Qui L'Eut Cru Xi Françoise Se Découvre

Françoise DUVAL, veuve depuis quelques années, la cinquantaine finissante, femme d’un milieu assez aisé et bien sous tous rapports, se laisse séduire par un jeune collègue trentenaire en recherche d’un certain confort matériel et qui s’est bien gardé de lui avouer qu’il vient de purger une peine de prison pour vol.
Après quelques coïts qui révèlent à Françoise des plaisirs jusqu’alors ignorés, la mère de famille qui se découvre jalouse, propose à son amant qui se prétend sans logement et qui feint de vouloir trouver refuge chez une ex petite amie, de s’installer provisoirement chez elle.
Installé dans la place, Stéphane à l’occasion des vacances de noël convainc Françoise de le faire passer auprès de sa fille pour un collègue en difficulté hébergé à titre exceptionnel
Le coquin réussit à coïter la jeune femme méfiante tout en continuant à dévergonder sa maîtresse mature.
Nous retrouvons les deux amants au moment du départ des vacanciers.


Dimanche 28 décembre 2014 15 heures

-Allez Hugo, dépêches toi, vas mettre tes chaussures mon chéri, papa et maman s'en vont, tu vas les mettre en retard. Allez fais un bisou à mamie et monte dans la voiture.
- Bon on y va, au revoir Françoise, dit Antoine en quittant la maison.
- Au revoir Antoine et merci d'être venu, et vous embrasserez vos parents de ma part.
- A bientôt maman.
- Au revoir ma chérie, je vous revoie en février alors ?
- On va voir, j'ai beaucoup de travail tu sais, répond sèchement Alexandra.

Elle est sous le double choc.
Elle ne parvient pas à se pardonner son moment de faiblesse, elle est rongée par la culpabilité depuis la veille, comment-a-t-elle pu descendre aussi bas : coucher avec l'amant de sa mère alors que son mari et son fils sont sous le même toit.
Elle s'en veut terriblement, et ce qui accroît sa colère, c'est qu'en son for intérieur elle sait parfaitement que si c'était à refaire, elle recommencerait.


Elle désire toujours autant cet homme qui l'a peut-être mise enceinte, cette attirance totalement irrationnelle est incontrôlable, obsédante.


L'espace d'un instant, elle observe Françoise qui s'occupe du petit.
Elle porte un pantalon noir, un haut à manches longues orange avec un foulard noir à poids, des chaussons noirs avec un liseré blanc, elle aperçoit ses mi-bas noirs transparents.
Elle a toutes les apparences d'une mère de famille bien rangée et c'est ainsi qu'elle, sa fille l'a toujours perçue, sans l'ombre d'un doute.
Alexandra a l’impression que son univers s’effondre, un univers dont Françoise était le pilier ? Elle n’arrive pas à réaliser.

Qui pourrait imaginer en voyant cette femme à l'instant qu'elle puisse être la maîtresse d'un type comme Stéphane ?
Elle aimerait croire qu'il lui a menti pour se vanter mais elle est persuadée qu'il n'en est rien.
Tout est tellement évident maintenant, la présence de Stéphane dans cette maison, les petits changements chez Françoise qu'elle seule a pu déceler.

Comment-a-t-il pu réussir à la séduire ?
Il a près de trente ans de moins qu’elle !

Ressent-elle les mêmes choses elle aussi ?
Après tout peut être qu'elles sont pareilles toutes les deux, peut-être que Françoise aussi a toujours été attirée par les hommes, et peut-être même que Stéphane n'est pas le premier, plus rien ne peut l'étonner à présent.

A-t-elle trompée son père comme elle-même vient de le faire avec Antoine ?

Dans quelques minutes ils vont partir, Françoise va rester seule avec Stéphane, elle se demande s'ils vont faire l'amour sans attendre, va-t-elle le rejoindre dans sa chambre, il y est enfermé depuis la fin du repas, elle se dit qu'à sa place c'est ce qu'elle ferait, elle frissonne, oui elle aimerait tant être à la place de cette salope pour se faire baiser tout l'après-midi par Stéphane, puis les jours suivants aussi, pour se faire prendre comme une chienne par ce vrai mec qui l'a comblée de plaisir l'autre nuit.



- Tu es sûre que tout va bien, tu as l'air d'avoir des soucis ma chérie, on n'a même pas eu le temps de papoter toutes les deux. Ça va avec Antoine au moins ? Tu es bizarre depuis hier.
- Hein mais oui maman, ça va ! répond Alexandra tirée de ses pensées.
- Tu me téléphones en arrivant, allez vas y, Antoine t’attend et faites bonne route, soyez prudents.

Françoise, soulagée regarde le monospace blanc qui franchit le portail de la propriété avant de disparaître dans la grisaille du mois de décembre.

Cela fait deux nuits qu’elle a attendu Stéphane en vain.
Elle est soulagée qu’il ne soit finalement pas venu même si elle n’a pu s’empêcher de l’espérer chaque nuit jusqu’au petit matin, au gré de son sommeil perturbé, pour finir par se frotter le clitoris tout en s’enfonçant deux doigts dans le con pour assouvir son désir d’être pénétrée par la bite de son amant.

Son cœur bat fort, ils vont enfin pouvoir reprendre le cours de leur vie à deux.
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Lundi 29 décembre 2014 11 heures :
- Françoise, vous avez préparé la synthèse que je vous avais demandée sur les heures supplémentaires ? demande Paul Crouchet, le responsable RH.
- Heu...non pas encore, je n'ai pas eu le temps en fait.
- Tout va bien Françoise ? Vous semblez un peu distraite ces derniers temps, ce n'est pas dans vos habitudes. Le moral ça va au moins ?
- Tout va bien monsieur, un peu de fatigue peut-être, ce n'est rien.
- Il faut vous ménager Françoise, si vous avez besoin de quelques jours de congé, on peut toujours s'arranger, vous savez.
- Non, non, ça va aller, répond Françoise en retournant dans son bureau.

Le jeune quadragénaire se surprend une nouvelle fois ce matin à loucher vers le cul de sa collaboratrice mature moulé une fois n'est pas coutume, dans une jupe noire en cuir.
Un peu gêné, il prend conscience de son érection naissante.

Depuis bientôt dix ans qu'il travaille avec Françoise DUVAL, c'est bien la première fois qu'elle le fait bander !

- Qu'est ce qui lui prend aujourd'hui, elle nous sort une jupe moulante en cuir qui lui arrive bien dix centimètres au dessus des genoux, des escarpins à talons, des collants noirs transparents, un haut de teinte fuchia, moulant et faisant ressortir sa poitrine comme jamais, on ne l'a jamais vu ainsi accoutrée ! Elle a même changé sa couleur de cheveux ! Se dit-il.

Il n'en revient pas de voir ainsi Françoise, sa plus proche collaboratrice depuis tant d'années, le pilier de son service !

S'il ne la connaissait pas, il dirait qu'elle cherche à plaire.

En touts cas, l’image de la croupe un peu large, des cuisses un peu fortes gainées de soie noire, et des nichons arrogants ne quitte plus son esprit à présent.

Honnête père de famille de quatre s de la bourgeoisie locale, il n’est pourtant pas du genre à s’extasier sur le premier popotin qui passe sous son nez.
Homme à principes, issu d'un milieu catholique, toujours amoureux de la charmante Bénédicte, son épouse depuis dix-sept ans, une femme d'une classe indéniable, Paul Crouchet se sent aujourd'hui incroyablement attiré par Françoise DUVAL !

Françoise ne parvient plus à travailler.
Elle se demande encore comment elle a pu accepter de mettre les vêtements que Stéphane lui a préparés pour aller à son travail ce matin.
Même plus jeune, elle s'est rarement habillée aussi court.


Elle se revoit ce matin dans la salle de bains.

- Mais enfin Stéphane, j'ai l'air de quoi comme ça ? Je ne peux pas partir avec ces vêtements, tu ne te rends pas compte, qu'est ce qu'ils vont penser à l'usine ! C’est pas possible a-t-elle dit lorsqu'elle s'est vue dans la glace.

Stéphane s'est alors collé derrière elle pour lui faire sentir sa queue bien dure et a pris ses seins en main qu'il s'est mis à caresser.


- Tu vas les faire bander ma chérie, tu vas voir je suis sûr que tu vas aimer ça, lui sussure-t-il à l'oreille.
- Mais j'ai l'air de...
- Chut...je te l’ai dit c’est important pour moi que tu sois sexy !

Françoise se tortille machinalement sur son fauteuil, son string lui rentre encore dans la fente, elle a décidément du mal à s'y habi.
Stéphane avait raison, elle s'aperçoit qu'elle est encore en train de mouiller, il faut dire qu'elle n'arrête pas depuis ce matin.
Même si c'est terriblement embarrassant pour elle, dans le fond, elle réalise que ça lui plaît bien de se montrer ainsi devant des hommes.
Elle en vient même à se demander si ce n'est pas en fait depuis toujours dans sa nature.
Elle se souvient de l'émoi ressenti, les rares fois où elle a bronzé seins nus à la plage.
A l'époque presque toutes les femmes le faisaient, et Jean-Pierre avait insisté pour qu'elle enlève le haut.
Elle réalise aujourd'hui qu’elle avait été troublée par certains regards masculins sur sa poitrine dénudée même si alors elle avait voulu se persuader du contraire.
Elle a ressenti le même genre de trouble ce matin lorsqu'elle a traversé l'atelier de l'usine pour aller récupérer les relevés d'heures supplémentaires sous les regards éberlués des ouvriers qui la mataient dans sa tenue sexy.
Elle revoit encore l'air ahuri de Marcel LAFFONT, un employé qu'elle a toujours connu, elle ne sait pas ce qui s'est passé en elle à ce moment là, mais elle s'est mise à se déhancher tout en marchant, comme si elle voulait provoquer encore un peu plus tous ces mâles.
C'est bien la première fois de sa vie qu'elle se comportait de la sorte, elle qui au contraire a toujours était un peu prude.
Son visage s'empourpre, elle a aimé aguicher tous ces mecs !
Au retour, il lui a même fallu passer par les toilettes pour essuyer sa vulve tellement elle mouillait et il lui a fallu beaucoup de volonté pour ne pas succomber à l'envie qu'elle avait de se frotter le clito, la même envie qui la taraude à nouveau à l’instant, alors qu'elle sort du bureau du DRH.
Jamais elle n'aurait pu penser qu'elle puisse produire aussi un tel effet sur Paul CROUCHET!
Elle a l'impression qu'il la déshabille du regard depuis ce matin, alors qu'habituellement c'est à peine s'il lui prête attention, tellement il est absorbé par sa tâche.
Elle finit par se dire qu'il devait certainement bander.
Elle connaît Bénédicte, son épouse, une très jolie femme, qu'elle a rencontré de nombreuses fois.
L'idée qu'elle puisse encore faire envie au mari d'une telle femme ne fait qu’accroître son trouble.
- Peut-être qu'il a une belle queue ! Va-t-elle jusqu’à se demander un peu euphorique.

Elle n'imaginait pas qu'elle pouvait encore plaire autant aux hommes et encore moins combien cela pouvait être agréable.

- Pourtant plus rien ne devrait m'étonner, mon mec a bien trente-deux ans !, se dit-elle avec une certaine fierté.


Stéphane qui a été envoyé pour la journée dans une filiale du groupe profite d'un moment de calme pour prendre quelques nouvelles par texto.
« Alors ma chérie, fais-tu sensation ce matin? »
Il se demande s'il n'y est pas allé un peu fort, il ne faudrait pas non plus qu'il brûle les étapes.
Il n'était pas acquis qu'elle accepte de porter les vêtements qu'il avait préparés.
Pourtant il n'a pas eu trop de mal pour la convaincre.
Françoise n'en finit pas de le surprendre comme encore hier après midi après que sa fille et son gendre soient partis.
Il se souvient :

Nous revoilà enfin tous les deux mon cœur! A-t-elle dit en se ruant dans la chambre.

Elle s'est aussitôt pendue à son cou pour l'embrasser à pleine bouche.
Il se souvient encore de l'agréable sensation de sa langue qui tournoyait dans sa bouche avant qu'elle ne décide de lui ôter son tee-shirt.
Autant dire qu'il a savouré cette prise d'initiative tout comme l'instant où elle lui a caressé la bite à travers la toile de son jean.
Et quel délice, lorsque son vit a été entouré par la chaleur humide de la bouche de cette mature en chaleur qui à genoux, le pompait en lui caressant les couilles.
Il a fallu beaucoup de volonté à Stéphane pour s'extirper de ce fourreau gourmand et entraîner sa maîtresse déchaînée vers le lit.
Rapidement Stéphane aidé de sa partenaire, a enlevé le haut à manches longues ainsi que le pantalon qui ont été suivis par le soutien gorge et la culotte blanche.
Stéphane a découvert enfin la chatte intégralement épilée suivant ses désirs sur laquelle il a aussitôt passé sa main pour constater la douceur de la peau glabre.

- H umm ! Je vais te lécher ma puce...Viens donnes-moi ta chatte

Françoise s'est rapidement retrouvée à genoux au dessus de son visage et lui a donné son abricot juteux à déguster.
Sa langue a parcouru toute la fente glabre, s'est attardé un peu sur le clito, puis elle est redescendue pour pénétrer le vagin dégoulinant de cyprine pendant que ses mains pétrissaient le cul.

- Hum oh oui !

Stéphane fou d’excitation lui a bouffé la chatte à pleine bouche avant de lui demander de se retourner pour faire un soixante-neuf.


Françoise vient de recevoir un texto de Stéphane.
Comme à chaque fois, son cœur se met à battre plus fort.
Elle a hâte d'être à ce soir pour le retrouver enfin à la maison.
Son visage s'empourpre lorsqu'elle pense à la séance d'hier après midi, elle se revoit dans la position du soixante-neuf qu'elle n'avait jamais eu l’occasion de pratiquer auparavant.
Quelle position excitante ! Et surtout quel plaisir de sentir la langue de son homme parcourir son intimité tout en s’occupant de sa verge.
Et le contact de cet appendice humide sur sa peau débarrassée de toute pilosité ne faisait qu’accen les sensations.

Elle ferme les yeux, serre les cuisses, elle voit la bite de Stéphane qu'elle aimerait sucer en cet instant.
La pine de son amant l’obsède en permanence, elle éprouve un plaisir intense à s’en occuper, la caresser, la lécher, l'avoir dans sa bouche ou dans sa chatte jusqu'à l'instant où le foutre gicle.
Elle se souvient de cette langue qui léchait le moindre recoin de sa vulve et de ce doigt qui lui massait la pastille anale bientôt rejoint par la langue qui abandonnant la fente a parcouru la raie sur toute sa longueur pour venir lui titiller enfin la rondelle.
Françoise frisonne, elle a l'impression de retrouver une partie du plaisir provoqué par cette caresse très intime qui lui était inconnue alors que deux doigts allaient et venaient alors dans son vagin dégoulinant de sécrétions.
Elle se souvient de l'instant où la langue s'est insinuait à l'entrée du petit trou, puis du majeur lubrifié par son passage dans la chatte qui a fait pression progressivement avant de glisser petit à petit entièrement dans le conduit anal.
Elle se trémousse sur son fauteuil.
Elle a bien aimé l’effet de ce doigt dans son cul malgré la légère douleur du départ pendant que Stéphane lui branlait le clitoris.
L’appréhension était si forte qu’elle en avait abandonné la queue, c’était la première fois que cet orifice était investi !
Elle ne se souvient même plus comment elle s’est retrouvée ensuite à chevaucher son homme à l’envers alors qu’il lui caressait le cul à pleines mains, empalée sur sa bite, se démenant en poussant des cris de plaisir sur ce dard qui a fini par cracher sa crème visqueuse au fin fond de sa matrice.

Stéphane lit le texto qu’il vient de recevoir.

« Tu avais raison, c’est agréable de se sentir désirée par des hommes, mais c’est à toi que je suis mon amour »

Il sourit, ferme les yeux, il revoit les hanches un peu larges, le cul marqué par la cellulite s’activer devant lui, même les cris de Françoise raisonnent dans sa tête, pour un peu il se branlerait sur le champ!
Décidément Françoise est une sacrée salope !


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