Mon Combi-Short
Je me suis réveillé un beau matin dété avec une envie impérieuse de voir mon amie uniquement vêtue dune très courte robe de cotonnade qui dévoile son corps nu au moindre mouvement. Je vois ses bras se lever et son sexe imberbe apparaitre. Je la vois tourner sur elle-même pour me montrer son cul magnifique et ses fesses galbées. Jimagine la bretelle trop lâche de la robe tomber et dévoiler un sein lourd et ferme. Je réclame ce plaisir
! Je veux ce surplus dérotisme qui accompagne cette intimité à peine cachée.
La réponse ne sest pas faite attendre. Aucun souci si je change mon habillement et maffuble dune combinaison aux jambes et manches ultra courtes laissant deviner mes épaules et le bas de mes fesses. Elle devra être dotée dune unique fermeture éclair dorsale qui se termine au milieu de mon postérieur. Jimagine bien les idées tordues quun tel vêtement peut donner à la gente féminine. Elle consacre ma totale dépendance à autrui pour me déshabiller notamment pour aller faire mes besoins. De la même façon, je ne puis envisager de me rhabiller seul. Ce vêtement me condamne, faute daide, à laisser mon dos nu jusquau niveau des fesses. Je me délecte dimaginer combien un tel outil va me contraindre, plus que jamais, à mon vice favori : lexhibition.
Si lachat petite robe na pas posé de problème, il en a été tout autrement du combi-short pour homme. Après de nombreuses recherches, jai fini par en découvrir un sur Internet. Une habile couturière fut réquisitionnée pour raccourcir manches et jambes à une longueur plus évocatrice. Mon amie, pour compléter louvrage, sest appliquée à faire disparaître toute pilosité de la zone couverte par le combi. Sexe, fesses, aisselles, poitrine, dos ont été soigneusement rasés. Et me voici apte à enfiler lobjet à même la peau. Je me sens quasi nu dans cet accoutrement et cest un plaisir subtil. Jimagine que ce que doit ressentir la propriétaire de la minirobe doit être fort proche de ces perceptions.
Sandales enfilées et délicieusement nus sous nos frêles étoffes, nous voici tous deux partis nous promener dans la forêt toute proche. Je ne peux mempêcher de trousser ma compagne qui se venge en jouant avec la fermeture éclair chargée de protéger lessentiel de mon anatomie. Dexhib en exhib, nous voici rendus au bord dun petit lac bordé dune plage de sable fin entourée de taillis et dune futaie de résineux. Quelques personnes sont allongées nues au bord de leau. De légers bruissements montent des bosquets environnants.
Mon amie sy engage dans le but daccomplir un besoin naturel tandis que je contemple les corps dénudés qui menvironnent. Comme dhabitude, je les trouve tous beaux ainsi exhibés. La majorité ne cache rien de son anatomie, bras et jambes écartés, tantôt sur le ventre, tantôt sur le dos. Les seins sont petits ou imposants, en forme de poire ou de pomme, parfois à peine marqués. Leurs auréoles varient en couleur et en dimension. Les sexes de femmes de tailles variées alternent entre la discrète fente, labricot bien renflé ou les longues lèvres ondulées en forme de feuilles de salade. Le pénis des hommes est souvent court et trapu, mais parfois long, fin ou monumental. Souvent les fesses largement écartées laissent voir des rosettes plus ou moins larges, de couleurs variées, aux sphincters dilatés ou sages.
Le temps passe et mon amie ne revient pas. Je mengage donc dans le sous-bois. Après quelques minutes, je perçois à lapproche dun épais bosquet un doux feulement et des bruits de feuilles froissées. Je me dirige vers lui prudemment et, à labri dun arbuste, je découvre mon amie en galante compagnie. Elle est debout, sa robe troussée au niveau du cou, jambes largement écartées pour permettre à plusieurs mains dhomme de sintroduire dans ses deux cavités. Ses seins sont malaxés assez violemment par dautres. Je décide dintervenir quand sa robe lui est arrachée et vole par-dessus les buissons.
Mais un petit cri de plaisir et un sourire béat men dissuadent.
Alors que tous ses amants semblent occupés à recharger leurs accus et la laissent enfin tranquille, je me décide à pénétrer dans létroite clairière, théâtres des opérations, dans le but de la soustraire à un nouvel assaut. Bien mal men prend ! Je ne fais que réveiller le troupeau en rut. Un protagoniste sexclame en me regardant : « Il faut être une autre petite salope pour porter un vêtement aussi indécent et provocateur. On se le fait, les gars ! » Puis je sens ma fermeture dorsale me descendre jusquaux fesses et mon combi tomber en corole à mes pieds. Je suis totalement nu, peureux et offert. Une clameur salue lexhibition : « Et totalement rasé en plus ! Quelle chienne ! ». Mon amie, assise par terre affiche un sourire pervers et murmure : « Cest ton tour !... ».
Rapidement je me retrouve à genoux, je devrais plutôt dire à quatre pattes. Je sens un doigt me caresser la raie des fesses puis exciter ma rosette avant de pénétrer doucement mon cul. Mes cuisses souvrent et écartent mes fesses comme par automatisme. Un sexe approche ma bouche. Je pose mes mains sur les hanches de son propriétaire et lavale goulument. Il va et vient dans la bouche et ma gorge.
Presque en face de moi, deux inoccupés debout ont soulevé mon amie et lont enfichée sur leurs verges, lun au vagin, lautre au fondement. Elle émet à nouveau ces petits cris rauques de plaisir. Pour ma part, les acteurs se succèdent dans mes trous de plus en plus accueillants et dilatés et me branlent rudement. Jéjacule par petites quantités à trois ou quatre reprises. Je gargouille de plaisir la gouge tapissée de foutre. Ma peau entière est devenue érogène et le moindre frottement menvoie plus loin dans le Nirvana. Certains protagonistes, devenus moins actifs, samusent à me faire tressaillir de leurs caresses. Jai limpression que tout ce qui est privé et sacré en moi sest ouvert jusquà lexcès et ne demande quà être le réceptacle de leurs profanations.
Sous mes yeux, mon amie est maintenant endormie au sol, disloquée. Elle aussi expose toute son intimité écartelée, ouverte et salie au regard de tous. Quant à moi, je ne suis toujours pas rassasié et tortille lentement mon fessier avec obscénité comme pour provoquer de nouveaux assauts. Mais nul ne vient me soulager. A la tombée du jour, tous ont disparu et nous pouvons tous deux nous laver de nos miasmes dans le petit lac avant de revêtir notre légère vêture et rentrer chez nous. Mon amie marche avec sa robe troussée jusquaux seins et refuse de fermer mon combi. Javance donc le dos et les fesses à lair.
Ces instants ont considérablement changé ma vie. Mon amie a pris conscience de mon plaisir à me soumettre, à mexhiber et à moffrir à qui veut de moi. Pour cela, le combi short avec ce quil véhicule dimage et contraint comme aide nécessaire pour sen vêtir ou lenlever est un bon outil. Elle nhésite pas à mobliger, lors de soirées entre amis, à servir nu ou revêtu de courtes tuniques transparentes.
Heureusement, de temps à autre lorsquil fait beau, je peux retourner sur la zone de drague découverte par hasard. Il me suffit denfiler mon combi-short et je suis reconnu même par ceux que je nai jamais vus. Je suis devenu la légende du coin sous le nom de « la catin en combi ». Je suis toujours abusé sans complaisance, sodomisé, humilié obligé à sucer et renvoyé à demi-nu. Les plus anciens réclament parfois mon amie qui ne répugne pas à my accompagner et à leur donner accès à tous ses orifices.
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