L'Immeuble 2
Résumé de lépisode précédent. Marine habite un immeuble où vit, au dernier étage un homme de 45 ans qui à coucher avec toutes ses voisines mariées. A force de persuasion, Marine lui céda. Ça libéra le côté salope quelle ignorait. Elle se donna alors à son concierge et allait vivre dautres aventures.
Quelques temps plus tard, Alex du partir 6 mois en Russie pour un gros chantier. Le week-end avant son départ, nous ne sommes pas sortis du lit.
Après le départ dAlex, elle essaya de revoir son amant mais comme un fait exprès son vieil amant avait jeté son dévolu sur la Bourgeoise qui lavait sucé dans lascenseur.
Un week-end, Manon, me sachant en manque de sexe, me proposa de venir avec elle et son mari dans un club un peu spécial. Voyant mon hésitation, elle me dit quon pouvait se contenter de regarder.
Nous voilà dans ce club, assis sur un grand canapé autour dune table basse ou git une bouteille de champagne tandis quune autre prend le frais dans un saut à glace.
Les couples autour se forment et devant moi, quelques tables en retrait, une femme se laisse peloter par deux jeunes hommes.
Profitant de labsence de Thierry, le mari de Manon, deux hommes dune bonne quarantaine dannées vinrent sinstaller à côté de nous. Ils engagèrent la discussion et, très vite, des mains se sont posées sur un genou de Manon et sur un des miens. Ne voyant ni Thierry revenir ni de refus de ma part, je me suis retrouvée à embrasser cet homme dégarni qui ne me plaisait pas et sa main qui progressait sous ma jupe. Lorsque lhomme posa ma main sur son sexe, jai croisé le regard abattu de Thierry qui était revenu sassoir. Manon avait la poitrine à lair et lhomme lui suçait les seins tandis que Thierry, tout en me regardant fixement, lui caressait la cuisse. Dune main, jempêchais celle de mon séducteur de saventurer plus avant sous ma jupe tandis que de lautre je sortais son sexe de sa cage sans retirer mon regard de celui de Thierry.
Arrivés chez eux, toujours grisées, Manon et moi, nous nous jetèrent sur le canapé. Thierry sassis à mes côtés sans avoir oublier de ramener une bouteille de champagne bien fraiche. La, Manon demanda à son mari ce quil avait apprécié de cette soirée.
« Avant que cela ne dégénère, mais nen parlons plus, je dirais de voir la belle poitrine de Marine. »
Manon, membrassa dans le coup bloquant ainsi tout mouvement de ma tête. Je nétais plus vraiment dans un état à réagir. Elle dégrafa un à un les boutons de mon chemisier et fit sauter lagrafe de mon soutien-gorge. Mes seins étaient à nouveau à la vue de Thierry. Manon lui prit la main et la posa sur un sein. Il se mit à le caresser et mon téton se mit à durcir presquà men faire mal. Déjà bien excitée par la soirée, les mains de mon inconnu sur mon corps et de voir les autres participants, mavaient mis dans un sacré état et je sentais encore mon sexe ruisseler. Puis, Manon passa son bras sous celui de son mari et dégrafa son pantalon pour sortir son sexe déjà bien dur. A loreille, elle mordonna de le branler tout en mettant ma main autour du sexe de son mari. Une bite dure dans une main et celle de Manon qui remontait lentement mais surement vers mon intimité ures raison de moi et je me mis à gémir.
« Suce-le » commanda Manon
Thierry nen croyait pas ses yeux mais javais son sexe en bouche alors que Manon, me retirer mon string pour mieux me doigter.
« Thierry, vient la baiser, je veux la voir jouir »
Il me laissa à genou, vint derrière moi et senfonça en moi et se fut un vrai bonheur pour moi dêtre enfin prise.
« Bon anniversaire mon chéri et toi Marine maintenant cest pas touche à mon homme »
Je suis rentrée, tant bien que mal, à mon appartement pour une bonne nuit de sommeil.
Un soir, je suis allé voir Manon car je venais de mengueuler au téléphone avec Alex. Je lavais appelé et lui reprochait de me donner que très peu de nouvelle. Il sétait emporté et avait fini par me raccrocher au nez.
« Tu sais, me dit Manon, ça ne doit pas être facile pour lui. Il doit faire des heures de folies et si ça ne se passe pas si bien, il navait sûrement pas envie davoir un reproche de ta part »
« Tu prends sa défense. Moi, je me demande sil na pas une maitresse là-bas »
« Tu es un peu mal placé pour lui reprocher si cest le cas »
« Tu as raison mais jai quand même une boule au ventre »
Nous navons pas abordé la soirée et il ny avait aucun malaise entre nous.
Quinze jours plus tard, jai eu le droit à une formation dune semaine. Nayant pas de voiture, je partais tôt le matin et revenais fatiguée le soir. Une douche, un petit repas devant la télé et dodo. La formation, sur les consignes de sécurité liées au plan Vigipirate, était animé par 2 hommes.
Les cinq autres participantes jouaient à séduire les deux hommes et les discussions à la pause-café ne portaient que sur eux. Chacune portait son dévolu sur lun ou lautre tout en disant que ce nétait que pour le plaisir des yeux, fidèle à leur mari.
Le dernier soir, il était prévu de dîner tous ensemble. Nous sommes allés dans une pizzeria karaoké. A lheure du départ, Ludovic et Cyril me proposèrent de me ramener. Ludovic était le plus âgé des deux, cétait deux frères.
Ludovic engagea la conversation.
« Quand nous sommes à Nantes, nous louons un petit appart »
« Il est encore tôt et nous avons une bouteille de Monbazillac au frais, si ça te tente ».
Je nétais pas dupe et un peu craintive de me retrouver seule avec deux hommes. Je me dis quils navaient pas la tête de violeur, comme si ces détraqués portaient leur vice sur le visage. Puis avec un grand sourire, je répondis « Pourquoi pas ».
Me voilà assise entre les deux sur un canapé, un verre à la main. La discussion portait sur leur vie hors de chez eux. Ils habitaient ensemble avec leur femme respective dans une grande maison où seule la cuisine était en commun. Ils me montrèrent des photos. Ce nétait pas une simple maison mais plutôt une belle demeure en bord de foret. Puis la discussion sorienta sur ma vie. Je la décris comme une petite vie rangée avec un gentil mari malheureusement en déplacement longue durée en Russie. Cest cet aveu qui déclencha la suite.
Posant sa main sur mon genou, Ludovic me dit « Et il ne te manque pas ton chéri, ses caresses, faire lamour avec lui »
Laissant sa main caresser ma cuisse, je lui dis « bien sûr mais nous navons pas le choix »
« A ton âge, tu dois te soulager toute seule, si je puis me permettre » enchérit Cyril qui était maintenant collé à moi.
« Cest un peu indiscret mais pour être franche, ça marrive »
« Ce nest pas pareil, un homme cest quand plus palpitant » ajouta Cyril en me caressant la joue.
« Mais
»
Il ne me laissa pas répondre et posa ses lèvres sur les miennes. Jai cédé et ouvert ma bouche pour que sa languie se mêle à la mienne. Une de ses mains se posa sur un sein tandis que Ludovic continuait sa marche en avant et sa main remontait sous le bas de ma robe. Cyril fit glisser les bretelles de ma robe et dégagea un sein quil empoigna fermement. Ludovic me prit une main pour la poser sur son sexe raide quil avait dégagé sans que je men aperçoive. Je me mis à le branler lentement. Cyril profita de mon abandon pour libérer son sexe tout aussi raide.
Ludovic me leva et serré contre moi, membrassait tout en caressant mes fesses directement sur la peau.
Il me demanda « Tu veux ? »
« Oui, ton frère peut y aller »
Je sentis les doigts de Cyril se retirer pour laisser sa place à son sexe. Il senfonça lentement, marqua une pause puis commença à aller et venir lentement puis une fois son sexe bien accepté, accéléra ses mouvements. Jécartais mes fesses, allais à sa rencontre. Cette sodomie me procurait un plaisir toujours non dissimulé. Ludovic voulu prendre mon cul à son tour. Je le recevais avec beaucoup dardeur. Après quelques contorsions, Cyril se glissa sous moi et membrassa fougueusement. Aidé de sa main, son sexe trouva le chemin et me voilà pour la première fois prise en double. Quel pied, quel bonheur et jai jouis comme jamais. Un terrible orgasme me terrassa en sentant leur sexe se gonfler encore en éjaculant dans leurs capotes.
Jai passé la nuit chez eux à me faire prendre par tous les trous à un ou à deux. Au petit jour, jai profité de leur érection matinale pour les sucer jusquà les libérer du reste de leur semence.
Après le petit déjeuné et une douche, ils ont préparé leurs affaires avant de rentrer dans leur foyer en me déposer au passage.
Javais vraiment libéré un côté salope que jignorée.
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