La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°895)
Le pensionnat, propriété du Marquis (suite de l'épisode précédent N°894) -
Dans cette position, ainsi offerte, Myna perdit rapidement notion du temps qui passait. Elle finit même par sassoupir, épuisée par la punition quelle avait reçue.
Des murmures se répercutant contre les murs de la grande salle du château, la remirent en alerte. Sa position lui permettait dembrasser la pièce dun regard. Ce quelle vit la troubla. Dame Laetitia, car cétait elle, vêtue dun longue robe fourreau rouge à une seule bretelle, permettant dapercevoir parfaitement son tatouage dappartenance au Marquis dEvans. Elle était perchée sur de vertigineux talons aiguilles. La jeune esclave se demandait dailleurs comment la favorite faisait pour se déplacer avec autant daisance et de grâce après avoir passé tout ce temps nus pieds.
Ce que Myna ne savait pas, cest que son statut de favorite lui avait apporté un avantage. Dès son arrivée au château, e46 avait montré une certaine aptitude pour les soins de massage, elle sintéressait beaucoup à cette tâche quaccomplissait son valet. Désireuse dapprendre, elle se montra bonne élève. A tel point, que ce dernier sen ouvrit au Maître des lieux. Ainsi, lorsque la jeune femme fut formée et dressée à son goût, et quelle fut devenue sa favorite, Sir Evans lui proposa de continuer sa formation auprès des plus grands Maîtres
Ainsi, plusieurs fois par an, la jeune femme trouvait une tenue sur son lit, lui signifiant un départ immédiat pour une nouvelle séance de formation. Elle allait pouvoir parfaire ses connaissances et ainsi son art, et encore une fois, elle entrevoyait un moyen de satisfaire son Maître vénéré. Le Marquis dEvans sarrangeait toujours pour les loger, elle, son valet et deux colosses à la peau débène dans la meilleure suite des plus merveilleux palaces du monde. Lorsquelle arrivait dans ces palaces, sa grâce, sa félinité, son port de tête royal, et sa suite lui valait tous les regards, du désir des hommes et denvie des femmes.
Celui qui faisait face à Dame Laetitia, Myna le reconnu pour lavoir vu la veille dans la chambre du Maître et le matin même à la même place. e64. De là où elle se trouvait, elle pouvait voir la souffrance tirer ses traits, tandis que le rire cristallin de Dame Laetitia retentissait.
Un bruit attira lattention de la jeune femme, cette dernière se retira rapidement, toujours pleine de grâce.
A peine fut-elle sortie que dautres esclaves furent amenés et accrochés aux murs dans la même position que Myna. Cependant, cette dernière ne leur prêta pas attention, son regard était captivé par celui qui se trouvait en face delle. Elle le connaissait, elle en était certaine.
Lui par contre, lavait reconnu dès son entrée dans la chambre du Maître. Il lavait vu au pensionnat de la sur de Madame Marie, la Gouvernante. Il y était envoyé régulièrement pour y servir de Modèle Vivant. Le jour où il lavait vu pour la première fois, elle avait été punie pour quelque obscur raison. Les ''élèves'' étaient installées depuis plusieurs minutes à leur place. Pas un bruit ne résonnait. Il pouvait voir toutes les paires de jambes se croiser et se recroiser. Il connaissait les réactions que son physique provoquait systématiquement, tant chez les esclaves du Marquis que chez les élèves du pensionnat. Et la jeune Myna nétait pas en reste.
Il lavait dautant plus remarqué lorsque la Directrice qui était entrée dans la salle et lavait fait pencher sur un bureau et quelle lui avait relevé la jupe. La femme avait eu cette remarque qui était restée dans sa tête : Et bien Mademoiselle, il va falloir apprendre à vous contrôler, voyez létat de votre culotte, puis elle lavait fouetté de sa badine jusquà ce quelle demande grâce et pardon pour la faute quelle avait commise.
Perdu dans ses pensées, il ne remarqua pas tout de suite que le Maître des lieux était entré dans la pièce. Myna les avait vus. Dabord, le beau Monsieur David, coiffure impeccable, cheveux aux épaules. Costume haute couture à la coupe parfaite. Venait ensuite Monsieur le Marquis de sa haute stature avec à son bras la belle Dame Laetitia. Les lumières des immenses lustres se reflétaient dans les diamants d'une valeur inestimables de son collier. Derrière eux suivaient plusieurs invités, certains accompagnés de soumis et soumises, qui à quatre pattes tenus en laisse suivaient tels de petits chiens. Certains étaient marqués à leffigie de leur Maître ou Maîtresse, dautres portaient des anneaux à divers endroits de leur anatomie.
Monsieur David se plaça en bout de table, juste devant elle, lui tournant le dos. Il faisait lui aussi face à son favori empalé sur sa statue dapollon et le sexe en une permanente érection. Il voyait sa souffrance et navait quune envie, pouvoir le soulager, ne serait-ce quun instant, mais il craignait bien plus son Amour, Amant et Maître aboslu, le Marquis dEvans.
Lorsque tous les convives furent prêt à prendre place, le Maître fit un geste, les invitant à sasseoir. Dame Lætitia tira alors la chaise du Maître pour quil puisse lui-même prendre place. Le temps quelle sinstalle elle-même, les premiers esclaves nus, dévolues au service, arrivaient avec les premières assiettes, tandis que dautres servaient le meilleur vin.
Ce jour là, à la table du Marquis dEvans, on servi un foie gras maison, accompagné de pain de figue. Suivi ensuite dune salade décrevisses sur un lit de saumon fumé par les soins de Marie la Cuisinière, lui-même posé sur un lit de mesclun très légèrement vinaigré.
On avait enfin posé les couverts. Alors que lon servait digestif, café, thé ou bien encore champagne, les soumis et soumises ségaillaient dans la salle. Monsieur le Marquis félicita Marie pour cette nouvelle prestation encore une fois sans accroc. Puis il se pencha à loreille de Dame Lætitia. Il lui murmura quelques mots. Cette dernière sourit et se leva, telle une lionne prête à traquer sa proie.
Dame Lætitia marcha droit sur Myna. Comme dun fait exprès, le pubis de la jeune esclave se trouvait à hauteur du visage de la favorite. Elle passa ses longs ongles parfaitement manucurés sur la peau de lesclave. Par moment elle sattardait sur les marbrures quavait laissées le fouet. Enfin elle passa ses doigts sur la fente humide de la jeune femme. Dame Lætitia avait vu le regard quelle portait à e64, elle en avait fait part à Sir Evans. Lancienne esclave se tourna vers son Maître. Ce dernier lui sourit et lencouragea dun léger signe de tête. Dame Lætitia se mit donc en devoir de lécher le sexe de la jeune femme. Ses doigts entrèrent en elle. Allant et venant dabord lentement, puis de plus en plus vite. Sa langue fourrageait tout autour de son sexe, sentremêlant entre les lèvres. Par moment, elle décalottait le clitoris de lesclave, le suçotant, le léchant, le mordillant, le rendant de plus en plus sensible. Enfin lorsquelle sentit le souffle de Myna devenir erratique, lorsque les gémissements commencèrent à devenir audible et que les parois de son vagin se mirent à se contracter autour de ses doigts, Dame Lætitia se retira.
Pendant toute cette scène, le Marquis dEvans sétait tenu adossé à son siège, coudes posés sur les accoudoirs, ses doigts joints et repliés devant sa bouche, dissimulant à peine le sourire de satisfaction quil arborait. Ses deux esclaves avaient offerts à ses invités un merveilleux spectacle très érotique.
Monsieur David sétait levé, et était sur le point de se retirer, furieux et jaloux que ces deux femelles attirent autant lattention de son Amour. Sir dEvans, à qui rien néchappait et qui connaissait parfaitement son compagnon, fit un geste et Dame Lætitia sapprocha de lhomme. Elle plaqua ses lèvres contre celle de David. Forçant le passage de sa langue. Lobligeant ainsi à goûter à travers elle, les effluves de la nouvelle. Au bout dun instant, le compagnon du Marquis la repoussa presque violemment, attrapant la main de lancienne esclave et suça longuement ses doigts, les nettoyant ainsi de toute trace de cyprine. Enfin, il se retira tête haute, sous le sourire ravi de Monsieur le Marquis, mais sans un regard de ce dernier.
Dame Lætitia allait se rasseoir à sa place, mais Sir Evans la renvoya à ses appartements, sans plus de regard, quil nen avait eu pour Monsieur David.
Il donnerait un moment à chacun plus tard, mais pour linstant il voulait les laisser dans le doute. Il se tourna plutôt sur ses invités. La table avait été débarrassée de sa vaisselle et des plats devenus superflus. Quelques soumis avaient été placés là...
(A suivre...)
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