Prendre Un Uber...
Il parait quon peut toujours compter sur ses potes ! Cest vrai, mais pas toujours comme on le croit !
Moi, cest Pascal, 27 ans, 1m78, 70kg, châtain clair, yeux clairs, sportif, en couple depuis 6ans avec une femme très souvent absente à cause de son travail. Il y a quelques années, jai découvert le sexe entre hommes et là, ce fut une révélation ! Moi qui avais une sexualité très ordinaire, je me suis mis à « chasser » et à multiplier les expériences gays, dabord comme actif uniquement puis, de temps en temps, comme passif. Mon cul a été dépucelé à 25 ans lol !
Il y a environ un mois, je devais amener ma voiture à la révision, il était prévu que je la dépose le matin avant daller bosser, un pote devait me récupérer et me ramener le soir au garage, rien que de très banal en somme ! Sauf que, bien sûr, jai appelé le mauvais pote, celui qui na pas de mémoire, qui nest pas du matin, qui accumule les plans foireux
. Bref, il ma oublié le fameux matin ! Je lappelle, il était déjà arrivé au taf, moi, comme un con, jétais à près de 10 bornes, jai préféré lui raccrocher au nez avant dêtre désagréable et lurgence était de trouver un moyen daller bosser. Bien sûr, pas de voiture de prêt disponible, personne nallait dans ma direction, le garagiste, lair ennuyé, me tend une carte dun Uber : « Cest un ami, cest tout ce que je peux faire pour vous, vraiment désolé ! ». Au point où jen suis, jappelle, le mec nest pas loin, il arrive au bout de 5 minutes, je saute dans sa voiture, je peux encore être à lheure !
Je minstalle confortablement, je souffle un peu et me détends et jentame la conversation banale, polie mais sympa. Je regarde le chauffeur dans le rétro, un beur, les yeux clairs en amande très bien dessinés, un sourire stylé, une petite barbe de trois jours super bien entretenue, une coiffure travaillée, classe et beau gosse ! Je lentends me dire un truc du genre : « Jaime bien commencer ma journée par un mec », sourire dans le rétro, « euhhh, je veux dire par un seul client avec qui je parle, les couples qui sengueulent ou qui se répartissent le boulot de la journée cest saoulant ! ».
On arrive, je paye, il me tend une carte, se retourne vers moi, putain ce sourire : « Voici ma carte, on sait jamais, je peux être très utile
». « Sûrement, jy penserai ! »
Trois jours passent, javais presque oublié quand je tombe sur sa carte en fouillant dans une poche. Là, ça a commencé à me trotter dans la tête, dabord un peu et de temps en temps puis de plus en plus. Ça revenait comme un truc dont on narrive pas à se débarrasser, ça revient dans la journée, cette petite voix qui dit : "Il était pas mal, canon même, il avait l'air d'avoir un sacré beau petit cul, il avait envie de toi, il t'a laissé sa carte. Bah, vas-y appelle et envoie-toi en l'air, ça peut pas te faire de mal...". Vous voyez ce que je veux dire !
Au début, jai résisté, puis de moins en moins, au final, j'ai ressorti sa carte et, rien que de la voir, j'ai bandé un peu. Je l'ai rangée puis ressortie jusqu'au moment où j'ai appelé :
"Salut, tu m'as filé ta carte lautre matin, tu te souviens ?", "Ah ouais, grave ! Tu veux quoi ?", "Bah, je sais pas, on peut se voir non ? ","Ça peut se faire, là, je suis en course mais je décroche vers 20h, je te rappelle si tu veux", "On fait comme ça".
10 minutes après, je recevais un texto : "Actif ou passif ?", ça ma donné la pèche et la trique : "Plutôt actif mais open et toi ?", "Pareil ! Gay ou bi ? ", "Bi et toi ?", "Pareil. On va bien s'entendre je pense", "On va surtout bien s'éclater..". On s'est échangé des textos comme ça pendant un moment, ça nous avait bien chauffé !
20h15, il appelle : "Salut, t'es toujours OK ?", "Carrément ! On se retrouve où ?", "Bah, chez toi si possible, chez moi, y'a du monde !".
Jamel entre et je referme la porte en la claquant un peu pour que l'autre comprenne bien que je n'aime pas qu'elle se mêle de mes affaires. Du coup, Jamel hésite, il est prêt à parler et je sens qu'il est fébrile. Je le plaque contre le mur, je l'embrasse à pleine bouche et commence à lui caresser la poitrine. Il répond par des caresses et accueille ma langue dans sa bouche, elle s'enroule autour de la sienne, mes mains passent sur ses fesses, je les malaxe, il en fait autant, nos bites se frottent l'une contre l'autre et, même à travers nos jeans, on sent bien qu'on bande.
On commence à se déshabiller, les sweats et les T-shirts volent dans le salon. On se déchausse et on balance les chaussures. Déjà je le pousse dans la chambre en lui donnant des coups de torse pour le faire reculer et en le guidant de mes mains, les boutons de nos braguettes sautent les uns après les autres, les pantalons nous tombent aux genoux. Dans la chambre, je le fais tomber sur le lit, je lui enlève son pantalon et le mien suit le même chemin ainsi que nos chaussettes. Nos boxers sont déformés par nos gaules, je me jette sur lui pour l'embrasser dans le cou, sur le torse, je lui mords les tétons, je remonte vers sa bouche, nos bassins se frottent l'un contre l'autre et nos bites raides se cognent l'une à l'autre, il me fait rouler sur le côté pour se retrouver sur moi et on reprend nos caresses.
Il descend membrasser le torse tout en me triturant les tétons, il me fait presque mal mais cest si bon. Je gémis de plaisir. Ses mains descendent, attnt lélastique mon boxer et le descendent dun coup, je soulève le bassin pour quil lenlève entièrement. Il se relève et ôte le sien également. Je peux admirer son corps, des belles tablettes de chocolat, une peau au teint halé, quelques poils frisés sur son torse, un ventre glabre et un filet de poils qui reprend sous son nombril jusquà son pubis pas trop fourni. Une bite raide, circoncise que jestime à 18 ou 19 cm et deux belles couilles pendantes dessous, pas trop poilues. Des cuisses fines mais musclées, le mec est un sportif qui prend soin de son corps, cest sûr. Il se met à genoux entre mes jambes, se penche un peu et, dune main, att nos deux bites et les branle doucement. Je relève la tête pour lembrasser.
Après ce long baiser, il me dit : « Tes sûr quon va pas faire du bruit ? ». Je ris et lui réponds : « Tinquiète, la voisine na jamais dû senvoyer en lair, elle ne saura pas ce quon fait ! ». Il rit aussi et membrasse à nouveau.
Au bout dun moment, il se relève et je le vois se retourner complètement, il moffre sa bite et veut sucer la mienne. Jadore les 69, donner du plaisir avec ma bouche et en prendre en même temps, cest le pied. Son gland est mouillé, comme le mien jimagine, je lèche la pointe, sa bite se raidit encore plus dun coup. Le mec est réactif, jadore ! Je prends son gland entre mes lèvres et ma langue titille le méat, je salive un maximum mais, dun coup, je lâche tout, sa bouche vient de prendre ma bite, sa langue chaude et humide senroule autour de mon gland, je pousse un long soupir qui se finit en râle de plaisir. Il salive abondamment et senfonce sur mon vît puis ressort et recommence. Cest super bon ! Je me ressaisis et reprends sa bite en bouche pour lui faire la même. Je lentends gémir avec ma queue dans la bouche.
Je me mets à lui masser les couilles, il en fait de même, puis une de mes mains saventure dans sa raie, je le caresse puis je mattarde sur son trou, je lubrifie mes doigts et commence à forcer un peu lentrée.
Avec deux doigts dans le trou, il commence à me donner des coups de reins pour me baiser la gueule, sa bite senfonce de plus en plus profond dans ma bouche et entre dans ma gorge marrachant quelques toux. Il mimpose des gorges profondes tandis que je lui lime le trou de plus en plus vite. De son côté, il me fait une pipe de rêve, il joue avec sa langue et étire mes couilles qui sont mouillées de sa salive.
A mon tour, je le fais basculer pour quon se retrouve sur le côté tous les deux, on reprend nos mouvements de bouche et de reins. A mon tour de vouloir une gorge profonde, je lui donne des coups de reins secs et rapides, je lui baise la gueule à mon tour alors quil en fait de même avec moi.
Je sens quil ressort ma bite de sa bouche, il la branle, gémit et me dit : « Si tu continues comme ça, je réponds de rien, jaimerais tenir un peu plus, jai envie de ta bite en moi ».
Du coup, on se relève, il se met à quatre pattes sur le lit, les jambes écartées et le cul bien cambré, jadmire quelques secondes, il na pas un seul poil et une rosette de rêve, juste un peu mouillée par mon doigtage. Jembrasse ses fesses, je les mordille et je plonge ma langue pour lui lécher la raie, le trou et le lubrifier. Il souffle, râle et mencourage, ses mains écartent ses fesses pour être le plus écarté et ouvert possible. Mes doigts et ma langue se succèdent en lui, il gémit de plus en plus et bouge son bassin, cest terriblement excitant.
Je me relève, me positionne entre ses jambes, jatt une capote, je méquipe, mon gland sapproche, touche son trou et, au moment où jappuie, il se recule me faisant entrer dun coup en lui, bien au fond. La surprise me fait pousser un long râle qui se mêle au sien. Il commence à bouger son bassin de gauche à droite et à avancer et reculer, il se baise tout seul, moi, jai les mains derrière ma tête, jadmire ce beau gosse avec ce cul de rêve qui se donne et prend son pied sur ma bite. Je me mets à lui donner quelques petits coups de reins en rythme avec ses mouvements. Il finit par sarrêter, du coup, je prends les choses en main, je le saisi par les hanches et je commence les va-et-vient, dabord lents puis de plus en plus rapides et secs, il pousse des cris à chaque fois et des « Putain, cest bon, elle est bonne ta queue
». Il mexcite en me disant ça, je lui saisis la poitrine pour le relever et lui plaquer le dos contre mon torse, une de mes mains descend pour le branler tandis que lautre lui pince les tétons, il penche sa tête en arrière, je lembrasse, ma langue entre dans sa bouche pour senrouler autour de la sienne. Je le sens haleter de plus en plus vite et de plus en plus fort, dun coup, sa bit se durcit et est secouée de spasmes, il crache son jus sur son ventre, 6 beaux jets bien fournis.
En même temps son anus se contracte, cest tellement bon que mon plaisir monte et je remplis ma capote en jouissant en lui. Je pousse, à mon tour un râle énorme étouffé dans sa bouche. On seffondre lun sur lautre, essoufflés, vidés, encore secoués des derniers soubresauts du plaisir que lon vient de se donner.
Cest une petite sonnerie de téléphone qui nous fait réagir, il se lève, je mate ce beau gosse avec ce cul de rêve qui part dans la salle à manger. Je lentends parler pendant que je me rhabille, il revient et me dit : « Jai une dernière course et je dois rentrer. Cétait trop bon ! ». « Ouais, on remet ça dès quon peut ! », « OK ». Il ma embrassé, sest rhabillé et est parti.
Finalement, je lui en veux pas à mon collègue qui ma oublié ce matin-là, au contraire, on peut toujours compter sur ses potes
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