'Chloé/Elina Rencontre Des Joueurs En Ligne (2)

Il a craché son jus d’homme pour partie dans mon sexe et s’est retiré pour se finir sur mon dos. Des mains m’ont étalé le foutre en signe de possession.

L’homme a présenté son manche à ma bouche :

- Tu ne crois pas, salope, que je vais garder ma si jolie queue dégueulasse de l’avoir trempée dans ton garage à bite ? Ouvre-la et suce pour nettoyer, et applique-toi…

Je retrouvais le goût familier de mes sécrétions que je suçais si souvent sur mes jouets intimes. J’avais envie de les sucer toutes après qu’elles se soient vidées dans ma grotte électrisée.

Déjà un autre avait pris sa place dans ma chatte, en levrette, et dès que ma bouche fut disponible, une bite longue et fine exigea que mes lèvres forment un O afin qu’il puise la baiser comme une chatte et il promit de me faire souffrir si ma langue ne léchait pas son gland circoncis. Ce que je fis, non parce que j’avais peur mais parce que la folie me gagnait à nouveau à cause des coups que je prenais dans mon sexe et des doigts qui entraient et sortaient très vite dans mon anus.
Cela ne l’empêcha pas de tirer fortement sur les pinces à seins estimant que « ma bouche était vraiment un égout dégueulasse ».

L’homme beugla dans mon dos en se cramponnant à mes fesses, il fut sans délais suivi par un homme à l’odeur forte et au sexe long et large. Il y avait de la rage dans sa façon de s’enfoncer en moi ; Il sortait complètement et entrait à nouveau d’un coup brusque tout au fond en me hurlant des injures pour se prouver à lui, aux autres ou à moi qu’il était le Maître et moi sa chose.

- Tiens ! Prends ça… Trou à bites !
- Et tiens ! J’te la mets là ! Au fond !

A un moment, il la sortit complètement comme les autres fois mais sans prévenir il me la fit entrer d’un seul coup et sans préparation dans le cul. Je ne pus m’empêcher de pousser un cri malgré la queue que j’avais dans la bouche ce qui me valut une gifle cinglante.


Adepte de la sodomie et préparée par tous les doigts qui s’étaient introduits dans ma rondelle, j’avais cependant ressenti une douleur fulgurante d’autant que le molosse ne s’était pas arrêté et avait continué pour son propre plaisir à entrer et sortir, désormais uniquement dans mes intestins.

Ne se préoccupant pas de l’état de mon anneau, nullement soucieux de savoir s’il m’avait déchirée, bien serré encore, il ne tarda pas à m’inonder dans un râle puissant.

Douloureuse, je ne bronchais pas mais quand il m’inonda je sa semence brulante, j’eus, malgré moi un spasme au niveau de ma rondelle anale : je jouis du cul mais je me gardai bien de manifester mon excitation pas plus que je n’avais montré ma douleur.

J’étais toujours effrayée, les yeux bandés, livrée – certes de mon plein gré au départ – à un groupe d’hommes que je ne connaissais pas, dont je ne connaissais pas le nombre, ni les noms, ni les adresses, dans un endroit inconnu. J’étais désormais leur prisonnière pour une durée que je ne maîtrisais pas. Je ne savais où j’étais et ne pourrais venir me chercher.

Moi si fière et digne d’ordinaire, j’étais humiliée, sale, à terre, insultée, moquée, maltraitée, moins considérée qu’un animal, qu’un objet.

Mais à ma peur, se mêlait de l’excitation, une envie de sexe, de bites, d’être prise par tous mes orifices, de n’être rien ni personne. Plus j’étais baisée plus j’avais envie de plus de bites et ce sentiment me troublait au plus haut point. Mes sens étaient exacerbés. Ma bouche était grande ouverte à la recherche d’une queue, mon sexe béant attendait en vibrant un sexe à enfiler et ma rondelle s’ouvrait et se refermait telle un organe qui respire, elle aussi en attente de se sentir complètement comblée par le manche d’un des Maîtres.

Un autre pris la place du sodomite pendant que l’homme qui m’avait violemment défoncée le cul venait se faire nettoyer le manche qui avait – car il était le premier - un gout acre bien que je me sois soigneusement préparée à cette pratique.


Pendant que je me faisais enculer, un homme se glissa sous mon ventre, se positionna sous moi pour entrer dans ma chatte.

J’avais enfin une queue dans chaque trou.

Je me sentais vivre.

J’avais du foutre dans tous les trous, j’en avais sur moi, dans les cheveux, sur le visage, mon maquillage avait coulé, mais je me sentais vivante dans cette folie qui me manquait dans ma vie bien rangée. Plus j’étais humiliée et plus j’étais excitée et plus j’écartais mes orifices et plus j’avais envie d’en recevoir.

Il y eut un moment où je n’eus un instant plus de queues dans ma bouche mais je compris vite, aux rires qui fusèrent, qu’il se préparait quelque chose.
J’étais toujours prise en double anale et vaginale, quand un cul vint se poser contre mon visage.

- Ecarte-moi les fesses avec tes mains, tire la langue et lave-moi le trou du cul espèce de dégénérée de bourgeoise de merde. T’es bonne qu’à ça… A moi et à tous mes potes !

J’ai léché des culs, pas tous propres, des couilles par le dessous cette fois, certaines douces, d’autres poilues, d’autres encore aux poils courts et drus, mais les bites qui me ramonaient et la situation ô combien glauque m’avaient désinhibée.

- Tu lèches comme une chienne, hein chiennasse ???

J’acquiesçais.

- Alors tu vas te conduire comme une chienne. Fais la chienne. N’oublie rien, fais-le bien, sinon, y a pas de SPA ici…

Et j’entendis le bruit du fouet du le sol. Je comprenais ce que cela signifiait.

Ils me passèrent une corde autour du cou. J’étais tellement excitée par ce que ces hommes me faisaient, par mon envie d’être ce qu’il voulaient que je fûs , que mes reins se cambraient naturellement.

Je me mis à avancer à quatre pattes, je tirais la langue et je jappais tout doucement pour ne pas sembler trop sûre de moi. Je cherchais à travers la pièce, sans me préoccuper des rires et des quolibets de ces hommes sans doute issus des cités, des bites et des couilles à lécher et je montrais ma satisfaction parce que j’étais une bonne chienne.


Après que j’eus léché avec application une queue de belle dimension, une main me caressa presque affectueusement la tête comme on l’aurait fait à son animal alors, émue, je me retournais, et me creusant les reins et écartant le plus que je pouvais mon cul et je m’offris à lui. Je l’avais bien sucé, il l’avait bien dure, il m’encula. Mon cul dilaté et lubrifié par tant de sperme n’offrait plus de résistance et je fus très excitée quand l’homme avec vulgarité cria aux autres :

- Oh les frères, son cul est aussi large qu’un terrain de foot, y en a bien un qui viendra lui éclater la rondelle avec moi à ce garage à bites ?


(à suivre)


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