La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°882)
Marion au Château (suite de l'épisode précédent N°881)
Même si jappréhendais grandement la fin de lheure, et je ne puis expliquer la raison mais paradoxalement, je me mis à mouiller abondamment en entendant ces mots
Lheure passa ainsi, entre cris, coups, solitude. Je devais recevoir une sanction de 50 coups. Le Majordome me dit que pour les sanctions je pouvais crier, il ny aurait pas de sanction supplémentaire. Je lui fus reconnaissante de cette autorisation, mais sil me lavait donné ce nétait pas pour rien, les coups étaient déchirants. Je recevais alternativement dix coups sur le cul ou sur le dos. Javais la peau en feu ! Et la chatte aussi mais dexcitations ! Pourtant, mais cela je ne le savais pas, Walter y avait été « doucement ». Le ressenti ne correspondait pas à ce qui était soit disant donné doucement ! Le Maître avait donné des ordres pour ne pas que je sois trop « abîmée ». Et Walter et ceux qui laideraient dans sa tâche étaient bien au courant et savaient très bien manier les instruments
La seconde heure débuta. Un ou une soumise, du moins je le supposais je ne voyais pas un Dominant soccuper de cette tâche, môta ma couche, me nettoya. Aussitôt après, on prit possession de ma chatte, et de ma bouche, ce dont je fus reconnaissante, cétait un bon moyen pour ne pas quon mentende ! Après que celui qui memplissait ma bouche se soit vidé au fond de ma gorge, celui qui me besognait la chatte se mit à me donner des coups de martinet. Ayant la bouche libre, je ne pus mempêcher de crier. Mais paradoxalement, plus il sactivait en moi, plus les coups tombaient, et plus je me retrouvais au bord de lorgasme. Juste avant de masséner un dernier coup vigoureux, une voix me douce me murmura à loreille :
- Jouis petite salope, hurle tant que tu veux !
Et le coup tomba me faisant effectivement hurler de bonheur dans un orgasme foudroyant de douleur et dextase, et les deux mélangés, ce mélange détonant qui me fit perdre la tête, au point que malgré mes liens je maffaissais comme je le pouvais.
Heureusement midi sonna. De nombreux pas séloignèrent me faisant comprendre que de nombreuses personnes assistaient et participaient à mon supplice. Mon bandeau fut enlevé et je reconnus la soumise qui mavait nourrie le matin, et qui venait remplir le même office qualors. Manger me fit du bien, ainsi que boire, mais métant retenue toute la matinée, une forte envie duriner me saisit.
- Tu sais, chienne ! Jai tout mon temps ! Pratiquement tous les Invités de Noël de Monsieur le Marquis te sont passés dessus, et jai ainsi pu moccuper de toutes les tâches qui mincombent, et me reposer pour passer sil le faut la nuit à te dresser.
Il était vingt heures trente, cela faisait douze heures que jétais attachée à subir tout ce qui pouvait passer par la tête des Dominants. Je subis encore durant 8h. Et au début de ma vingt-et-unième heure de et de délice excitant, un déclic se fit quelque part en moi. Au lieu de repousser la douleur, de lutter contre elle, je décidais de laccepter. Au lieu de me raidir, jessayais de me détendre à chaque coup qui tombait. Jembrassais la douleur, laccompagnais. Javais limpression que ma partie consciente de la douleur quittait mon corps pour me regarder à distance. Je trouvais une respiration qui me permettait de la dépasser. Et à ce moment-là, je pus recevoir les différents instruments en criant beaucoup moins dabord, pour finir la vingt-deuxième heure silencieusement. Les sanctions que je recevais nétaient plus dues aux cris, mais aux jouissances qui étaient devenues totalement incontrôlables. De fulgurants orgasmes foudroyants me traversaient tout le corps et quasi sans sinterrompre. De véritables décharges électriques sur toute mon échine remplaçaient la douleur et plus on me fouettait, plus je jouissais. Mais aucun bruit ne sortait de ma bouche. Jen étais arrivé à un niveau incroyable mentalement à jouir fortement mais sans émettre le moindre son
A ne plus sentir la douleur du fouet remplacée par des spasmes jouissifs
Ce qui néchappa pas à Walter qui dit sur un ton victorieux :
- Eh bien ! Il ten aura fallu du temps ! Vingt-deux heures pour tapprendre à gérer la douleur, laccepter et te taire. Jespère que tu prendras moins de temps pour tes prochaines leçons ! Il est six heures et demie du matin, il va être lheure de distribuer les corvées.
Il me détacha et je maffaissais sur le sol. Walter me laissa quelques minutes pour récupérer, Il me fit abondamment boire de leau sucrée puis mordonna de lui obéir. Je partis, plus en rampant que réellement sur mes quatre pattes. Et je me dirigeais vers le bureau du Maître. Je frappais faiblement à la porte. En entendant Sa voix puissante et forte, cela me redonna un peu dénergie et je réussis à prendre une position digne dune chienne MDE, avant de rentrer dans la pièce et de me prosterner arrivée en son centre.
- Ah ma chienne ! A genoux ! Ce fut long, mais je suis dans lensemble assez fier de toi ! Je vois à tes marques que la journée a été longue. Et dès mon réveil, jai été informé en temps réel sur ton dressage de cette nuit par la caméra de vidéo-surveillance
. Il te reste quelques heures avant que Walter ne taccompagne à laéroport pour aller chercher tes filles. Pendant cette semaine, tu nauras pas à venir au Château, tu resteras dans le pavillon que je tai mis à disposition. En attendant, tu vas suivre cette chienne (il me désigna une jeune femme dans un coin de la pièce qui attendait patiemment à genoux, tête baissée, mains derrière le dos) tu vas être soignée et tu vas pouvoir te reposer pour être au mieux de ta forme pour toccuper de tes filles. Et maintenant, as-tu quelque chose à me dire ?
- Maître Vénéré, je Vous remercie, Vous, ainsi que toutes les personnes qui se sont occupées de moi ces dernières vingt-quatre heures, pour avoir pris de Votre temps pour méduquer à subir en silence, et devenir une meilleure chienne pour Vous satisfaire.
- Bien Ma chienne ! Tu es autorisée à venir me baiser les pieds en signe de reconnaissance. Ensuite tu partiras.
Je rampais alors vers Ses nobles pieds, me prosternais, et baisais du bout des lèvres, respectueusement le bout de chacune des chaussures de Monsieur le Marquis. Il séloigna alors sans plus faire attention à moi, caressa la tête de la soumise que je devais suivre et sassit derrière son bureau. Nous partîmes donc en quadrupédie toutes les deux jusquà la salle de soin, où on mappliqua une crème apaisante sur les traces, qui nétaient, contrairement à ce que je pensais, pas des plaies ouvertes et profondes. Puis jeus droit à un massage pendant lequel je mendormis, jusquà ce que je fus réveillée en douceur par la soumise pour reprendre une tenue vanille et partir à laéroport
(A suivre
)
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