Le Temps D'Une Escale...
Cette aventure incroyable nous est arrivée lors dune escale a Tunis durant une croisière en méditerranée que nous nous somment offerts pour nos quinze ans de mariage
Marine est encore belle malgré ses quarante huit ans, sportive, svelte, elle sentretient pour mon plus grand plaisir et celui des hommes qui se retournent à son passage, moi, cinquante ans, malgré mes efforts (peu soutenus !) je commence à avoir un petit ventre
Donc, à neuf heures nous avons pris un taxi jaune sur le port, une guimbarde qui a vécu ! mais son chauffeur a su nous convaincre en complimentant ma gazelle qui par soucis de plaire ou a cause de la chaleur a dépattés deux boutons a son corsage, au vu du bonnet de soutien-gorge qui ne contient que la moitié du sein ou aussi ses cuisses bronzées bien découvertes, pratique inhabituelle dans ce pays aux traditions plutôt prudes ! pour faire le peu de kilomètres, Sidi Bou Saïd puis lavenue Bourguiba et son horloge pour visiter le souk, ce nest pas prendre un grand risque de rater le bateau qui part a dix huit heures
Après avoir erré une énième fois dans le magnifique port Saïd et ses boutiques colorées nous avons récupéré notre chauffeur qui nous attendait en fumant le narguilé à la terrasse dun bar dune place voisine, il nous souhaite bonne chance pour visiter le souk, il y fait plus frais, sombre parfois, a chaque boutiques nous somment hélés pour ne pas dire tirés par la manche
- Entrez ! venez voir a lintérieur ! plaisir des yeux ! mille chameaux pour la jolie gazelle !
- Regarde cette échoppe chéri !! des bijoux en or !
- Du vulgaire toc oui ! si tu en veux un marchande a outrance
- Entre avec moi
- Je préfère tattendre ici
Marine entre dans la boutique surchargée suivie du patron bedonnant et dun jeune employé qui lui fait un grand sourire, moi je flâne et discute avec un autre commis sans doute là pour surveiller que je ne choure pas ! le temps passe je commence à piaffer quand des éclats de voix venus de la boutique me font dresser loreille, Marine qui sapprêtait à sortir est retenue par un bras et refoulée a lintérieur
- Il nous manque une bague de valeur, reste ici !
- Que se passe-t-il Martine ?
- Ta femme nous a volé un bijou, nous devons la fouiller
- Cest certainement une erreur et ce nest pas a vous de poser vos pattes sur mon épouse, appelez la police qui va débrouiller ce malentendu
- Si la police vous embarque ils ne vous lâcheront quaprès le départ de votre bateau, alors choisis !
- Commence par vider ton sac à main ma chérie
- Mais je te jure que je nai rien pris chéri !
- Exécute-toi ça va se régler vite fait Marine
- Voilà, regardez
il ny a pas de bague, vous êtes satisfait ?
- Ça ne veux rien dire elle là sans doute sur elle !
- Et où !!!
- Dépatte ton corsage je vais vérifier ton soutien-gorge !
- Mais ???
- Fait-le ou jappelle les flics !
- Va-y chérie fait preuve de sang froid, je suis là
- Empêche-le davancer Aziz, met la barrière afin que personne nentre dans le magasin
- Tu as entendu monsieur ? reste là, le patron va fouiller ta femme mais tu peux regarder
- Mourad ? passe ta main dans les bonnets
Est-ce dût au fait que ce soit le jeune qui va fouiller son soutien-gorge mais le visage de ma femme sillumine soudain, je crois deviner que le fantasme dont nous parlions en faisant lamour, celui de ce faire un jeune berbère lui revient a lesprit je lui réponds du même sourire lui donnant ainsi mon assentiment
Le corsage bloqué a mis bras Marine tend sa poitrine vers Mourad qui se fait un plaisir dinfiltrer ses doigts dans un bonnet 85 D, ma femme se mord la lèvre inférieure durant le pelotage en règle, il faut que le patron le rappelle a lordre pour quil sorte sa main du soutien-gorge
- Alors abruti ? ya quelque chose ou pas ?
- Ya rien patron
- Quattends-tu pour fouiller lautre bonnet ?
- Bien parton, pardon madame
vos seins sont très fermes
- Merci, cherche encore pour être bien sûr
- Vos tétons sont devenus tout raides.
- Tu te fous de moi ? tu la trouve cette bague ou non ?
- Ya rien patron...
- Pousses-toi de là je vais chercher moi-même
Le fait que Marine croise les cuisses me fait deviner quen ce moment elle mouille sa petite culotte, et le fait que le patron lui-même plote ses nichons narrange rien ! la grosse paluche arrache littéralement les bonnets, la poitrine a lair ma femme jubile ! effectivement ses tétons sont dressés ! soudain le gros Tunisien se penche pour happer un bout de sein et le téter bruyamment
- HOOO ! que faites-vous monsieur ?
- Excuse moi cest un réflexe, tu as une si belle poitrine
mais ce nest pas terminé, qui me dit que tu nas pas eu le temps de la glisser plus bas ???
- Plus bas ? vous voulez dire
dans ma petite culotte ?
- EXACTEMENT !! baisse ta jupe !
- Chéri ???
- Fait-le, je suis là ma chérie
Voilà marie en string devant les deux hommes, une tâche sombre apparait clairement entre ses jambes quelle ne prend même pas la peine de serrer
- Qui veut vérifier ?
- MOI patron !!!
- Va-y
fait vite, passe ta main devant et derrière
Le jeune Mourad tremble lorsquil glisse une main entre le pubis et la culotte et lautre entre le derrière rebondi et le tissu, Marine écarte complaisamment les pieds, le patron mate la scène les yeux exorbités la bouche ouverte
- Alors petit ??
- Rien patron...
- Et dedans ?
- Dans la ??... dans le
???
- Il faut tout te dire ? fouille ses trous conard ! allez pousse toi de là, que personne nentre Aziz
- Même pas moi ??
- Vient, a condition de ne pas bouger le temps que je moccupe de retrouver ma bague
Je vois la main pénétrer en force dans la petite culotte une phalange danse un moment sous le tissu avant de disparaitre, ma femme émet un gémissement, il vient de trouve la fente
- Mais vous lui enfoncez un doigt dans le vagin ?
- Et alors ? je veux absolument retrouver mon émeraude, bon sang, elle est profonde
- Dite plutôt que vous avez de petits doigts boudinés !
- Et celui-là il est boudiné ?
Laffreux vient de soulever sa djellaba sous laquelle se dresse un membre hors normes, circoncis et noueux comme un cep de vigne, il prend sa tunique entre les dents et se saisi de ce membre raide et tordu, je reste interloqué lorsquil cherche à linsinuer entre le string et lentrejambe offert, car je dois me rendre a lévidence, ma femme sabandonne a ce gars ventru
- Mourad ? passe derrière elle pour la tenir je narrive pas a lemmancher
Le jeune homme cesse de se masser lentrejambe pour saisir marine par les épaules afin quelle ne recule pas sous la poussée virile de son patron
- Hhhhaaaaaaaaa !! Chéri ! il vient de me pénétrer
- Il doit continuer à chercher sa fameuse bague !
- Mais il me met aussi un doigt au cul ce salaud !
- Ça fait partie de la fouille !
- Et le petit qui bande derrière moi ?
- Ça cest du désir pour toi ma belle !
Tandis que le gros tunisien la dérouille ma femme passe une main derrière elle à la recherche de la queue du jeune quelle trouve rapidement et semploie à le masturber énergiquement
- Je dois reconnaitre que tu nas pas pris ma bague madame, mais tant que jy suis autant décharger dans ta chatounette blonde
hhhhhhooooooooouuuuuuuuuuuoooooooouuuuuuuuiiiiiiiiii !!!!
- Aaaaaaaaaaaahhhhsallauuuuuud !!
Lhomme se retire le bout encore suintant quil essuie a sa djellaba, le jeune Mourad ne lâche pas ma femme vacillante, encore sous le choc de lorgasme pour la faire allonger sur un tapis, aussitôt il se met a genoux devant la chatte dégoulinante la bite a la main, une légère flexion du bassin et il sallonge carrément sur marine qui latt par le cou en nouant ses mollets autour de la taille de son fougueux amant
- Mais ? Mourad ? que fais-tu ? inutile de chercher plus longtemps la bague dans sa chatte, elle ny est pas !
- Laissez-le faire du bien à ma femme monsieur
- Et le petit Aziz ? il y a droit aussi ?
- A votre tour de faire le guet a la porte, Aziz ? vient te faire sucer par ma femme
- Merci msieur ! avale ça la gazelle !
Il valait mieux quelle soit bâillonnée pour ne pas ameuter la ruelle ! baisée, plotée, suçant avidement cette jeune bitte, marine prend un pied monstre, elle qui rêvait dune verge arabe et sen paie trois ! tout ça pour une bague fantôme !
Marine répond coups pour coups aux assauts de son jeune berbère, malgré la verge qui lui sert de bâillon je lai entendue accuser deux orgasmes et voici lapothéose lorsque Mourad décharge au plus profond de son ventre en même temps que sa gorge recueille le foutre chaud dAziz, cinq minutes pour reprendre ses esprits avant de se rhabiller et faire un minimum de toilette avec des bouchons de papier hygiénique pour pomper le foutre et nous rejoignons le taxi pour embarquer sur le paquebot qui quitte le quai, sitôt dans notre chambre je lenlace et lui prend la bouche malgré les relents de sperme , ma main gauche va fouiller sous la jupe , le string étiré par les mains rustres est encore humide, sous mes doigts je sens les lèvres entrouvertes suintantes de foutre et le clitoris encore gonflé , a lintérieur jy trouve une lave incandescente, nous basculons tous deux sur le lit , cest a ce moment que tombe de ma poche de chemisette une bague sertie dune belle émeraude
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