Le Quasimodo Des Temps Modernes

- Ont ne peut décemment laisser vivre ‘ça’

C’est la réflexion qu’a faite le médecin qui a accouché ma mère, si elle n’avait pas insisté je n’aurais jamais existé, a force de persévérances et beaucoup d’amour elle m’a fait ‘m’accepter’ malgré les quolibets et les coups distribués par des mômes de mon âge qui m’appelaient ‘ le marquis de la tronche en bais ‘, ils ne m’aimaient pas non seulement j’étais hideux mais j’apprenais mieux que ces fils de bonnes familles ce qui les foutaient davantage en rogne

Mon visage est difforme, un œil à moitié fermé, le nez de travers, un bec de lièvre, les jambes arquées, j’ai aussi une bosse dans le dos, dans la pénombre je fais peur aux femmes
Mais ce qui fait ma réputation et ma force aujourd’hui c’est…mon sexe ! pourtant difforme lui aussi, c’est justement ce qui plait a certaines personnes, ou groupes qui me paient pour satisfaire leur perversité, je vis aisément de ça et de la gérance d’immeubles que m’a laissée ma pauvre mère aujourd’hui décédée
Entièrement poilue jusque derrière un gland d’un rouge grenat, d’un diamètre phénoménal, la ‘tige’ de mon sexe n’a pas échappée a la malformation, courbée en deux endroits accentuée par des veines comparable a des varices prêtes à exploser, elle ressemble a un cep de vigne et c’est ça qui soit disant fait un bien inimaginable aux vagins les plus étroits
Des hommes hauts placés dans notre petite ville m’amènent régulièrement leurs épouses l’après midi pour une ‘visite’ comme chez le docteur, ils la récupèrent le soir en la soutenant tellement je les mets sur les rotules, je me plais a les humilier et elles en redemandent, pour les avilir au maximum j’ai installé des équipements spéciaux au sous sol, croix de st André pouvant tourner a trois cents soixante degrés a la verticale ou a l’horizontale, table gynécologique avec bracelets de cuir pour empêcher la femme de se soustraire a la pénétration de mon sexe dans quelque orifice que ce soit, spéculum, pinces a seins servant aussi a maintenir les lèvres écartées, plug anal, martinet et j’en oublie !
Je cite les femmes mais je reçois aussi des hommes qui veulent faire élargir leur ‘fondement’ je vais vous commenter la dernière visite de madame ‘G’, femme de notre maire bienaimé, une quarantaine bien portée aux formes plantureuses qui vient une fois par mois se faire défoncer pour oublier l’impuissance de son mari
Je reçois toujours mes ‘clients ‘nu sous un kimono, malgré ma laideur elles me voient comme le messie, les yeux rivés sur les pans espérant voir mon sexe passer entre lorsque je marche, aussi je fais en sorte que celui-ci fasse des apparitions furtives, elles se mordent les lèvres et frottent leurs cuisses l’une sur l’autre d’impatience, je sais qu’a ce moment leur foufoune commencent à suinter, voici un exemple …

- Mon dieu ce que vous êtes laid, je ne m’y ferais jamais
- Vous ne venez pas pour ma beauté mais pour prendre un bon coup de ma pine de cheval ! déshabillez-vous Fabienne
- Entièrement ?
- Bien sûr, comme d’habitude
- Vous allez me baiser ?
- Vous savez bien qu’il faut mériter ma grosse bite
- Montrez là moi …
- Montre-moi plutôt tes miches et ton cul, assied toi écarte les cuisses et tire sur les lèvres de ta cramouille, montre moi ta crevasse de chienne
- La dernière fois vous m’avez vachement ouverte, j’ai mis deux jours à m’en remettre
- Ta gueule ou je te défonce le cul sans préparation
- Pardon … vous voyez bien comme ça ?
- Tu mouille vielle chaudasse, enfonce autant de doigts que tu peux dans ton vagin et suce-les, ensuite tu vas insérer ce plug dans ton anus
- Vous allez m’enculer aujourd’hui ?
- Sans aucun doute
- NON ! je ne veux pas !
- Alors je vais être obligé de t’attacher sur la table
- Ce n’est pas facile à faire entrer dans mes fesses ce truc … Aiiiiieee, c’est fait ! une fois ligotée vous allez en profiter pour me faire sucer votre engin ?
- Mon foutre te ressortira par les narines pouffiasse
- Allons-y, passez-moi les bracelets aux mains et aux chevilles, ainsi je serais a votre merci

Bras a l’équerre, jambes ouvertes honteusement à l’extrême, solidement attachée a la table gynécologique la femme attend avec impatience que j’ôte mon kimono pour assister au développement de mon membre qui va se produire lorsque le simple fait de poser des pinces à ses longs tétons posés sur deux énormes flans tremblotants ainsi qu’ à ses grandes lèvres lippues comme ventousées par un aspirateur vaginal, reliées à ses cuisses pour ouvrir son vagin exagérément et ainsi faciliter la pénétration douloureuse malgré l’abondante lubrification artificielle que je vais prodiguer
Le plug planté dans l’anus lui-même gonflé et étoilé commence à faire son effet, je le retire pour laisser les chairs libres de toutes contraintes pendant la saillie, ont ne peut dire que les parties génitale de cette femme soient attirantes, l’intérieur de son vagin se gonfle par spasmes comme le ferait une méduse, des amas de chairs obstruent l’entrée, j’ôte la partie avant de la table pour être en contact direct avec son entrejambes

- Vous êtes prête Fabienne ?
- Baisez moi donc ! vous ne voyez pas que je me languie de votre gourdin ?

J’att par le milieu mon membre qui vu son poids pendouille entre mes cuisses et pointe l’œuf cramoisi sur la crevasse fumante, par réflexe elle tire sur ses entraves en ouvrant la bouche mais aucun sons n’en sors, son dos se creuse m’offrant ainsi totalement sa chatte, je pousse énergiquement, sans apitoiement pour une éventuelle douleur, le sang chassé des lèvres blanchissent, les muqueuses épousent ma trique, Fabienne entame un complainte sourde qui prend de l’ampleur mêlant des ‘ouuuiiiii’ des ‘ noooonnn’ des ‘baise moi donc espèce de nabot impuissant !’ , elle sait que ces mots là me fonts sortir de mes gonds, alors je plante mes ongles dans ses hanches, ma queue crisse en repoussant sa gaine vaginale, j’entame alors une sarabande satanique, son corps se tortille en tous sens, elle sue, tousse, hurle mais ne peut se soustraire a mes poussées viriles, soudain un liquide brulant gonfle son étui vaginal noyant mon gland, je m’enfonce jusqu’aux testicules pour bloquer la sortie et envoyer ma purée au fond de sa matrice, fabienne perd connaissance, son corps devient flasque et inerte
Je profite de son inconscience passagère pour me retirer du con visqueux, un demi-litre de jus saumâtre pisse dans la cuvette placée intentionnellement à mes pieds, sans perdre une seconde je pousse ma queue dans le tunnel étroit, le passage des sphincters provoque une brulure qui la réveille, trop tard pour dire non, je suis aux trois quart engagé

- SALAUD ! vous me l’avez mise dans mon fondement ?
- Dit moi que tu regrette ?
- Je veux jouir du cul !
- Astique-toi le clito ça va te faire oublier la douleur et jouir plus vite
- Je ne suis pas pressée de partir d’ici, je veux vous vider les bourses

Les premiers vas-et-viens sont laborieux, et peux a peux c’est elle qui vient au devant des mes coups de reins, de temps a autre je prends la précaution de sortir entièrement pour verser un peu d’huiles essentielles dans le trou devenu étonnamment rond et rouge qui ne se referme plus, mon vérin y coulisse a merveille, la bourgeoise gémit, épuisée, par deux fois elle a jouis, son clitoris est devenu trop sensible pour qu’elle puisse l’effleurer

- Je vous en prie abrégez mes souffrances, déchargez et appelez mon mari pour qu’il vienne me chercher

Elle prend les devants car elle sait qu’à nouveau elle va tomber dans les pommes et dormir profondément, des bleus apparaissent aux entraves de ses poignets et ses chevilles, Fabienne devra porter des manches longues et des pantalons pendant quinze jours pour cacher ses blessures inexplicables à ses amies, je la sodomise a grands coups de reins, la femelle beugle et gigote faisant trembler sa cellulite et ses mamelles, après cinq minutes de ce régime elle jouis, pétant de la chatte et du cul, des glaires sont expulsées de son vagin aspergeant mes poils pubiens , bloqué sur son cul j’arrose ses entrailles tandis qu’a nouveau ses yeux se révulsent, la tête tournée sur le coté elle ronfle comme une truie bienheureuse

- Allo monsieur G ? vous pouvez venir chercher votre épouse … très bien ! ça c’et très bien passé comme a chaque fois, elle prend des pieds impressionnants ! ! je vous attends … cinq cent en liquide comme d’habitude !

Un quart d’heure plus tard, le sourire aux lèvres il me tend une enveloppe, puis, se ravisant il marque un temps d’arrêt avant d’aller réveiller sa bourgeoise

- Je suis tranquille pour un mois ! c’est le prix à payer pour qu’elle me laisse tranquille avec ma secrétaire…je peux vous demander un service ?
- Bien sur monsieur le maire, je suis entièrement a votre service
- J’organise une petite sauterie pour les fêtes de fin d’année avec tout le personnel de ma mairie, Léa, ma fille de dix sept ans sexuellement majeure va y participer pour la première fois
- Bien, très bien
- Mais elle est encore vierge et ça m’ennuie que ce soit un vulgaire conseiller qui en profite
- Vous la faites participer à des orgies ?
- C’est une jeune fille vulnérable que sa mère a influencée, elle a été obligée de lui avouer d’où elle tenait cette béatitude qui suivent sa visite chez vous, elle pensait que ma femme se droguait, elle veut gouter aussi a votre membre, nous l’avons prévenue pour votre laideur et votre …infirmité, mais rien n’y fait, seriez vous d’accord à faire ce qu’il faut ?
- Je peux arranger ça
- Ne la déchirez pas hein ?
- Soyez rassuré, j’ai mon idée
- Je vous fais confiance
- Pour huit cent ?
- C’est cher pour prendre une virginité mais bon j’accepte…Fabienne ? FABIENNE ! BORDEL, DEBOUT !
- Oui ?
- Rhabille-toi nous rentrons
- Aide-moi je suis trop courbaturée
- Vous me l’avez mise dans un état ! demain je sors avec Martine ma chérie
- Ta pouffiasse de secrétaire ?
- Essuie au moins tes parties génitales avant d’enfiler ton slip




Deux jours plus tard il a laissé sa fille devant la porte, pour ne pas l’effrayer j’ai laissé le soin a mon employé de maison de la recevoir en lui laissant toutes les consignes …il la vénère déjà comme une princesse,

- Bonjour mademoiselle Léa, je suis chargé par mon patron de vous préparer pour ce que vous savez
- Il est comment ? maman m’en a dit le plus grand bien
- Vous ne serez pas déçue, entrez ici et mettez vous en sous-vêtements
- C’est une chambre très jolie, je croyais que ça se passait dans une pièce mystérieuse, ma mère m’a parlé d’instruments bizarres sur lesquels on l’attachait
- Pressez vous, une fois étendue sur le lit je vais vous bander les yeux et attacher vos poignets a ces rubans
- Haa ? je ne pourrais pas voir mon amant ?
- Non, pas dans l’immédiat

Une fois la jeune fille étendue en string et soutient gorge bien rempli, regard dissimulé, docile et offerte a nos initiatives, mon fidèle employé vient me chercher afin que je l’assiste et réponde a sa place aux questions qu’elle pourrait poser

- Soit doux et ferme à la fois, ne parle pas, ne cède pas a ses caprices, tu es là pour la dévirginiser, ma verge est trop monstrueuse pour son petit vagin, commence par la caresser partout afin de la détendre, elle te fera savoir lorsque tu pourras lui toucher le sexe
- Bien monsieur

Fou de joie le gamin approche de sa ‘victime’ ses mains tremblent lorsqu’il les pose sur le ventre plat qui frémit

- Vous m’avez fait peur monsieur
- Excusez-moi Léa
- Vous avez les mains très chaudes et très douces.

..
- J’en prends grand soin pour votre confort
- Elles sont petites, maman m’a parlé de grandes mains et de longs doigts qu’elle sentait très loin dans son sexe
- Cessez de parler, concentrez vous sur ce qui nous préoccupe
- Ma virginité ? il me tarde de connaitre l’effet que m’a confié ma mère, c’est vrai qu’elle tombe dans les pommes a chaque fois ?
- Soulevez le dos, je vais dégrafer votre soutient gorge
- Je crois que mes tétons sont dressés !

Le frêle vêtement ôté mon ‘aide ‘s’empresse de tâter la poitrine en pleine formation mais déjà bien formée, les cuisses libres de tous mouvements se frottent, se serrent, s’ouvrent, se relèvent, d’où je suis placé je peux discerner une tache qui s’agrandit sur le string bien renflé, nous pouvons passer a l’étape ultime, je lui parle comme si s’était moi l’auteur des effleurements qu’il produit a présent sur le haut de son string

- Mes caresses vous font du bien ?
- Hooooouuui je voudrais plus …
- Patience, soulevez votre petit cul je vais descendre votre culotte
- Hhaaa enfin !!

Un mince trait de poils bouclés bonds apparait sur le mont de vénus, les lèvres encore closes sont aussi lisses que ses genoux, sa respiration se fait plus pressée, ses seins se soulèvent, comme j’aimerais caresser et lécher ce jeune corps surtout que sous mon kimono c’est la tempête …

- Séparez vos jambes … encore plus, je veux voir vos deux trous
- Je n’ai jamais exposées mes parties intimes aussi effrontément à personne …
- Faites-le pour moi …
- Avec plaisir, voilà …
- Votre petit abricot est adorable, vous êtes très humide
- Humide n’est pas approprié, je suis en eau a l’intérieur
- Relevez vos genoux je vais vous lécher

N’y tenant plus c’est ma bouche qui se ventouse a ce fruit gorgé de sève, ma langue se fraie un passage dans la fente qui expulse sa cyprine

- Que c’est boooooonnnnnn, mais je n’avais pas remarqué que vous étiez aussi mal rasé ???
- MMMMMUUUUMMM …… ça vous pique ? excusez-moi, êtes vous d’accord pour que je vous prenne maintenant ?
- Haa….
J’ai peur de m’évanouir comme maman …
- Rassurez vous je vais être très doux Léa
- C’est frustrant de ne pas pouvoir vous toucher et en même temps c’est très excitant de ne pas voir venir les attouchements
- C’est mieux ainsi, relevez vos jambes je me mets en position

Mon employé devient fébrile, entièrement nu il se met a genoux devant le calice qui va accueillir sa queue effilée plaquée sur son ventre, pour qu’elle ne découvre pas la supercherie il a pour consigne de ne pas coller son corps a celui de la jeune vierge, sa bite se glisse entre les lèvres mouillées …

- Je peux y aller ?
- HHOOOOOOOUUUUIIIIIIIIIIHHHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ?????????

Dés la pénétration totalement accomplie les traits de son visage sont dubitatifs, je comprends qu’il vient de décharger dans le vagin tout neuf

- C’est déjà fait ?
- Oui pourquoi ? vous n’êtes plus vierge
- Maman m’aurait donc menti ?
- Ha ? concernant quoi ?
- Elle m’a acertainé qu’à chaque pénétration elle se trouvait mal de bonheur
- Je ne comprends pas...
- Détachez-moi ! ôtez-moi ce bandeau, si vous m’avez escroquée mon père vous fera payer ça très cher
- Calmez-vous mademoiselle
- DÉTACHEZ MOI !!!!
- Comme vous voulez …
- Hooooo mon dieu quelle horreur ! que vous été moche !
- Vous comprenez pourquoi c’est mon employé qui vous a déflorée
- Mais je suis venue pour votre membre… montrez le moi …
- Non, ça va vous traumatiser à vie
- C’est à moi d’en juger, maman n’en est pas morte !
- Alors je vais satisfaire ta curiosité malsaine Léa…
- je le trouve très beau …très gros …très poilu ! ça doit ‘secouer’ une chatte !
- Pour secouer, ça secoue !
- Faites sortir votre employé, sa petite bite est ridicule, vous allez me prendre sans que je sois entravée, même si je souffre je jure de ne pas broncher
- Bien, nous allons essayer, ta minette est lubrifiée c’est déjà ça
- Je vais monter sur vous ainsi c’est moi qui vais gérer la pénétration, de plus je verrais tout

A peine allongé Léa empoigne ma queue a deux mains ‘pour faire connaissance ‘ elle frotte le gland sur ses joues, son front, sa bouche qu’elle entrouvre timidement avant d’écarteler sa mâchoire pour essayer de l’avaler sans succès

- Suce, mais je ne te conseille pas d’avaler mon sperme, y’en a trop
- Alors je vais la secouer sur mes seins et ma minette
- C’est plus raisonnable, branle moi fort a deux mains ma petite
- Que vous êtes laids quand même …

Jamais une femme ne m’a autant excité, est-ce dût a son jeune âge et a sa virginité ? ça se concrétise par une raideur incroyable de ma bite, in-extrémis je pousse le poignet de Léa vers sa poitrine qui est immédiatement éclaboussée de longues trainées blanchâtres qui coulent le long de son ventre vers sa chatte suintante, se servant de sa main libre elle étale la sauce fumante sur ses mamelons et sur sa motte entrouverte et lèche minutieusement ses doigts

- Enjambe-moi ma fille, tu va te laisser descendre sur mon mât
- Ça ne rentrera jamais !
- Si ton poids ne suffit pas, je te forcerais à descendre en appuyant sur tes hanches jusqu'à te péter la charnière, ouvre toi au maximum avec tes doigts, je guide mon champignon … descend ?
- Ça m’écartèle trop …
- Va-y par petites secousses ? … ça vient … dés le gland passé le reste disparaitra dans ton ventre
- Je ne suis pas assez lourde …
- Alors je vais aléser ton trou de force, tient toi bien droite je vais t’enfoncer sur mon manche
- Wwoooouuuuuuuuuaaaaaaaaaaiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeee ! aie … aie… Huuummmmmmm c’est trop booooooooooonnnnnnnnnnnnnnn d’être remplie d’une telle queue !!!!! ….
Je … je ne peux plus me soulever ?
- Tu es littéralement ventousée à mon chibre, je vais me retourner et te mettre sous moi
- Vous n’allez pas retirer mon utérus à l’extérieur ?
- J’espère que non …
- Ça me fait pisser …
- Ça y est ‘il’ ressort, encore deux ou trois coups et ça glissera tout seul
- Ce que je ressens est inimaginable, aucun repli de mon con n’est épargné
- Tu va jouir comme jamais, c’est là que tu risque de tomber en syncope
- Baiser-moi, n’arrêtez pas même si je suis inconsciente, je veux me réveiller avec la chatte débordante de votre sève
- Tu va devenir accro comme ta mère …
- Pour sa tranquillité papa paiera... je veux essayer attachée

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