La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°889)
Le pensionnat, propriété du Marquis (suite de l'épisode précédent N°888) -
Pendant ce temps là, Viktor avait ramené sa protégée dans sa cellule, elle avait mal à la mâchoire. Il lavait mise directement sous la douche, mais voyant quelle ne bougeait pas, il entra pour laider. Cette dernière seffondra dans ses bras en pleurs. Cette première journée avait été dure pour elle. Sans attendre quelle se calme, il la lava, lui lava les cheveux. Il la rinça enfin. Il sécha. Lui coiffa et lui natta les cheveux.
Avant quelle ne se couche, il lui fit boire linfusion narcotique que Marie la Cuisinière avait préparée à sa demande. Cette dernière avait dû la charger car la jeune esclave ne tarda pas à sendormir. Elle navait prononcé aucun mot pendant toute la procédure du coucher.
Le lendemain matin, le valet alla réveiller Myna, cette dernière navait pas bougé dun poil dans son sommeil, ceci lui confirma que linfusion avait été bien corsée.
Lentement avec des caresses et des baisers, il la réveilla. Un instant apeurée et perdue, elle ne tarda pas à retrouver son calme.
Tu as bien dormi ?
Oui Monsieur Viktor, merci Monsieur Viktor
Viktor suffira, Myna. Maintenant dépêches-toi, tu es en retard. Je tai laissé dormir trop longtemps
Oh Viktor, jaimerais tant pouvoir dormir encore un peu
Elle se retourna dans son lit et plaça la couverture sur sa tête. Viktor ne sen laissa pas pour dit et tira sur la couverture. Myna se recroquevilla sur elle-même. Le valet la tira par le bras et la fit tomber du lit.
Debout !
Myna se leva, et Viktor la poussa vers la salle de bain. Une fois quelle fut prête, il la fit mettre en position et lemporta jusquau réfectoire des esclaves. Il ny avait presque plus personne. Le valet fit sagenouiller son esclave devant une table, les bras dans le dos. Un esclave de service lui posa une assiette.
Avec tes bêtises, tu as gagné, il ne reste que du gruau, se moqua Viktor.
Myna fit une grimace, elle détestait le gruau.
Dépêches-toi de manger, et proprement !
Myna fit ce quelle put, elle navait pas lhabitude de laper sa nourriture. Elle ne put donc sempêcher de sen mettre partout. Viktor eu un sourire cruelle. Lorsquelle eu finit, il lui nettoya la figure comme on ferait dun bébé.
Ils arrivèrent enfin dans la grande salle. Tous les esclaves étaient déjà là. Les mâles et les femelles se tenaient sur deux rangées séparées. Tous se tenaient dans la position dattente, regard baissé. Leur positions ne les empêchaient pas dessayer de sentre apercevoir. Si lun deux relevait les yeux, il était immédiatement remis à sa place par son valet à coup de cravache.
Myna ne peux sempêcher de remarquer eNatachaMDE dans un coin de la salle, au pied de Marie la Cuisinière. Elle était tête basse, ses beaux cheveux pendait lamentablement, des traces de larmes striaient son visage, et des traces de fouet son dos. Elle essayait de croiser le regard de son valet mais celui-ci détournait les yeux. A la place elle décrocha un coup de cravache que Marie lui administra. Lesclave demanda pardon et remercia dune voix chevrotante.
Dun autre côté de la pièce, il y avait e46MDE, toujours empalée sur sa statue. Personne navait voulu le décrocher, nayant eu aucune instruction du Maître des lieux ou de son compagnon.
Viktor eu tout juste le temps dinstaller Myna à sa place, que déjà le Maître entra dans la pièce. Il sinstalla sur son trône et observa la salle. Il fit un signe et Monsieur Walter, le Superviseur et Madame Marie la Gouvernante, tenant une grande cape dans les bras savancèrent dans la fosse des mâles. Ils savancèrent lun devant e51MDE, lautre derrière.
Il nen fallu pas plus pour lesclave pour comprendre ce quil arrivait. Il se mit aussitôt à pleurer et à gémir.
Non
Non
je vous en prie
Ne mobligez pas
Je veux rester
Son valet attitré sapprocha et aida Monsieur Walter à le relever. Madame Marie en profita pour lui passer la cape, dissimulant à la vue de tous son corps nu.
Les deux hommes lentraînèrent vers lestrade où attendait le Maître. Ce dernier lui tendit la main comme à un ami.
Jean Auel, je suis au regret de vous apprendre le décès de mon ami, votre père. Vous allez devoir prendre la tête de son groupe. Séchez vos larmes, vous serez toujours le bienvenu dans ma maison. Votre valet a émis le souhait de vous accompagner dans votre nouvelle vie. Si vous êtes daccord, je vais lui signifier son congé. Dès que vous serez installé, et si vous le désirez, je me tiendrais à votre disposition pour vous trouver une épouse ou un compagnon à votre goût. Mon tailleur vous attend dans mon petit salon (Lorsquil libérait un esclave, Sir dEvans faisait toujours venir le vieil homme, car en général, la stature des esclaves changeait du tout au tout lors de leur passage dans sa demeure). Mais avant cela jai un petit cadeau pour vous. Si vous le voulez bien, le temps que je le prépare, je vous invite à aller passer quelques vêtements.
Le valet invita son ancien protégé à le suivre derrière le rideau.
Lorsque lhomme eu disparut sans un regard vers ses anciens compagnons, le Maître embrassa à nouveau lassemblée de ses yeux durs.
Myna approche !
La jeune esclave se leva surprise et vint sagenouiller devant son Maître. Il lui ordonna de le regarder. Puis il lui dit :
Lorsque je dis, tous les esclaves à neuf heures dans la grande salle
Veuillez mexcuser, Monsieur le Marquis, mais cest de ma faute, je me suis permis de la laisser dormir un peu plus longtemps
Jentends bien Viktor, mais il me semble que vous avez dû lui demander de se dépêcher à plusieurs reprises et quen plus elle sest rebellée
Oui, Monsieur le Marquis
Sur ces mots, Monsieur Auel fit son apparition.
Sir dEvans se tourna vers lui.
Mon cher ami, cette esclave est désobéissante. Je vous invite donc à la punir vous-même.
Le Marquis dEvans lui indiqua larmoire aux supplices qui se trouvaient à un bout de lestrade. Monsieur Auel louvrit et resta un instant en admiration devant les instruments auxquels il a eu à faire un jour ou lautre. Il en sentait encore la morsure dans ses chairs. Il se décida pour le battoir. Large, plat, dur, parfait.
Sir dEvans sourit de ce choix.
En position ! Ordonna Monsieur Auel.
Myna le regarda dun air étonné. En position ? Mais elle y était en position.
Mille pardons, mon ami, elle na pas encore assimilé cela. Mais je vous en prie, à vous lhonneur de le lui enseigner.
Monsieur Auel entraîna Myna par le bras et lentraîna vers une table près deux. Il lui posa les mains à plat bien écartées. Puis du pied, il écarta les jambes de la jeune esclave.
Noublie pas de compter et de remercier Lui murmura-t-il à loreille lorsquil jugea que la position lui convenait.
Il passa le battoir sur ses fesses rebondies. Elles se contractaient dans lattente du coup à venir. Puis soudain
PLAC. Myna sursauta mais réussi à articuler :
Un. Merci Maître Auel
Le battoir claquait et re claquait. Monsieur Auel ne sarrêta que lorsque les fesses de la jeune esclave furent bien rouges et marbrées. Cette dernière avait tenu le coup sans fléchir, jusquau bout. Maintenant que cétait terminé, ses bras ne la tenaient plus et elle seffondra en pleurs sur la table. Monsieur Auel lui caressa les cheveux pour la féliciter de son courage. Puis il entoura sa longue chevelure autour de son point et la traîna auprès de son Seigneur et Maître.
Le Marquis était toujours admiratif de la transformation radicale qui sopérait chez ses esclaves à chaque fois quil en libérait un.
Sur un signe du Maître, Viktor vint récupérer sa protégée. Sir dEvans lui recommanda de la lui amener dans son bureau, immédiatement.
Le valet lemmena dans les couloirs. Myna pleurait encore. Il sarrêta pour la consoler quelques instants.
Je
je veux men aller
Je vous en prie
laissez-moi partir
cest trop dur
.
Chut
ne formule jamais cela devant ton Maître
tu serais sévèrement punie.
Mais
Mais
Non
nessaye jamais de tenfuir. Limplant que tu porte est équipé dune puce GPS, qui permettrait de retrouver nimporte où. Ou même à nimporte quel Maître ou Maîtresse qui te retrouverait saurait que tu appartiens à Monsieur le Marquis et te ramènerait. Et crois-moi, tu naimerais pas. Ici ce nest que temporaire
tu vas voir que si tu obéis bien à tout ce quon te dit, tu seras heureuse. Et dans quelques temps, on te choisira un époux qui saura te tenir en main et qui te rendra heureuse. A présent allons-y, dépêchons-nous, tu dois être dans le bureau de ton Maître narrive.
(A suivre ...)
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