La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°884)

Le pensionnat, propriété du Marquis – (suite de l'épisode précédent N°883) -

Monsieur Le Marquis lui présentait les plus gros godemichets qu’il faisait passer sur sa rondelle, certain passant même parfois, mais c'était surtout pour lui faire peur. Quand il en eu assez il mit en place un petit Plug en me disant :

“Tu vas garder cela en toi, ne le perd pas ou tu endureras mon courroux...“

Le Noble lui ordonna de ne pas bouger. Il sortit (enfin, c’est ce que Myna pensa) en réalité il fit entrer l'une de ses esclaves, sa favorite esclave46MDE (laétitia) , et lui ordonna de la lécher jusqu'à la jouissance et même plus. Le Maître se mit derrière un paravent et il les observa. La favorite arriva derrière Myna et lui murmura tout en lui caressant la vulve :

“Le Maître m'a demandé de te lécher jusqu'à la jouissance et même plus, mais crois moi ta présence ne me plait pas. Alors je vais tout faire pour qu'il te punisse très fort...“

Elle se baissa et commence son office. N'y tenant plus Myna lâcha le mur et pris sa tête entre ses mains, lui caressant les cheveux... Quand elle eu fini, que Myna en était toute pantelante, la favorite l'emporta près du lit et lui dit de se pencher en avant et elle retira le Plug, d'un seule coup avant de la pousser sur le lit et de lui dire :

“Si tu dis que c'est moi, je te punirai comme jamais... “

Mais le Maître avait tout vu, Il décida de punir cette intrigante plus tard... en attendant, Myna lui avait encore désobéi et cela il ne pouvait le laisser passer..., mais d'abord il avait des règles à lui édicter.... Sans rien dire sur ce qu’il venait d’observer, il s’approcha de sa nouvelle esclave, cette dernière ne pouvait s’empêcher de rougir, sachant qu’elle avait fauté.

“Viens te placer sous la barre de suspension et lève tes bras.“

Le Maître passa une attache à chacun de ses poignets, suspendus par une corde à la barre de suspension.

Elle avait les bras écartés et son buste étiré vers le haut laissait pointer ses deux seins et leurs mamelons. Elle avait honte d'être ainsi livrée à un presque inconnu, à son Maître. Honte aussi de sentir le bout de ses seins qui se hérissent sous la fraîcheur de la pièce peut-être mais plus probablement sous l'excitation qui monte dans ta poitrine, bien malgré elle. Les mains du Marquis s'abattirent sur ses deux fesses et cela la fit tressaillir. Elle restait pendue et bougeait de tout son corps.

“Ne bouge pas. Apprends à supporter la douleur. Ton plaisir n'en deviendra que plus grand. Laisse-toi faire. Reste droite et forte. Reste fière et ne montre pas que tu as mal. “

Les mains claquaient de nouveau sur chacune de ses fesses.

Myna le vit prendre une fine baguette, qui s'effile à la pointe et il revint vers elle.

“ Ceci va te faire mal ! Et tu vas comprendre que mes mains ne sont rien, sont une caresse pour toi. Alors, parce que tu as bougé, parce que tu veux te rebeller, tu recevras trois coups, pour cette première fois. Trois, ce n'est rien, crois-moi !“

Un premier coup et là, elle ressentit ce que voulait dire "ressentir la brûlure" d'une baguette.

Étrangement, ce coup lui avait donné des sensations mêlées, au niveau de tout son corps et au niveau de son intimité. Comme un désir qui lui venait, qui naissait en elle, au plus profond de sa féminité. Un deuxième coup et, cette fois, ses fesses laissent l'empreinte d'une marque, trait rouge sur la peau claire de ses deux globes fessiers. Son corps tressaille, ses yeux se mouillent, son cœur s'accélère, avant le troisième coup qui est plus cuisant que les deux autres. Mais elle comprend cependant qu’il n'avait frappée que modérément, pour lui rappeler qui était le Maître, et qui devait obéir.

“Tu es ma soumise, tu dois être l'élève obéissante dont on veut parfaire l'éducation. “

Sir d’Evans lui expliqua cela, et ses yeux qui se baissaient marquant son acquiescement à la loi qui lui serait imposée désormais.


Le Maître revint devant elle et Myna compris que ce dernier allait maintenant s'occuper de ses seins.

Elle ne put faire autrement que les tendre, les donner, les offrir. Et c'est ainsi que les voulait, érigés de tension, tendus sous les paumes de ses mains qui les parcouraient, sous ses doigts qui en firent le tour, sous ses mains qui les soupesaient et les rapprochaient, sous ses doigts qui agrippaient ses deux mamelons et les pinçaient. Délicatement d'abord, puis avec plus de force, dans la tension, dans la traction, dans l'étirement. Avec un petit mouvement de torsion puis de relâchement, puis de tension encore et encore pour atteindre ce point où la peur d'avoir mal la faisait paniquer. Il le voyait dans ses yeux qui l’imploraient.

Son but n’était pas de lui faire mal, mais de créer en elle la tension qui faisait naître les sensations, qui faisait monter en elle l'anxiété et le désir. Elle ressentait des vibrations dans sa poitrine et elles se propageaient jusque dans son bas-ventre, jusqu'au creux de son intimité, faisant sourdre un peu davantage ses sécrétions vaginales.

Le Marquis lui intima l'ordre d'ouvrir ses jambes, d'écarter ses cuisses. Et il glissa ses doigts vers son bas-ventre, par-dessus ta vulve. Ses doigts l’ouvraient délicatement, pour dégager le sillon vulvaire. Ils remontaient vers son clitoris et l'enserrent, le titillant, l'effarouchant, le pressant, l'éveillant. Elle était chaude maintenant et les sensations étaient en elle, l'échauffant encore plus, faisant couler ses sécrétions que ses doigts recueillaient en se glissant vers l'entrée de ton vagin.

“Un jour prochain, nous procéderons à ton dépucelage. Tu deviendras femme, ainsi ! Pour ton plaisir, et pour le nôtre“

Sir d’Evans la détacha et sonna. Il fit demander Viktor et avant que ce dernier n’arrive, il lui fit placer les bras derrière la nuque et les jambes écartées.

“Voici quelques règles que je veux de voir suivre :
Règle numéro 1.
Tu ne t'appartiens plus, tu m'appartiens. Tu es à mon entière disposition, et j'use de chaque centimètre carré de ta peau pour mon plaisir. Ta bouche, ton sexe et ton cul sont à mon service.

Règle numéro 2. Je suis ton maitre. Chaque fois que j'aurai usé de toi ou que je t'aurai punie, tu m'en remercieras. Tu me parleras avec respect et m'appellera Maitre. Tu as compris ces deux premières règles ?
“Oui“
Vivement, le Maître s'approcha d’elle et il cravacha les fesses. Le coup était cinglant.
"Oui qui ?"
"Oui Maitre"
“Bien, passons à la suite...

Règle numéro 3. Tu seras désirable. Tu es ma chienne, ma soumise, mon objet de jouissance. Mais je n'aime que les beaux objets. Tu prendras soin de ton apparence : légèrement maquillée lorsque je te l’ordonnerais, épilée.

Règle numéro 4. Tu prendras soin de ton corps. Je te veux à la fois souple et tonique. Tu devras être souple pour que je puisse amener ton corps dans les positions qu'il me plaira de lui faire adopter, et t'y lier pour le temps qu'il me plaira. J'userai de ton sexe et de ton cul à loisir, mais je tiens à ce que tu ne sois pas distendue, aussi tu feras le nécessaire pour prendre soin de ton corps. Si je sens que tu ne te prends pas en main, c'est moi qui m'occuperai de ses séances de remises en forme, et tu le regretteras.

Règle numéro 5. Tu apprendras un certain nombre de positions d'attentes que tu devras connaitre par cœur. A chacune de mes absences, au moment où je rentre et à moins que je n'ai restreint tes mouvements pour la journée, je veux te trouver dans le hall et dans cette posture d’attente.

Règle numéro 6. Interdiction de te procurer du plaisir solitaire. A partir de maintenant, tu me confies ton plaisir. Aussi, à moins que je t'en donne l'ordre, il t’est interdit de te masturber.

Règle numéro 7. Tu me dois des comptes. Chaque jour tu tiendras un cahier relatant ta journée, tes pensées, tes émotions, la façon dont j'ai joué de ton corps, les sensations que tu as ressenti.
Si ce cahier n'est pas tenu convenablement, tu recevras une punition et tu devras recommencer tes écrits.

Règle numéro 8. Tout affront mérite punition. Ai-je vraiment besoin de te décrire ce qu'implique cette règle ? Tu sais d'ailleurs que ton comportement de tout à l'heure ne peut être excusé.“

Disant cela, Myna vois le Maître caresser et jouer avec une badine. Elle tremble légèrement. Elle a déjà eu l'occasion d'en sentir la morsure mais elle anticipe la douleur. Et elle a raison, les marques que la badine laisse sur un corps mettent plusieurs jours à s'estomper, et pour peu qu'elles soient convenablement placées, il n'y a aucun moyen, pour celle qui les as reçu, d'en faire abstraction

“Règle numéro 9. Tu seras punie selon mes envies. Si tout affront mérite punition, attend toi aussi à en ressentir les affres selon mon bon vouloir, afin de m'assurer de ton obéissance et de l'avancement de ton dressage“

Sur ces mots, Viktor fit son entrée. Sans plus un regard pour son esclave, il la remit aux bons soins de Viktor. Ce dernier prévint que Monsieur David était rentré et qu’il attendait dans le bureau...

(A suivre...)

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