La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°886)
Marion au Château (suite de l'épisode précédent N°882)
Je rampais alors vers Ses nobles pieds, me prosternais, et baisais du bout des lèvres, respectueusement le bout de chacune des chaussures de Monsieur le Marquis. Je ressentais toujours cet extrême privilège quil métait autorisé à pouvoir faire cela. Il séloigna alors sans plus faire attention à moi, caressa avec tendresse la tête de la soumise que je devais suivre et sassit derrière son bureau. Nous partîmes donc en quadrupédie toutes les deux jusquà la salle de soin, où on mappliqua une crème apaisante sur les traces, qui nétaient, contrairement à ce que je pensais, pas des plaies ouvertes et profondes. Puis jeus droit à un massage pendant lequel je mendormis, jusquà ce que je fus réveillée en douceur par la soumise pour reprendre une tenue vanille et partir à laéroport
Walter mattendait à côté de la voiture devant le perron. Je descendis les marches et lorsque jarrivai près de lui, il ouvrit la porte côté passager, me dévoilant un plug long et épais sur le siège.
- Soulève ta jupe, la chienne ! Voici un petit cadeau du Maître, tu le porteras à tout moment, tant que tu es hors du Château, pour que tu te rappelles quelle est ta vraie place, malgré la façade de liberté de femme vanille que tu vas arborer pendant une semaine. Maintenant penche toi sur le capot de la voiture !
Je mexécutais alors. Après avoir pris le temps de me malaxer les deux globes fessiers, y avoir donné quelques claques, les faisant rougir et chauffer, il fit glisser deux doigts sur ma rondelle pendant quelques secondes, les enfonça ensuite dans ma chatte qui était devenue humide face au cadeau du Châtelain et aux attouchements pervers du Majordome, pour les lubrifier, et les planta sans ménagement dans mon fondement, les faisant aller et venir, accélérant ma respiration. Il les enleva cependant rapidement pour y mettre à la place le plug. Je me sentais bien pleine, bien remplie, jusquau fond de mes entrailles.
- Maintenant, assis toi directement sur le cuir du siège en relevant ta jupe !
Après que je me fus exécutée, il prit place derrière le volant et nous partîmes à laéroport pour aller chercher et retrouver avec bonheur mes filles. Elles étaient les trésors de ma vie en dehors de la satisfaction du Maître, ma raison dêtre. Finalement, la majorité des week-ends, elles les passaient avec leur père car bientôt il allait devoir partir plusieurs mois. Cela faisait donc un moment que je ne les avais pas vues. Nous quittâmes laéroport et Walter nous déposa devant le magnifique pavillon que le Maître me laissait occuper lorsquelles étaient là. Après avoir passé la journée à visiter le village et ses alentours (où les ¾ des terres, prairies, bois et surtout vignobles appartiennent au Domaine de Monsieur le Marquis dEvans) et après que mes filles furent couchées, je prenais le temps décrire mon journal de soumise, véritable carnet de bord de mon ressenti au quotidien, comme avant que je nhabite définitivement près du Château. Regardant lheure, je me dépêchais de le faire, pour pouvoir lenvoyer avant minuit, comme exigé à cette époque. Après lavoir rédigé, jouvris ma boîte mail pour le transmettre au Maître. Je fus heureusement surprise de découvrir un message de Sa part.
« Ma chienne, durant cette semaine alors que tu te trouves à quelques lieues du Château, tu as lobligation dès que tu nes pas occupée avec tes filles, de rester connectée sur Skype, sans menvoyer de message cependant. Il se peut que jaie quelques exigences à satisfaire
Je te contacterai dans ces cas-là. Autrement, tu as quelques règles de vie à respecter. Port du plug obligatoire à tout moment de la journée, obligation de rester à genoux vingt minutes par jour, à nimporte quel moment de la journée à condition que ce soit en une seule fois. À toi de te débrouiller ! Journal quotidien obligatoire. Dès que tes filles sont couchées, port des pinces, du collier et de la laisse obligatoire, nue cest une évidence.
Ce à quoi je répondis brièvement :
« Maître Vénéré, je Vous prie de bien vouloir daigner me lire. Bonjour Maître, Voici mon journal quotidien. Je Vous remercie pour ces règles de vie qui mempêcheront, si besoin était, doublier quelle est ma vraie place. Respectueusement, Votre esclave soumise à Vos pieds »
Et pour obéir à ces nouvelles règles, je me connectais immédiatement sur Skype, ôtais ma tenue vanille, pour me vêtir de ma tenue dénudée de soumise, et me mis en position agenouillée, face à lordinateur pour être sûre de ne pas rater un passage du Maître qui pourrait être bref. Peu de temps avant que les vingt minutes ne se terminent, ayant activé loption « répondre aux appels automatiquement » de Skype, le Maître apparut à lécran, me faisant automatiquement baisser la tête.
- Bien Ma chienne, je vois que tu Mas obéi sans tarder. Tu es autorisée à me répondre. Depuis combien de temps es-tu dans cette position ?
- Depuis quinze minutes, Maître.
- Bien, tu vas rester ainsi jusquà ce que Jexige autre chose !
(et au bout de vingt minutes :) Position prosternée, cul face à la caméra ! Bien je vois que là aussi tu Mas obéi ! Reste ainsi vingt minutes de plus. Tu nas besoin ni de me voir, ni de mentendre, mais sache que jai toujours un il sur toi. Ta connexion à Skype déclenche automatiquement des caméras un peu partout dans ta maison, sauf évidemment dans les chambres de tes filles. Ainsi je serais au courant de tout sur tes actions dans la journée ! Jai pris soin de tenvoyer mon mail tard, afin dêtre sûr que tes filles soient couchées, et donc de ne pas avoir les caméras déclenchées tant quelles étaient là. À toi, maintenant que tu es au courant, de ne pas te connecter quand tes filles peuvent être visibles.
Et toute image disparue. Je restais donc dans ma position préférée, celle dans laquelle je ressentais le plus profondément ma soumission, ma dévotion et ma reconnaissance envers le Maître de ma vie. Le lendemain soir, environ à la même heure, je me préparais, me connectais sur Skype, et au moment où jallais magenouiller, quelquun sonna à la porte. Surprise, jenfilais rapidement un peignoir avant daller ouvrir. Lorsque je vis Qui Se trouvait derrière la porte je tombais prosternée à terre, après avoir rapidement fait tomber le vêtement qui me couvrait.
- Quest-ce que cest que ça ? Dit-il en repoussant le tissu à terre du bout du pied. Je croyais tavoir ordonné dêtre nue à partir du moment où tes filles étaient couchées. Il ne me semble pas tavoir autorisé dexceptions à la règle ! Suis-moi, à quatre pattes ! Me dit le Maître sur un ton sec et autoritaire
Et il me fit franchir le seuil en direction de lextérieur, refermant la porte derrière Lui. Là, Il exigea la position prosternée, et du plat de Sa main, masséna de nombreuses claques sur les fesses. Les coups étaient rapides, réguliers, douloureux, autant quexcitants. Puis Il resta quelques instants à admirer la couleur de mon fessier, puis jentendis le bruit de la fermeture éclair de son pantalon très vite suivi de très près par une pénétration sans préambule dans ma caverne déjà bien trempée. Ce fut sauvage, le Maître prenait possession de Sa chose, lacte nétait vraiment que pour Son plaisir qui monta telle une véritable saillie. Il me labourait bestialement dans une cadence impressionnante, sa noble verge allant taper le fond de mon vagin avec de grands de reins, profonds et puissants. Il sactivait en moi tel un étalon et me possédait virilement.
Il accélérait de plus en plus jusqu'à ce que je sente ses testicules tapés sur mes fesses à chaque poussée. Il continua à me besogner tellement fort que mon corps saffaissait contre le sol, mes seins écrasés sur celui-ci, alors que l'une de ses mains appuyait sur mon dos fermement.
- Maintenant, rentrons ! Et il me précéda dans le pavillon. Tu dois savoir que Je sais toujours ce que Je fais ! Je pense à tout ! Si Jexige que tu sois nue, sans te préciser que tu as le droit de te couvrir dans certaines situations, cest quil y en a aucune qui lexige. Il y a intérêt à ce que tu ne me déçoives plus au long de cette semaine ! Bien, jétais venu pour te montrer que, où que tu sois tu mappartiens, cest fait ! Je vais donc repartir, mais pour finir ta punition, tu vas aller te placer à genoux, mains sur la tête dans langle de la pièce face à ton ordinateur pour que lorsque je serais au Château, je puisse ty voir ! Ah tant que jy pense, il y a effectivement une exception à la règle de ta nudité. Si tes filles se lèvent, tu as lobligation, pour les protéger de notre monde, de te couvrir afin quaucun de tes accessoires ne soient visibles.
Vingt minutes après son départ, jentendis la conversation Skype démarrer, mais aucun son ne se fit entendre. Je ne pus mempêcher de compter dans ma tête. Le Maître attendit une demi-heure avant de parler.
- Bien Ma chienne ! Tu peux sortir du coin. Maintenant, va te coucher, mais pas dans ton lit. Je rajoute une nouvelle règle. À partir de maintenant et jusquà ce que tu rentres au Château, à défaut daller dormir dans ta niche, tu vas aller dormir dans la panière qui a été déposée dans ta chambre lorsque nous étions dehors tout à lheure. Tu dormiras la porte fermée à clé, pour être sûr que tes filles ne rentrent pas dans ta chambre à limproviste. Et tu devras attacher ta laisse à la poignée de la commode devant laquelle se trouve la panière. Bonne nuit Ma chienne !
Et la conversation sinterrompit. Je fus heureuse de quitter cette position, dune part humiliante, bien quexcitante, mais aussi douloureuse dans la durée. Je passais ensuite deux jours complets sans nouvelles du Maître, mais jétais certaine que tous les jours Il mobservait dès que je me retrouvais seule. Le vendredi matin, je reçus un message du Châtelain :
« Ma chienne, préviens tes filles quune fois quelles seront couchées, elles auront une baby-sitter, que tu sortiras. Quoiquil en soit, tu devras rester dans la tenue imposée lorsque tes s ne sont pas avec toi, peu importe ce qui arrivera. »
Jobéis immédiatement au Maître mais jétais tout de même un peu inquiète. Il avait laissé entendre que jallais devoir sortir du pavillon nue et « harnachée », et cela ne me rassurait pas le moins du monde !... Le soir arriva, jexécutais mes tâches comme à laccoutumée, puis jattendis, assise sur mon canapé quil se passe quelque chose. À minuit tapante, on frappa à la porte
(A suivre
)
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