Kairos - Le Langage Du Corps
Après cette journée bien remplie, je suis parti en week-end. Camille, de son côté, sest absentée durant une semaine. Nous nous sommes donc revus lors de son premier jour de travail. Pour loccasion, elle était revenue à un style vestimentaire plus proche de celui de son entretien arborant un pantalon gris, un chemisier rouge et une veste du même gris que le pantalon. Ses cheveux étaient de nouveau détachés. Après les présentations dusage dans le service et lattribution de son bureau, je lui laissais le temps de faire une pause-café avec ses nouveaux collègues avant de la convoquer pour les premières explications. Jétais tout à la conception de son planning de cours et jécoutais donc très distraitement ce qui se disait.
Lorsque Camille est entrée dans mon bureau, jai verrouillé la porte, par sécurité, et sur le moment jai été pris dune pulsion un peu bestiale. Javais envie de la prendre, là, tout de suite ; dassouvir un plaisir primal. Je ne saurais pas dire si cest par envie partagée ou bien simplement parce quelle jouait le rôle de la bonne élève, mais toujours est-il quelle sest cambrée lorsque mes mains se sont posées sur ses hanches alors que jétais dans son dos. Mes mains ont cherché à tâtons le bouton et la fermeture de son pantalon, je lai fait glisser le long de ses jambes, écarté sa culotte (noire encore) et lai pénétrée dun coup sec. Je nai pas tenu compte de son sursaut et jai pilonné sa croupe vite et fort. Deux petites minutes mont suffi pour décharger au fond de sa grotte.
« Kairos, je tavoue que tu mas fait un petit peu mal. Heureusement que ce nétait pas trop violent quand même. »
« Désolé Camille, je pense en tout cas que cela illustrera parfaitement le sujet que je voulais aborder aujourdhui. En effet, pour quune relation sépanouisse, il faut que chaque partenaire soit sur la même longueur donde. Attention, ça ne veut pas dire quil faut vouloir la même chose, mais plutôt quil faut suggérer à lautre ce que lon veut.
« Je vois ce que tu veux dire. Que dirais-tu si, quand jentre dans ton bureau suite à une convocation, et que tu mattends assis derrière ton bureau cela signifie que tu veux une pipe ? Si je mets une jupe fendue cest que je veux être prise en levrette sauvagement ? Si je croise mes jambes pour te laisser voir mes bas cest que je veux un cunnilingus ? Si je te regarde dun air cochon lors dune pipe cest que je veux que tu viennes dans ma bouche ? Et si tu minvites au restaurant cest quon se fait la totale romantique ? » Jacquiesçais.
Le reste de la semaine passa à une vitesse folle ; probablement à cause de toutes les réunions auxquelles je participais. Je croisais à peine Camille, ne faisant pas réellement attention à elle ni à sa tenue vestimentaire. Je navais pas du tout élaboré son planning de cours et je me disais que jallais faire un piètre enseignant si je continuais de la sorte. Après avoir réfléchi à une façon de men sortir, jeu lidée de lui proposer un petit défi. Par le biais dun sms je lui demandais alors de réfléchir à une pratique quelle voulait faire et au code assorti. Deux heures plus tard je recevais cette réponse : « tu ten es peut être rendu compte lautre soir mais jaime bien sucer avec le goût de ma chatte. Et il se trouve que jaime bien tremper mes tartines et gâteaux dans mon café
C ». Et vous laurez deviné, à la pause-café du lendemain matin cela na pas raté, Camille sassura que je la voyais puis trempa une madeleine dans sa tasse en prenant bien soin de ne pas la mettre entièrement dans sa bouche.
A 10h32, Camille frappa à ma porte, verrouilla derrière elle après être rentrée et sapprocha de moi qui attendais bien sagement assis. La fermeture éclair nempêcha pas très longtemps sa main de semparer de mon sexe en érection, qui après une courte caresse se retrouva entouré par la chaleur et la douceur de ses lèvres. Sa langue tourna avec douceur autour de mon gland pendant que ses mains branlaient ma tige tout doucement. Au bout de quelques secondes, elle se redressa, retroussa sa jupe et sempala sur moi. Cela devait faire un moment quelle pensait à ça car elle était vraiment trempée. Elle membrassa tendrement tout en montant et descendant sur ma bite puis se retira pour se repositionner entre mes jambes et me sucer de nouveau avec un plaisir non dissimulé. Elle recommença ce petit manège quatre ou cinq fois, gémissant et roulant un peu plus des hanches à chaque chevauchée. Alors quelle mavait en bouche, je la prévins par politesse que jétais sur le point de jouir. Elle sarrêta immédiatement, me chevaucha à nouveau en accélérant jusquà ce que jéjacule au plus profond de son vagin.
Je me remettais doucement de mon plaisir quand je remarquais quelle était assise sur mon bureau, les jambes légèrement croisées, laissant deviner la naissance de ses bas. Décidément, cette Camille mettait du cur à louvrage. Et comme le goût de mon sperme ne mindisposait pas (et puis aussi par juste retour des choses) je lui écartais les jambes et dardant ma langue, je léchais son clitoris quelques instants avant de mattarder avec insistance sur la partie située entre lentrée du vagin et le clitoris, tout en la doigtant avec deux doigts tellement elle était ouverte. Il ne lui fallut que cinq minutes de ce traitement pour jouir, sétalant, repue, sur mon bureau heureusement relativement vide.
Jétais très content de Camille car elle avait non seulement trouvé un code bien à elle mais surtout quelle commençait également à se préoccuper de son propre plaisir.
Sa réponse ma conforté : « Et bien en temps normal jaurais dit ce que tu veux. Mais tu mas mis tellement en confiance que du coup jai envie dessayer ce que jai vu dans les films. Jaimerais donc que tu me sodomises, puis que lon fasse lamour à trois, avec une autre femme et avec un autre homme. Avant je ne comprenais pas quelles puissent avoir lair dautant séclater et jétais persuadé quelles se forçaient mais tu mas montré quon pouvait prendre un plaisir énorme, donc voilà ! »
Et dire que le week-end nétait que pour le lendemain
Nous sommes donc convenus de nous revoir le samedi à 14h mais je ne lui livrais pas les détails du planning. Elle aurait la surprise de tester un massage, de voir une comédie au cinéma suivi dun verre en terrasse puis dun restaurant japonais ; elle allait avoir besoin dêtre parfaitement relaxée si je voulais la sodomiser sans problèmes. Et puis il parait que le gingembre est aphrodisiaque
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