Alice (3): Dominatrix Chez Mon Patron David

"Alice, tu as tous les vices!" J'entends encore ma mère me marteler cette phrase dans la tête dès que je faisais une bêtise. Elle ne croyait pas si bien dire. Depuis que j'ai été soumise à Vincent et cette partie à trois, je me sens libérée. Ces moments de sexe intense ont été une véritable révélation pour moi! Je suis une salope et j'aime ça! Je me sens plus épanouie, plus cool et ça se ressent même dans mon boulot. Ce sentiment est indescriptible. Je me sens moi, pleine et entière, maîtresse de mon corps.

Je suis prestataire dans une boîte et j'entame le dernier mois de mission. Sauf qu'aujourd'hui, avant dernier jour de la semaine, David, mon supérieur hiérarchique a dû rester chez lui pour maladie. Il a une grippe de cheval et les dossiers s'entassent sur son bureau. Cette histoire ne m'arrange pas du tout, j'ai absolument besoin de sa signature pour divers commandes si je veux mener à bien ma mission dans les temps. Je décide donc de l'appeler à son domicile. J'obtiens son numéro rapidement et j'ai rendez-vous chez lui le soir même en rentrant du boulot.

Au moment où je presse sur la sonnette, l'incongruité de la scène me saute aux yeux: je vais me retrouver seule avec mon boss qui est en plus n'est pas mal du tout. La quarantaine, beau gosse avec une allure "badboy" avec ses éternelles bottes aux pieds, son couteau à la ceinture et un tatouage qu'une fois j'ai remarqué sur son bras. Mais mes pensées sont vites oubliées alors que la gâche de la porte me permet d'entrer dans l'immeuble. Les banalités d’usage, et il m’accueille dans son salon.

Alors qu'il me sert le café, j'ai une vision où je le vois la tête entre mes jambes en train de me lécher. Avec sa barbichette qui doit gratter et piquer la vulve, ça doit être divin. Je secoue la tête pour m'enlever ses pensées déplacées. Mais qu'est-ce qui me prend?

David se penche alors et je découvre avec stupeur que monsieur porte … un string en dentelle noire ! Il s’assied de nouveau, croise les jambes et attentive désormais, je remarque qu’il porte également… des bas résilles.

Avant même de penser, je lui lance :
- Alors on aime porter des dessous féminins, ma coquine ?
- Oui m’avoue-t-il en baissant les yeux sur son café.
Je ne sais pas ce qui me pousse alors mais je lui ordonne
- Fais-moi voir ce que tu portes, ma cochonne !
Qu’est-ce qu’il me prend d'insulter mon boss ?! Mais contre toute attente, il aime ça!
-oh oui, traite moi de tous les noms, humilie moi, j'adore ça!

Il se déshabille et ne garde que ses bas et son string. Il laisse apparaître son corps très...viril. Il est musclé et poilu. Je m’approche de lui, passe une main sur son torse et de l’autre, caresse ses fesses. Je glisse ma main sous son string et tâte la marchandise. Rectificatif, il est poilu partout sauf à l'entrejambe car ses testicules sont rasées de près. Hummm, à les sentir comme ça dans leur bourse toute lisse, j'ai envie de me baisser et de les aspirer dans ma bouche. Comme pour me confirmer mes désirs, je sens mes lèvres s'entrouvrir et devenir bouillantes. Je me passe la langue dessus et me force au calme. Nous avons tout notre temps.
-Enlève mon pantalon et ma culotte maintenant, chienne et lèche moi la chatte.
Tout en disant cela, mon sexe se couvre de mouille. J’ai une vague pensée pour Fabien, mon mari. Mais quelle salope je suis ! Je vais baiser avec mon boss et rien ne m’arrête.

David me fait m’allonger sur le canapé et s’active sur mon entrejambe. C’est un sacré bon lécheur. Sa langue virevolte entre chacun de mes plies et il titille savamment mon clito. Ni trop peu ni pas assez. Il se lèche un doigt avant d’enfoncer une phalange dans mon con. J’essaye d’avancer mon bassin pour en avoir plus mais ce coquin accompagne mon mouvement et se retire à chaque fois.
Comme je l’avais imaginé plus tôt, sa barbichette me pique les petites lèvres et me procure des petits frissons sur tout le corps. Son autre main s’aventure sous mon t-shirt et commence à me pincer les tétons. Sauf que je n’aime pas ça.
C’est une partie trop sensible. A mon tour de me dérober à ses caresses. Il le comprend, et remet mon bonnet de soutien-gorge pour caresser mes tétons à travers. Cette fois, plus de problème ! Je vais peut-être enfin goûter au plaisir par les seins ! Sa main passe d’un nichon à l’autre.

Alors que je vais jouir, je lui ordonne d’arrêter et de s’allonger sur le canapé. Je me mets en 69 au-dessus de lui et il reprend son activité sur ma vulve. Je caresse son joli string en dentelle et libère son sexe fièrement dressé. Je prends le temps de le faire à ma main. Il est plus long que celui de Fabien mais plus mince aussi. J’introduis son gland dans ma bouche et je touche ses couilles avec mes mains. Un soupir de sa part me fait comprendre qu’il apprécie mes attentions. Je crache sur sa queue et descend de plus en plus loin sur sa verge. Ma langue tourne et retourne sur son gland. Je penche ma tête un peu plus et j’atteins sa rondelle toute lisse. Il comprend et écarte les jambes pour me faciliter l’accès à sa corolle toute serrée. Je sens son sphincter qui cède sous ma langue et aux petits soupirs que David pousse, je comprends qu’il n’est pas insensible à mes caresses. Je recommence à pomper son dard avec mes lèvres bouillantes tout en introduisant un doigt dans son cul. Je commence un va-et-vient avec mon doigt et David joue sur ses jambes pour aller au-devant de mes mouvements. J’en introduis un deuxième, puis un troisième et j’accélère.

De son côté lui aussi me doigte la chatte et me lèche la rondelle. Hummm il sait y faire ce salaud. Je ne peux me retenir de soupirer de plaisir alors qu’il introduit un doigt dans mon cul !
-oh oui j’aime ça mon salaud, vas-y fiste-moi bien !
Je sens mon sphincter s’ouvrir de plus en plus. Il me met de plus en plus de doigts dans ma rondelle mais combien ? Je ne saurais le dire. Toujours est-il que mon anus s’ouvre en grand, que je le sens bien se dilater et que ça me fait un effet fou !

Mon regard porte alors sur un objet incongru mais qui pourrait être très intéressant : une banane ! J’en prends deux, une pour servir de lubrifiant à la première.
Je recommence à le pomper et à descendre ma langue de ces couilles à sa rondelle. Et là, j’enfonce doucement la banane dans son cul en la tenant par la queue. La rondelle de David s’ouvre pour accueillir cet objet insolite. Je reste ainsi sans bouger la banane pour que son sphincter s’habitue er je commence un lent va-et-vient. Je crache sur sa rondelle et amplifie peu à peu le mouvement

Alors que je m’active, il s’arrête et me dit dans un souffle.
- Maîtresse Alice, je voudrais vous montrer quelques choses : là, dans mon tiroir.
Les yeux a-demi fermés, il me fait un vague signe vers une commode non loin.
Je découvre alors… un gode ceinture ! C’est la première fois que je tiens ce genre d’objet dans les mains. Je suis terriblement excitée. Je lui ordonne de le mettre à quatre pattes. Je lui lèche la rondelle. J’aime sentir le sphincter tressautait contre ma langue. Un petit coup de lubrifiant et hop dans son cul de chienne en chaleur ! Je l’avais bien travaillé avec la banane. Je vais de plus en plus vite et de plus en plus fort. Bientôt mon pubis claque contre ses fesses. Que je me sens puissante dans cette position !
-Tu l’aimes la sentir ma queue dans ton petit trou, hein, ma salope ?
- Oh oui, c’est tellement bon !

Mais au bout de quelques minutes, j’ai envie de plus. J’avais repéré un gode ventouse de belle taille dans le même tiroir. On s’installe dans la salle de bain. Je fixe le gode ventouse sur le mur de la douche italienne et je m’empale par la chatte après avoir mis une capote sur le gode. J’ordonne alors à mon boss de venir au-devant de ma queue que j’arbore au-milieu des cuisses. Cette chienne ne se fait pas prier et la voilà qui se pistonne elle –même ! Je fais de grand va-et-vient. Le gode me ramone divinement la chatte et sentir ce mec gémir sous mes assauts… Hummm c’est tellement bon ! Je lui att sa queue et l’astique sans ménagement.

La tension monte de plus en plus. Alors qu’il est prêt à gicler, je le fais se retourner, m’agenouille et gobe son dard turgescent.
Il pousse un gémissement de soulagement alors que je le doigte en même temps qu’il asperge son foutre directement au fond de ma gorge ! Son goût est plus fort et plus amer que celui de Fabien mais peu importe, c’est le fruit de mon labeur et je le garde comme un trophée ! Je me relève pour partager son jus avec lui. Il me lèche les joues et att ma lèvre inférieure avec ses dents. Nos langues tournent et retournent dans la bouche de l'autre. Son foutre, ma cyprine et nos salives se mélangent. C'est délicieusement pervers! Je craque en un orgasme intense alors qu'il introduit une dernière fois quatre doigts dans mon cul.

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