Chloé/Elina Rencontre Des Joueurs En Ligne (1)

Une fois de plus de plus, ma double personnalité, Elina, mon pseudo de jeu en ligne, a pris le dessus.

Je me retrouve, moi Chloé, mère de famille douce et aimable, femme d’affaire classique, vêtue comme une trainée, maquillée comme une trainée, seule femme livrée au milieu d’un groupe d’une dizaine hommes avec qui j’ai discuté sur une appli de jeu et je me retrouve les yeux bandés comme il était convenu devant la porte de l’adresse que l’un d’eux m’a indiquée d’une ville qui n’est pas la mienne.

Des voix, des murmures, des bruits de pas, je suis saisie sans douceur, attrapée par les bras, trainée de force par au moins 4 ou 5 hommes. Ils m’attachent solidement les poignets et les chevilles à une sorte de croix contre laquelle je suis plaquée.

Je suis effrayée, tremblante, excitée, à l’écoute des murmures de ces hommes que je ne connais que par leurs pseudos de jeu, que par les photos, authentiques ou volées qu’ils ont mises en ligne.

Je sens sur mon corps attaché en croix des mains qui m’effleurent, des plumes qui me caressent. Je ne vois pas. Je ne sais pas qui, je ne sais pas quand cela va arriver. Parfois c’est doux, parfois ce sont des griffures, des pincements, parfois même ce sont des effleurements légers d’un fouet. J’écoute les voix, j’attends les sensations.

Un doigt entre dans ma bouche en force et s’entortille autour de ma langue. Je m’apprête à protester, à dire : « Doucement les gars… » mais à peine ai-je prononcé une syllabe qu’une gifle s’abat violemment sur ma joue :

- Ta gueule poufiasse… Je crois que tu n’as pas compris la situation… Tu nous as chauffé sur le chat, tu voulais te faire baiser… Tu vas être servie… Tu ouvriras ta gueule quand on te le diras… Mais certainement pas pour parler… Et tout se passera bien….

La succession d’attouchements continua : caresses, pincements, morsures légères et plus appuyées, suçons… Des langues épaisses tournèrent dans ma bouche laissant couler des filets de bave.



Mes vêtements étaient déchirés peu à peu.

J’avais peur mais mon corps était excité par les paroles crues :

- Elle est bonne cette salope…
- Elle a pas peur, dit une voix de black, qu’est-ce qu’on va lui mettre…Elle est venue pour ça, non ? Elle veut de la bite ?
- Oui, elle en veut de partout, dit une voix dont la main s’insinue avec violence dans mon soutien-gorge en me pinçant violemment le téton, avec juste l’intention de faire mal, de montrer qui est le maître…

La croix sur laquelle je suis attachée a tourné, j’ai maintenant la tête en bas. Des bites viennent me frapper le visage, je ferme machinalement la bouche. Une bite de bonne taille force ma bouche pendant qu’une main a arraché ce qui restait de mes vêtements et s’est insinuée sans douceur entre mes grandes lèvres à la recherche de mes orifices et de mon clitoris.
Un pincement violent de ce dernier accompagné d’une injonction d’ouvrir ma gueule et de rentrer mes dents et j’obtempère.

L’homme à genou, tiens ma tête, il glisse sa grosse queue dans ma bouche, il l’enfile jusqu’au fond, provoquant un haut le cœur et il reste au fond un temps qui me semble interminable car je ne peux respirer.
Avec ses mains, il tient ma tête et il commence à me baiser la bouche comme il l’aurait fait d’une chatte. Les autres rient, me tirent le bout des seins. Des doigts se sont glissés dans mon intimité, mais pas pour me donner du plaisir. Mon clitoris est malaxé avec brutalité, des doigts pénètrent ma chatte, ils vont et viennent, puis des voix annoncent qu’il faut préparer mon cul également.

La bite se retire de ma bouche, une autre la suit, qui fait des va-et-vient plus rapides. Après quelques minutes à peine, l’homme feule, s’enfonce au fond, en gorge profonde, il gueule et se décharge au fond de ma gorge sous les rires de ses comparses qui se moquent de son peu d’endurance.

Malgré la situation, je ne peux m’empêcher de couler quand les doigts me maltraitent, mon bassin de trainée ondule et malgré les bites et le foutre qui ont envahi ma bouche, je pousse un grognement de plaisir.

Comme promis, je reçois immédiatement une seconde gifle. Je ne l’ai pas vu venir puisque je suis aveuglée, je suis surprise, j’ai mal, je crie.
Je reçois un coup de fouet cinglant sur ma poitrine. La brûlure est vive mais cette fois je me tais.

- Tu n’as pas compris espèce de salope ? Ici, tu te tais et tu n’as pas de plaisir. Tu n’es qu’un vide-couille. Tu voulais être baisée, tu vas être baisée. Tu ne crois pas qu’une poufiasse comme toi a le droit d’éprouver du plaisir ou je ne sais quoi ou le droit de parler.
- Oui !!!
- Oui !!!
- T’es que des trous !!!

Ma bouche est à nouveau remplie de bites qui se suivent dont certaines se vident à l’intérieur.
Une bite baise ma bouche, en ressort et se répand sur mon visage sur mes seins, sur la marque du fouet ce qui me brûle. Je retiens un cri de douleur ce qui fait rire les autres.

On me détache car cela ne va pas assez vite, ma chatte et mon cul sont prêts à servir.

On me positionne à quatre pattes. On me creuse les reins.

Une matraque électrique vient m’électrocuter le clito. Je retiens un cri de douleur. Une électrocution sur l’anus. Je retiens mon souffle. Le pire c’est que je mouille. Ils ne s’y trompent pas.

- Quel sac à merde cette chiennasse, elle ne sait pas où elle est ni avec qui elle est, elle est attachée, on la cogne et quand je mets ma main dans sa chatte, la salope, elle est trempée…
- Puisque tu veux de la bite de black, ouvre ta gueule salope, chiennasse…

Une énorme queue viole ma bouche, au fond, immobile, je ne peux plus respirer. Il bouche mon nez, j’ouvre plus grand ma bouche, je bave et je tourne ma langue autour de son énorme membre épais au goût épicé. Il fait quelques va-et-vient, sort et enfonce ses couilles dans ma bouche : j’aspire comme une démente.

Pendant ce temps, un autre s’était placé dernière moi et avait lancé, haut et fort :

- Que la fête commence !!!

Son sexe est long et épais, mais s’enfonce néanmoins aisément dans mon vagin lubrifié par l’excitation de ces longs instants d’attente, de peur, de .


Ils ne m’ont pas menti ces chercheurs d’aventures en ligne : ils sont jeunes, fougueux et montés comme des animaux. C’est ce qu’Elina, celle que je suis derrière mon pseudo, cherche… du sexe animal à l’état brut.

Brut comme les coups de boutoirs que je prends dans la chatte et dans la bouche simultanément, comme les doigts que je sens me travailler le petit trou.

Ils savent de par nos échanges anonymes que je suis une folle de sexe, de bites, de sodomie, que je suis une soumise et que dans la vie, Chloé, ne laisse rien paraître de ces besoins sauvages.

Le mec qui me baisait la bouche vient de me prévenir qu’il allait se vider en moi :

- ‘Tain…’spèce de trainée, elle est bonne ta gueule… Je me suis gardé pour ce soir depuis plusieurs jours, je vais t’en mettre des litres… J’te préviens ‘pèce de chiennasse de merde, j’t’interdis d’avaler avant que j’t’autorise… J’veux que tu gardes tout mon précieux liquide dans ta bouche et y va y en avoir des litres… Ouvre grand et tu montreras à tous les autres…

Il sort et rentre jusqu’au fond jusqu’à ma glotte avec force en poussant des cris de satisfaction, des « han, han » et je sens les premiers jets puis d’autres et encore d’autres que je me garde bien d’avaler ainsi qu’il me l’a ordonné.

D’autres l’encouragent à se vider. Comment on peut cracher autant de liquide séminal ? Ma bouche est archi-pleine, je m’étouffe. Il ralentit les mouvements. Sa queue est encore raide. Il gémit encore. Je peine à respirer et à garder le précieux nectar d’autant que l’autre me bourre sans ménagement, me déplaçant de 50 centimètres à chaque coup de rein et me donnant envie de gémir à chaque fois.

Lorsque sa bite devient enfin plus mole, il se retire et le groupe veut enfin contempler ma bouche ouverte complètement remplie de son sperme, liquide dont je m’abreuverais sans modération. Celui-ci me plait, son parfum est subtil.

Je reste ainsi la bouche ouverte pendant que les hommes rient, m’affublent de noms dégradants, que par derrière je suis assaillie sans ménagement, que des mains pénètrent mon anus, que l’on vient, par jeu, de m’accrocher des poids au bout des seins, sachant que je ne pourrai me plaindre.

Le sperme et la bave commence à couler. A cause de cet effort, des larmes coulent de mes yeux faisant sans doute couler mon maquillage. Je dois être ridicule car les hommes rient.

Me tirant par les cheveux, il me fait faire un demi-cercle, sans doute pour que tous ses potes puissent voir et surtout se moquer de moi. Quelques-uns me caressent les cheveux comme on flatterait un chien.

Je n’en ai cure, car ce à quoi je pense, c’est à cette queue jeune et dure qui me bourre, c’est à mon petit trou qui va bientôt servir, c’est à ce liquide que je vais avaler, et à tout le sperme que je vais avaler, à toutes les bites que je vais prendre dans mon con et dans mon cul.

Chloé n’a pas voix au chapitre. C’est Elina la salope, la sauvage qui profite cette nuit. Chloé ne peut qu’assister, navrée à cette déchéance.

Quand j’ai bien fait la chienne gueule ouverte, il m’autorise, enfin, à avaler lentement -précise-t-il- à avaler et à montrer -avec ostentation- comme c’est délicieux et comme j’aime ça.

Quand je commence à avaler la première gorger, l’homme qui m’assaille en levrette commence à ahaner, il accélère, je sens monter son plaisir et mon orgasme et c’est donc dans un cri de plaisir et de démence que j’avale la précieuse semence dans un long cri fou.

La nuit ne fait que commencer.


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