La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°892)
Marion au Château (suite de l'épisode N°887)
- Profite de ton week-end avec tes filles. Walter viendra vous chercher dimanche après-midi pour les ramener à laéroport, avant de te ramener au Château. A très vite, Ma petite chienne !...
Et il partit, me laissant emplies de milles sensations différentes, mais heureuse comme je lavais rarement été
Le week-end passa rapidement, et jaccompagnais avec regret à laéroport mes filles que je ne reverrai pas avant au moins deux mois. Mais jétais également excitée et heureuse de reprendre ma place à temps complet aux pieds du Maître ! Dès que je remontais dans la voiture, à larrière et non coté passager cette fois-ci, Walter mordonna de me dévêtir, de passer mon collier et ma laisse quil attacha à lappui-tête de son siège, et je dus me mettre à quatre pattes au sol, ayant le droit de passer cinq minutes les fesses sur mes talons, assise comme une chienne de temps en temps pour me reposer
. Arrivés au Château, sans un mot, Walter memmena au Chenil, où je retrouvais avec plaisir ma niche. Sur mon épaisse couverture, je trouvais un message écrit de la main du Maître :
- « Quand le clocher du village sonnera minuit, rejoins-Moi dans Ma chambre ».
À cet instant précis, jentendis sonner vingt heures. Quatre heures à attendre
Que faire en attendant ? Je me serais bien reposée un peu, mais si je nentendais pas minuit sonner ? Et dans ma niche, je navais rien pour moccuper, pas même un livre. De toutes manières, nous étions en hiver et la luminosité nétait pas suffisante pour pouvoir lire. Alors je décidais de méditer, et pour ne pas mendormir, je restais assise enveloppée de ma couverture le dos ne touchant pas la paroi de ma niche.
Malgré cette précaution, la fatigue finit par lemporter et je maffaissais petit à petit
Je fus réveillée en sursaut par les aboiements dun des vrais chiens de Monsieur le Marquis. Quelle heure pouvait-il bien être ? La cloche de léglise sonna un coup.
- Allez, la chienne ! Je temmène pisser, un passage vite fait à la douche et après le Maître tattend. Tu dois être à minuit et demi chez Lui.
Et il mentraîna dans la nuit noire vers un arbre. Sans le moindre complexe, ni la moindre pudeur, je me positionnais et lever la patte arrière pour pisser contre le tronc de ce majestueux marronnier. Ensuite Walter memmena vers les écuries, prit le tuyau darrosage et maspergea deau glacée. Je me séchais devant une grande soufflerie qui ventilait de lair bouillant, ce qui me réchauffa très rapidement. Je me dépêchais après de retrouver les appartements privés du Maître parmi le dédale des couloirs. Même si je lavais vu quelques fois pendant cette semaine de vacances, cela navait pas la même saveur que de vivre ma soumission au Château
À minuit et demie tapante, je frappais à la porte de la chambre de Monsieur le Marquis dEvans. Sur Son ordre, jentrais dans la pièce et après avoir refermé derrière moi, je me prosternais et attendais.
- Ah Ma chienne ! Je suis heureux de te revoir dans Ma demeure ! Je préfère que Mes chiens et Mes chiennes soient sous Mon toit, pour pouvoir Men servir dès que Jen ai envie et selon Mes humeurs !
Et Il alla sinstaller derrière Son bureau, sans plus madresser un mot. Je restais dans la même position sans bouger, attendant un ordre qui navait pas lair de vouloir venir. Il travaillait sur un ordinateur portable, et ne faisait pas attention à moi. Une heure sonna. Le Maître leva la tête vers une haute horloge placée dans un coin de la chambre, une horloge qui devait avoir plusieurs siècles au vue de son style et que plus dun antiquaire sarracherai à prix dor !
Il claqua des doigts, me faisant mettre à quatre pattes, et pointa son pied de son index pour mindiquer la place quIl voulait me voir prendre. Je me dépêchais de venir me prosterner à Ses pieds. Il les avait nus. Je mourrais denvie de Les embrasser. Mais je nen eus pas loccasion. Le Maître ouvrit Son pantalon quIl baissa, ainsi que son boxer, et claqua à nouveau des doigts. Je me redressais à genoux, ouvrit la bouche et voulut prendre Sa queue entre mes lèvres mais Il men empêcha.
- Ouvrir la bouche, oui cest bien, mais garde-la ouverte ! Jai besoin de me soulager. Surtout nen laisse pas tomber une seule goutte, sinon tu le regretteras !
Et Il prit Son sexe en main, le dirigea vers moi et pissa dans ma bouche. Je lui fus reconnaissante de pisser par à coup pour me laisser le temps davaler. À la suite de ce breuvage chaud, je Lui nettoyais Sa queue, et la sentant gonfler, je pris linitiative de Lenfoncer plus profondément, de Le sucer, de Le pomper, goulument, avec gourmandise. Le Maître, ayant apprécié, nen restait pas moins maître de la situation, et me saisit la tête entre les deux mains, mempêchant le moindre mouvement et me baisa littéralement la bouche comme sil me pénétrait la chatte, senfonçant profondément, me provoquant des haut-le-cur que je mefforçais de contrôler.
- Humm ta bouche est vraiment un réceptacle bien agréable !
Demain, nous recevrons de gros clients professionnels. Tu seras donc dispensée des corvées, mais tu devras te présenter de suite après le passage dans les douches, à mon bureau pour étudier leur dossier, vu que tu étais absente du Château la semaine dernière. Je compte sur toi pour le connaître sur le bout des doigts. Ils arrivent à neuf heures, tu devrais avoir largement le temps ! Quand je te le dirais, et pas avant, tu passeras la tenue qui se trouvera dans le placard que je tavais indiqué lors de ton premier jour en tant que Ma secrétaire particulière. Maintenant retourne dans ta niche, et tâche de bien te reposer, je te veux en forme demain. Tu vas avoir fort à faire !
Et il partit dans Sa salle de bain me laissant seule. Une fois enfermé, je me remis en quadrupédie et je quittais la chambre. Jespérais croiser Walter pour mouvrir le Chenil quil avait dû refermer. Mais ce ne fut pas le cas. Et une fois arrivée, il était bien verrouillé. Alors que jallais faire demi-tour pour voir si je pouvais le trouver quelque part dans le Château, je lentendis arriver. Décidément, il était partout, voyait tout et rien ne lui échappait, tout le temps !
- Jespère que les escapades nocturnes, cest fini ! Je nai pas que ça à faire de veiller pour te servir de portier ! Dailleurs, quitte à devoir mêtre levé pour toi, autant que tu me serves ! Mets-toi en levrette. Je ne veux pas tentendre et je tinterdis de jouir !
Ce fut difficile de lui obéir ! Je me positionnais donc sur le sol et me mis en levrette, exposant ainsi mon fessier arrondi largement exhibé dévoilant mon intimité totalement épilée et bien offerte.
Quand il jugea suffisant ses coups virils dans mon sexe trempé, il sortit de ma chatte et s'empala jusqu'à la garde dans mon cul, sans préambule, ce qui me procura une fulgurante douleur mais je me retins de crier. Je prenais sur moi pour ne laisser aucun son s'échapper de ma bouche. Mais au fil de ses profonds vas et viens, c'était de plus en plus agréable et de moins en moins douloureux tellement j'aimais ce que Walter faisait ressentir à mon corps. Je pensais à autre chose pour ne pas crier mon plaisir jouissif. Et je ne pus me retenir quand un inaudible gémissement mélangé par la douleur qui sestompait méchappa. Le plaisir qui prenait le dessus et qui montait en moi me donnait des spasmes de plaisir. Il continua à me besogner en passant de ma chatte à mon cul dans un rythme soutenu. Un autre gémissement allait m'échapper mais je pus cette fois le retenir. Le Majordome éjacula dans ma chatte avant de finir dans mon cul ou il resta enfoncé longtemps en coït anal profond et sans bouger. Je pouvais sentir les soubresauts de sa queue dans mon fondement et me sentit vraiment bien remplie. Puis il me redressa en me tirant par les cheveux et me fourra sa queue dans la bouche pour que je la lui nettoie. Ensuite il me tira à lintérieur du Chenil et claqua la grille dès que jen eus passé le seuil. Je me précipitais dans ma niche, heureuse de retrouver ma chaude couverture, et je mendormais rapidement
(A suivre
)
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