Aurélie En Mode Pute - Part 1

"C'est 50 balles la pipe. 150 euros pour la baiser et 300 pour l'enculer."

Je ne pensais pas prononcer un jour ces mots. Et pourtant, me voilà en train de prosti ma femme. Ou presque. Évidemment, pas question de laisser ma belle courir le moindre danger. Il s'agit d'un jeu de rôle. Ce soir, plusieurs de ses amants favoris sont à la maison. Elle ? Enfermée dans la chambre ? Moi ? J'assure l'accueil.

Petit retour en arrière. Quelques heures plus tôt, elle n'était au courant de rien, c'est moi qui lui ai expliqué très clairement quand elle est rentrée du boulot.

"J'espère que tu es excitée, parce que j'ai une surprise pour toi", lui ai-je d'abord lancé. "Ce soir, tu vas être plus soumise que jamais. C'est simple, tu vas faire la pute."

Aurélie m'a alors lancé un regard mêlant l'excitation et l'interrogation. Elle sait que je ne la mettrai jamais en danger. Mais "faire la pute" ? Voilà une phrase qui claque.

"- Tu vas prendre une douche et enfiler la tenue que j'ai préparé pour toi sur le lit. Tes clients ne vont pas tarder à arriver. Quand tu es prête, tu restes dans la chambre. Je les amènerai jusqu'à toi. Tu es prête à être une bonne pute ?
- Oui, je crois.
- Alors tu vas me montrer. Mets-toi à genou."

Car pour une fois, je compte bien en profiter le premier. Elle s'exécute et se met à genou devant moi.

"Tire la langue."

Elle est là, la bouche ouverte. J'ouvre alors ma braguette pour sortir mon sexe, déjà en érection. Je sors un billet de 50 euros et le lance à côté d'elle.

"Suce-moi bien. Fais-moi jouir comme une bonne pute."

Je lui laisse à peine le temps d'avancer vers moi que ma bite va à la rencontre de sa bouche. Elle m'aspire bien. Mais j'en veux plus. Je me retire.

"Crache. Fais mieux ton boulot que ça. Je veux que tes clients en aient pour leur pognon. Arrête de faire la timide et montre-moi ce que tu vas leur faire.

"

Il n'en fallait pas moins pour réveiller la coquine. La voilà qui m'asperge de sa salive tout en me branlant vigoureusement. Elle me regarde dans les yeux puis m'avale, tout en gardant la main à la base de ma bite. C'est trop bon. J'accélère et lui baise carrément la bouche.

"Oh oui ! Je viens, avale tout sale pute !"

Je me fige pour gicler. Elle ne relâche pas son étreinte et continue de sucer jusqu'au bout. Une, deux, trois giclées. Elle se retire.

"Est ce que mon premier client est satisfait ?" me lance-t-elle avec un regard malicieux.

"Parfait. Je sens que tu vas gagner un paquet de fric ce soir."

Après une petite douche, je la rejoins dans la chambre. Jupe courte façon cuir, bas résille, pas de culotte et rien en haut, que les mecs puissent directement apprécier ses jolis petits seins.

"Je gère l'accueil. Je viens te les amener et je te donne le programme. Tu t'occupes d'eux. Quand ils ont fini avec toi ils repartent. S'il y a le moindre souci, je suis derrière la porte. C'est clair ?"

Elle a l'air un peu plus stressée que d'habitude, mais l'excitation est bien là. Je ne lui ai pas dit qui vient, ou combien ils seront.

"N'oublie pas de leur parler pour les exciter."

Je ferme la porte et je la laisse seule. Quelques minutes plus tard, les premiers arrivent. Un. Puis deux, trois... Finalement cinq. Il y a Jules, son habituel. Mais aussi Tarik, Julien, Ben et Marc. Ces deux derniers sont des rencontres récentes. Deux potes qui lui ont fait vivre quelques soirées coquines.

J'ai préparé un petit apéro dinatoire. Il y a même un match à la télé pour passer l'attente. L'ambiance est détendue. Je leur rappelle les tarifs précisés au moment de l'organisation de la soirée. Évidemment, tout le monde récupérera son argent à la fin, c'est juste pour le jeu.

"Alors, qui veut ouvrir le bal ?"

Julien se lève direct.

"Les gars, j'ai eu une vieille journée au taf, j'ai besoin de baiser. Donc si vous permettez..."

Sourires et encouragements dans la salle. La soirée est lancée !

À suivre
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