Katherine Et Chloé

Par une froide après-midi d’hiver, je me prélassai sur le canapé du salon de mon cousin. J’étais venue chez lui, pour que l’on s’envoie en l’air, et après une nuit de folie, il était malheureusement parti en cours, me laissant seule toute la journée. Eh oui, tout le monde ne pouvait pas être en vacances. Pour passer le temps, je pianotais sur ma tablette, et au bout d’un moment, m’égarait vers quelques sites coquins, qui eurent le don de me donner un peu chaud. Un brin émoustillée, je commençais doucement à me masser l’un des seins, me procurant de petits frissons de plaisir.

Soudain, je crus sentir un souffle sur mon épaule. Intriguée, je me retournai et sursautai comme une dingue, faisant carrément un bond. Et pour cause : derrière moi, penchée par dessus mon épaule, se tenait une très fille brune, de taille moyenne, pourvue d’un magnifique visage, et d’un corps de rêve. Je la reconnus aussitôt, bien que je ne l’avais pas vu depuis deux ans.

« Katherine ? Dis-je, encore sous le coup de l’émotion, qu’est ce que tu fais ici ? »

Elle me sourit, et un léger malaise monta en moi… Il faut dire que la dernière fois que je l’avais vue, elle, moi et mon cousin avions passé un incroyable week-end à baiser tous les trois, et le moins qu’on puisse dire, c’est que elle et moi n’étions pas restées éloignées l’une de l’autre pendant ce plan à trois...

« Salut, belle gosse. Je suis venue m’envoyer en l’air avec ton cousin, il est pas là ? »

« Non… Comment tu es entrée ? »

Elle s’assit sur le canapé, à côté de moi, et eus un air amusé. Elle semblait trouver drôle de m’avoir surprise ainsi.

« J’ai une clé de chez lui. Comme ça parfois, je peux me glisser chez lui et l’attendre quand il rentre de sa fac. Il adore, ajouta-t-elle avec un clin d’oeil. »

« Il aurait pu me prévenir que risquais de débarquer, grognai-je. »

« Fais ta coincée, on a déjà couché ensemble, qu’est ce que ça peut te faire que je te surprenne sur des sites coquins à te masser les boobs ? »

Je rougis légèrement, et sans savoir pourquoi me sentis obligée de la rectifier :

« On a pas couché ensemble, on a couché avec mon cousin.

 »

Katherine haussa un sourcil, et me répliqua :

« Pourtant je me souviens t’avoir fait pas mal de trucs sympas avec mes doigts et ma langue, je suis même sûre de t’avoir fait jouir une ou deux fois... »

J’étais de plus en plus mal à l’aise.

« Je suis pas bisexuelle, répliquai-je sans trop savoir pourquoi je disais ça exactement. »

Katherine me dévisagea un moment, puis éclata de rire.

« Qu’est ce qu’il y a de drôle ? Demandai-je irritée. »

« Désolée. C’est juste que c’est marrant de voir à quel point tu ressembles à ton cousin : sexy comme l’Enfer, mais coincée comme une sainte-nitouche, c’est vraiment marrant. »

« Je suis pas coincée ! Protestai-je. »

Surtout que je trouvais un peu injuste d’être comparée à mon cousin, question coincée. C’est moi qui l’avais séduit et avais initié notre première fois, alors que lui refusait jusqu’à l’idée de toucher sa cousine.

« Si, m’asséna Katherine. Tu refuses d’assumer tes goûts. »

Je ne sus quoi répondre. Katherine se pencha vers moi, et susurra :

« Laisse moi te prouver que tu aimes ça. Juste un baiser, histoire que tu t’en rendes compte par toi même. »

Son beau visage était assez proche de moi, et ses yeux marrons m’observaient avec intensité. Je fus momentanément incapable de répondre, et hochai doucement la tête. Alors, elle se pencha sur moi, et avec délicatesse, posa ses lèvres sur les miennes. Elle pressa ses lèvres contre ma bouche, avant de se reculer.

« C’était si terrible que ça ? Me dit-elle avec un sourire. »

« Non. Mais là en même temps, c’était pas vraiment un baiser, juste un smack. Difficile de juger quoique ce soit à partir de ça. »

Je compris en voyant un sourire coquin se dessiner sur les lèvres de Katherine que je venais de commettre une grave erreur.

« Je suis bien d’accord avec toi susurra-t-elle. »

Elle se jeta alors sur moi, enlaçant ses bras autour de ma nuque, et prenant d’assaut ma bouche.
Sa langue passa sur mes lèvres, tandis qu’elle me rapprochait d’elle, tout en m’embrassant avec passion. J’avais l’impression d’avoir le cerveau en ébullition, et finis par me laisser aller. Je lui rendis son baiser, n’hésitant pas moi aussi à user de ma langue, profitant de ce délicieux patin qu’on était entrain de se rouler. Katherine finit par rompre notre baiser, me laissant pas mal insatisfaite, et même haletante.

« Alors, t’es pas bi peut être ? Me nargua-t-elle. »

« J’ai comme un doute, là... répondis-je plus par jeu que par réelle indécision. »

« Si tu n’es pas sûre de toi, on peut aller vérifier ça dans ta chambre... dit-elle avec un sourire qui laissait entendre qu’elle n’était pas dupe. »

Sans attendre ma réponse, elle me prit par la main, et m’entraîna à l’étage. Je me laissai guider sans broncher. Elle m’amena jusqu’à la chambre de mon cousin, et là, me jeta sur le lit. Elle vint sur moi, et m’embrassa avec douceur, et je lui rendis son baiser. Les mains de Katherine balayèrent mon ventre et mes côtes, avant d’atterrir sur mes seins qu’elle massa avec conviction. Je me sentais de moins en moins gênée, et prenais du plaisir lorsqu’elle m’embrassait et me caressait. Elle était pour l’instant douce, mais je sentais qu’elle était comme une tigresse qui retenait ses griffes. Sa douceur ne durerait pas. Elle se mit à m’embrasser le cou, me le léchant avec avidité, avant de se redresser de dire d’un ton impatient.

« Enlève moi ce pull, et vite ! »

Son ton était autoritaire, mais ça ne me déplaisait pas. De toute façon, je me souvenais suffisamment bien d’elle pour savoir qu’elle était dominante. Je m’empressai d’obéir tout en disant :

« Enlève le tien aussi s’il te plaît ! »

Avec un sourire, elle s’exécuta, dévoilant un t-shirt noir assez moulant.

« T’es sexy ! Lui lançai-je. »

« Toi aussi. Vous avez de supères gènes dans votre famille. »

Je souris, et me redressai pour l’embrasser.
Elle me plaqua contre le matelas, et se réinstallant sur moi, repris ses baisers, avec une douceur de plus en plus impatiente. On sentait qu’elle arrivait de moins en moins à contrôler sa sauvagerie. Ses mains devenaient de plus en plus pressantes sur ma poitrine, et ses lèvres de plus en plus fiévreuses sur ma bouche et mon cou. Elle se redressa à nouveau et me retira mon t-shirt, puis mon soutif, libérant ma volumineuse poitrine. Elle me saisit les seins et lança d’un ton appréciateur :

« Je suis heureuse de les revoir ceux là ! »

Elle se jeta dessus, et les embrassa, lécha et même mordit avec une vigueur désormais incontrôlable. Elle me procurait de terribles frissons de plaisirs, et je me mis à me tortiller sur le matelas, Katherine redoublant d’ardeur pour me faire frémir encore plus. Elle s’interrompit un moment, et me lança d’un ton narquois :

« T’as l’air d’aimer te faire dévorer les seins pour une fille 100 % hétéro. »

« Tais toi et continue ! Répliquai-je d’un ton suppliant. »

Katherine sourit, et me retira mon pantalon. Je compris que j’allais passer un très bon quart d’heure. Elle me retira mon shorty, me laissant nue devant elle. Puis, avec un sourire proprement démoniaque, elle se pencha sur mon intimité. Elle sortit sa langue, et doucement lécha mon clitoris avec un grand talent, me faisant trembler à chaque mouvement de sa langue, m’arrachant de petits gémissements. Mais, ce n’était jamais suffisant pour me combler. Sa langue déclenchait en moi une vague de plaisir qui montait et montait, mais jamais au point que ça en soit satisfaisant. A chaque fois, il aurait fallu que sa langue s’attarde un poil plus longtemps, ou me lèche un poil plus fort pour que le plaisir soit suffisamment intense. J’étais sûre que ce n’étais pas un manque de talent : au contraire, j’étais persuadée qu’elle savait parfaitement ce qu’elle faisait, et contrôlait du bout de la langue tout mon plaisir, de façon à ce que je sois frustrée.
Elle confirma mes soupçons lorsqu’elle dit avec une lueur narquoise dans les yeux :

« Tu aimerais jouir, maintenant ? »

« Oui bordel ! Arrête de me cuisiner et fais moi décoller ! »

« Ok. Mais reconnais que t’aimes les filles. »

Elle appuya son propos d’un coup de langue un poil plus fort, qui me fit trembler, mais sans pour autant me satisfaire.

« Ok, j’aime les filles, j’adore ce que tu me fais depuis tout à l’heure, et j’aimerais que tu me fasses jouir ! »

Katherine eut un sourire satisfait. Elle se pencha lentement sur mon clitoris, je me préparai mentalement à une explosion de plaisir… Katherine effleura mon clito, le titillant du bout de la langue. Le plaisir monta en moi, j’en attendais mille fois plus, mais je savais que ça allait venir… Katherine accéléra son jeu de langue, intensifiant le plaisir, et je me dis que cette fois ça y était, elle allait s’y mettre à fond et me procurer un orgasme carabiné… Elle me donna un grand coup de langue et je poussai un cri, elle se rapprocha à nouveau et… s’interrompit net.

« Supplie moi de continuer. »

« Quoi ? »

« Supplie moi, si tu veux jouir. »

« Tu rêves ! Je suis pas mon cousin, moi ! »

Je savais qu’elle faisait souvent ça à mon cousin, et qu’il se pliait à ses exigences et la suppliait quand elle le lui demandait. Hors de question que je me soumette comme lui. Katherine eut un sourire démoniaque.

« A ta guise. »

Elle se remit à m’embrasser alors, mais cette fois-ci à la cuisse, puis remonta sur mon bassin, puis sur mes seins, puis sur mon cou, me caressant de partout, me faisant bouillir d’excitation. Au bout de cinq minutes, je mourrais d’envie qu’elle retourne sur mon clitoris, mais ne cédai toujours pas. Quelques minutes plus tard, je n’en pouvais plus. Elle m’embrassait partout, dévorait mon corps, me mettant en feu, mais ne me léchait toujours pas. Je ne tardai pas à me tortiller sous la frustration, et alors Katherine se redressa pour me regarder d’un air sournois.

« Supplie moi. Tu vois bien que t’en crèves d’envie. Je peux encore te faire mariner comme ça pendant dix minutes, vingt minutes, une demi-heure, et si ça doit durer toute la nuit, ça durera toute la nuit, mais tu finiras par me supplier. »

A la seule idée de faire traîner ce supplice encore dix minutes, je ressentis une frustration insupportable. Alors, je capitulai, et d’un ton piteux lançai :

« Katherine, je t’en supplie lèche moi et fais moi jouir. S’il te plaît, j’en peux plus, je t’en supplie. »

Elle eut un sourire de triomphe, mais d’un ton implacable lança :

« Maintenant appelle moi maîtresse. »

Elle exagérait ! Mais en même temps, elle me caressait les cuisses, se rapprochant toujours plus de mon intimité, et je compris que je ne pourrais tenir.

« Je t’en supplie maîtresse, fais moi jouir ! »

Elle sourit et dit :

« Alors, c’était pas si dur ? »

Elle se jeta alors sur mon clito, et le dévora littéralement, faisant tourbillonner sa langue dessus à un rythme inimaginable, la faisant aussi entrer en moi et tourbillonner, déclenchant chez moi de véritables tsunamis de plaisir. Ma vue se brouilla, mon corps se cambra, et lorsque Katherine se mit à utiliser ses doigts en même temps que sa langue, j’explosai dans un orgasme monstrueux, qui me fit hurler de toute la force de mes poumons. Mais Katherine pouvait être aussi généreuse qu’impitoyable, et ne s’arrêta pas un instant malgré mon orgasme, et poursuivit son merveilleux cuni, jusqu’à m’en procurer un deuxième, puis un troisième. Ce ne fut que lorsque sa langue passa une énième fois et à grande vitesse sur mon clitoris, et que j’eus mon quatrième orgasme en quelques minutes qu’elle s’interrompit.

J’étais complètement assommée, jamais un mec ne m’avait fait autant de bien, même ceux qui, comme mon cousin, étaient bien membrés ne m’avaient pas fait jouir autant de fois en aussi peu de temps que Katherine l’avait fait juste avec sa langue et ses doigts.

Tandis que j’étais étendue sur le lit, dans un état de semi-inconscience, Katherine vint dans mon dos, et déposa un baiser sur ma nuque.

« J’espère que t’as compris la leçon : quand on me résiste tout ce qu’on gagne c’est la frustration. Quand on me cède, on gagne le meilleur orgasme de sa vie. Ton cousin l’a compris lui. »

Je ne pus répondre qu’un vague grognement, trop sonnée pour tenir une conversation. Katherine me fit un bisou sur la joue, et dit :

« Préviens moi quand t’es prête pour le deuxième round, je vais prendre une douche. »

La perspective de remettre le couvert me laissa un moment perplexe : bien sûr ça avait été délicieux, mais j’avais l’impression d’être rassasiée pour des mois avec ce qu’elle venait de me faire.

Katherine prit tout son temps pour se doucher. Mais lorsqu’elle revint, une demi-heure plus tard, les cheveux mouillés, et une simple serviette autour de la taille, je m’étais remise de mes orgasmes, et j’étais prête. Tant mieux d’ailleurs, car Katherine jeta sa serviette, dévoilant totalement son corps de rêve, sa belle poitrine (95C), sa superbe chute de rein, et son fessier à croquer. D’un pas impérial, elle se dirigea vers moi, visiblement impatiente de repasser à l’action.

Elle vint devant moi, se pencha et m’embrassa tout en me tenant par les épaules. Je lui rendis son baiser avec avidité, toute gêne avait disparu en moi, je ne ressentais plus que de l’envie, de l’envie pour elle. Soudain, Katherine se retira, interrompant notre baiser. Je voulus m’avancer pour continuer de l’embrasser, mais elle me plaqua contre le matelas avec force. Elle m’embrassa le cou, puis le buste, avant de s’arrêter au-dessus de mes seins.

« Hmm, qu’est ce qu’ils sont beaux ! J’adore les filles qui font du D, comme toi. »

Je faisais du 95D, et c’est vrai que les mecs en raffolaient… En temps normal, j’aurais été un peu gênée qu’une fille me fasse des compliments desssus, mais là, je n’avais qu’une envie…

« Bouffe les moi, s’il te plaît ! Criai-je presque. »

Katherine sourit et lança :

« Je vais faire mieux ! »

Et sur ce, elle s’installa au-dessus de ma poitrine, et se mit à la chevaucher, ondulant du bassin de droite à gauche, dansant sur mes seins magnifiquement. Katherine gémissait doucement, accélérant progressivement le rythme, jusqu’à trembler de la tête aux pieds. Visiblement, elle se faisait beaucoup de bien avec mes seins. Quant à moi j’y prenais encore plus de plaisir que lors d’une branlette espagnole, car Katherine savait parfaitement s’y prendre, et secouait mes seins dans toutes les directions délicieusement, me faisant me tortiller de plaisir.

Au bout d’un moment, Katherine s’interrompit, et s’assit au bord du lit, jambes écartées.

« A ton tour de me faire du bien, ordonna-t-elle, viens là, et lèche moi. »

J’obéis docilement, et me mis à genoux devant elle. Je me mis à lécher son intimité, tâchant d’y mettre autant d’ardeur et de talent qu’elle tout à l’heure. Ma langue tournoya dessus, s’attardant sur son clito que je léchai à grand coup, rentrant en elle en tourbillonnant. Katherine gémit, et m’attrapant par la tête, se mit à diriger le rythme de mon cuni, me faisant aller à la vitesse qu’elle voulait, me collant contre son intimité quand elle en voulait plus, me tirant les cheveux en arrière quand elle en voulait moins. Elle fit durer ça un bon moment, je m’appliquai du mieux que je pouvais pour la satisfaire, et était heureuse de l’entendre gémir et de la sentir frissonner sous mes coups de langue. Quand Katherine en eut assez, elle me tira en arrière et me dit de me relever.

Elle me tira sur le lit, et me fit m’allonger sur le côté, avant de venir se coller contre mon dos. Elle se mit à me caresser les hanches, tout en m’embrassant l’épaule, avant que ses mains ne se dirigent doucement vers mon intimité. Ses doigts entrèrent alors en action. L’un d’entre eux se mit à titiller mon clitoris, le pinçant doucement, le massant, le chatouillant, tandis que l’autre, entrait en moi en tourbillonnant. Le résultat fut immédiat : je ressentis une brutale vague de plaisir me submerger, et je ne pus retenir des gémissements d’extase, ce qui encouragea Katherine à accélérer le rythme. Ses baisers qu’elle me faisait à la nuque et à l’épaule devinrent de plus en plus des morsures, tandis que le rythme de ses doigts s’accélérait encore et encore, et avec plus de vigueur. « Tu aimes te faire doigter comme ça, pas vrai ? En fait t’es pas bi, tu m’as l’air carrément lesbienne ! » Pour accen ses propos, elle me vrilla fort le clito m’arrachant un grand cri, ce qui lui tira un véritable ronronnement de satisfaction. Quant à moi, le plaisir ne cessait de monter, c’était terrible, ma vue se brouillait, je me tortillais sous l’effet de l’extase qui parcourait mon corps, je manquais de souffle tant je haletais de plaisir, ça en devenait insupportable, je n’en pouvais plus. Au bout d’un moment le plaisir était tel que je l’avais l’impression de m’évanouir, voire de mourir, et c’est alors que soudain, j’explosai dans un merveilleux orgasme libérateur qui me donna une incroyable sensation de soulagement de bien être.

Katherine me laissa un moment, étendue, haletante sur le lit, avant de dire :

« Te repose pas trop non plus, t’as encore du boulot : j’ai pas joui moi. »

Et sur ce, elle se vint s’installer à califourchon sur mon visage, et m’ordonna :

« Lèche ! »

N’ayant pas trop le choix, je m’exécutai docilement. Je me mis à lui donner des coups de langue que je voulais aussi puissants que possible, histoire de lui apporter un orgasme rapidement. Katherine se mit à me serrer la tête avec ses cuisses, et à se déhancher sur mon visage, encore et encore, m’obligeant à accélérer mes mouvements de langue. Elle poussait de petits gémissements, ce qui m’indiquait qu’elle prenait du plaisir à me baiser la bouche ainsi, tant mieux ! J’accélérai le rythme de ma langue, et elle même accéléra ses mouvements de hanche, jusqu’à ce que la sente trembler plus fort, et que j’entende sa respiration devenir sifflante. Elle ne fut pas longue à avoir un orgasme qui la fit se secouer sur moi pendant un petit moment, avant qu’elle ne s’écroule sur le lit hors d’haleine.

« C’était délicieux ! Me lança-t-elle, tu devrais plus assumer ton côté bisexuel, beaucoup de filles y gagneraient. »

J’eus un faible sourire :

« Merci, c’est vrai que c’était vraiment bon, j’ai rarement autant pris mon pied. »

Elle me sourit, et me fit un petit bisou. Elle repartit un peu plus tard, et lorsque mon cousin rentra, il fut un peu surpris de me trouver rassasiée après une si délicieuse journée entre filles.

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