Série Insolite. Épisode 10 : « William ». Cocu, Il Prend Un Certain Plaisir À Regarder Sa Femme Se Faire Baiser. Partie 1/12
Je mappelle William, Stella et moi, nous avions 26 ans lorsque nous nous étions mariés en 1993. Nous étions restés ensemble une vingtaine années et deux s étaient issus de notre union. Nous nous étions rencontrés à luniversité, jétais au courant que ma future épouse avait déjà eu de nombreuses aventures sexuelles sauvages, par le passé. Elle avait sucé de nombreuses bites dont la mienne, à notre première rencontre alors quelle sortait avec un copain à moi. Je navais que très peu dexpérience, à cette époque, Stella était seulement la quatrième fille avec laquelle javais couché, elle mavait pas mal appris de ce côté-là. Néanmoins, étant tombée enceinte, cela avait précipité les choses et nous avions décidé de nous unir.
Stella était typée, une vraie méditerranéenne, elle avait toujours le sourire, avec de longs cheveux noirs, pas très grande, bien en chair, avec des seins bonnets C, un beau cul, elle plaisait beaucoup. Elle était intelligente, drôle, cétait le genre de fille que la plupart des mecs voulaient se taper. Pendant les trois premières années de mariage, tout sétait passé pour le mieux, il faut dire quelle avait accouché de notre fille, quinze mois après la naissance de lainé. Ce fut quelques années plus tard, que Stella commença à changer, elle me fit des reproches : Je travaillais trop, je privilégiais mon boulot à ma famille. Pourtant, grâce à mon bon salaire, je subvenais à tous les besoins de notre famille.
Après sept années de mariage notre couple battait de laile, nous devions remédier à cela. Quelques années plus tôt, Stella avait hérité de sa grand-mère, dune toute petite maison en bois, en pleine campagne, à une petite demi-heure de notre domicile. Nous ny avions jamais mis les pieds, uniquement pour la visiter, cétait en piteux états. Situé près de la rivière, ce petit lopin de terre complètement isolé en pleine nature était sans doute lendroit idéal pour repartir sur de bonnes bases.
Pendant les années suivantes, lambiance à la maison, sans être parfaite, sétait bien améliorée. Pour ma part, je ne fus jamais un don juan, les femmes que javais connues se comptaient sur les doigts dune main. Stella me faisait souvent le reproche de nêtre que très peu performant et de ne pas être assez porté sur la chose. Elle navait pas tort car il est vrai que je ne pensais quà mon travail et mon évolution dans mon métier. Jaimais les femmes surtout la mienne mais je rentrais souvent très tard et lorsque je voulais faire lamour, elle dormait ou était indisposée. Jétais jaloux, je narrivais pas à menlever de lidée que ma femme métait infidèle et en réfléchissant, je pensais quelle le faisait depuis toujours mais je ne pouvais le croire.
Javais attendu bien trop longtemps avant de lui demander si elle me trompait. La première fois, je lui en avais parlé lorsque nous étions allongés nus dans le lit juste avant de faire lamour, en lui posant la question : « Je taime Stella ! Jai peur que tu me trompes. » Sans réfléchir, elle me répondit du tac au tac : « Tu crois vraiment que je te le dirais mon amour ? » Je navais pas poursuivi la discussion car jappréhendais sa réponse et je maperçus que le doute mavait très excité. Plus tard, je lui en avais reparlé plusieurs fois et elle répondait toujours en laissant planer le doute et lidée quelle me soit infidèle me faisait bander.
Les années avaient passé et je vivais toujours avec cette drôle de sensation dêtre cocu et malgré mon mal-être, cela me donnait limpression de mexciter, je devais en avoir le cur net.
En la suivant depuis quarante minutes, javais compris quelle allait au chalet. Avant de prendre le chemin à droite descendant à la rivière, je vis sur le bas-côté de la départementale, la voiture dÉric le garde forestier, un ami à nous que nous recevions régulièrement avec son épouse, lors de nos congés passé ici. Javais garé ma voiture bien avant la maison afin de ne pas me faire remarquer et javais fini les cinquante mètres à pieds. La voiture de Stella se trouvait bien devant le chalet. Il ny avait aucune lumière, seules les persiennes ouvertes des volets clos, laissaient passer la lumière. Une petite voix dans ma tête me dit de ne pas franchir la porte, je métais placé devant la fenêtre de la pièce principale, je ne les entendais pas, cependant je pouvais les regarder discrètement à lintérieur où je vis Éric et Stella en sous-vêtement, fumant leur cigarette tout en buvant le café.
Soudainement, ils se dirigèrent dans la chambre où ils finirent de se dévêtir. Javais changé de poste dobservation, je les vis senlacer puis sembrasser avant que mon épouse se mette assise à la tête du lit les jambes écartées. Éric à genoux devant elle, mis sa tête entre ses cuisses et lui faisait un cunnilingus. Cela plaisait beaucoup à Stella qui avait la tête en arrière, la bouche ouverte et les yeux fermés. De ses deux mains dans les cheveux de son amant, elle appuyait sur sa tête afin quil poursuive ce quil était en train de faire. Je vis Stella contracter ses jambes et les remuer, elle jouissait, son cri de joie était parvenu faiblement jusquà mes oreilles.
Comme Éric, jétais en érection, la scène mexcitait, pour rien au monde javais envie de les interrompre, je regardais la bouche de ma femme à quatre pattes sur le lit, sactiver autour de la verge de son amant debout devant elle. Stella léchait, suçait et avalait son sexe avec gourmandise. Je vis quil lui claqua les fesses et se positionna derrière elle, étant dos à moi, je ne voyais pas très bien. Néanmoins, je regardais avec joie, tout en me caressant, les coups de boutoirs quÉric infligeait à Stella qui avait sa forte poitrine qui remuait au rythme que lui imposait son amant. Je compris quils jouissaient tous les deux quand jentendis à travers les fenêtres fermées leurs cris et leur râle tellement ils étaient heureux.
Je venais également de me finir, javais explosé sous mes coups de poignets, tout mon sperme coulait le long de la façade. Je ne comprenais pas ce qui marrivait, ma femme me faisait cocu, maintenant jen étais certain et au lieu douvrir la porte pour les surprendre, je métais branlé en prenant un grand plaisir à les voir baiser. Depuis ce jour, je revenais dès que je le pouvais afin de les regarder. Si la première fois, jétais reparti après leur jouissance, je métais aperçu quils ne le faisaient pas quune fois dans laprès-midi et toujours sans capote. Éric la baisait deux fois puissamment puis la sodomisait avant quils ne prennent la douche avant de quitter le chalet et toutes les semaines cétait sensiblement la même chose.
Je navais plus besoin de les voir, je les imaginais enlacés prenant leur plaisir, je navais jamais osé en parler à Stella. Jétais à deux doigts de le faire pendant nos congés au bord de la mer, car je sentais bien que la vie de notre couple était encore en difficulté. Pourtant en rentrant de vacance, javais profité dun week-end ensoleillé de septembre pour passer deux jours au chalet où je lui avais proposé dinviter le garde-chasse et sa femme le samedi soir.
Ce fut ce soir-là dans le lit conjugal que je choisis, pour maventurer à parler dÉric : « Dis-moi chérie ! Je vous trouve très proches tous les deux. Ny aurait-il pas quelque chose entre vous ? » Après un petit blanc, Stella se pencha vers moi, me lécha mes lèvres et posa sa main sur mon sexe et tout en me caressant, elle me dit à loreille :
Tu sais mon amour, Éric est bien mieux monté que toi. Oui il me baise, il me sodomise même. Mais il ny a pas que lui
Le facteur, aussi lorsquil dépose les recommandés. Le boulanger également me baise dans le fournil les lundis. Je couche aussi avec le voisin de temps en temps.
Stella était très maline, elle me disait une partie de la vérité tout en fabulant, me faisant croire que je me trompais, cétait si gros quelle pensait me mener en bateau. Elle membrassa à pleine langue avant de me dire :
Que vas-tu timager, bien sûr que non, je ne te trompe pas ! Mais tu bandes grand nigaud. Allez viens me faire lamour.
Stella avait raison jétais très excité et elle aussi, la soirée avec Éric avait dû la faire mouiller car je navais jamais fait autant lamour que ce samedi-là. Elle mavait même autorisé à la sodomiser, ce fut elle qui me le demanda, chose quelle minterdisait depuis bien longtemps. De retour à la maison, après quelques semaines sans anicroche, notre couple était une nouvelle fois retombé dans la routine, la monotonie totale. En continuant à surveiller Stella dès que je le pouvais, je métais aperçu quelle se rendait de temps en temps chez le boulanger en passant par derrière le magasin, elle y restait plus de quarante minutes, je ne savais quoi penser : « La, baisait-il, comme elle me lavait dit ? »
Je me sentais tout petit, minable, insignifiant, jétais incapable de satisfaire mon épouse que jaimais plus que tout, je culpabilisais et de limaginer nue dans les sacs de farine, me faisait bander. Un jour, sans les surprendre, javais vu la voiture du voisin quitter le chalet lorsque jarrivais. Là encore, jétais sûr quelle venait de baiser avec lui, cependant lorsque je lui avais demandé ce quétait venu faire Jérôme au chalet, elle me répondit quil était venu me prévenir que notre mur commençait à sébouler sur son terrain. Si une partie de lhistoire était vraie, avec son maquillage qui avait légèrement coulé, jétais persuadé quil lavait sauté. Javais la rage de ne pas les avoir vu, cela mavait une nouvelle fois excité.
Je souffrais en silence, jessayais bien de contenter un peu plus mon épouse, mais lorsque je rentrais, ma petite famille avait déjà diner. Après mavoir servi, elle avait hâte de se coucher. Stella me repoussait de plus en plus, et lorsque je lui disais que jétais jaloux que je ne voulais pas la perdre, plus elle me répondait quelle maimait. Elle ne mavait jamais redit quelle me trompait, elle niait. Quant à moi, je ne lui avais jamais avoué que je me masturbais en la regardant baiser avec le garde-chasse. Jusquau jour où le mur denceinte en pierre de notre chalet sétait écroulé sur une bonne partie chez le voisin. Javais trouvé au village un jeune artisan qui pouvait réaliser les travaux.
Ce soir davril 2009 Anthonio était venu à la maison nous déposer le devis, Stella lui servit lapéritif, nous avions trouvé un accord, les travaux devaient débuter début mai. Le maçon était resté un long moment, je vis tout de suite que Stella malgré ses 42 ans était toujours aussi sexy et plaisait à ce trentenaire et cela semblait être réciproque. Javais lhabitude des petits regards en coin que jetait mon épouse à Éric et ce soir-là, je vis la même flamme de désir entre mon épouse et Anthonio. Le lundi 3 mai, Stella avait rendez-vous à 8 heures au chalet avec le maçon afin de lui donner accès au petit atelier pour stocker sa bétonnière et les sacs de ciment et davoir accès au compteur deau.
Vers neuf heures du matin, étant libre jusquen début daprès-midi et désirant savoir si tout se déroulait parfaitement sur le chantier, je my étais rendu directement. Arrivé sur place une bonne demi-heure plus tard, je fus surpris de voir encore la voiture de Stella. Dans ma tête tout était devenu clair et je ne métais pas trompé. Comme lorsque je venais observer ma femme avec le garde-chasse, je garai mon véhicule plus haut, descendit à pied et me plaçai devant les volets de la salle principale. Je regardai par linterstice laissé par les persiennes ouvertes, la fenêtre nétait pas fermée, je vis Stella le débardeur remonté au-dessus de sa poitrine, le cul posé sur la table, sa jupe relevée jusquà la taille, les jambes écartées, elle venait de jouir. Anthonio entre ses cuisses se penchait sur elle, lui pétrissait les seins tout en lembrassant à pleine bouche. Il se retira son gros pénis de la chatte trempée de mon épouse, enleva son préservatif rempli de sperme et le laissa tomber sur le sol :
Si tu veux en veux encore, suce-moi Stella ! Lui dit-il
Bien sûr ! Mais jaimerais que tu minsultes, ne te gêne pas, jadore ça.
Tu es une belle salope toi ! Je vais te baiser la bouche.
Stella ne se fit pas prier, elle se mit accroupie devant sa belle bite, léchait le surplus de sperme quil avait sur sa hampe, avant davaler son gland, gonflant ainsi sa joue. Comme elle lui avait demandé, pendant toute la fellation, le maçon la traitait de sale chienne, de putain, de garce et jen passe. Très vite, sous ses aspirations, ses léchages, ses coups de langues et le massage de ses couilles, le jeune maçon avait repris de la vigueur, il bandait, il enfila toute la longueur de son sexe dans la bouche de Stella dans une formidable gorge profonde.
Elle était rouge, retenant sa respiration, elle avait ses lèvres contre le pubis poilu dAnthonio qui lui maintenait fermement la tête entre ses deux mains en lui disant quelle nétait quune vieille salope. Lorsquil la laissa ressortir sa verge bandante, un grand filet de glaire sécoula dentre ses lèvres :
Baise-moi fort Anthonio, prends-moi par derrière. Dit-elle en se relevant et en se couchant à plat ventre sur la table.
Tu veux que je tencule petite catin. Hein ! Cest ça ?
Oui ! Prends-moi le cul.
Je compris à cet instant que je navais jamais insulté ma femme en lui faisant lamour, je le faisais avec passion, avec beaucoup de tendresse. Cette salope de Stella, désirait bien autre chose, elle voulait se soumettre à un mâle dominant qui la faisait jouir en la rabaissant. Ma main sactivait doucement sur mon sexe en érection, je ne pouvais pas faire autrement que de bander aussi. Surtout lorsque je lentendis lui dire :
Ne mets pas de capote pour menculer-moi, tu ne risques rien.
Anthonio y allait de bon cur, il allait et venait dans son conduit anal avec une telle force que je crus quil allait la déchirer. Pourtant elle criait de plaisir sous les insultes répétées de son amant qui la sodomisait puissamment en lui écrasant la tête sur la table dune main et lui claquant la cuisse de lautre. Dans un râle inaudible, il envoya toute sa semence dans son rectum, ce qui enclencha son orgasme. Stella se trémoussait sur la table, tous ses membres et ses fesses remuaient dans tous les sens. Moi aussi je métais activé de la main autour de mon pénis, je venais déjaculer en même temps queux, mon sperme sécoulait lentement sur la façade en bois.
Je refermais mon pantalon, en me dirigeant vers la porte dentrée, lorsque japerçu lapprenti venir vers la route avec sa brouette. Mavait-il vu me branler ? Me demandais-je avant de rentrer à lintérieur du chalet. Le maçon avait remonté son pantalon et ma femme sétait déjà remise en état. Anthonio fut très gêné mais il sen sortit bien en disant : « Bonjour Mr T et Merci encore pour le café Mme, je retourne travailler. »
Que fais-tu là mon chéri ? me demanda Stella, surprise de mon apparition matinale.
Que faisiez-vous tout seuls ici ? Tu mas trompé avec lui Stella ?
Tu ne vas pas recommencer William. Enfin ! répondit-elle avec un aplomb incroyable, persuadée que je navais rien vu.
Je ne lui avouai pas que javais pris un grand plaisir à les regarder en me masturbant comme un malade, javais presque honte de ce que je venais de faire. Je me retrouvais dans une position de coupable pourtant cétait bien moi le cocu depuis 16 ans. Jétais prêt à ramasser la capote que le maçon avait négligemment laissé sur le parquet et lui mettre sous le nez, cependant je men étais abstenu et après avoir fait la bise à Stella, je métais éclipsé comme un malpropre. Le soir même, lorsque nous étions couchés, jétais revenu à la charge :
Tu me jures que tu nas pas coucher avec le maçon ?
Je te le jure mon chéri ! Je te le dirais voyons ! Tu aimes te faire du mal, je sais que ça te fait bander. Je dois tavouer que cest un beau type, si je nétais pas mariée je ne me priverais pas. Viens mon chéri ! Fais-moi lamour. Me dit-elle en penchant son visage sur mon érection.
Je lui avais une nouvelle fois pardonné, avec lespoir que tout cesse cependant elle continuait de voir Éric et probablement dautres type. Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme William, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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