Vente Inattendue Nouvelle Collection
Vente inattendue nouvelle collection :
Je viens d'être embauché dans une importante société textile. Celle-ci a différents secteurs de distributions. Je suis agent commercial pour la branche lingerie féminine. Deux semaines plus tard Antoine intègre cette même branche pour un autre secteur de la France.
Après une minime formation, nous sommes envoyés sur le terrain. Moi pour l'Ouest et Antoine pour le Centre.
Les affaires n'étaient pas faciles malgré le bon contact avec la clientèle. Quelques semaines plus tard, je fus convoqué par le chef de réseau, mon chiffre n'avait pas atteint les objectifs fixés au départ par celui-ci
J'avais rendez-vous le surlendemain dans la salle de réunion. Autour de la table présidait le chef de réseau monsieur Martin, Antoine le nouvel agent, et moi-même. Après quelques mise au point sur nos chiffres réciproques , monsieur Martin nous présenta Olivier, le meilleur agent commercial de cette branche lingerie. Pendant une heure d'échange de conseils supplémentaires quelques pages de documentation nous sont données. Puis monsieur Martin nous informa que nous allions tourner pendant une semaine avec Olivier pour améliorer notre technique de vente. A la sorite de cette réunion avec les remontrances de monsieur martin je m'adresse à Olivier.
- Moi : je ne suis donc pas capable ?
- Olivier Ne vous en faites pas Eudes, c'est toujours comme cela les premières semaines vous ne connaissez pas complètement le produit, et monsieur Martin est impatient des résultats.
En me disant cela, Olivier, me regardait bien dans les yeux avec un léger sourire, et posant sa main sur mon bras, rajouta
- Olivier : Vous savez Eudes, je pense que nous allons bien nous comprendre, vous avez une sensibilité et une délicatesse que j'apprécie, vous correspondez à ce que j'aime.
Je n'avais pas tout à fait compris la fin de sa phrase, avait-il deviné mon homosexualité, et avait-il compris qu'il était le genre qui m'excite.
Le lundi de la semaine suivante, nous avons pris la route tous les trois avec la nouvelle collection pour visiter certains clients d'Olivier.
Nous avons commencé la prospection au Sud de Lyon. Nous entrons tous les trois avec la collection dans un splendide magasin à Valence. Olivier salua ses clients en nous présentant très courtoisement. Les personnes qui allaient découvrir, regarder et choisir dans la collection était un couple d'une quarantaine d'année.
Au fur et à mesure de la présentation des articles, Olivier tapait sur sa tablette les traditionnels renseignements : références, coloris, tailles et quantités Pour certains articles notamment les culottes strings et guêpières, j'étais très surpris des grandeurs des tailles qui étaient annoncées. La visite chez ce client a duré presque trois heures. A la sortie du magasin je me tourne vers Olivier pour le féliciter de la belle commande qu'il avait prise uniquement chez un client.
- Olivier : Merci, effectivement c'est un bon client
- Moi : Je suis étonné par le référencement de certains articles mais surtout des tailles commandées. Ils ne se sont pas trompés ?
- Olivier : Non, non, je sais, je vous expliquerai ce soir. J'ai trois ou quatre magasins comme eux et çà me fait décupler mon chiffre.
Après une petite heure de route nous voilà arrivés à l'hôtel, pour une soirée étape.
Nous sortons chacun du coffre notre valise personnelle, Olivier fait de même plus une des valises de la collection. Nous prenons procession de notre chambre (au même étage et en face l'une de l'autre)
Olivier nous invite à prendre une douche après cette longue journée et de se retrouver dans sa chambre pour quelques conseils et faire le point. Un moment après nous sommes dans la chambre d'Olivier.
- Olivier : Je vous convoque pour faire rapidement le bilan de cette journée pour que votre chiffre progresse. Comme, me faisait Eudes, ce client de Valence a pris des tailles assez grandes pour cinq articles de notre collection.
Antoine et moi-même nous nous regardons sans trop savoir répondre
- Antoine : Les clientes de cette région sont un peu plus fortes que le barème moyen ?
- Olivier : Non, ce n'est pas cela. Réfléchissez !
- Moi : je ne vois vraiment pas
- Olivier : Avez-vous constaté les modèles référencés ?
- Moi : C'étaient plutôt des culottes et des strings
- Olivier : c'est cela. Et alors ??
Antoine et moi nous nous regardons sans vraiment de vraies réponses à donner.
- Olivier : Dans ce magasin, ce sont des hommes qui portent ces sous-vêtements au tissu délicat et fin.
Nous sommes complètement interloqués et étonnés de cette réponse.
- Antoine : Des hommes portent cela, ce n'est pas possible, vous avez vu les quantités qu'ils ont pris
- - Olivier Oui, oui, effectivement et j'ai plusieurs magasins comme celui-ci, c'est ce qui fait monter mon chiffre? C'est moi qui leurs ai proposé il y a trois ans et çà marche relativement bien;
- - Moi : Qu'est-ce qui vous a donné l'idée de proposer notre collection féminine pour des hommes
- - Olivier : C'est que j'en porte.
- - Antoine et moi : Vous en portez ?
Olivier est un bel homme d'une quarantaine d'année de un mètre quatre-vingt dix, svelte, les yeux verts, à peine grisonnant. Il est marié à une très jolie épouse qui lui a donné deux s.
- Olivier : J'en ai un sur moi. Vous voulez voir?
Interloqués et presque choqués, comme c'est notre chef, Antoine ose répondre
- Antoine Behhh ! oui si vous le voulez
Olivier se baisse pour enlever ses souliers, desserre sa splendide ceinture, ouvre son pantalon et le descend. Et oh ! surprise nous apercevons qu'il porte effectivement un des modèles proposé au client de cet après midi. Un modèle de culotte couleur chair en taffetas de soie et dentelle qui épouse correctement ses formes de son joli corps sculpté. (Sans être boudiné). J'avais l'impression vue l'échancrure de cette culotte qu'Olivier avait le pubis rasé.
Nous voyons forcement la traditionnelle bosse et à travers la dentelle et nous devinons un sexe (mou) de belle dimension positionné en biais à l'intérieur. C'est très surprenant.
- Antoine : Vous mettez cela pour faire votre prospection, mais chez vous avec votre épouse ?.
- Olivier : Depuis le temps elle a l'habitude, car à l'époque je lui avais fait croire que c'était la nouvelle tendance masculine de certains couturiers. Et elle l'a bien accepté. Mais je peux vous dire que c'est confortable et agréable à porter.
- Antoine : mais . . . à certains moments vous n'avez pas de soucis pour tout faire contenir
- - Olivier : Pas du tout, et je suis bien gaulé vous savez.
C'est un peu osé, mais enfin. Olivier avec sa culotte dont la dentelle se détend doucement se dirige vers le porte-bagages et ouvre la valise contenant une partie de la collection et en sort une culotte analogue. Il la tend à Antoine.
- Olivier : Tenez cher collègue, prenez ce modèle et mettez-le vous verrez le confort.
- Antoine : mais je n'ai pas envie de porter çà, je ne suis pas une fiotte, je suis marié.
- Olivier : je vous dis de le mettre ! ! vous ne pouvez pas vanter un article et argumenter au responsable du magasin pour les inciter à le proposer à sa clientèle masculine, si vous ne savez pas ce que c'est..
Antoine obtempère et se dirige vers la salle de bains.
- Olivier : Quand il va revenir, je compte sur vous Eudes pour le convaincre. Je suis sûr que vous le porteriez sans problèmes.
- Eudes : Pas de problème Olivier, moi je trouve cela très joli et seyant en plus vous le portez bien. Une seule chose, . . et lorsqu'il vous arrive d'être en érection ?
- Olivier : C'est tout comme un autre sous-vêtement masculin, le gland dépasse un peu surtout avec mes vingt-deux centimètres.
A ce moment sort de la salle de bains Antoine. Alors là pour lui c'est complètement ridicule et horrible.
- Olivier : Avance un peu Antoine, mettez-vous de profil. Eudes comment le trouvez-vous?
- Moi : Cela serait mieux si les poils ne sortaient pas de la dentelle et des côtés
- Olivier : Vous avez tout à fait raison Eudes, Venez ici Antoine et allongez-vous sur le lit
- - Antoine : mais pourquoi ? J'ai fait ce que vous m'avez dit et vous pouvez constater mon ridicule
- - Olivier : Pas tu tout, restez-là j'arrive !
Monsieur Olivier se dirige vers la penderie et en sort une trousse qu'il pose sur le petit bureau. Il en extrait différentes boîtes ainsi qu'un récipient rond qu'il branche.
- Olivier : Maintenant s'il vous plaît, vous ôtez la culotte et je vais vous enlever vos poils. Ils gâchent toute l'esthétique du produit.
- - Antoine : Mais vous ne croyez pas que je vais me mettre nu devant vous et encore moins que vous enleviez mes poils.
- - Olivier : Vous ne mettez pas en valeur notre collection. Vous voyez donc bien la différence entre vous et moi pour le même article.
La phrase terminée, <olivier descend son sous-vêtement un peu énervé.
- Olivier : Il faut que cela soit comme cela, n'est-ce pas plus joli sans rien.
Il enlève complètement la culotte et la pose sur le bureau, sa queue a déjà légèrement grandit, et effectivement elle doit bien faire les vingt-deux centimètres lorsqu'elle sera toute droite. Il prend certains éléments qu'il avait déposés. Il revient vers le lit et descend la culotte d'Antoine. Il gigote un peu.
- Olivier : Eudes, ne restez pas planté, approchez-vous et tenez cette jambe écartée, pendant que je coupe avec les ciseaux cette touche qui se voit même à travers la dentelle.
Antoine bougonne, mais se laisse faire tout de m^me.
- Antoine : mais que va dire mon épouse, lorsque je vais revenir
- Moi : Tu lui diras que c'est pour la collection de sous-vêtements que tu es obligé de faire voir à certains de tes clients pour décrocher une commande, donc ton chiffre.
Pendant qu'Olivier coupe les poils du pubis, sa queue est devenue bien droite. Même n'ayant pas de culotte de la collection, j'ose enlever mon pantalon. Ma queue, elle aussi se déforme dans mon slip masculin.
- Olivier : Bonne initiative Eudes, cela sera plus pratique. J'ai presque terminé de lui couper les poils du pubis et ceux de l'aine.
- Antoine : Ouf ! Alors c'est terminé je peux me rhabiller.
- Olivier : Non, non, là j'ai seulement coupé, il faut maintenant faire tout disparaître. Là c'est coupé seulement très court, il faut que cette zone soit nette et lisse.
- - Antoine : c'est donc bien comme cela, mais alors qu'allez-vous faire ?
- - Olivier : la finition Détendez-vous Antoine
Olivier prend une spatule et la trempe dans le petit récipient et se dirige vers le lit. Il commence à passer la spatule sur une petite partie du pubis d'Antoine. En tenant ses jambes ma main un peu volontairement frôle la queue d'Olivier qui est bien chaude.
- Moi : Oh ! pardon, Olivier, mais je croyais qu'elle allait toucher la cire, elle est tellement longue
- Olivier : Vous avez bien fait, et çà me fait du bien, vous pouvez continuer, si vous voulez Eudes.
Pendant ce temps, Antoine proteste car la cire est chaude, sa queue est recroquevillée, Olivier tapote sur la cire, et d'une main tient une extrémité de la cire pour tirer de l'autre d'un coup sec. A ce moment Antoine pousse un cri presque de douleur. Olivier ne se démonte pas et replonge la spatule dans le récipient pour re-badigeonner le pubis d'une couche plus épaisse et plus large. Il tapote de nouveau pour bien faire adhérer, attend quelques courts instants et saisit l'extrémité pour l'arracher. Cette fois-ci il hurle en mettant une de ses mains sur la partie dénudée des racines des poils. Il a des larmes aux yeux. Il se tord un peu par la douleur.
- Olivier : Si vous bandiez un peu, cela me faciliterait le travail.
- Antoine : avec une pareille comment voulez vous que je sois en érection et en plus m'exhiber devant des hommes c'est impossible.
- Olivier : Eudes vous allez me faire bander notre collègue avec une fellation car avec un tel vermicelle je ne peux pas travailler
- Moi : Quoi ? le sucer ? Monsieur Olivier ,
- Olivier : Evidemment, vous ne voyez pas votre slip, vous par contre vous bandez. Enlevez le, comme cela votre sexe pourra mieux se déployer.
Je m'exécute, effectivement je suis excité par la scène. Mon sexe a des mensurations plus modestes que celles de monsieur Olivier, je ne fais que dix-neuf centimètres.
- Olivier : Eh ben, parfait, vous aussi vous êtes rasé, c'est bien.
- Moi : Oui, oui je fais cela régulièrement, c'est plus propre je trouve, mais c'est avec de la crème dépilatoire.
- Olivier : Peut importe. le résultat est net et vous pourrez mettre en valeur la collection. Moi je le fais au rasoir, mais pour Antoine ce sera la troisième solution à la cire et c'est encore plus net. Allez, faites bander notre ami.
Au moment où je m'approche de la bite d'Antoine, celui-ci proteste vivement.
- Antoine : il n'y a que ma femme qui me suce, et que rarement, mais pas question qu'un homme le fasse.
- Olivier : Laissez-vous faire Antoine, non seulement vous serez beau bien lisse et en plus vous ne regretterez pas une pipe faite par un homme. Je suis persuadé que vous en redemanderez.
Je m'approche doucement pour mettre ne bouche le sexe d'Antoine complètement rabougri. De l'autre main j'essaie d'atteindre gourdin d'Olivier pour le caresser et essayer de l'empoigner pour un doux coulissage. Cela ne dure qu'un petit instant, je me concentre sur ma succion pour faire bander Antoine. Progressivement son sexe change de forme et commence à se développer. Il a l'air lui aussi d'avoir un beau boudin.
- Olivier : Bien Eudes, tu arrives déjà à le faire bander, pour le moment c'est physique, dans quelques minutes ce sera du plaisir, tu vas voir. Continues, encore, je vais essayer pendant ce temps d'enlever sur ses couilles.
Olivier dépose de nouveau de la cire, cette fois-ci sur les bonbons d'Antoine, qui sursaute avec la chaleur du produit. Mais en même temps, qu'Olivier l'étale, la seconde main d'Olivier se positionne sur la rondelle d'Antoine pour lui masser. Dans ma bouche je sens la verge s'élargir en plus de s'allonger. Les va et vient de ma bouche sont de plus en plus amples et bruyants avec de ma salive qui coule le long du membre devenu dur. Je ne sais pas si c'est du à ma bouche suceuse ou au doigt d'Olivier, d'un seul coup Antoine pousse des soupirs avec une respiration qui s'accélère, puis rapidement les soupirs deviennent de petits gémissements mais d'un seul coup se sont des râles. Olivier me regarde en me souriant et en s'adressant à moi
- Olivier : Vous voyez Eudes, j'ai l'impression qu'il aime et aussi adore, mais il va falloir que vous arrêtiez pour que je puisse continuer le travail;
Je m'arrête progressivement, les joues d'Antoine sont devenues cramoisies et ses jambes tremblent un peu; Je cesse mes succions.
- Antoine : Oh Continuez s'il vous plaît, c'est trop bon
- Olivier : Attends un peu il faut que je finisse la disparition de tes poils, il y en a encore
- Antoine ; Non, non.
Olivier ne faiblit pas et repasse encore de la cire, la tapote et encore une fois tire sur la bande où une touffe arrachée s'est collée dessus mais fait hurler et crier Antoine de douleur, ce qui est très excitant, mais surtout le résultat impeccable. Antoine met ses mains sur la partie de peua meutrie par l'arrachage. Dans la foulée Olicier remet une bande cette fois-ci sur le bas des couilles et sur le périnée. Olivier me fait signe de lever les jambes d'antoine pour avoir plus de facilitée à faire disparaître ses poins disgracieux Et là c'est l'apothéose de cette séance lorsqu' Olivier arrache la bande de cire à ceux reprise. Antoine se tortille en hurlant ; Non, non, j'ai mal c'est attroccceee. Le résultat est spectaculaire Toute cette zone est peut-être rougie, mais lisse et sans traces de bulbes comme pour un rasage.?
- Olivier : Si tu te vois Antoine, tu n'en reviendras pas tellement c'est lisse et tu verras c'est tout doux.
Antoine a les yeux tout mouillés de grosses larmes. Il semble épuisé. Olivier lui caresse la joue, c'est bien.
- Olivier : Vous verrez les modèles seront plus en valeur maintenant.
Pendant qu'il lui dit cela il lui masse l'anus avec son doigt et se penche pour en même temps le sucer. Là il se laisse faire. Ce spectacle me fait bander comme un taureau. Envoyant ce tableau et la position d'Olivier, ma queue a déjà quelques gouttes pré séminales qui perlent. Pendant ce temps j'entends les bruits de succion qu'Olivier émet de plus en plus bruyamment. Mais surtout Antoine ondule avec des mouvements de reins qui le fond retomber parfois violemment sur le lit. Je m'approche d'Olivier et lui dit
- Moi ; Voulez vous que je vous remplace ?
- Olivier : Bien sûr Eudes, j'ai l'impression que vous sucer très bien et que cela vous plaît. Moi aussi je vais lui faire du bien, mais d'une autre façon. Pousses-toi un peu
Je me déplace en me mettant un peu plus haut et Olivier se met à genoux et crache dans sa main pour déposer sa salive sur la rondelle d'Antoine.
En moi-même, il ne va pas lui faire çà. Son sexe est vraiment énorme presque cinq de diamètre, Antoine ne va pas supporter, je suis persuadé qu'il ne connaît pas la sodomie. Je me penche et englouti le sexe raidi d'Antoine qui a l'air d'apprécier ma fellation et je recommence mes va et vient baveux. J'entends de nouveau Antoine ronronner. Olivier attend qu'Antoine soit bien excité par ma bouche et ma langue pour y aller.
Nous nous donnons un coup d'il furtif et complice et Olivier prend Antoine par ses hanches et essaie d'entrer son énorme chibre. Je constate Olivier qui essaie de pousser pour entrer. Pendant ce temps je m'applique encore plus à ma fellation pour emmenez Antoine au plaisir. Je descends très profondément pour qu'il sache le bien d'une gorge profonde. Je lui refait des va et vient très ample avec de la salive dégoulinante le long de sa colonne de chair. En même temps une de mes mains lui titille un sein en lui tournant très délicatement le bout de son téton. Je l'entends gémir, avec une respiration légèrement accélérée. Je ne m'arrête pas et continue en pinçant maintenant son téton et là il pousse des Oh, Oh, Oh, Oui, Ouiii
Ouiiii. Je m'arrête pour respirer un peu, mais aussi le faire un peu languir, car il a l'air d'apprécier. Olivier s'est retiré et au moment où je reprends ma fellation, Olivier se penche pour lui lécher la rosette et faire aller sa langue sur son trou. Antoine se tortille avec des coups de reins qui le fond onduler avec de grands rebondissements. A un moment Oliver s'arrête, immédiatement Antoine lui lance de plus en plus fort comme une supplication continue, continue, continue c'est trop bon encore. Je continue ma succion en m^me temps que ma langue tourne autour de la couronne de songland. Antoine est écarlate. En poussant presque des râles avec des Ah !, Ah! Oui, Ouii. J'ai l'impression qu'il ne se contrôle plus dans ce plaisir nouveau qu'il découvre. Olivier en profite en profite pour cracher sur on gland et le pointer sur le trou d'Antoine et pousser doucement. Les râles de plaisir se transforment en quelques protestations et rejets, Non, Non, Non pas çà. Je ne veux pas, çà fait mal, nosn, npns pas çà. Je sens bien qu'Olivier ne cède pas et continue sa poussee de son énnorme queue tout en sepencant encore davantage pour coller sa bouche sur celle d'antoine et lui rouler une pelle pour l'empêcher de gueuelr et de se paindre. Puis une fois les bouche bien collée il pousse pour les centimètres qu'il reste un coup sec, je ressents le corps d'antoine se crisper.
Je n'arrête ma fellation. Olivier donne de rapide coup de reins. Antoine ne dit plus rien, il à l'air d'accepter.Olivier lui lance
- Olivier ; je crois que je vais t'inonder
Il donne de bon coups de reins de plus en plus rapides et raprochés, mais au lieu de le remplir à l'interieur, il le décule pour lui lancer sur le ventre cinq énorme giclées épaisses. De mon côté la bouche constate que le sexe d'antoine se durcit encore plus et que las grosse veine enfle. Il pousse des cris en hurlant presque, je vais jour, je vais jouir, çà vient, çà vient oui oui, oui. Je le sens se cambre et au moment où le grlang se durcit, je retire ma bouche et dirige sa queue vers son visage en sueur pour que sa propre semence lui inonde les joues et les yeux d'un sperme assez clair , abondant, avec comme des grumeaux lors de ses quatre impressionnantes éjaculations. Je continue à la masturber pour tout lui extraire encore de la jute en sort par à-coups. Olivier et moi, nous nous levons en laissant Antoine compétemment affalé et épuisé sur le lit en étant couvert de sperme sur son corps maintenant glabre. Tous les deux nous nous dirigeons vers la salle de bains pour rapidement nous essuyer.
- Olivier : Vous avez vu Eudes, il a découvert les plaisirs entre homme et j'ai l'impression qu'il a quand même apprécié.
- - Moi : Oui, je crois, mais vous avez fait fort déjà avec la cire puis tout ce que l'on aime entre nous.
Pendant que je prononçais ces paroles, Olivier se tourne vers moi et s'approche pour m'embrasser d'un doux baiser qui se termine en une belle pelle.
- Olivier : je crois que nous allons bien nous entendre tous les deux, avec mes tournées, ma femme ne se doute de rien et nous pourrons encore se faire plaisir tous les deux. Et puis n'ayez aucune crainte, je vous défendrai pour l'évolution de votre chiffre.
Il me caresse la joue, il prend une des serviettes de bains et nous retournons dans la chambre. Antoine est toujours allongé et semble reprendre conscience. Olivier pose la serviette sur le corps lisse d'Antoine pour l'essuyer de tout le sperme répandu sur son corps.
- Antoine : Vous m'avez eu, c'est un coup monté
- - Olivier : Non, je voulais simplement vous enlever vos sales poils disgracieux pour la présentation de notre collection.
- - Antoine : je vous en veux, quand m^me. Je n'ai jamais eu un telplaisir. Je croyait l'avoir atteind avec ma belle mais ce que vous m'aez fait est incomparable et indescriptible.Tout était une découverte pour moi, mais la fellation
Il reste un peu en suspend sur ce mot
- Olvier : Vous aimeriez être de nouveau sucé.
Il a eu droit pendant nos quatre jours de prospection à sa fellation quotidienne, mais aussi à deux sodomie, ce qui lui a permis d'avoir szq orgasmes intenses le rendant au bord de l'évanouissement.
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