Adultère Vite Fait Bien Fait
Depuis qu Alain mavait fait ce mauvais coup dans la voiture où jai sucé un homme comme si jétais une putain, javais refusé de nouvelles rencontres avec lui , ce type voulait me faire tapiner , moi une femme mariée . Il mavait bien expliqué que jétais le type de femme que les hommes aiment, moitié bourge moitié pute et que mon cul était une mine dor. Cette fois-ci, je navais pas succombé aux vices de cet individu.
Ça faisait une semaine que je navais plus entendu parler dAlain et je ne voulais plus entendre parler de lui.
Je faisais mes courses quand je ressentis un truc bizarre, je regardais autour de moi et découvris quun homme me suivait et me matait comme un dingue. Cétait un homme bien habillé, de la cinquantaine plutôt bel homme. Il semblait très intéressé par mes jambes et par le reste aussi je suppose.
Mes fantasmes de salope remontaient à la surface, javais passé des jours à les chasser, me dire que je ne devais plus penser à dautres hommes , juste à mon mari et voilà quil venait de rallumer le feux qui couvait en moi, chassez le naturel il revient au galop. Je fantasmais déjà, une envie irrésistible montait en moi , je me courbais un peu plus que le raisonnable pour prendre des articles situés en bas de gondole . De cette façon je lui offre une vue sur mes cuisses, il peut voir que je porte des bas et si je force un peu, il pourrait bien voir que je ne porte pas de culotte.
Après plusieurs tentatives ,je pense quil avait peut voir ce que je voulais lui montrer, mes fesses , un sourire malicieux de lui mavait fait comprendre quil avait bien vue . Je répondais par un petit sourire coquin et enjôleur et me dirigeais vers le rayon lingerie, cétait carrément une invitation que je lui faisais.
Je regardais les portes jarretelles, ça excite les hommes ce genre darticle, lhomme sapprocha de moi et madressa la parole. Très beau choix madame, il pourrait orner avec grâce ce magnifique petit fessier que jai eu le privilège dadmirer.
Il me dit à loreille, si nous allions essayer ces jolis dessous dans une cabine. Comment pouvais-je résister , je me sentais désirable incapable de refuser et fis un petit oui de la tête, rien de plus. Il me prit par la main et je le suivais docilement, comme sil mavait envoutée. Mes talons claquaient au rythme du pas de cet homme , un rythme imposé qui donnait une mélodie inconnue. mes talons raisonnaient dans ma tête, ils jouaient lhymne de ladultère.
Il se chargeait lui-même de compter les articles devant la vendeuse qui gérait les cabines et de prendre le carton numéroté. Il faisait comme sil était mon mari, il me fit rentrer dans une cabine et rentra lui aussi avant de fermer le rideau.
Il me plaqua contre la paroi et membrassa avant de me faire mettre à genoux devant lui pour que je le suce. Hum sa délicieuse bite, je la dévorais tellement quil dut me retenir et me fit relever me disant ; doucement cocote, tu es en manque ou quoi , ton mari ne doit pas te donner ce quil te faut .
Pour lui faire plaisir je disais : oui, je suis en manque baisez-moi , baisez-moi . Je retroussais moi-même ma petite jupe, il mattrapa par les cuisses et mempala sur son piston qui me pénétrait doucement mais sûrement jusquà la garde.
Toi alors, m'a t-il dit , tu es une sacrée chaudasse une baiseuse !
Toujours empalée sur lui, je lembrassais, je lui donnais ma langue. Je faisais ma salope , ma putain , jétais bien , javais besoin de ça . Je finis par me décoller de cet homme qui ne devrait pas être entre mes cuisses . Il se réajuste et saccroupit devant moi, je ne mattendais pas à autant de bienveillance, pour un homme qui baisse sans vergogne une petite femme fragile et vulnérable.
Cet homme qui avait profité du démon qui me possède me nettoyait mon intimité souillée de sa semence vagabonde.
Nous échangeons nos noms , nos numéros de téléphone . Il me demande quand il peut mappeler, je lui dis les moments ou mon mari nest pas là . Nous sortons ensemble comme un gentil couple , sans même avoir fait lessayage de la lingerie, mais ce que javais essayé me satisfaisait pleinement. La vendeuse qui devait avoir entendue, fit un sourire ravageur à mon baiseur, je crois bien que cette petite garce aurait bien voulue la même chose, entre garces, on se comprend.
Je venais de me prendre un bon calibre et je rentrais chez moi satisfaite de ma sortie.
La petite-bourgeoise rentrait , laissant la salope avec ses fantasmes et sa libido débordante. En rentrant jinsultais cette pute qui se laisser baiser par le premier venu. Je jurais que cétait la dernière fois que je me comportais comme une trainée qui écarte les cuisses aussi facilement quune prostituée.
Oui , cétait fini , désormais je serais que la femme de mon mari , plus personne dautre que lui ne me touchera .
Je voulais me faire pardonner, avouer mes pêchés, me confesser à mon mari et promettre de ne plus recommencer.
Oui , je le voulais mais narrivais pas à le faire , je reportais ça a demain , mai dici là quallait-il encore marriver ?
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