Baise Surprise Sur Un Chantier.
Voici le texte quAlice ma fait parvenir
Cest le récit que lui a fait son compagnon dune aventure vécue loin delle
Je mappelle Tony. Jai 38 ans et je suis dorigine portugaise mais né en France. Grand avec une belle musculature, je passe auprès des filles pour un beau gosse
Depuis de longues années, je travaille dans le bâtiment pour une grande entreprise qui a des agences un peu partout en France.
Habituellement, je vis dans le sud-ouest avec Alice, une femme de mon âge et nous sommes des coquins libertins, libres de nos aventures, à la seule condition : nous les raconter ensuite.
Depuis plusieurs mois, jai été envoyé à plusieurs centaines de kilomètres de mon domicile pour y renforcer léquipe locale et superviser un chantier de construction de plusieurs petits immeubles de standing dans un quartier tranquille de la ville. Je passe la majeure partie de mon temps sur le chantier et ne vais aux bureaux de la société que lorsque cela est nécessaire !
Ma responsabilité de chef de chantier moblige parfois à rester seul après le départ des ouvriers afin de vérifier que tout est en ordre et que les tâches prévues pour le jour ont bien été effectuées ou comme en ce moment, alors que les travaux tirent à leur fin, faire linventaire des éventuelles malfaçons auxquelles il faudra remédier avant la livraison..
Le chantier est presque achevé puisque les cellules commerciales et les appartements doivent être livrés aux acheteurs dans une quinzaine de jours. Pour gagner du temps en cette fin de semaine, jai demandé à une des stagiaires de lentreprise de se joindre à moi pour cette ultime tournée sur le chantier.
Oh, quand je dis stagiaire, nallez pas imaginer que cest une jeunette
En fait Karima, celle qui sest portée volontaire pour maccompagner, est une femme juste un peu plus jeune que moi, qui, au chômage depuis plusieurs mois, nous a été envoyée par lagence locale de Pôle Emploi pour occuper un poste de dessinatrice.
De fait elle sest totalement intégrée à la société où elle sinvestit complètement, travaillant vite et bien au point que le boss a lintention de lembaucher définitivement. Grande et jolie femme brune à laccent chantant du Midi, elle doit avoir arabe car elle est très typée et elle na rien de la « femme fil de fer » comme la mode actuelle le veut.
Autant que je puisse en juger elle a une paire de seins appétissante (jadore les belles poitrines bien rondes, ce dont je suis quelque peu privé avec Alice qui na que deux « ufs sur le plat » mais avec des tétons oh combien sensibles).
Ses fesses toujours moulées étroitement dans un pantalon ou une jupe serrée, elle est souvent chaussée de bottes arrivant sous le genou ou de bottillons à hauts talons, qui lui font une démarche ondoyante tout à fait charmante et qui pousse à suivre des yeux le balancement de ses hanches pleines. Son visage encadré de cheveux noirs coupés courts est éclairé par de grands yeux marron, un nez un peu busqué domine une bouche large aux lèvres gourmandes.
Cest une jolie femme dans la plénitude de son âge qui sait se faire discrète car elle ne veut pas attiser la jalousie de ses collègues féminines et le désir des hommes. Tout le monde la trouve sympathique, moi le premier car jaime bien lui confier du travail : cest bien fait et vite, ce qui me convient tout à fait.
Lorsquelle me rejoint à mon bureau sur le chantier ce vendredi en début daprès-midi, je suis surpris de voir quelle ne porte plus sa tenue du matin. Là, elle est en jean un peu large avec une liquette écossaise glissée dans la ceinture. Devant mon étonnement elle dit :
- Je serai plus à laise pour travailler ainsi et je ne craindrai pas de me salir !
- OK ! sage précaution !
Nous parlons boutique pendant quelques instants puis nous allons sur le chantier où divers corps de métiers travaillent encore à aménager les abords, allées piétonnières, espaces verts, etc.
Cest au moment où nous arrivons dans un des derniers appartements que tout bascule. Je ne sais pas si cest la chaleur de cette journée de juin ou le travail intensif que nous venons deffec qui en est la cause car soudain Karima sappuie contre une cloison et elle sévente avec son bloc :
- Je nen peux plus ! Il fait trop chaud !
Et pour être plus à laise, Karima ouvre les boutons de sa liquette, laissant voir son soutif bien garni dans lentrebâillement des deux pans.
Quelle vue ! Elle a une paire de seins de ouf ! (En moi-même je pense que cela va me changer de ceux dAlice).
Et elle continue de se déshabiller en ôtant complètement sa liquette et la vue de ses aréoles bistre au travers du tulle fin de son soutif blanc a vite fait de faire dresser mon barreau de chair dans mon slip au point que ma bandaison est presque douloureuse.
Karima ne manque pas de le remarquer :
- Cest moi qui te fais cet effet ?
Quand je mapproche delle, les effluves de sa transpiration montent jusquà moi mais elles sont mêlées à cette odeur si particulière dune chatte humide.
Çà achève de me mettre dans les transes du désir !
Oui
jai envie de baiser Karima et il est certain que cette coquine nattend que çà !
En la prenant par le bras pour la diriger vers une des cuisines déjà équipée de ses meubles, je lui dis :
- Viens ! Je sais ce que tu veux ! Nous sommes seuls, ne nous privons pas !
Aussitôt je plaque Karima contre un des éléments, son cul est juste à la bonne hauteur. Je fais sauter lagrafe de son soutif et ses deux beaux seins, bien ronds, dun blanc laiteux avec des veinules bleuâtres et des tétons très marqués me sautent littéralement au visage !
Je peux mempêcher daller les agacer de ma langue avant de les mordiller pour les faire saillir.
Karima presse ma tête contre sa poitrine
elle doit apprécier ce que je lui fais !
Je glisse mes mains dans son dos, griffant doucement le creux de ses reins et ensuite je mintroduis dans larrière du pantalon à la taille élastiquée où je rencontre le cordon dun string !
Les bretelles de la salopette étant déjà baissées, lentement je fais glisser le jean sur les hanches pleines découvrant le pubis légèrement poilu encore masqué par le minuscule triangle du string.
Le pantalon glisse de lui-même jusquen bas des jambes et Karima se tortille pour sen débarrasser dune geste preste qui lenvoie à quelques mètres.
Je ne peux mempêcher de reculer dun pas pour admirer cette femme aux rondeurs appréciables, tout juste un peu opulentes mais que sa haute taille rend belles.
Ma bite est dressée à men faire mal tellement jai envie de baiser ma collègue qui sapproche de moi et sagenouille pour faire descendre le zip de mon pantalon et aller chercher ce sexe mâle quelle a bien du mal à extraire tant il est dur.
Puis elle lembouche pour lenduire de salive, faisant des mouvements alternatifs dans sa bouche, lenfonçant de plus en plus loin au fond de sa gorge dans une fellation savante où Karima alterne les passages dans sa bouche et les agaceries de la pointe de sa langue sur le gland et le frein !
Pendant ce temps, je me débarrasse de ma chemise et de mon teeshirt et je dégrafe la ceinture de mon pantalon qui tirebouchonne au dessus de mes chaussures.
De par ma position, jai une vue plongeante soit sur ses seins qui balancent doucement, fermes et bien hauts ou sur sa chute de reins et ses fesses largement fendues.
Je ne sais doù elle la sorti mais Karima me couvre la bite dune capote et en se retournant elle allonge son buste sur un meuble bas, la pliure de son corps juste à la bonne hauteur pour soffrir en levrette.
Je descends son string et à deux mains
jouvre ses globes fessiers pour découvrir les orifices convoités.
Quelques poils noirs tapissent le périnée accentuant limpression de luxure de ce cul qui soffre ainsi dans une impudeur totale.
En tournant la tête vers moi Karima me souffle :
- Ne me fais plus languir ! Viens ! Baise-moi fort ! Je suis en manque !
- Ne tinquiète pas ma belle ! Moi aussi, je suis en manque ! Je vais ten mettre au point que tu ten souviendras longtemps !
En disant cela, je place ma bite à lentrée de la chatte humide et dune seule poussée, je menfonce au plus profond, faisant claquer mon pubis contre les rondeurs du cul.
Waouh ! Quelle est chaude cette chatte !
Je sens la chaleur au travers du latex ! Je lime Karima avec violence, sortant à chaque fois de son vagin pour y entrer de nouveau plus fort encore que la fois précédente. Et elle mencourage :
- Oh oui ! Comme çà ! Défonce-moi ! Il y si longtemps quune vraie bite ne ma pas pénétrée !
Chaque fois que jarrive au fond de sa chatte, Karima pousse un petit cri de plaisir et je sens ses muscles intimes qui malaxent mon gland.
Je suis tombé sur une bonne baiseuse avide de sexe et en manque !
Mais je me retiens, je ne veux pas jouir trop vite et profiter de cette belle aubaine.
Jai dans lidée que je vais passer un weekend torride si Karima le veut bien !
Au moment où la jouissance lemporte, je me lâche, déversant au fond de la capote une abondante rasade de sperme. Essoufflés lun et lautre par la violence de notre baise et de la jouissance que nous venons davoir, nous restons lun dans lautre de longues minutes pendant lesquelles je laisse mes mains courir sur ce corps pantelant, passant de la taille aux reins, glissant un doigt dans la raie culière pour aller taquiner lillet qui palpite doucement et souvre lorsque jintroduis un de mes pouces.
Mais Karima tempère mes ardeurs en disant :
- Coquin ! Tu veux menculer ? Terminons ce que nous avons à faire et je temmène chez moi !
- Ok ! çà marche !
Bien quétant en ménage avec Alice, ma copine complice de libertinage, je suis libre de mes mouvements puisquentre nous nous avons convenu de nous raconter nos « escapades ».
Puisque Karima soffre ainsi, pourquoi men priverai-je ?
Nous terminons rapidement notre travail et nous quittons les lieux.
Karima habite à lopposé du chantier et il nous faut traverser toute la ville. Heureusement lheure de pointe de sortie des bureaux est déjà largement dépassée et il ne nous faut pas plus dune vingtaine de minutes pour arriver à destination.
Elle me fait entrer dans son grand studio bien agencé : la pièce principale est séparée de la cuisine par un comptoir et il y a une grande chambre que nous traversons pour gagner la salle de bain. Aussitôt elle se déshabille entièrement et ninvite à en faire autant pour prendre une douche à deux.
Je ne me fais pas prier pour la suivre sur ce chemin !
Sous le jet tiède, nous nous enduisons mutuellement de mousse odorante et nous en profitons pour continuer à nous caresser si bien que je bande à nouveau lorsque Karima presse ses fesses contre ma bite en la faisant rouler dans sa raie :
- Tu vas me défoncer le cul ! Jadore ! Pour menculer, tu mettras une capote mais après, si tu veux me baiser encore, tu nen nauras plus besoin. Si tu es sain, je le suis aussi !
- OK ! çà marche ! Le résultat de mon test HIV date de la semaine passée, tu nas rien à craindre !
Nous nous séchons rapidement et nous revenons dans la chambre où mon amante du moment me taille une pipe rapide pour sassurer que je suis bien dur et ensuite elle déroule un préservatif sur ma hampe. Elle se met en levrette sur le lit, les fesses tournées vers moi, le buste allongé sur la couverture et les bras de part et dautre de la tête :
- Viens ! Je suis prête !
Lorsque japproche ma bite de son anneau plissé, je vois quelle y a introduit du gel.
Dès que mon gland a passé la collerette du sphincter, cest comme si jétais aspiré dans son fondement tant la pénétration est facile :
- Dis donc, il a du en voir passer ton cul ! On y entre aussi facilement que dans ta chatte !
- Oh oui ! Il a été ouvert de bonne heure ! Chez nous les filles doivent arriver vierge au mariage cest donc par le cul que nous prenons notre plaisir quand nous sommes avec un copain. Depuis beaucoup deau a passé sous les ponts et des bites dans ma chatte et mon cul !
Quand jentends cela, çà mexcite encore plus ! Je sodomise à long traits cette belle beurette en manque et nous ne tardons pas à partir dans une jouissance simultanée qui nous arrache des râles de plaisir tant cest bon !
Karima saffale à plat ventre et par chance, je suis resté dans son cul. Je passe mes mains sous son buste et je vais chercher les tétons pour les faire rouler entre mes doigts. Il nen faut pas plus pour que ma maîtresse se trémousse sous moi, cherchant à faire de nouveaux allers-retours sur ma bite qui a à peine débandé.
Elle devait être véritablement en manque de sexe car elle ne semble pas encore satisfaite. Puisque cest ce quelle veut, je recommence à la sodomiser, profitant de sa gaine étroite qui masse ma bite à chaque fois que je pénètre. Jai la queue engluée de ma précédente éjaculation, mais quest ce que cest bon de baiser Karima de la sorte. La jouissance est un peu plus longue à venir mais lorsque je me vide une nouvelle fois dans la capote, Karima part à son tour, beuglant véritablement son plaisir :
- Waouh ! Quest ce que tu es bon ! Tu mas bien fait jouir ! Jen veux encore mais on va reprendre des forces !
Nus tous les deux, nous revenons dans la pièce principale où nous mangeons rapidement une cuisse de poulet et des fruits puis alors que jachève de déguster un verre de vin, Karima vient sagenouiller entre mes cuisses et commence à me tailler une pipe danthologie, léchant alternativement mon mat et mes couilles, les aspirant dans sa bouche pour les faire rouler lune après lautre, enfonçant ma queue au plus profond de sa bouche goulue. Puis quand ma bite est bien humide, elle se relève sur ses genoux et vient lenserrer entre ses seins où elle lui imprime des mouvements de va et vient, donnant des coups de langue sur le gland quand il arrive à sa portée
Je crois que jamais mon sexe na été autant bandé et dur comme du bois tant cette caresse est sensuelle et lenvie de baiser à nouveau Karima est forte !
Quelle ravageuse !
On ne sen douterait pas à la voir au bureau, appliquée et sage
mais là, nous ne sommes plus au bureau et je vais lui donner ce quelle veut et bien profiter de cette femelle en chaleur
Je la relève et dune main passée dans sa raie culière, je la guide jusquau canapé où je lallonge sur le dos. Je lui ouvre les cuisses en grand et dune poussée énergique je prends possession de sa chatte goulue et chaude. Je me presse entre ses cuisses accueillantes pour bien faire sentir à Karima la puissance de mon sexe bandé par le désir.
Puis jentame de longs mouvements de va et vient, sortant à chaque fois de cette belle chatte pour y entrer à nouveau de plus en plus vite sous les encouragements qui me sont prodigués :
- Oui, vas-y ! Baise-moi ! Fais-moi jouir ! Cest bon ! Baise-moi à fond ! Défonce-moi !
Comme pour me maintenir en elle Karima a croisé ses jambes sur mes reins
mais cela ne mempêche pas de continuer à la baiser à longs traits. Cette coquine ma déjà bien vidé les couilles ce qui fait que je suis un peu plus long à venir, mais elle est tellement bonne à baiser que bientôt je nen puis plus. Elle a du se retenir de jouir car lorsque je lâche au fond de sa chatte quelques belles giclées de sperme, Karima se lâche aussi, jouissant de tout son corps en bramant sa jouissance à haute voix.
Mais elle nen pas encore assez !
Ne me laissant aucun répit, elle me désarçonne, me fait rouler sur le dos et se précipite sur ma bite pleine de nos sécrétions mêlées et lembouche à nouveau pour la toiletter et me faire rebander
ce qui ne tarde pas.
Le sceptre dressé vers le plafond je ne suis pas surpris quand Karima menjambe et dun mouvement souple du bassin sempale sur ce pieu bandé sur lequel elle se baise elle-même en faisant des mouvements de bas en haut face à moi.
Jai sous mes yeux cette poitrine généreuse, ronde mais bien ferme, aux tétons saillants au milieu des aréoles bistre très marquées qui se balance doucement au rythme de la copulation que Karima se prodigue sur ma queue enfoncée dans sa chatte qui ruissèle littéralement de cyprine.
La tête rejetée en arrière, elle ne semble penser quà une chose : prendre un maximum de plaisir
Et moi, jen profite ! Une nouvelle fois jinonde son vagin de belles giclées de sperme et là, cest un véritable plaisir que de jaillir sans entrave, de mélanger sperme et cyprine au fond dun sexe accueillant.
Lorsque je quitte Karima au milieu de la matinée du samedi, jai les couilles complètement essorées tant nous avons baisé jusquaux petites heures de la nuit. Ça faisait longtemps quen dehors de ma compagne habituelle, je nétais tombé sur une assoiffée de sexe comme Karima.
(Note du rédacteur : les personnages de Tony et Alice sont réels. Vous les avez rencontrés dans dautres histoires plus anciennes. La scène décrite a été quelque peu remise en forme...)
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