Terma-7- Expérience Avec Deux Blacks
Terma-7- Expérience avec deux blacks
Jétais toujours sous le coup de ma dernière expérience si intense et qui mavait ouvert un autre volet de mes sentiments, celui de la féminité. Sans cet abandon total sous la bite de Djaffar, ce sentiment aurait provoqué en moi de la fureur et de lindignation. Mais les faits sont la et mon cul me poussait à continuer dans cette voie. Il me démangeait et me donnait des frissons non seulement dans mes entrailles, mais aussi du désir dans le bas ventre et même provoquait le bandage involontaire de ma bite. Comme Djaffar était absent, chez sa fille et Sousou pas encore revenu, javais repris le chemin de ma cabine dinitiation au niveau du WC public. Mon premier Black ma donné entière satisfaction et jespérais trouver quelquun identique. Je me suis assis pas très loin des toilettes pour observer les clients éventuels : « ya teremti la3ziza ! mmalfa bzahrek ! » (ô ma terma chérie ! dhabitude tu as de la chance!). « laazem etkapti zeb akhal wa khchiine » (il faut capter un zob noir et épais). Et pour lencourager, je lui ai murmuré : « khardji rihtek esa7ira ! eli tajbed ezzboub ! » ( sort ton parfum de sorcière ! qui attire les zobs !) « rihet laq7aab wa elrjaal s7aab eterma el baydha kima enta3i ! » ( le parfum des putains et des hommes aux blanches terma comme la mienne ). Jobservais les gens qui rentraient au WC, mais poussé par les désirs de ma terma, jattendais mon africain ou quelquun qui lui ressemblait ! Jai attendu presque deux heures mais pas un homme de couleur parmi les clients.
Alors, il ma, de nouveau, agrippé aux hanches et a recommencé ses vas et viens rageurs. Son Zob, bien regonflé, senfonçait de nouveau et avec délices, dans mes entrailles. Tout en continuant à me pilonner, il se courbait sur mon dos. Je sentais aussi les chatouillis des poils drus de son pubis sur mes fesses, quelle agréable sensations de possession. Alors, poussé encore par la folie, jai soulevé mon vêtement, par devant, pour dénuder ma poitrine, jai saisi une de ses mains pour larracher de mes hanches et je lai mise sur mon sein. Il ma encore compris. Il a saisi mon sein pour le caresser et le malaxer fortement, et il ma pincé le bouton, ce qui ma excité encore plus. Il devait être, lui aussi, excité par ces attouchements sur mon sein et jai nettement ressenti que sa queue trépignait encore plus dans mes entrailles. Il a accéléré ses vas et viens vigoureux, membrassant sur le cou, pelotant encore plus mon sein et son souffle devint rauque presque animal. Il criait je ne sais quoi. Tout cela ma enflammé a tel point que jai saisi ma propre bite déjà gonflée sans ma volonté, grâce au plaisir continu de mon cul, et je me branlais dune main tout en soufflant autant que lui. Un long moment de plaisir commun et intense, puis il sest vidé tout au fond de ma terma chérie, avec presque autant de sperme que la première fois. Je me sentais totalement et agréablement mouillé, rempli et avec ce plaisir, je restais courbé, tout en me masturbant avec vigueur. De contentement, Moussa me cria sa victoire : «wach ya qa7ba ! choufti zeb erjaal ! nziid nferak fi teremtek ! mazaal klaouia m3amrine bzannat erjaal !) . (alors ! putain ! tu as vu le zob des hommes ! je peux continuer à déverser dans ta terma ! mes couilles sont encore pleines de sperme dhomme !). Oui, je savais maintenant que ces deux hommes avaient ce quil faut, la où il faut. La bonne étoile de ma terma a été bien prouvée en lui envoyant ces deux cadeaux. Moussa, avec ces deux baises ma encore prouvé le bon choix de ma tendance pour les sodomies et les plaisirs du cul. Ma terma, quant elle est satisfaite, envoie des signaux de plaisir à ma propre bite pour la gonfler et communier dans la jouissance. Je continuais ainsi à me branler, pendant que Moussa restait planté dans mon cul pour maider, et enfin, la respiration affolée et le souffle rauque, jai lâché, moi aussi, mes jets de sperme contre le bidet. Merci Moussa de mavoir, totalement, compris, sodomisé et aidé à éjaculer. Il sest retiré avec douceur, mais comme jétais essoufflé, je nai pas eu le temps de lui lécher et sucer la bite. Dommage, mais jétais épuisé de plaisir devant et derrière. Moussa est sorti du WC, pour se laver et je me suis assis, sur le bidet, pour vider et laver mon cul et ma bite. Jai eu juste le temps de faire ma toilette que la porte du cabinet laissa passer Keita qui attendait dehors depuis un bon moment. Je lavais complètement oublié, celui la. Et fatigué ou pas, je devais satisfaire sa belle et longue queue qui devait rêver de ma terma depuis quelle mavait sodomisé lautre jour. Un gars comme moi, ayant le cul en feu et des hommes affamés de sexe comme ces deux la, loccasion était bonne, alors je lui ai souri. Il a laissé tomber son pantalon, sans slip comme la dernière fois, et sa bite était exactement comme dans mon souvenir, aussi longue et large, comme celle de lautre, et son gland aussi gros et effrayant. Avec un clin dil engageant, je lui ai soufflé dans un murmure complice : «wach ! Keita ! eddawar etnikni thani enta ! twa7achet teremti ! ana thani twa7achet zebek lakhchine ! haya ! » ( alors Keita ! tu veux me niquer toi aussi ! tu as envie de ma terma ! moi aussi jai envie de ton zob si épais !) . Il na peut-être rien compris, alors on est passé à laction. Jai commencé par lui saliver la bite, la lécher et la sucer doucement tout en la branlant. Elle avait déjà de la vigueur et très rapidement elle sest gonflée en se rallongeant encore plus. Comme nous nous connaissons déjà, je lui ai, directement présenté mes fesses et mon cul. Il a eu un hoquet, comme lautre jour, et ma agrippé les fesses, puis il ma léché le sillon et le trou du cul, ensuite il ma pointé son gland sur mon anus. Rapidement, vu que jétais assez lubrifié, sa bite sest glissé tout au fond de mes entrailles dont elle connaissait déjà la douceur. Jai retrouvé le gout et la puissance de son zob. « Ah ya teremti ! ch7aal touil zebbou ! raah dgoul atoual mine nta3 Moussa ! » ( ô ma terma ! son zob est si long ! on dirait quil est plus long que celui de Moussa !). Il ma bien saisi les hanches et a commencé la danse sexuelle et ses vas et viens puissants et jouissifs. Dhabitude je suis très loquace quant ma terma goute le zob, mais comme ce gars ne comprenait ni larabe ni le français, jai préféré me taire et me concentrer sur les vibrations de ma terma. Il ma semblé quil était plus acharné que la dernière fois, ou quil voulait me montrer quil était aussi puissant que Moussa. Ce désir de plaire décuplait ses forces. En tout cas, ses coups me faisaient autant plaisir que le premier et sa bite me remplissait bien le cul. Et au bout dun grand nombre de coups de reins, il sest agrippé fortement à mes hanches et jai senti ses jets de sperme me remplir les entrailles. Satisfait et enfin vidé du plaisir qui gonflait ses couilles, Keita ma souri avec quelques mots gentils dans sa langue. Je lui ai rendu son sourire et jai, quant même ajouté en français, espérant quil comprendrait : « merci mon ami ! ton zob a été, encore cette fois, à la hauteur ! » ( choukrane ya saa7bi ! zebek daar waajbou ! hadha elmarra thani !!) Puis Keita sest retiré de mon cul et sa bite continuait à laisser couler quelques gouttes de sperme, mais elle restait toujours bandée et raide, mieux que Moussa. La dernière fois aussi, elle était resté, je crois, gonflée même après avoir déversé son jus. On dirait que cest naturel chez Keita, ce gars doit être capable de garder sa bite raide pendant plusieurs sodomies de suite. Je nai pas dexpérience mais je pense quil y a beaucoup de gens qui ont cette faculté sexuelle qui nest pas mon cas hélas. Je lai retenu par le sexe dans ma main, tout en me vidant de son sperme dans le bidet, car javais encore un programme pour lui. Ce gars me plaisait beaucoup, peut-être par sa retenue et son caractère timide. Comme la dernière fois, et comme Moussa, je voulais une seconde sodomie par Keita, la quatrième pour aujourdhui. Je savais que teremti sera très consentante et quatre fois plus quune ! Mais, je voulais une sodomie différente pour nous deux. Alors je lui ai demandé, par le geste, de sassoir sur le bidet, puis je me suis assis sur son zob, en lui tournant le dos. Jai déjà fait cette expérience une fois et je sais comment danser et tortiller du cul pour donner à tous les deux le maximum de sensations et de plaisirs. Confortement assis sur le bidet, Keita avait devant les yeux mon large derrière, mes blanches fesses, mon anus à lintérieur rouge et que son zob ouvrait et pilonnait avec aisance et jouissance. Ça doit être un tableau bandant, cest ce que jai dans mes fantasmes, et le gars ne sen privait pas. Il tenait mes hanches et je lentendais qui soufflait et grognait de désir. Moi aussi, je fantasmais et jagissais. Je bougeais du derrière au maximum par des mouvements, parfois ondulants et souvent en plongeant brutalement mon cul sur sa bite pour lenfoncer tout au fond de mes entrailles et la gouter pleinement. Et je lui criais, alors que cétait pour moi-même et mes fantasmes : « thab tnikni hagdha ! brahtak ! wzebek yal3ab fi qari ! » (tu aimes me sodomiser comme ça ! à ton aise ! et ton zob qui joue dans mon cul !) . Je lentendais souffler de plus en plus fort, et jajoutais: « ah ! ya teremti ! raki ga3da 3la 3moud mtiine ! » (ô ma terma ! tu es assise sur un poteau solide !)
Poussé par le plaisir, Keita réagissait. Alors, il me repoussa pour sortir son zob et le frottant sur les flancs de mon cul et le sillon de mes fesses, il augmentait ainsi notre désir, nos fantasmes. Il savait cela depuis notre première sodomie. Puis, me soulevant et me rabaissant alternativement sur sa queue, il nous plongeait dans un délire de jouissance extrême. Oui, nous sommes arrivés tous les deux, à un état de folie sexuelle telle que nos souffles rauques risquaient de nous faire découvrir de lextérieur des toilettes. Heureusement, on avait un bon gardien dehors, Moussa pour veiller au grain. Il poussa la porte et nous souffla : « be chouaya ! ya terma elbaydha ! netkechfou ! » (doucement ! blanche terma ! on risque dêtre découvert !) . Nous, on était pris dans le tourbillon du plaisir sexuel et Keita continuait à me pilonner avec des « han » accélérés. Je menfonçais sur lui et de son coté il me donnait des coups de reins puissants et bruyants ! Atteint par plaisir intense et mon cul qui me brulait de juissances, je criais : « jibha ! tayar ! teremti raha 7arguat bi naar échahoua! » ( amène la ! jute ! ma terma brule de désir !). Deux ou trois coups encore, puis, il ma plaqué fortement sur son zob en frémissant, le plaisir montait de ses couilles, teremti le sentait bien car elle mouillait à fond de lintérieur et mon anus frémissait. « achtaar ! achtaar ! hatli zantak ! farak ! » (vite ! vite ! donnes moi ta semence ! déverse ! déverse !) Alors il sest libéré en me projetant ses rafales de sperme dans les entrailles et en poussant un râle de délivrance sexuelle. Moi aussi, satisfait, je me suis assis totalement sur ses cuisses pour bien sentir ses puissants jets chauds et cette queue bien gonflée qui me remplissait les intestins. Javais limpression que ce sperme se projetait jusquà lintérieur de mon ventre, et cest pourquoi, dans son chemin, il excitait ma bite qui tressautait doucement. Un long moment de plaisir commun. « hadhi nayka ou7adha ! kaartak etouila 7alatli qari kaamel ! 3amartli teremti ! » (cest une baise à part ! ta bite si longue ma ouvert le cul complètement ! elle a rempli teremti !). Merci Keita davoir été à la hauteur de mes souhaits et de mes désirs. A ce moment de plaisir sexuel, je ne sais pas exactement pourquoi, mais jai pensé à mon ami Sousou et à sa belle terma. Puis je me suis levé et jai libéré cette belle queue qui vient de me donner beaucoup de joie et de plaisir. Ensuite, jai nettoyé à fond la belle queue de Keita, puis, par plaisir, jai embrassé mon jeune gars sur la bouche et je lai libéré. Et pour finir, jai fais ma toilette dans la cabine. Enfin, je suis sorti des WC et jai normalement retrouvé mes deux amants qui mattendaient dans la rue. Moussa riait à pleines dents, et poussé par mes provocations tout à lheure sur sa puissance, il se touchait le zob à travers son vêtement et me dit, avec bravade : « Ya kahba ! ch7aal enayka fi qarek thabbal ! rani mazal mtannane rlik ! zébi waguaf ! haya ! nzidou nayka ! » ( putain ! la sodomie de ton cul ma affolé ! je suis toujours bandé sur toi ! mon zob est debout ! viens ! faisons encore une autre baise !). Sa proposition était alléchante car il avait vraiment un fameux zob et je voyais bien la grosse bosse de sa braguette, preuve quil ne se vantait pas, mais jétais fatigué. Et, sincèrement, dans ces WC, ce nétait pas très confortable. Jai accepté ces quatre sodomies, juste parce que cétait un cas durgence, jétais à jeun et ma terma me suppliait de la satisfaire. Certes, je les ai toutes goutées mais cest la dernière, avec Keita, qui ma enchanté, une sodomie à mon aise. Quoique jai encore dautres idées pour améliorer la réalisation de mes désirs.
Jai discuté avec Moussa sur notre programme à venir. On était daccord que cet endroit était trop dangereux et inconfortable. Je le savais depuis mes débuts, et cest pourquoi Djaffar mavait invité chez lui. Jai, alors, proposé la même chose à mes amis, mais ils logeaient dans un appartement commun avec plusieurs autres africains, dans un hôtel pour émigrés. Il y avait certes des toilettes dans cet hôtel, mais certainement pas à labri des indiscrétions. Jai, quant même, trouvé lidée intéressante et affolante, et jétais sûr quelle aurait plu à ma blanche terma insatiable ! Etre sodomisé dans ce logis avec une dizaine de blacks affamés de sexe, et ayant, certainement, des zobs semblables à ceux de mes amants, ce serait explosif mais aussi une folie ! Jai, bien sur, refusé. Moussa a discuté avec son ami, en haoussa, puis, ils mont proposé une chambre à louer dans un hôtel particulier, un hôtel de passes, que jai aussi totalement refusé. Alors, pour finir, je leur ai donné rendez vous, dans deux jours, à la même heure et devant les mêmes toilettes. Dici la, je trouverais bien une solution, dautant plus que mes amis, Djaffar et Sousou seraient revenus. Ce qui est sûr, cest que teremti chérie nacceptera, en aucun cas, de perdre ces deux nouveaux étalons, pour lesquels je dois trouver un lieu convenable.
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