n'importe laquelle que j'ai pu avoir.
C'en est trop. Je tombe au sol. Vidé. Ou plutôt rempli. Mais épuisé.
Mes deux Maîtres, enfin mon Maître et son ami se penchent sur moi en se branlant. Il rigolent.
Il se branlent encore, jusqu'à jouir à nouveau. Cette fois c'est sur moi qu'ils se vident.
Ils rigolent encore.
Et moi je suis là, rempli de sperme, couvert de sperme, nu, le cul béant, la peau rougie des punitions que j'ai reçu. Incapable de bouger.
Le plaisir est toujours intense, même une fois la jouissance passée. Pourtant je me sens souillé.
Maître Benjamin lance plein d'entrain, entre deux tentatives de reprendre sa respiration :
" - Eh bien, on peut dire que tu t'es bien débrouillé. Je te laisse quartier libre pour l'instant. Mais repose-toi bien, car le weekend est loin d'être terminé ! Tes vêtements sont dans le placard, mais je te rassure : tu n'en auras pas besoin."
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