La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°891)

soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°852) -

Rien que le son de sa voix me faisait frémir et couler ma cyprine abondamment de ma chatte trempée. J'ignorais comment et pourquoi le Doc pouvait me faire autant d'effet. Est-ce parce qu'il savait aussi bien jouer avec mon corps que Le Maître. Sans m’en rendre compte au début, je savourais de plus en plus les sensations que mon corps découvrait au fur et à mesure que j’avançais dans ma soumission… Je m'allongeais en suivant les ordres du Dominant alors que mon esprit divaguait un peu. Je fermais les yeux et canalisais ma pensée sur le moment présent.

- Maintenant que tu es toute à moi, ma salope ! Enfin façon de parler car je sais très bien que je ne suis pas ton propriétaire ! Que Monsieur le Marquis ait la bonté de te prêter et à te laisser à mon entière disposition, me ravit vraiment, chienne ! … Je vais te faire crier de plaisir comme je te l'ai promis un peu plus tôt ! Mais pour le moment, il faut que je te mette en condition. J'exige que tu me répondes.
- Je vous suis toute dévouée, Monsieur, répondis-je alors que je l'entendais s'affairer dans la chambre.
- Je n'en doute pas ! Entendis-je sa voix chuchoter à mon oreille.

Sa langue glissa doucement du creux de mon oreille à ma mâchoire où une fois arrivée au niveau de mes lèvres, il m'embrassa fougueusement. Je ne bougeais pas mes bras mais je profitais à fond de se baiser. Un gémissement nous échappa en même temps tellement la passion était forte dans ce baiser. Puis il éloigna ses lèvres des miennes et caressa mon bras. Arrivé au bout de mes doigts, je sentis un bracelet froid enserrer mon poignet. Je compris que c'était des menottes quand j'entendis une chaîne tintée au-dessus de mon visage alors que le Doc le faisait passer dans le montant du lit. Un nouveau bracelet s'arrima sur mon poignet gauche.

- Redresses un peu le buste ma belle, je veux voir ce que ça donnes ! M'ordonna le Dominant.



J'obéis à l'ordre donné avec une certaine excitation. Je sentis une douleur dans mes épaules mais elle n'était pas forte, non elle était juste désagréable. Quand j'eus assez testé les menottes, je me recouchais sur le matelas.

- Bien, maintenant continuons, n’est-ce pas la petite chienne ! Dit-il en se levant du lit
- Oui Monsieur.
- Et appelle moi Marc, comme te l'as dit mon ami Monsieur Le Marquis précédemment, c'est mon prénom. Et j'ai très envie de t'entendre le crier. Entendre hurler une femme de plaisir m'excite totalement et encore plus si c'est moi qui la fait crier.
- Bien Marc, je ferais ainsi si tel est votre vouloir, répondis-je en faisant traîner son prénom sur mes lèvres.
- Ouvres les yeux et regarde-moi ! Je veux que tu répètes mon prénom en me fixant. J'obéis tout de suite.
- Marc, réitérais-je en ancrant mon regard dans le sien.

Il me sauta directement dessus. Le baiser était fougueux. Le Doc n'y mit pas fin cette fois-ci et s'allongea sur moi. Il était vraiment excité, sa queue gonflée était dressée et je pouvais sentir sa verge contre ma chatte.

- Regardes ce que tu me fais ! Dit-il en mettant tout son poids sur moi en descendant son visage dans mon cou alors qu'il me mordit
- Maaaarc...
- C'est ça, continue, ajouta Le Doc alors que maintenant il passait sa langue sur la morsure pour atténuer la douleur et bougeait ses hanches.
- Maaarc, c'est trop bon. Prenez-moi, s'il vous plaît ! Suppliais-je
- Tu souhaites que je te baise, que je pilonne ta petite chatte et ton cul si serré ?
- Oui Maaaarc, oui c'est ce que j'aimerai, je vous en supplie...
- Alors je vais exaucer ton souhait mais je ne vais pas être tendre. Je vais te baiser comme la petite chienne-salope que tu es ! Et je recommencerais tout au long de la nuit dans n'importe lequel de tes orifices qui me plaira de bourrer.
- Oui Maaaarc, faites ce que vous voulez de moi.
..humm …

Je ne pus que crier mon plaisir car Le Doc avait attrapé ma jambe droite sous mon genou pour la poser sur sa hanche et m'avait pénétré d'un seul coup. J'hurlais le plaisir qui se formait en moi. Marc me besognait tel qui me l'avais annoncé sans pitié et plus je criais plus je le sentais devenir dur et gros en moi. Il se redressa sur les genoux et fit remonter mon bassin jusqu'à ses reins donnant ainsi de puissants coups l'envoyant au plus profond de moi.

- Maaaaaarc, hurlais-je alors qu'un orgasme me saisissait en m’envoyant de véritables décharges électriques tout le long de mon échine, jusqu’au bas-ventre.
- C'est ça ma salope, crie et fais partager à tout le monde ta jouissance.

Je m'époumonais sans m'arrêter. Le Doc continuait à prendre possession de ma chatte, de me besogner sans aucun ménagement, à grands coups de boutoirs, mais en changeant une fois encore l'angle de ses coups puissants. Alors qu'il me fit tendre une jambe. Il s’installa assis dessus et plia mon autre jambe contre sa poitrine pour reprendre possession de mon sexe béant. Il continuait à me marteler tout en pinçant durement mes tétons érigés pour lui. Je criai une fois encore quand sa grosse verge me pénétra profondément, par des vas et viens puissants dans mon cul, poussant entre mes reins, pénétrant profondément mais en des mouvements amples et lents d’abord, presque lancinants. Toujours la même allure, la même cadence, je le sens me ramoner l’intérieur de mon anus, me remplir en me procurant des plaisirs rarement jusqu’ici égalés en cette position. Est-ce cette posture imposée? Je mouille terriblement ! Plaisir physique, mais pas seulement, mon cerveau bouillonne. Je me fais enculer, tel un simple objet, une sodomie, comme ça, pour me posséder, pour me prendre pleinement, une pénétration encombrant tout mon orifice anal, mon cul bien rempli… Je me cramponne, mes bras ne fléchissent pas et me laisse porter et empaler en écoutant à côté les râles de plus en plus pressants du Doc.
Sans doute va-t-il jouir…. Un coup de reins plus violent me bouscule. Un second d’une même intensité me fait ressentir l’arrivée de ce coït immobile et tout en profondeur. Ce coït dura quelques minutes, puis le Doc se remettant en mouvements me lime le cul dans une cadence beaucoup plus rapide qui me fait encore jouir et crier mon plaisir quand le Doc lui aussi explosa dans mon fondement. Il laissa tomber son corps sur moi le temps de reprendre son souffle.

- Continuons, là où nous en étions ! Fermes les yeux et poursuivons notre soirée plaisir !
- Oui Marc, répondis-je mon souffle retrouvé en fermant mes yeux.

Il se mit debout à côté du lit et fis rouler un chariot. Je ne savais pas ce qu'il y avait dessus mais j'espérais que ce soit les gourmandises qu'avaient demandé le Doc car tous ces exercices m'avaient donné faim. Je sentis les mains de Marc au plus haut de ma jambe gauche. Ses doigts frôlaient mon sexe sensible et excité. Il joua avec celui-ci jusqu'au moment où il me fit crier de plaisir et s'arrêta. Ses mains glissèrent sur ma cuisse puis sur mon mollet avant de me mettre des menottes puis il fit de même sur mon autre jambe.

- Commençons à jouer ! Tu vas voir, tu vas aimer mon jeu ! ...

(A suivre ...)

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