Kary Partie-10
Je suis arrivée chez moi et la première chose que jai faite a été de me mettre entièrement nue pour regarder mon corps dans le miroir de la chambre, bien sûr après avoir envoyé le texto à Madame. Jai tourné la tête et jai vu mes fesses, rougis et parsemées de quelques ecchymoses. Jai senti immédiatement la cyprine couler sur ma jambe, je mouillais comme une possédée. Je sentais encore la chaleur se dégager de mes fesses. Cétait merveilleux, une personne avait pris le contrôle de mon corps et en avait disposé à sa convenance. Javais un sentiment deuphorie à lintérieur de moi. Javais ma dose de souffrance qui me faisait du bien et je perdais peu à peu mon autonomie, ce qui procurait à mon esprit une dose dadrénaline et dexaltation. Je ne pouvais mempêcher de caresser mes fesses et de regarder les belles couleurs quelles avaient. Jétais quand même un peu triste de savoir que javais la fin de semaine de congé et que Madame ne pouvait pas me garder près delle.
Avec cette matinée jen avais appris beaucoup au sujet de ma Maitresse, mais elle restait une énigme. Il y avait tant de question qui hantaient mon esprit. Comment ce goût pour la domination sétait développé au fil des ans? Quest-ce quelle recherchait chez sa soumise? Avait-elle un mari? Un copain? Peut-être des s? Quoique, vu son jeune âge, cela me semblait peu probable. Bien des questions restaient sans réponses. Jespérais seulement quelle me recontacterait rapidement et que nous ferions un bon bout de chemin ensemble.
La fin de cette journée du samedi 9 avril a été bien ordinaire à part toute cette tempête de questions qui virevoltaient dans ma tête. À présent Madame faisait littéralement partie de moi, elle occupait toutes mes pensées. La nuit précédente qui avait été agitée et cette journée mavait épuisé. Après avoir fait ma toilette jai donc rédigé mon journal pour Madame.
« Cher journal
Aujourdhui a été une journée merveilleuse.
Aujourdhui Madame a commencé mon éducation. Jai eu droit à une fessée pour avoir hésité à obéir à un ordre et à plusieurs coups de palette de bois pour avoir écrit mon journal trop tôt dans la journée. Cette correction a été très difficile, jai versé beaucoup de larmes, mais je le méritais. Désormais je dois lui obéir sans hésiter, je dois lui faire confiance aveuglément et faire tous ce que je peux pour lui faire plaisir et la satisfaire. Cest mon rôle en tant que soumise, et ma place est à ses pieds attendant un ordre que jexécuterai avec rapidité et en utilisant toute mon énergie à son service.
Oui cher journal je suis heureuse dêtre la soumise de Madame. Jai tellement hâte de la revoir
»
Puis 20h30 je me suis mise au lit, fatiguée, mais ayant quand même beaucoup de difficulté à trouver le sommeil. Le lendemain tout allait bien, je navais rien de prévu. Dring
-Oui Hello
-Allo chérie, comment vas-tu.
-Euh!..., très bien
, toi maman
-Ça va, que dirais-tu de venir souper avec nous ce soir?
-Euhh!..., ben
, daccord je vais y aller
-Tu as lair occupé
Ça va
-Oui, oui maman, je vais chez toi cette après-midi.
-À tantôt chérie
Ouf! Je navais rien de prévu, mais si Madame me contacte aujourdhui
Vite un texto
« Madame, je vais souper chez mes parents ce soir »
Jai pris une douche et je suis retournée à ma chambre pour mhabiller. Soudain je me suis aperçus que mon téléphone indiquait la réception dun texto. Merde je venais probablement de manquer une rencontre avec Madame. Vite jouvre le texto.
« Vas-y sans culotte à ton souper, salope. »
Jai donc remise ma culotte dans le tiroir et jai enfilé une jupe avec un porte-jarretelle, des souliers à talon et un petit chemisier assortie. Madame me contrôlait même à distance, humm. Je suis donc partie chez mes parents pour souper. Tout sest bien déroulé, mais jétais dans la lune, Madame hantait mes pensée, ce fut très difficile de soutenir la conversation avec mes parents ce soir-là. Jai prétexté à plusieurs reprise la fatigue du au travail et des nuits de sommeil agitées. Cela était tout à fait plausible, car tout le monde sais que dans le domaine de la santé les heures de travail et les exigences sont hors norme. Le soir venu, de retour chez moi, jai écrit de nouveau mon journal relatant ma soirée chez mes parents et les sentiments qui mon habités tout au long de la journée.
La semaine suivante aucune nouvelle de Madame. Jai toujours pris soin denvoyer des texto pour quelle puisse suivre ma vie en direct et bien entendu jai écrit mon journal intime quotidien. Pendant cette semaine jai travaillé de jour. Javais juste le soir pour ronger mon frein. Mais, épicerie, vaisselle et repas oblige, il ne me restait pas beaucoup de temps libre et cétait tant mieux.
Puis il y a eu une fin de semaine complète sans nouvelle de Madame. Le lundi suivant je faisais un horaire de 16hoo à minuit du lundi au mercredi. Encore une fois aucune nouvelle de Madame. Jangoissais terriblement, si elle mavait abandonné?
Je me souviens très bien de cette période. Je revenais chez moi après ma soirée de travail, me disant que jallais encore passé deux journées de congé seul sans elle. Je devais me rendre à lévidence, elle me manquait terriblement. Je souffrais, je me demandais si jétais capable de supporter encore longtemps cette absence. Demain je lui enverrais un texto pour lui demander de ses nouvelles. Je commençais à désespérer, même mes fesses et mes seins commençaient à être rétabli, javais de moins en moins de choses qui me rappelaient Madame.
Jai ouvert ma porte de garage et jai immédiatement aperçu la voiture de Madame. Mon corps sest glacé. Je me suis dirigé vers la porte qui mène à mes appartements et il y avait un mot de collé près de la poignée.
« Fou toi à poil et monte faire ta toilette. Ensuite tu iras te coucher sur la paillasse au salon et interdiction de te lever sauf si tu as une urgence, genre pipi. Tu attends à demain que je te donne la permission de te lever. »
Ha!, comme jétais heureuse enfin Madame reprenait contacte avec moi. Je me suis dépêchée denlever mes vêtements et je suis montée à létage complètement nue et heureuse. Sans bruit, je me suis dirigée vers la salle de bain. Jai discrètement jeté un coup dil vers ma chambre et je lai vu couché sur mon lit. Après ma toilette je suis allée au salon pour y découvrir un lit de fortune par terre. Madame avait installé un petit matelas dexercice, une couverture et un oreiller. Je my suis allongée et jai essayé de fermer lil pour être en forme le lendemain pour servir Madame
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