La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°896)
Le pensionnat, propriété du Marquis (suite de l'épisode précédent N°895) -
La vie poursuivait inexorablement sont cours au château. Les journées et les semaines étaient cadencées, tel un métronome. Chaque matin, Myna devait se rendre dans la chambre du Maître avant son levé. Chaque matin, la chambre était vide. Le Marquis dEvans partageant ses nuits entre sa favorite, Laetitia, qui était rapidement tombée enceinte, et son compagnon David.
Chaque matin, il arrivait dans ses appartements, vêtu simplement dun pantalon dintérieur. Chaque matin, elle sentait leur odeur sur lui, et elle en concevait une grande jalousie. Car malgré ses efforts pour lui plaire, il navait pas daigné la déflorer. A tel point quelle en était devenue la risée de ses consurs. Chaque matin, elle devait lui servir son petit déjeuner, comme il le lui avait appris lors de la semi-libération de sa favorite. Ensuite il lallongeait sur ses genoux. Il sentait son sexe lisse à travers la toile de son pantalon contre sa cuisse. Ses doigts et ses yeux se posaient sur les marques laissées par les fessées matinales et les punitions quelle recevait. Le Maître ne parlait pas, se contentant de caresser les deux globes qui avaient bien souffert. Il sentait ses fesses se contracter dans la prévision des claques à venir. Et puis ses larges mains sabattaient sur son derrière, inexorablement, faisant de grands bruits.
Lorsquil avait fini, Myna était en pleurs. Il la faisait alors sagenouiller et tandis quil allait se doucher. En sortant, elle devait le sécher soigneusement et lhabiller. En général, Monsieur David arrivait sur ces entrefaites. Ils partaient ensemble à leurs occupations, sans plus un regard pour la jeune esclave. Monsieur le Marquis navait en réalité aucunement besoin de travailler, mais le métier quil avait choisi lui plaisait et lui permettait de rencontrer énormément de gens et de tenir son carnet dadresse à jour.
Chaque soir, tous les esclaves qui nétaient pas déjà entravés dans les couloirs, devaient se trouver dans le hall dentrée. A genoux, assis sur leurs talons, genoux écartés, mains posées sur les cuisses, paumes vers le haut. Les mâles dun côté, les femelles de lautre. Afin daccueillir leur Seigneur et Maître.
eNatacha avait été libérée au bout de quarante jours. On lavait présenté à lassemblée des esclaves pour leur montrer ce qui pourrait leur advenir. Tous avaient été marqués de voir son état. Tremblante, sale, les cheveux tombants, des marques de flagellations récentes et anciennes. On lavait alors remise à son valet pour quil la remette en état. eNatacha avait été assignée au service particulier, de Dame Laetitia, pour quelle reprenne son éducation à zéro.
e64 avait lui aussi été libéré. Monsieur David avait été autorisé à le faire satisfaire, puis il avait dû le remettre à Dame Laetitia en personne. Monsieur David avait eu beau rechigner, pleurer, supplier, au point de passer une nouvelle nuit au Donjon, le compagnon de Sir dEvans avait dû se résigner et avait emmener e64 dans laile sud du château.
Dame Laetitia, quand à elle, était donc rapidement tombée enceinte.
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Lorsque le sexe du bébé avait été connu, à environ douze semaines de grossesse, Monsieur le Marquis avait fait apprêter Myna et lavait emmené dans laile sud. Avant dentrer dans les appartements de sa favorite, il remit entre ses mains une boite carrée et plate. Il lui ordonna de la remettre à sa favorite dès quil le lui dirait.
Sir dEvans fit signe et deux colosses débène en pagne ouvrirent les doubles portes. Dans lantichambre, nue, à genoux, Dame Laetitia. Malgré sa soumission, Myna pouvait sentir sa prestance et sa fierté.
Le Maître pris sa main et laida à se relever. Il lemmena jusquà sa chambre. Il ordonna à Myna de les suivre, de sagenouiller dans un coin et de rester silencieuse. Dans un coin e64, nu et en érection, il avait les mains sur la tête et était agenouillé, buste droit, tête baissée, il ne bougeait pas, on aurait cru à une statue. A lopposé de Myna, se trouvait eNatacha elle aussi à genoux. Le Maître leur ordonna de vêtir sa favorite. Ils se levèrent et se dirigèrent vers un fauteuil. eNatacha sagenouilla devant Dame Laetitia et laida à enfiler une paire de mules. Tandis que64 lui passait un manteau dintérieur, queNatacha ferma. Enfin, le Maître fit asseoir sa favorite devant une coiffeuse.
- Myna, approche ici !
Conformément à lordre précédent, la jeune esclave sapprocha et tendit le paquet humblement à Dame Laetitia. Cette dernière le prit sans un regard pour Myna. La favorite regarda un instant la boite, puis son Maître, et encore la boite. Ses joues rosirent.
- Allons ouvre lui dit-il presque tendrement.
Dame Laetitia défit le clapet doré et ouvrit la boite. A lintérieur, une véritable rivière de diamants purs et des rubis dun éclat inoui et une paire de boucle doreilles assorties.
- Douce Laetitia, relèves tes cheveux, Myna va te passer le collier et poser les boucles, Puis il se tourna vers Myna : Enlève le collier de Dame Laetitia et passe lui celui-ci
Myna se releva sur ses genoux. Elle défit le collier de cuir à leffigie de Monsieur le Marquis dEvans, elle le posa soigneusement sur la coiffeuse et pris celui qui se trouvait sur lécrin. La jeune fille observa un instant le fermoir et posa la rivière à la base du cou de Dame Laetitia. Cette dernière passa ses doigts sur les diamants, un léger sourire sur les lèvres. La jeune esclave prit ensuite les boucles et les accrocha aux lobes de ses oreilles. A nouveau, la favorite y passa ses doigts. Myna repris sa place aux pieds du Maître.
- Pourquoi, Mon Maître, pourquoi un tel cadeau ?
- Parce que tu mas donné un héritier, oui un petit Marquis, ainsi ma descendante continuera. Le bébé est un garçon, et ceci est ta récompense
Sir dEvans tendit sa main et Dame Laetitia embrassa chaque doigt avant de poser ses lèvres sur la paume. Elle resta ainsi jusquà ce quil la retire.
- Ce nest pas tout. Jai décidé également, au vu de ton excellent comportement de te prêter Myna, une fois par semaine durant 24 heures. Tu en feras ce que tu voudras. Cependant, noublie pas deux choses. Ne fait pas couler son sang. Si cela devait advenir, interrompt tout immédiatement et met-la au repos. Ensuite, interdiction absolue de la déflorer. Si cela arrivait, je vous vendrais toutes les deux au marché aux esclaves
Sur ces mots, Monsieur le Marquis se retira, sans même prendre la peine de toucher au dîner qui avait été préparé en son honneur. En temps normal, Dame Laetitia en aurait pris ombrage et se serait vengée sur eNatacha et e64. Mais là, avec ce cadeau et cette esclave, comment lui en vouloir ? Au lieu de cela, elle alla sinstaller dans lun des profonds fauteuils. Dame Laetitia observa les trois esclaves. Un mâle (e64 toujours en position de statue agenouillée), et deux femelles (Myna, et eNatacha), un million de possibilités
Comme à son habitude depuis quelle avait les deux esclaves à son service, elle écarta les jambes et eNatacha vint sy nicher.
Dame Laetitia ordonna à Myna de se lever et dapprocher. Lorsquelle fut à portée de sa Maîtresse dun jour, cette dernière lui ordonna décarter les jambes et de tenir ses bras derrière sa nuque. La favorite tendit alors la main et passa ses doigts sur la fente de la belle esclave.
- Mais, tu es toute mouillée, chienne. Ce que tu vois te fait de leffet, nest ce pas ?
- Je
euh
- Répond !
- Ou
oui
Madame
- Bien, dans ce cas, tu vas te mettre à genoux et sucer ce bon e64, je crois savoir que tu sais fort bien comment on fait
Tandis que Dame Laetitia disait cela, e64 et eNatacha sétaient arrêtés. La favorite qui avait commencé à ressentir les affres du plaisir en fut contrariée. Elle gifla la malheureuse eNatacha, qui en eu les larmes aux yeux.
- Tais-je ordonné darrêter ?
Lesclave contrite se remit à luvre. Myna, elle, avait déjà peur de la favorite. Leur souvenir commun la faisait frissonner. Lesclave se dépêcha donc de sagenouiller devant son confrère et pris son sexe dressé entre ses lèvres. e64 jeta un coup dil à sa Maîtresse, cette dernière inclina légèrement la tête. Le mâle agrippa alors les cheveux de la jeune femme et senfonça dun coup dans sa bouche. Il exerçait des vas et viens, lui provoquant des hauts le cur lorsque le gland venait buter contre le fond.
- Il suffit !
Ne sachant pas à qui Dame Laetitia sadressait, les trois esclaves relevèrent la tête de concert. La favorite prit le menton deNatacha entre ses doigts et la regarda droit dans les yeux.
- e64, tu vas enculer cette chienne deNatacha. Inutile de la préparer, Myna doit avoir suffisamment bavé sur ta queue de chien
Dame Laetitia se leva et enroula la longue chevelure de Myna autour de son poing. Elle entraîna sa nouvelle victime sur le lit. Pendant ce temps, e64 avait poussé eNatacha sur le fauteuil afin de la prendre plus à son aise. Il la besogna sans ménagement, ce qui fit hurler lesclave. e64 était déjà très excité par la bouche de Myna qui lavait bien mis en appétit. Tout de même, il aurait bien voulu se vider en elle. Ceci dit, le fondement de Natacha était un beau lot de consolation.
La favorite sétait assise sur le lit et avait pris Myna au travers de ses genoux. Elle se mit à lui caresser les cheveux en lui parlant dune voix presque tendre et douce.
- Te souviens-tu de ce jour où nous nous sommes rencontrées ?
Myna ne savait pas si elle devait répondre ou pas. Elle choisit de se taire et bien lui en pris, car Dame Laetitia continua.
- Vois-tu, lorsque Mon Maître ma libérer, et quil ma fait lhonneur dexiger de moi une descendance mâle, il ma offert un magnifique Donjon. Donjon dans lequel il ma puni de ma petite perfidie et de ma jalousie, comme il ma dit. Alors, comme je te lavais promis, je vais te le faire payer. Jai 24 heures pour le faire à mon gré
- Mais je vous assure
tenta Myna dune voix tremblante.
- Silence ! coupa Dame Laétitia
Dame Laetitia se mit à claquer les fesses de lesclave au rythme des cris deNatacha, que64 pilonnait sans vergogne et sans douceur aucune
(A suivre
)
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