Ma Jeunesse ; Épisode3 : Deux, Trois Ou Quatre Bidasses Chauds.
Lépisode 2 a vu mon complet dépucelage de garçon. Nous justifions nos parties de jambes en lair entre jeunes mecs par le manque de filles. Pour Gildas, cétait la réalité puisquil nous a vite remplacés par ses copines. Joël vivait une bisexualité denfer. La semaine il vivait sa sexualité avec moi. Nous dormions souvent dans le même lit, nus et cest toujours lui qui prenait linitiative. Javais appris la distinction entre actif et passif en étant devenu lobjet de son plaisir puisquil visitait régulièrement ma chatte et ma bouche. Je devais aussi lui nettoyer la bite. Il avait commencé à mappeler sa chérie en me forçant à accepter quil était lhomme et moi la femelle. Il maffirmait, malgré mes dénégations que jétais bien devenu « gay » puisque je ne baisais pas de filles. Afin de bien affirmer sa supériorité, et même sil me branlait régulièrement, il sattachait à me faire jouir du cul et de la prostate. Joël ne me cachait pas non plus quen début de semaine il avait moins dardeur parce que le week-end, une copine de 18 ans le rejoignait chez ses parents et quil la faisait grimper aux rideaux au moins deux fois par jour. Je crois que jespérais toujours que lamour que je ressentais de plus en plus pour lui le retiendrait avec moi et quavec les filles il se contenterait de faire du sexe.
Le Bac techno est vite arrivé et nous nous sommes séparés. Joël a douché mes espoirs très crûment : « Rémi, tu as une bonne chatte, je tai bien baisé, tu as appris et ensuite tu as aimé
Je crois que tu es un vrai gay
Maintenant je vais rester hétéro, en tous cas tant que ma copine se laisse baiser par ses trois trous
Salut ! ». Nous ne nous sommes plus revus après le Bac que nous avons réussi. Après avoir cherché du boulot pendant quelques semaines et avoir entendu « reviens après avoir fait ton service militaire », jai fini par demander à être incorporé, ce qui sest fait en octobre pour un an.
Deux mois de classes à Fontainebleau, régiment de transport.
Fin novembre après les deux mois de « classes » nous sommes mutés. Avec Bruno nous sommes plusieurs à être nommés à saint-Germain en Laye. Ancien camp américain au temps de lOTAN. Cest létat-major de la région militaire. Nous rejoignons dautres bidasses des incorporations précédentes. Le plus grand nombre effectue le transport des personnels civils, sous-officiers et officiers subalternes entre le camp et leur domicile. Ils sont hébergés dans les casernes où les bus sont garés la nuit.
Le rythme est très cool à part les horaires des bus. Moins de sport également, moins de mecs et moins de douches pour mâter. Le soir, après la télé et le tour au bar du foyer du soldat (lalcool ny est pas cher du tout), nous retournons dans la chambre. Bruno, comme avant sy promène torse nu
Plus exactement, il a remplacé le short militaire par un slip de bain qui ne cache pas grand-chose ! Je suis toujours en short et marcel réglementaires. Quelques jours plus tard, Ladjudant a annoncé une revue de détail. Après avoir inspecté la partie qui héberge les appelés affectés aux services généraux (cuisine, blanchisserie, gardiennage
) il vient au service transport. Quand il arrive dans notre chambrée, seuls deux lits sont faits. Il sexclame : « piaule de pistonnés ». Il va donc sacharner à tout vérifier et fini par découvrir dans des armoires des revues pornos. Il exige de savoir à qui elles appartiennent mais nous nen savons rien, aucun nom nest inscrit sur les armoires. Finalement sa colère est feinte et visiblement il prend son temps pour les inspecter sans oublier de lorgner régulièrement sur nous.
Heureusement nous sommes en tenue complète. Finalement il sen va. Nous respirons
sans attendre nous récupérons les revues que ladjudant a jeté sur un lit. Ce sont des anciens numéros de « Lui » et de « playboy » laissé là par des anciens. Nous les feuilletons et Bruno comme souvent enlève chaussures, chaussettes, chemise et pantalon ainsi que le caleçon militaire et enfile son mini slip.
Bruno commente : « tu crois quil le suce ? » comme je ne réponds pas il poursuit : « surement
Jai une copine qui aime ça
et toi ? » Heureusement il nattend pas ma réponse, tourne les pages compare avec les fesses des filles et se lance dans le récit de sa dernière aventure féminine. Tout à coup il sarrête et me demande : « tu ne dis rien, as-tu une copine ?... Tu as lair fasciné par ces garçons, cest vrai quils sont beaux, viens on va comparer » Il menlève alors ma chemise : « tu nes pas mal. En slip de bain les filles doivent te manger des yeux. Tiens jen ai un autre
» Jenlève mon pantalon, me tourne, enlève le caleçon et enfile le slip quil ma tendu. Ce dernier est plus grand que le sien. Bruno sourit : « Tu nétais pas obligé de te tourner, je tai vu nu à la douche, dailleurs tu ne te gêne pas pour mobserver. » Je rougis comme une pivoine. Bruno a dégrafé les pages de plusieurs revues pour les étaler sur le lit. Nous sommes debout en face des photos pour admirer les corps nus et lisses.
Aussitôt Bruno sapproche de moi, bite à bite, les prend dans ses mains les compare : « la mienne est plus longue, la tienne plus grosse, Tu crois quelles peuvent encore se développer à force de servir ? » Je ne sais pas quoi dire, peu importe il nattend pas de réponse et a commencé à se branler : « Putain, presque deux semaines sans baiser ! » En réalité, il nous branle car ses mains sont crispées sur nos deux sexes. Je suis pris dune folle pulsion. Je le pousse brutalement en travers du lit. Son dos se pose sur les photos de mecs nus, ses jambes pendent au sol. Je lui écarte les cuisses et le prend en bouche. Il résiste à peine car rapidement il appuie ses mains sur ma tête et je lui fais une sucette avec ma langue. Maintenant Bruno se laisse faire et je peux lui presser les grosses couilles dans leur sac en peau de mec. Jévite de lui toucher le cul car je sais que ça peut bloquer un mec. Cela a été mon cas pendant longtemps (* voir lépisode 1 intitulés : premiers émois). Mes lèvres encerclent sa colonne de chair et remontent vers son gland. Jabandonne un instant ses testicules pour aller frotter ses tétons. Puis revient à lessentiel, je le pompe, lui fais des papouilles sur les burnes. De la langue je lui caresse le frein et lextrémité du pénis.
Bruno sest accroché aux draps, son corps tremble avant dêtre pris dun spasme qui envoie un jet de sa semence dans ma bouche puis sur son ventre. Je me retiens de lembrasser sur la bouche car je crains sa réaction. Il émerge lentement pour me dire : « ça alors, tu suces mieux que ma copine !». Cest gagné, il a aimé. Je mallonge auprès de lui pour lécher le sperme sur son ventre et lui demande sil veut bien me masturber. Il hésite alors je précise : « rien que me masturber, tu me dois bien ça !». Il prend alors ma teub en main, la caresses et, comme il ferait pour lui me branle doucement. De mon côté je ne le quitte pas et tout en suçant ses mamelons, je lui saisis le sexe et men occupe. Il ne tarde pas à bander à nouveau. Jaime lui faire ça ! mes caresses sur son corps renforcent mon propre plaisir et compensent un peu ses gestes maladroits. Après tant dexcitation mon sexe sarque-boute et je jouis dans sa main et sur nos corps. Il ne tarde pas à faire de même.
Nous sommes repus de plaisir et restons la calmement. Je vois que Bruno est pensif : « dis-moi Rémi, tu mas lair daimer sucer les bites
Tu le fais souvent ? » Je ne vais pas lui avouer que je suis quasi gay puisque je nai pas connu de filles. Je lui mens donc un peu et lui raconte que ça date de mes années de lycée et que maintenant je suis porté sur les filles mais quand il ny en a pas
Il me répond : « je préfère ça parce que je naime pas le sexe avec les garçons. Mais si cest juste pour nous dégorger le poireau, tu fais ça bien ! ». La situation étant éclaircie, Bruno, car cest toujours lui qui prenait linitiative, se présentait les soirs de solitude, nu au pied de mon lit. Je comprenais et je me déshabillais prestement. Il entrait dans mon lit pour que je lui fasse une bonne sucette puis me branlait jusquà jouissance. Jaimais ces soirées surtout celles où il restait ensuite avec moi. Cétait la bien sûr la garantie quune seconde baise aurait lieu dans la nuit, en tous cas avant 2 h du matin heure immuable du passage de la ronde ou au petit matin avant celle de 6 h. Mais ce sont ces parties de nuit qui me plaisaient le plus. Je pouvais alors toucher Bruno selon mon rythme, le caresser en prenant mon temps ou encore poser ma tête sur lui et embrasser sa poitrine. Je lembrassais parfois sur la joue et je suis même allé jusquà le faire à la commissure de ses lèvres. Ces fois-là, je sentais bien que je flirtais avec les limites acceptables.
Les journées et les soirées les plus difficiles étaient celles des week-end dastreinte transport. Rarement nous devions conduire un gradé pour un rendez-vous quelconque en Ile de France mais le plus souvent, comme nous étions 3 il ny avait pas assez dactivité. Lastreinte se faisait à côté de la salle de garde et Bruno nétait jamais en même temps que moi. Un grand WE de trois jours (celui de pâques je crois), un bidasse qui avait fêté son « père-cent » cest-à-dire quil lui restait moins de 100 jours, se moquait ouvertement dun nouveau qui venait darriver le traitant de « bleu bite ». Jusque-là le ton était habituel des bidasses livrés à eux-mêmes. Cest vrai que le jeunot, chétif et timide semblait tout juste sorti de sa campagne. Lorsque les plaisanteries ont pris un tour réellement humiliant, je suis intervenu pour calmer le jeu et jai dû insister fortement. Nous aurions pu en venir aux mains si une demande de transport nétait pas arrivée. Cétait à moi de sortir mais jai préféré laisser mon tour au « père-cent » pour éviter que ce dernier nen profite pour agonir dinjures le jeune ou même le frapper.
Après le déjeuner, alors que nous étions tous les deux, Alain puisque cest son prénom ma raconté ses déboires, dans le civil et maintenant à la caserne. Il en pleurait. Triste vie ! Jai tenté de le consoler. Il est resté pour ainsi dire sous mon aile durant les trois jours. Le mardi en fin daprès-midi il est venu dans la chambrée, étonné que seuls deux lits soient faits. Rattaché aux services généraux sa chambrée était souvent complète. Nous avons parlé de tout et de rien, il semblait heureux de pouvoir le faire librement. Il me demandait sil pourrait changer de chambre or je navais pas envie de prendre le risque de perdre mes relations avec Bruno. Je lui répondais donc quà larmée ce sont les chefs qui décident. Cest là quil ma proposé un massage : « Jai fait un stage dans un centre sportif et jai appris un peu. » Bon, pourquoi pas, si ça lui fait plaisir. Il est allé chercher son matériel, je me suis mis torse nu sur le ventre et il a commencé par métirer doucement les muscles du dos.
Vraiment il connait son affaire. Après avoir étiré le cou et les épaules il ma demandé gentiment de retirer mon pantalon pour faire les pieds et les mollets. Il soccupe donc de mes jambes, cuisses comprises. Lorsquil effleure mes fesses par-dessus mon caleçon mon entrecuisses chauffe sérieusement
Il me demande de me retourner et je dois lui dire que son massage ne me laisse pas insensible. Il me dit : « pas grave, cest naturel ! ». Heureusement le caleçon militaire est grand. Je suis sur le dos et Alain continue par mes pectoraux et le devant de mes cuisses. Il tourne autour de lobjet de mes désirs. Cette fois je bande complètement et ça se voit bien. Alain me regarde en souriant : « si tu veux, mettons-nous à laise ! ». Joignant le geste à la parole il enlève sa chemise et son pantalon
Il ne porte rien en dessous
Puis me regarde dans les yeux, sapproche et pose un baiser sur mes lèvres en disant : « laisse-toi faire mon chef !».
Je le laisse faire. Dailleurs, je commençais à espérer que ça dé. Un mouvement et je suis tout nu, la bite tendue, droite comme un i. Alain me suce les mamelons, caresse mes couilles puis va faire des bisous sur ma queue. Enfin il se met à califourchon autour de mes cuisses et senfile sur ma verge qui le pénètre facilement. Ce nest pas une première pour lui. Je comprends mieux certaines insultes du WE. Déjà, il remue son cul, se secoue les reins, danse sur place. Dune main il a saisi sa teub bien montée, passe lautre main derrière son dos pour saisir mes bourses quil malaxe. Il se branle pendant que ma tige coulisse dans son tunnel. Que cest bon, bien mieux que la branlette. Alain sait y faire, son muscle anal se contracte pour serrer puis desserrer mon embout. Mon gland est bien au chaud au fond de ses entrailles, il frotte contre la paroi face à sa prostate. En cadence et branchés, cest le festival « Plug and Play » que nous jouons. Cen est trop, je largue tout dans ses profondeurs
Alain ne tarde pas à suivre, il se plie en deux et jute sur mon ventre. Tout en restant assis sur mon membre il se penche vers moi et membrasse sur les lèvres.
Je reste un instant les yeux fermés, sa langue fouillant ma bouche. Quand je rouvre les yeux
Bruno est là, il nous regarde sans un mot. Alain sent le malaise, se rhabille prestement et quitte rapidement la chambre. Je mhabille aussi pour aller voir Bruno qui sest assis sur son lit. Je ne sais quoi dire et cest lui qui parle : « Rémi, ce que jai vu me permet de penser que tu es un vrai homo
Ce nétait pas seulement du sexe
Aimes-tu les garçons ? » Jessaie de lui expliquer que cest vrai avec Alain jai fait ce que lui naime pas, que la pénétration anale nest quun autre moyen de se faire plaisir ou encore que la tendresse nest pas lamour
mais je me perds dans mes explications et Bruno menvoie balader. Cette semaine ni Alain ni Bruno ne sont venus me parler. Mon WE chez moi est morne. La semaine suivante Bruno qui a été dastreinte est de mauvaise humeur, seulement des déplacements dans des endroits où il a dû rester des heures à attendre dans la voiture.
Le jeudi soir après un séjour au foyer où tout le monde a bu, pour une fois je prends linitiative et lui demande comment il va et si je peux laider à quelque chose. Dun ton sec il me répond « non, fais pas chier ! » Je suis à deux pas de mon lit quand il me ratt marrache ma chemise, retire la sienne et nous allonge sur le matelas : « Ecoutes Rémi, ça fait deux semaines, je nen peux plus, je veux que tu me fasses gicler, ça ne change rien, si tu es homo moi je suis un hétéro qui a une sale envie. » Il ny a rien à dire, je commence à le sucer. Il bande déjà mais il ne me touche pas. Pourtant ma queue aussi est raide. Jespère quil ne va pas me laisser en rut et en rade. Comme jespère quil pourra ensuite reprendre des relations normales, je suis prêt à sacrifier mon plaisir daujourdhui. Quand il me touche, cest à mes fesses quil sintéresse : « tu as baisé Alain, jai vu
Ton cul aussi il a déjà servi ? ne me ment pas ! » Cette fois, il me faut sortir des non-dits. « Oui, mon cul a servi comme tu dis. Il nest plus vierge depuis le lycée. Mais seulement là-bas pas ici, pas avec Alain
Cest la vérité. » Bruno me retourne, me met à quatre pattes : « Donne-moi ton trou, je veux essayer ! »
Il tente de me pénétrer sans ménagement aussi je le freine : « Doucement, il na pas servi depuis le lycée, il sest refermé
suce tes doigts et fais comme moi
» Je lui montre donc comment mouiller et assouplir mon illet mais ce sont mes doigts qui préparent et élargissent le muscle rectal. Bruno est déchainé : « je vais tenculer profond », ce quil fait. Jai creusé mes reins pour faciliter la pénétration car il est brutal et tient mes hanches pour mieux me pistonner. Dans mon dos, Bruno se délecte : « tes fesses sont comme une offrande au dieu Priape. Ni males ni femelles, elles sont faites pour le plaisir
pour mon plaisir. » En disant cela il accroche à mon phallus quil branle. Mon rectum me chauffe par la cadence des mouvements et aussi parce quil nest ni préparé ni lubrifié. Bruno ne tarde pas à me remplir de son jus, une première depuis près dun an et il sécroule sur moi. Je le laisse finir de se vider. Il me regarde : « tu as un bon cul, jy reviendrais quand je serais en manque. » Je suis resté sur ma faim aussi je me tourne sur le dos pour me finir seul.
Deux doigts dans mon cul je tripote mon engin et dans un cri de plaisir je répands mon sperme sur moi. Bruno passe ses doigts sur mon trou du cul et mon ventre pour recueillir nos secrétions : « tiens mange, une femelle aime être fécondée et ne gaspille pas la semence
Par contre rase tes poils du cul et du pubis ». Comme jhésite à répondre, il rigole et me dit : « demande à Alain, il sera content de taider ». Cest effectivement avec plaisir quAlain est venu me raser le plus gros puis passer de la crème dépilatoire. Lorsque Je lui ai rendu la pareille Bruno était présent et il en a profité pour sodomiser Alain. Bruno y avait pris goût. Il mentreprenait plus souvent ou lorsque cétait possible allait chercher Alain, me laissant dans ce cas regarder et mastiquer tout seul. Bruno a recommencé à faire des courses dendurance avec quelques bidasses, sous-officiers et officiers sportifs qui sentrainent en vue des marathons inter armées. Nous sommes allés les voir lors de courses de sélection mais avec Alain nous profitions aussi de ses entrainements pour passer du bon temps en cachette. Revenant dun entrainement Bruno ma annoncé quil avait raconté les déboires dAlain à un jeune lieutenant et que ce dernier avait autorisé Alain à venir dans notre chambrée « rassure toi je nai pas tout dit ».
A présent, nous étions plus libres de nous embrasser, nous caresser et nous sucer chaque soir si nous le voulions à la seule condition que nos chattes soient à la disposition de Bruno qui en avait lexclusivité. Jétais heureux même si jaurais bien voulu pénétrer à nouveau le petit cul dAlain. Jen avais pourtant profité pendant la finale régionale de marathon où Bruno étant parti deux jours, nous avions avec Alain, eu la nuit à nous. En revenant Bruno nous a annoncé que le lieutenant était chargé de repérer le circuit de la grande finale inter-régionale. Pour ce faire, il lui avait demandé de choisir quelques amis pour une grosse journée de travail. Nous en faisions partie. A 5h30 le matin convenu nos partons à quatre véhicules et autant déquipes de cinq hommes dont un officier ou un sous- officier. Nous sommes à larrière avec le matériel. Nous arrivons au point du départ prévu pour le marathon en forêt de fontainebleau à 7h30. Sur la base dun plan détat-major la répartition sest faite, le groupe sest scindé en deux et sous la conduite du lieutenant nous avons roulé jusquau point de ravitaillement prévu au 32ème km du marathon. Après un petit encas, les deux conducteurs restent sur place pour garder les véhicules et un groupe de 4 va remonter vers les 21ème km.
Le lieutenant et nous trois allons vers larrivée à environ 10,2 km. Nous devons être de retour aux véhicules à 16h30 à afin dêtre rentrés vers 18h30. Soit 20,2 km aller-retour à pied en 9 heures. Nous sommes chargés avec le matériel ainsi que les rations et la boisson. Heureusement nous navons pas darmement. Ça va aller. Nous mesurons le parcours avec un odomètre à roue et nous traçons au plâtre à chaque intersection pour guider les futurs coureurs. Nous avons le temps mais régulièrement le lieutenant fait accélérer. Mais cest lui le marathonien, pas moi et encore moins Alain. A ce rythme et avec deux arrêts pour nous hydrater nous sommes au point darrivée dans la ligne droite du chemin forestier à proximité de Sorques à 11h. Une fois le traçage réalisé, le lieutenant nous propose daller déjeuner le long du Loing, cest une rivière avec des étangs. Il fait soleil, Bruno demande si on est autorisés à la bronzette. Le lieutenant montre lexemple et se met torse nu. Bel homme, il doit faire de la musculation.
Le lieutenant propose une baignade avant le déjeuner. Sans attendre il enlève rangers, chaussettes, pantalon et caleçon réglementaires pour enfiler un slip de bain (beau cul !). Comme nous hésitons, il rigole : « vous navez pas prévu
Alors à poil pour ne rien mouiller ! » et il enlève son slip avant de plonger puis se retourne : « Jen vois deux qui ont le pubis totalement épilé
A allez, tout le monde à leau. ». Nous ne trainons pas et faisons quelques longueurs. Le lieutenant est le premier sur la terre ferme et nous regarde sortir. Il est resté à poil et sallonge sur lherbe : « Restez comme ça pour sécher... Bruno, tes copains ont un petit côté féminin sans leurs toisons !» Nous sommes stupéfaits dentendre Bruno répondre : « Je confirme Lieutenant, ils assument bien leur féminité ». Bruno sapproche de moi, sallonge sur lherbe et me demande de le sucer. Jai du mal à croire ce que jentends et regarde les autres. Alain sest approché du Lieutenant, lequel est maintenant complètement raide. Alain nhésite pas. Il ouvre la bouche pour gober ce qui se présente à lui.
Bruno me parle doucement : « il ny a pas de mal à se faire du bien et à poil, il ny a plus de hiérarchie, seulement des corps en chaleur ». Je nhésite plus et jattaque de bon cur ce morceau de chair blanche et rosée. Je suis tellement affamé que cest une gorge profonde que je lui offre tout en malaxant ses couilles, il geint sans retenir les sons. A trois pas, le Lieutenant na pas tardé. La sucette ne lui suffisant pas il a pénétré la rondelle dAlain dun puis deux doigts puis le bascule sur le ventre, lui écarte les jambes, enfile un préservatif (zut alors ! il avait prévu ?) il sallonge sur son dos afin de pénétrer son fondement. Il le fait avec tant de vigueur que jai limpression quil a du retard à rattr. Il ne tarde pas à pousser un rugissement de fauve et jette sa sauce dans la capote. Bruno lui prend son temps, cest vrai quil na pas manqué doccasions. Il retire sa queue de ma bouche et me demande de massoir dessus, en lui tournant le dos, ce que je fais. Il préfère parfois que je lui apparaisse sans bite. Dans cette position je suis moins excité mais lui fantasme plus facilement. Il se remue dans ce quil appelle ma chatte et je lui laisse linitiative. Cest la vue de nos compagnons qui linspire et sa vigueur se renforce puis se vide dans mon colon.
Quand il se retire je nai pas joui. Alain non plus et comme ma hampe reste tendue, Alain toujours serviable vient sassoir dessus. Il me fait face. Jaime cette position quand il passe une main dans son dos pour saisir mes olives, que de lautre main il me caresse un téton tandis que je lui serre les noisettes en branlant sa verge. Je magite en lui, il me griffe les couilles et les pectoraux. Je malaxe son sexe, il pince mes mamelons. En quelques minutes nous sommes en sueur, nous soufflons, et les muscles tendus nous partons dans une jouissance réciproque, moi de la bite et des couilles ; lui du cul et la teub. Alain se couche sur moi et membrasse sur les lèvres, mouvre la bouche avec sa langue suce ma lèvre supérieure et mordille lautre. Cest toute sa langue qui senroule autour de la mienne, empli ma bouche, frôle lintérieur de mes joues
Cest délicieux. Cette fois, plus de faux semblant ce nest pas que du sexe cest une vraie baise dhomosexuels. Le spectacle que nous avons donné a visiblement beaucoup plu. Après quelques minutes nous nous relevons sans honte. Nous déjeunons ensuite sans parler, toujours nus, perdus dans nos pensées. Ce ne peut être un hasard. Ces deux-là ont préparé leur journée !
Une fois les gamelles rangées, le Lieutenant et Bruno nous montrent leurs membres déjà dressés. Bruno prend Alain par la main et le met à genoux. Le Lieutenant viens vers moi en tenant un condom à la main. Il me dit : « jai envie de te prendre, cest seulement si tu es daccord, entre mecs adultes et consentants. Liberté et égalité, pas dordres maintenant ! ». Sans répondre, je touche son sexe, imposant, poilu, le gland bien formé prend lair sans prépuce pour le cacher. Le travail a été bien fait, un phimosis peut-être
Il me serre dans ses bras puissants et caresse mes deux lobes vierges de tout poil. Après avoir vu les deux parties de sexe qui viennent de se dérouler, Il sait que je ne suis pas vierge, ni recto ni verso.
Nous nous allongeons et je minstalle en 69 au-dessus de lui et je prends sa tige en bouche pour une fellation de qualité. Elles appétissante. Surtout ce gland habitué à frotter dans ses vêtements est un peu rugueux, il est peut-être un peu moins sensible ce qui pourrait le rendre plus résistant au limage, histoire de faire durer les préliminaires surtout pour une rebelote. Très progressivement je caresse ses cuisses en rapprochant mes doigts de la raie de ses fesses. Ma verge est devant sa bouche et il met du temps à se décider. Je ne précipite rien dautant que quand japproche un doigt de son anus, il se crispe. Ne rien brusquer, donner envie, reprendre, attendre
aujourdhui ou plus tard. Ça y est presque, il tient mon sexe et lapproche de sa bouche, hésite et passe juste le bout de sa langue sur le méat puis entoure de ses lèvres et les fige sur la couronne de mon gland. Cest peu mais je nen espérais pas autant. Pour le détendre, jéloigne mes mains de son petit trou visiblement vierge pour prendre ses bourses, il mimite, jai eu raison. Maintenant ma bouche va vers ses testicules que je gobe une par une tandis que je poigne son vit. Bruno est toujours derrière Alain pour lui labourer le troufignon. Alain aime toutes les positions. Pourvu quon le remplisse, il est satisfait.
Comme le Lieutenant nest pas très actif et que jai éjaculé dans Alain récemment, je bande peu. Je décide donc de changer de position. Je tourne le lieutenant sur le dos et comme il ma observé lorsque je prenais Alain, il senroule à nouveau un préservatif et me permet de massoir sur son membre puis, lorsquil est bien rentré, je mallonge sur lui et lui demande de tourner sur le côté. Nous replions les jambes et nous sommes emboités comme des cuillers. Je sens ses poils pubiens piquer mes fesses toutes lisses. Dans cette position son beau sexe joue facilement dans mon rectum tout en pointant vers ma prostate. Jai bien fait de ne pas trop lexciter car il a de lendurance. A côté de nous Bruno qui vient de jeter son dernier coup de butoir dans le cul dAlain, sen est retiré. Alain se fait plaisir tout seul, il gicle sur les herbes folles. Nous pouvons voir la semence blanche de Bruno couler par à-coups de la chatte rougie et élargie dAlain.
Avec fougue, le sportif qui mactive de tous ses muscles est parti pour une danse du ventre. Je lui prends une main pour la poser sur mon pubis. Il prend mon outil croyant que je veux quil le manuvre mais je préfère sentir sa main sur mon mont de vénus et lui indique où appuyer pour que ma glande séminale soit mieux asticotée. Il apprend vite et me malaxe par devant tandis quil me boute par derrière. Je suis chaud par les frottements dans lanus et tout mon abdomen est en tension. Il prend son temps, ralentit, accélère, fait une pause, recommence. Visiblement il aime sentir sa tige dans un endroit chaud, doux et humide. Il nest pas pressé. Soudain il chuchote à mon oreille, parle en saccade, séparant chaque partie de phrase dun mouvement des reins ou dun baiser dans mon cou : « Ma chérie, je taime, je suis bien avec toi, prenons notre temps avant de nous séparer, je veux tensemencer, je veux tengrosser, je veux vivre ma vie avec toi » Je ne sais plus ce qui marrive et ma prostate explose dans un feu dartifice envoyant encore du liquide séminal au bout de ma verge. Mon amant a senti mes spasmes et il part en vrille. Je sens ses couilles entre mes fesses et sa teub dans mon cul se contracter pour éjecter tout son foutre. Il crie : « Isabelle, je taime ! ».
Après avoir récupérés nous nous rinçons dans létang, nous rhabillons. Il est déjà tard heureusement nous sommes moins chargés car il ny a plus le plâtre et marchons vite sans parler. Arrivés au camion, le Lieutenant me prend à part : « Je rêvais à ma fiancée qui attend le mariage pour consommer, oublie ce que jai dit ! ». En tout cas je noublie pas ce quil ma fait.
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