La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°897)
Marion au Château (suite de l'épisode N°893)
Et le Maître se leva, se dirigea vers un petit meuble qu'Il ouvrit et dont Il sortit une gamelle. Il l'a rempli d'eau, la posa près de la table basse et me regarda. Sur un claquement de doigts, Il dit :
- Eh bien, Ma chienne ! Tu as entendu ? Viens te désaltérer !
Je restais interdite. Comment le Maître pouvait-Il me demander cela devant des clients professionnels ? Je Le regardais quelques secondes. Devant Son regard dur et sévère, voire impassible, je nosais pas Lui désobéir, mais je ne pouvais me mouvoir rapidement. Javançais vers la gamelle debout, en la regardant fixement. Un coup de fouet me toucha aux épaules.
- Eh bien, chienne ! dit-Il dune voix forte, mais pourtant sans crier. Est-ce ainsi que se déplace une chienne femelle de ton espèce ?
Jétais aux bords des larmes mais je commençais à plier les genoux, quand je sentis un nouveau coup de fouet.
- On a jamais vu une chienne habillée dun tailleur, il me semble
tourne toi face à moi, mais ne me regarde pas, et déshabille-toi !
Je me tournais vers le Maître, bien heureuse de ne pas être obligée de Le regarder dans les yeux, et de ne pas devoir faire face aux deux inconnus. Je défis lentement les boutons de la veste, la laissais glisser le long de mes bras, puis je baissais la fermeture éclair de la jupe pour quelle rejoigne également le sol. Le Maître claqua des doigts. Je Lui en fus reconnaissante ! Je me précipitais pour me prosterner à Ses pieds et à partir de ce moment-là, je me retrouvais dans notre bulle D/s, celle qui mavait permis de mévader quand je vivais encore avec mon mari, tout ce qui nétait pas nous, seffaçait.
- Bien, maintenant va boire ma chienne !
La voix était toujours ferme et empreinte dautorité, mais je devinais lencouragement qui était derrière. Alors avec autant de grâce et de sensualité que je le pouvais, je me mis à quatre pattes, allait jusquà la gamelle en une allure féline en mettant mon fessier bien en valeur.
- Même position prosternée, cul face à moi !
Et après que jeus pris la position demandée, Il posa ses pieds, croisés, sur le galbe de mes fesses et continua Sa discussion avec Ses deux invités, qui posaient des regards denvie sur mon corps offert à Celui à qui javais fait don de ma vie. La discussion entre les trois hommes qui se connaissaient manifestement depuis longtemps, dura un moment. Pendant la discussion, Monsieur le Marquis me demanda de débarrasser la table du salon, et de me coucher sur le dos sur celle-ci.
- Je vous en prie, Messieurs, si vous voulez vous divertir, ma chienne est là pour ça !
Au début, ils ne firent pas trop cas de moi, mais assez rapidement, lun deux soccupa de mes tétons, pendant que lautre regardait les différents accessoires que le Maître avait pris soin de mettre à leur disposition, après leur avoir ouvert une grande armoire. Mes quatre membres furent attachés aux quatre pieds de la table, lun deux me bondagea les seins, en faisant passer la corde sous la table. Je reçus un bâillon-boule dans la bouche, des pinces sur mes tétons et sur mes lèvres intimes. Ils samusèrent à me faire frémir sous une plume, à me réchauffer à coups de martinet, que je réussis à recevoir sans le moindre bruit. Le Maître, pendant ce temps-là, nous regardait, semblait satisfait. Quand on entendit sonner la cloche du déjeuner.
- Vous resterez bien déjeuner, Messieurs ? Je vous offre lhospitalité le temps quil vous plaira de rester en Ma demeure. Je pourrais évidemment vous mettre à disposition autant de chiens ou chiennes que vous pourriez le souhaiter, aussi bien de jours que de nuits...
- Nous Vous remercions, Monsieur le Marquis, et nous acceptons volontiers Votre proposition, répondit lun deux après quils se soient concertés du regard avec un sourire denvie et de gourmandise.
Et les trois hommes sourirent dun air entendu. Je fus détachée, débarrassée de mes accessoires, et je dus les accompagner dans la salle à manger. Je navais toujours pas mangé, et je craignais de finir par me trouver mal, si je navalais pas très vite quelque chose. Mais je suivais le Maître docilement. Bien sûr, je neus pas le droit de masseoir à table, mais jeus celui de rester à quatre pattes sous la table, à observer les trois convives, pour apercevoir le moindre geste qui montrerait que lun deux me solliciterait
Il y eu trois claquements de doigts et pour chacun deux, je dus sucer les trois hommes à tour de rôle, recevant chaque fois leur semence au fond de ma gorge, mais cela ne me suffisait pas comme nourriture. Et alors que cela faisait plusieurs minutes que personne ne mavait appelé, ni pour se servir de ma bouche, ni de mon corps qui fut trituré et souillé car ils se servaient de mes cheveux et de mon corps pour sessuyer les mains, je sortais de sous la table et me prosternais aux pieds du Châtelain. Il eut lair surpris, mais lorsque je commençais à trembler, Il sinquiéta réellement. Après sêtre excusé auprès de Ses hôtes, Il mentraina à lextérieur de la pièce.
- Que se passe-t-il Ma chienne ? Tu te sens mal ? Tu nes pas malade au moins ? Tu as lautorisation de me parler !
- Non, Maître Vénéré, je ne suis pas malade, mais jai faim ! Je nai pas mangé depuis que je suis partie amener mes filles à laéroport, et je ne me sens vraiment pas bien
- Nas-tu donc pas mangé après avoir pris ta douche dans la salle deau commune ? Le chien qui était chargé de taccompagner devait te donner une gamelle fortement nourrissante avant que tu ne me rejoignes.
- Non Maître, je nai rien eu.
- Tu nas pas à texcuser Ma chienne ! Si tu nas rien mangé, il est normal que tu te sentes mal. Je verrai avec Walter pour que le chien qui devait te nourrir ce matin soit puni. En attendant, je vais lappeler pour quil te conduise aux cuisines. Tu mangeras et ensuite tu iras te reposer une heure, le temps que ton corps absorbe bien lénergie que te procurera ton repas. Et tu viendras me rejoindre dès que lon viendra te chercher et te dire où me trouver
Juste au moment où Il allait prendre son portable pour appeler le Majordome, celui-ci apparut au bout du couloir. Le Maître le héla et lui expliqua ce quIl voulait et repartit à table. Moi je suivis Walter jusque dans le domaine de Marie la sévère cuisinière. Il mavait proposé au choix soit de me déplacer comme la chienne que jétais, soit de marcher sur mes deux pieds, si je me sentais mieux ainsi. Mais aucune autre position que celle qui reflétait ce que jétais vraiment ne pouvait mieux me convenir. La cuisinière allait commencer à rouspéter, une cravache à sa ceinture prête à être utilisée. Mais lorsque le Majordome lui expliqua pourquoi jétais là, elle me servit rapidement une gamelle plus que bien garnie dune pâtée, toujours aussi peu appétissante, mais au combien revigorante et énergisante ! Je fus ensuite ramenée dans ma niche où je me reposais jusquà ce quun des maîtres-chiens ne vienne me réveiller en me disant que le Maître mattendait dans Son bureau
Javais retrouvé une bonne forme et quand jarrivais, je trouvais Monsieur le Marquis debout au centre de la pièce. Prosterné devant Lui, le soumis qui mavait accompagnée à la douche le matin, et toujours les deux clients qui étaient présents confortablement installés dans des fauteuils en cuir. Je vins me prosterner à côté du soumis qui semblait légèrement tremblé.
- Chien, peux-tu mexpliquer comment cela se fait que Ma chienne, ici près de toi, nas pas reçu sa gamelle comme il te létait exigé ?
- Maître, je Vous prie de bien vouloir daigner mexcuser, cela ne se reproduira plus
aïe
.
- Je ne te demande pas si tu as lintention de récidiver ou non, je te demande pourquoi tu nas pas obéi à Mes ordres.
- Mon Maître, je
(nouveau coup de fouet encore plus appuyé)
- Je ne suis pas « ton » Maître, espèce de chien bâtard ! Je ne tappartiens certainement pas ! Je tannonce déjà que tu seras puni pour cela. Maintenant réponds moi clairement où il ten cuira !
- Maî
Maître Vénéré
. Jai oublié de passer en cuisine avant daller chercher soumise Marion MDE, et
jai pensé que ne le sachant pas, elle
elle ne se plaindrait pas
je ne pensais pas quelle ferait un début de malaise
- Alors attends-toi à être sévèrement puni ! Tu as oublié dobéir à un ordre, et oublier cest négliger lordre donné et négliger lordre, cest négliger le Maître, ce qui est pire, cest une très grave faute. De plus, tu las intentionnellement caché cet oubli et ça cest également très grave. Ensuite, tu utilises le possessif à Mon égard, Mon Maître comme si la toute petite chose que tu es, pouvait posséder quoique ce soit, et encore moins le Maître qui te soumet ! Un chien de ton espèce ne possède absolument rien du tout sauf le droit dêtre sous Mon toit, sous Mon joug, ce qui est déjà un immense privilège
Mais cet unique droit nest pas une possession pour toi
Un long silence pesa sur la pièce de longues minutes. Le soumis baissait la tête et paraissait très honteux de sa faute avec un air craintif
Le Maître continua :
-
Tu es renvoyé chez toi, pendant un mois, un mois pendant lequel tu nauras pas la moindre nouvelle de Moi, un mois pendant lequel je tinterdis dessayer de prendre contact avec moi. Cependant, tu as lobligation décrire chaque jour ce que tu ressentiras durant cette sanction. Dans un mois, je lirais ce que tu auras écrit et que tu devras menvoyer par mail, uniquement dans trente jours, pas un jour de moins, pas un jour de plus. Si tu écris plus tôt, ton renvoi sera définitif. Si tu écris plus tard, je considèrerai que tu ne veux plus être à Mes pieds et ton renvoi deviendra également définitif. Ce Château nest surtout pas une prison, si tu veux en partir, tu es libre, mais ce sera sans retour possible ! Maintenant, va rejoindre Walter, je ne veux plus entendre parler de toi jusquà la date que je tai fixé pour lenvoi de tes ressentis
Je tremblais pour lui. Un mois sans aucun contact avec le Maître était la pire punition, en dehors dêtre banni à vie du Château, que lon pouvait recevoir ! Le Châtelain sapprocha de moi et me caressa la croupe qui Lui était offerte.
- Quant à toi, Ma petite chienne, maintenant que tu as retrouvé tes forces, tu vas nous accompagner dans la visite du Château et de ses extérieurs proches, évidemment en quadrupédie !
(A suivre
)
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