Le Salon De L'Érotisme

Le salon de l’érotisme

Pour la deuxième année, nous décidons d’aller au salon ; pour l’occasion, Nini a mis une jupe portefeuille et sur son body en dentelle noir, simplement un caraco qui quand elle se penche laisse apparaitre sa généreuse poitrine. Rien de bien nouveau dans les stands de vêtements ou d’accessoires et nous profitons d’un début de spectacle sur le podium ; plus de place assise et le public se presse, debout pour être le plus près de la scène et très rapidement nous nous retrouvons pressés comme des sardines. Pas vraiment d’intérêt et pourtant Nini semble excitée et me serre la main, puis se penchant à mon oreille elle me dit « quelqu’un me plote les fesses » ; je lui dépose un baiser sur les lèvres et comme si je n’avais rien entendu, je regarde d’un œil la scène ; sa respiration s’est accélérée et à nouveau, elle se penche vers moi « il me fouille la chatte ». Autour de nous personne ne semble s’être aperçu du manège, et très amusé et excité de la tournure des événements, je l’encourage à se laisser faire. Je me retourne et en effet derrière elle, un jeune homme est légèrement penché et sa main est sous la jupe remontée ; se voyant repéré, il se retire, mais mon sourire la rassure et il reprend possession des fesses et du sillon de Nini. J’ai du mal à contenir ses gémissements, heureusement la musique est forte et le reste du public encourage la belle qui, sur le podium, joue avec un jeune spectateur.
Récit de Nini
Peu après le début du spectacle, j’ai vite senti une main me ploter les fesses ; devant l’accord de jean, je me suis laissée faire et rapidement, il a passé sa main sous ma jupe et a infiltré ses doigts dans ma fente ; rapidement le plaisir est monté dans mon ventre, tant à cause du savant travail de ses doigts que du fait que je me faisais ploter en public ; mon petit côté exhibitionniste. Il n’a pas fallu longtemps pour que je sente son ventre se plaquer contre moi et un gros bâton se presser sur les fesses ; jean semblait heureux de la situation et j’avais de plus en plus de mal à retenir mon plaisir ; quand un doigt s’est invité dans mon sillon et a titillé mon anneau, je n’ai pu retenir mes gémissements, vite étouffés par un baiser de mon homme.

Soudain il a pris ma main, voulant me faire sortir de la foule ; un peu affolée, j’ai regardé Jean, qui ayant compris, m’a donné son accord avec un petit sourire attendu et en me déposant un baiser sur les lèvres, il m’a dit « je crois que je vais bientôt être encore cocu, mais je t’aime »
Fendant la foule, j’ai pu enfin voir l’homme et avec surprise, j’ai pu constater que sur son tee short, la marque du salon était inscrite en grand ; il s’agissait donc d’un animateur, plutôt beau gosse et bien bâti ; sans hésitation, il s’est dirigé vers l’endroit à l’écart, où à certaine heure un spectacle hard se déroulait, et actuellement désert ; comme seul décor, un grand cousin, entouré de chaise pour les spectateurs. Sans plus attendre il m’a allongé sur le cousin et relevant ma jupe, il a écarté mon body et sans plus de détour, écarté mes petites lèvres pour plaquer sa bouche sur ma chatte béante et d’où s’écoulait déjà ma cyprine. Quand il s’est mis à mordiller mon petit bouton, je n’ai pu retenir un cri de plaisir ; j’avais envie de lui, qu’il me prenne dans cet environnement particulier, qui je le savais me faisait passer pour une petite salope.
« prend moi, viens me baiser , j’ai envie de ta queue » un peu surpris par mes paroles, il s’est vite repris et quittant ses effets et se chaussant d’une capote, il a investi mon antre, baignant de jute ; d’une seule poussée, il s’est engouffré , et malgré que je sois très ouverte, je n’ai pu retenir un hoquet , dilatée au maximum par une queue énorme, me comblant totalement, et venant buter contre le fond de ma matrice ; me triturant les tétons saillants sous la fine dentelle, il a commencé à me posséder avec force, alternant une saillie rapide et puissante avec de douces pénétrations se retirant parfois pour m’investir à nouveau d’une seule poussée ; à ce jeu, dilatée, écartelée, les jambes sur ses épaules, ma jouissance a déferlé, par vagues successives, inondant sa queue de ma jute. Performant, conquérant, imaginatif, pendant un long moment, il a joué avec mon corps, me retournant pour me prendre en levrette et en profitant pour me sodomiser avec deux doigts ; je ne suis pas très friande de la sodomie, mais prise ainsi, il a su me faire jouir plusieurs fois ; je ne compte plus mes jouissances, alors que lui n’a toujours pas exploser, et quand son gland, couvert de ma cyprine ,est venu au contact de mon anneau, je n’ai rien fait pour m’y opposer ; bien au contraire, plus mon appréhension ; doucement son gland a le passage qui peu à peu s’est dilaté, puis d’une seule poussée, il m’a possédé totalement ; une fulgurante douleur, puis plus rien, ou plus exactement le début d’un nouveau plaisir ; agrippé à mes hanches il m’a sodomisé, alors que je m’abandonnais à son plaisir ;j’avais envie qu’il me défonce et la tête collée au matelas, je m’écartais les fesses pour une plus profonde pénétration ; il me savait sa merci et à grand coup de queue, il m’a amené à une nouvelle forme de plaisir : être à la merci de cette sodomie ;
Soudain, il s’est retiré, m’a remise sur le dos et quittant sa capote, il s’est masturbé et a joui sur mon visage ; épuisée, je restais sous son emprise, et fascinée par cette queue, toujours bandée qui venait de m’apporter tant de plaisir, je n’ai pu m’empêcher de le gober, m’enfonçant la tige le plus loin possible et de le sucer jusqu’à ce qu’il débande.
En me déposant un baiser sur les lèvres pour me remercier, il m’a proposé de finir la soirée avec lui et même si je le souhaitais de participer au prochain spectacle. Je lui ai répondu que je n’étais pas contre, mais que mon mari devait d’abord être d’accord, mais aussi présent.
Mais c’est une autre histoire

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