Le Chantier (72)

Ayant fait la connaissance de Blandine à la sortie de la gendarmerie qui partait acheter une robe pour le réveillon du jour de l’an que j’ai accepté de passer avec elle, Mathis son mari nouveau gendarme sur notre commune et un couple ami de Criss et Soso qui s’appelle Cyl et Tichris, je la piège en l’emmenant au Palais et en la clouant à notre pilori.
Je retrouve Mathis qui est aux 400 coups car il essaye de la joindre et bien sûr vu la situation ou je l’ai laissé, elle est dans l’incapacité de lui répondre.
L’amenant dans le Palais il fait une enquête avant de comprendre que je me fiche de lui.
Je l’amène dans la cave et il est étonné, outre de ses divers engins de s, croix cage, banc de plaisir, chaînes qui permettent de pendre les suppliciés grâce à des parlants sans oublier le Jacuzzi qui permettait à Pierre le maire de notre commune qui a fait construire tout ceci afin de se venger sur plusieurs femmes qui sont devenues mes amis.
Dans notre jeunesse il était amoureux de moi sans jamais avoir eu le courage de me le dire, il m’a fait hériter de ce Palais des Plaisirs, plaisirs que Mathis vient de donner à son épouse lui faisant croire que c’était un autre homme que lui qui la prenait.

• Valérie, aide-moi à me relevé, je suis à genoux depuis si longtemps que j’ai mal partout, je viens de comprendre ce que ressentaient les hommes et femmes au Moyen Âge que l’on obligeait à rester dans cette position pendant des heures voir des jours.
J’ai par deux fois pendant votre absence eut une faiblesse sur une jambe en voulant la détendre et j’ai cru que j’allais mourir étranglé sans oublié le moment où j’ai senti cette verge en moi pensant que tu me faisais renier mon serment à ce saligaud qui vient de me faire jouir.
• Tu as de la chance, j’ai été placée sur la croix, sur le banc à me faire pilonner par ce gode qui peut vous pénétrer pendant des heures mais le pilori il va falloir que je l’utilise mais tu sais je suis sado juste plus pour piéger des cochonnes comme toi que parce que je suis maso.


• Si tu veux Mathis va te le faire essayer.
• C’est tentant mais je dois aller régler un problème en mairie concernant l’implantation d’une usine de fabrique de granulés pour les poêles à bois de nouvelle génération, Hilda mon amie que je vous ferais connaître vient en début de mois régler divers problèmes et il faut que tout soit prêt.

Elle récupère son sac avec sa robe qu’elle a achetée avant de venir et je les raccompagne après avoir prêté un manteau que je vais chercher pour Blandine dans lequel elle flotte vu son anatomie, il lui arrive au-dessus du genou mais le principal est qu’elle ait chaud.
Je les dépose devant la gendarmerie au plus près de leur logement et coup de chance je les vois s’engouffrer sans que personne ne les remarques.
Dès que je suis dans mon bureau je téléphone a Christian pour lui raconter ce qui s'est passé et s’il peut me récupérer un jeu de clefs de la nouvelle porte du Palais.
Dans le temps qu’il me reste avant le réveillon je retrouve les moments du temps de mon mariage avec Gaétan et mes s ou je préparais le réveillon, ayant pris l’habitude depuis les quelques mois qui pourraient représenter des années à me reposer sur Nadia qui excelle dans ces organisations.

21 heures le portail du Palais est ouvert et j’entends une voiture s’arrêter, Christian à mes côtés ouvre le Juda de la nouvelle porte qui permettra de contrôler les clients qui souhaiteront rentrer dans notre club privé et nous ouvrons aux deux couples qui arrivent.
Sans se concerter les trois hommes sont en smoking blanc et nous les femmes somment en robe.
Comme pour la réception avec Hilda j’ai fait dresser une table à Petrov et Christian et le traiteur a déposé chez moi un repas que j’ai amené dans l’appartement afin de préserver l’anonymat de cet endroit.
Que dire de nos invités, Mathis et Blandine je les connais mais je vois que la blancheur et la maigreur de la peau de la jeune femme semble plaire à mon homme, sans préjuger de la suite je pense qu’elle va être sa première cible dès que nous serons passés au réveillon un peu plus intime ce que je présume arrivera ?
Cyl, pourquoi c’est à elle que je porte mon regard dès qu’elle entre ?
Elle a dans ses mains un paquet que je prends et que je donne à Christian il est trop tôt pour ouvrir les cadeaux surtout que Blandine m’en donne un aussi.


• Merci mais vous pouviez venir sans vous sentir obliger.

Phrase nécessaire entre amis surtout pour une première rencontre.

• Nous avons élaboré notre cadeau avec Criss qui regrette leur absence et de nous avoir abandonnées.
• Valérie, j’ai beaucoup cherché, je t’en supplie retarde l’ouverture à plus tard dans la soirée, je suis rouge de confusion au cadeau que je t'offre mais qui va être utile à un moment donné.
Je me suis rendue à Toulouse pour l’acheter et j’ai eu la honte de ma vie.

Est-ce le fait que Mathis m’est dit que Criss semblait amoureux de Cyl presque aussi grande que Blandine mais bien plus plantureuse.
Elle a une magnifique chevelure rousse des seins assez petits qui perce sous sa robe, ils sont moins gros que les nôtres mais avec un je-ne-sais-quoi qui m’inciterait à glisser ma main dans son décolleté.
Il faut que je me force pour décrire Tichris pourtant il est aussi bien balancé que les deux autres hommes présents près de la porte que nous refermons avant que tous nous nous embrassions tous les six.

• Mon Dieu Blandine tu étais au-dessous de la vérité quad tu me décrivais cette pièce avec la piscine devant notre première coupe de champagne de la soirée.
Valérie, je te connais très bien tellement j’ai entendu parler de toi, Criss m’a dit que tu avais fait croire à Soso qu’il la quittait pour toi, quand je te vois je comprends pourquoi elle a marché dans ton jeu

Je prends Cyl par le bras ce qui me permet de sentir le galbe de son sein se qui me fait carrément mouiller la culotte que je n’ai pas sous ma robe car elle est faite d’un voile si fin que ce serait disgracieux d’en avoir mis une.
Avant qu’ils arrivent j’ai démarré la sono conçue par Pierre et certainement installé par un expert en acoustique car Claude François nous chante « Comme d’habitude » alors sans aucune retenue je la prends dans mes bras et nous commençons à danser.
Danser c’est un bien grand mot car nos seins venus au contact les unes des autres dans un premier temps nous donnent un premier moment de plaisir.

Il est vite suivi d’un autre quand nos bassins se rapprochent et que nos intimités arrivent en contact.
Nous nous regardons intensément et je peux plonger mes yeux dans ses yeux verts par moments virant au gris suivant l’angle et la lumière.
Un frisson me parcourt que je sens réciproque Cyl ayant le même, je suis dans une bulle et c’est plus par habitude que je danse la musique comme le monde s'étant arrêté.
J’apprécie l'haleine anisée des filles du sud, je passe quelques secondes hors du temps jusqu’à ce que la programmation nous ramène sur terre avec Johnny qui nous déverse un rock endiablé des années 60.
Sans se démonter reprend plus vite que moi pied dans la réalité elle m’éloigne de moi et même notre danse en bonne cavalière qu’elle semble être.

• Valérie.

Je m’éloigne puis revient dans son bras.

• Regarde nos.

Chaque fois que je suis loin d’elle elle attend mon retour à portée de sa bouche.

• Robes, elles sont.
• Tachées, nous avons.
• Tellement mouillée.
• Tu me fais.
• Rougirent, nous allons être obligées de les enlever.

J’ai pu dire cette phrase un peu saccadé car dans les mouvements du rock j’approchais ou je reculais de son oreille.

• Regarde Blandine la sienne.
• Est déjà ouverte.

Je regarde de son côté et je vois que notre amie est une gourmande, Tichris est devant elle et l’embrasse goulûment pendant que Christian est derrière elle, ma jolie queue noire déjà sortie et qu’elle masturbe en passant sa main entre eux alors que Mathis lui caresse les cheveux tout en se masturbant lui-même.
Nous sommes trois femmes et trois belles salopes car aucune de nous n’avons mis de culotte pour ce premier de l'An.
Ouf Johnny continue à chanter et c’est « les portes de son pénitencier » qui nous distille et je peux retrouver les bras accueillants de Cyl sans oublier sa bouche.
Je suis essoufflée mais redevenue lucide pour un petit moment, je l’entraîne sur mon lit des plaisirs qui peut paraître incongru à être là alors qu’il est fait pour aller à la pluie dans mon jardin.

S’il pouvait parler, il dirait tout ce qu’il a vu depuis le moment ou le chantier a débuté et que j’ai découvert la trahison de Gaétan.
Comme elle me la fait voir quand nous dansions sa robe tachée de cyprine est à l’unisson de sa chatte qui me déverse de grandes quantités de parfums odorants et légèrement visqueux dans je la suce.
Je titille son excroissance bien formée et que j’arrive à prendre entre mes dents jusqu’à la mordre légèrement bien sûr évitant de la mutiler.
Nadia m'a habituée à la jouissance des femmes sous ma langue mais je remarque que chacune de nous avons notre façon très personnelle de nous tortiller dès que la jouissance commence à monter en nous.
Cyl est là même et son corps se tortille de droite à gauche faisant penser qu’elle cherche à s’échapper alors qu’elle revient inexorablement sur le dos avant de tourner dans l’autre sens jusqu’au moment où son cri de plaisir couvre la sonorisation et monte vers l’étage où j’aimerais l’emmener sur l’un des lits pour l’attacher par les menottes fixées sur le lit soudé par Criss et qu’elle reste à ma merci autant que je le désirerais.

• Viens c’est à moi de te faire jouir.

Elle me dit ces mots encore très essoufflés du moment intense que je lui ai fait vivre à quelque temps des 12 coups de minuit.

• Regarde plutôt Blandine et nos hommes, elle sait y faire malgré qu’ils soient trois pour s’occuper d’elle.
• Quelle belle salope regarde ce qu’il lui fond.

Si Cyl savait ce que le lit où nous sommes couchés à vue ou plutôt subi cet été sans compter l’intérieur de la cabane de chantier qui pourrait en dire long sur les cours de Français que nous donnions à tous les ouvriers.
Qui serait désignée la plus salope d’elle ou de moi…

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