Une Longue Vie D'Étudiant - Le Lycée Partie 1/?

Je vais rentrer directement dans le vif du sujet avec une courte phrase d'introduction sur moi : je m'appelle Yann, j'ai 17ans, j'habite dans le Sud de la France, et je suis actuellement dans la salle de classe de Mr. P., mon professeur de physique-chimie, à qui je roule une pelle pendant qu'il me défonce le cul sur son bureau.
Ces présentations très romantiques étant faites, je vais pouvoir vous expliquer comment j'en suis arrivé là : je suis entré au lycée en m'assumant comme mec gay, et j'y ai trouvé des personnes très ouvertes d'esprit. Je ne vais pas vous raconter des salades sur moi : j'ai un physique assez classique, avec des cheveux bruns, des yeux bleu-vert, et une musculature comportant ce que j'appelle le "minimum syndical" (des abdominaux discrets grâce à la gymnastique, des quadriceps très développés grâce à l'équitation et des bras affinés par l'escalade). Ma verge est dans ce qu'on pourrait appeler la "moyenne haute" (15cm de long, assez fine, mais avec de grosses veines apparentes qui courent le long).
En première, j'ai rencontré mon nouveau professeur de physique-chimie Mr P. : un homme jeune, très séduisant, avec un corps de body-builder qui faisait soupirer toutes les filles de classe lorsqu'il enlevait son pull. Il nous parlait de temps en temps de sa femme et de sa fille, comme pour nous redémontrer sa virilité et sa position d'homme accompli.
Au cours de l'année, notre lycée a organisé un carnaval, et naturellement les élèves continuaient la fête après les cours, en sortant boire en ville et dans les boites alentours. Personnellement, je n'étais pas très chaud pour aller me bourrer la gueule dans un bar, et puis je trouvais beaucoup plus intéressant de regarder les autres faire, car l'alcool a cette capacité de rendre les gens désinhibés et très bavards.
Vers 2h du matin, je décide de rentrer avec une amie que je portais sur mon dos, endormie par la fatigue et la vodka. Et vous vous imagiez bien que c'est à ce moment-là que je l’aperçois : mon prof de physique, complètement bourré, avec une bouteille de Champagne vide à la main, en train de patauger seul et quasiment à poil dans l'une des nombreuses fontaines sculptées de la ville.

Mon amie se réveille à ce moment-là, et décide de se la jouer Reporter Sans Frontières en filmant la scène avec son IPhone.
Après quelques instants, je me rends compte qu'il ralentit ses mouvements, comme si la fatigue s'abattait sur lui tout d'un coup. Lorsque je suis à environ m de lui, je le vois tourner de l'œil et tomber à la renverse dans l'eau. Je crie "Et merde !" et fais descendre mon amie de mon dos, pendant que je me jette dans la fontaine. Je sors mon professeur hors de l'eau, mais l'absence de tonus musculaire et sa carrure m'empêchent de le sortir de la fontaine. Je lui maintiens ainsi la tête hors de l'eau, le tenant adossé contre moi (qui suis assis dans l'eau glacée), en m'assurant qu'il respire, pendant que mon amie appelle les urgences.
Les pompiers arrivent rapidement, et m'aident à le sortir de l'eau. Mon amie et moi le suivons dans l'ambulance jusqu'à l'hôpital : il a un taux d'alcoolémie assez élevé, mais le risque de coma éthylique est faible. En revanche c'est à mon tour de m'effondrer sur l'infirmière, qui me ratt avant que je ne m'écrase par terre : je suis resté trop longtemps dans l'eau glacée de la fontaine, et j'ai droit à une hypothermie en bonne et due forme. L'infirmière m'installe sur un brancard avec un café et une couverture chauffante, juste en face de mon professeur toujours endormi. Mon amie et moi repartons quelques heures plus tard, en laissant la belle au bois dormant (notre prof) aux soins de l'équipe médicale.
Naturellement, Mr P. est marqué comme absent pour le reste de la semaine et mon amie et moi avons décidé de garder cela pour nous, en attendant de voir comment les choses allaient s'organiser.
Le lundi suivant, premier cours à 8h : physique-chimie. Aie... J'étais déjà mal à l'aise (pour lui) de devoir l'emmener à l'hôpital, mais devoir le revoir me fait un peu peur, je dois l'avouer. J'arrive en classe, je le vois et je le salue (je suis gêné mais pas malpoli pour autant). Il ne me répond pas, et je vois bien qu'il prend soin d'éviter mon regard (comme il le fera pour le reste des 2h de cours d'ailleurs).
Manque de bol pour lui, il doit nous rendre un contrôle : il rend les copies, et la mienne vient en dernière (hasard ?). Il me la tend rapidement, sans un regard ni un mot, comme si il essayait de se débarrasser de ces feuilles qui lui brulent les mains. Je regarde ma copie, mais ne vois pas de note : juste une phrase au crayon à papier : "Note : voir le professeur". Et merde...
A la fin du cours, lorsque tout le monde est parti, je me dirige vers son bureau et le regarde sans rien dire : il ferme la porte et me dit de m'asseoir sur une chaise de la première rangée. Il s'assoit en face de moi : il a un regard qui montre sa gêne, mais il arbore un sourire :
Mr P. : "Tu t'imagines bien de quoi je veux qu'on discute non ?"
Moi : "Oui… mais si voulez pas en parler y'a pas de problème, je vous juge pas !"
Mr P. : "Non non ! Je tiens à en discuter avec toi. Je voulais d'abord de remercier. Vraiment. On m'a dit à l'hosto ce que tu avais fait pour moi, et je ne sais pas comment te remercier. Je ne veux pas que tu te fasses de fausses idées sur moi : je suis jamais comme ça d'habitude, mais j'avais besoin de décompresser ce soir-là."
Moi : "De décompresser ? Vous avez un problème ?"
Mr. P. : "Pour tout te dire, ma femme m'a quitté ce soir-là, en demandant le divorce ; je me suis réfugié dans un bar, et on sait tous les deux comment ça a fini"
Moi : "Je suis vraiment désolé"
Petite précision : à l'époque, tout le monde savait que j'étais gay (je ne m'en cachais à personne) : même les professeurs étaient au courant depuis que l'année précédente j'avais insulté le proviseur (devant tout le monde) de "Connard d'homophobe" après qu'il ait refusé de soutenir une élève lesbienne qui se faisait harceler.
Mr. P. : "Je ne sais pas comment te remercier, parce qu’en fait tu m'as quasiment sauvé la vie, et en plus tu as fait une hypothermie pour ça..."
Je le coupe :" Pas besoin, surtout pas ! Je suis déjà assez mal à l'aise comme ça : vous ne me devez rien, j'ai fait ce que j'avais à faire"
Mr.
P. : « Si si ! J'y tiens vraiment : je ne veux pas avoir l'air d'un ingrat." Il marque une pause, en regardant dans le vide : "J'aimerais t'inviter à manger chez moi, pour qu'on en discute calmement, et que je puisse vraiment te remercier"
Moi : "Vous n'avez pas votre fille chez vous ?"
Mr P. : "Non, elle et sa mère sont parties dans un appartement que nous avions à Paris"
Moi : "*soupir*... Pourquoi pas, si ça peut vous aider."
Il semble heureux que j'accepte, et la gêne dans ses yeux semble s'effacer. Nous convenons d'une date, et je sors de la salle. Juste avant que je ne tourne la poignée, il pose sa main sur mon épaule, et me dit : "Merci. Vraiment. Et félicitations pour ton devoir, c’est pas souvent que je donne un 19/20".
Le reste de la journée se passe normalement, même si je me pose un tas de questions : Pourquoi a-t’il autant envie de s'expliquer ? Peut-être que puisque sa femme est partie, il a besoin de se confier; Pourquoi ne pas m'avoir donné ma note tout de suite ? Une bonne note fait toujours plaisir, mais je ne veux pas faire l'objet d'un favoritisme.
J'appréhendais ce diner, mais je décidais d'y aller de manière détendue : aucune raison de s'inquiéter : il est professeur, c'est quelqu'un de droit et d'intègre.

J'arrive devant chez lui, avec 5 min d'avance (je déteste les gens en retard, et je déteste encore plus l'être). Un immeuble de grand standing s'élève devant moi : je tape le digicode (il doit vraiment me faire confiance pour me l'avoir donné) et monte les escaliers jusqu'à sa porte. Je toque, et il ouvre, habillé d'une chemise blanche serrée qui met en valeur ses pectoraux et d'un jean blanc. Il m'invite à entrer, et arbore un grand sourie, comme si nous étions des potes.
Nous prenons un apéritif, et commençons à discuter. Il me parle de sa femme, de sa rupture, de cette soirée... Il se confie pleinement : sur le moment, je me dis que c'est un homme blessé qui a besoin de faire sortir ce qu'il a sur le cœur.
Je sens une odeur de viande, et il m'avoue qu'il a tout cuisiné lui-même. J'ai toujours adoré la cuisine, et je lui demande de me montrer comment il fait. Il me regarde alors avec de grands yeux, comme si je venais lui annoncer qu'il avait gagné au loto : pouvoir me montrer quelque chose semblait le ravir au plus haut point.
Nous passons alors dans sa cuisine : un grand espace ouvert sur le salon, avec une odeur de gingembre qui flotte. Il me montre quelques astuces, des "trucs" de cuisinier... Je dois avouer que je ne l'imaginais pas du tout comme ça : aussi enclin à transmettre, aussi ouvert : un vrai professeur passionné. Je décide de l'aider à finir de préparer le diner, et j'arrive à me couper le doigt avec un couteau, comme un gosse maladroit de 8ans et demi. "Put'... !" Je me dirige vers l'évier, avec qui coule de ma main : ça ne méritera pas de point de suture, mais ça fait un mal de chien. Mr P. s'approche de moi, regarde un moment la plaie, et ses précipite dans sa salle de bain, d'où il revient avec du désinfectant et des mèches de gaze. Il se colle à moi, ma main au-dessus de l'évier, et s'occupe de la plaie. Il est très proche de moi, mais je ne fais pas d'idées : il a été marié.
Il coupe l'eau du robinet, néanmoins, il retient ma main. Il la tient fermement au-dessus de l'évier, comme pour me garder près de lui, mais pas méchamment : une emprise forte mais douce. Il ne dit rien, et il me regarde droit dans les yeux. "Merci beaucoup, je". Je n'ai pas le temps de finir ma phrase, qu'il colle le bout de ses lèvres aux miennes : un baiser long, très doux, plein de délicatesse. Au bout d'un long moment, nos bouches se séparent. Je ne saigne plus.
Il s'écarte "Je suis désolé, ça m'est venu comme ça", "Ca fait rien" dis-je, en souriant : je me rapproche de lui, pose ma main valide sur ses hanches, et l'attire à moi pour l'embrasser, à pleine bouche cette fois. Lui comme moi mettons beaucoup plus de passion dans ce baiser : nos langues s'enroulent, se caressent, pendant que ses mains descendent le long de mon dos, pour venir me poser fermement sur mes fesses. Des années de sport n'ont pas sculpté mon corps comme le sien, mais m'ont au moins donné des fesses fermes. Son souffle s'accélère, à mesure qu'il m'embrasse avec de plus en plus de fougue, et qu'il me caresse les fesses avec ses mains larges et puissantes.
Il me soulève à la force de ses bras pour me porter, et j'enroule mes jambes autour de sa taille, sans pour autant arrêter de l’embrasser. En fait, non. Nous ne nous embrassons plus. Chacun voulait la bouche de l'autre, le plus possible. Moi par un manque d'affection (je n'avais jamais eu de petit ami auparavant) et lui probablement par désespoir. Il me pose sur le plan de travail en pierre, et il fait descendre sa bouche le long de mon cou. Pendant qu'il descend jusqu'à la base de mon cou, j'att le bas de mon t-shirt et l'enlève. Ma peau mise à nu, il descend plus bas, en embrassant chaque centimètre carré de ma peau. Je rejette la tête en arrière et ferme les yeux. C'est tellement bon... Il arrive au niveau de la ceinture, et défait mon jean, et ses lèvres descendent doucement vers ma verge. Je suis totalement déshabillé, et lui totalement habillé, qui joue de sa bouche et de sa langue pour me faire plaisir.
Je passe ma main dans ses cheveux tandis que ses lèvres se referment sur ma verge, qui commençait à durcir. Bon Dieu ce qu'il fait ça bien... Il descend, continue en prenant en bouche mes boules, avec lesquelles il joue de sa langue. Le plaisir monte en moi, brulant. Ma bite est totalement droite maintenant, dure comme de la pierre tellement l'envie est forte. Il me lève les jambes, les pose sur ses épaules, et place sa bouche contre mes fesses, qu'il mordille. Je ne vois que ses yeux qui dépassent, avec ce regard de braise qui me donne de plus en plus envie. Il colle ses lèvres contre ma rondelle, et commence un anulingus d'enfer : il joue de sa langue, tape avec contre l'entrée de mon intimité, lèche rapidement puis fait le tour de mon anus avec le bout. Il me fait monter au paradis. Je commence à pousser des gémissements, graves, masculins : je sens le désir me monter à la tête, ses caresses inonder tout mon bassin.
Je ne pensais pas qu'on pouvait ressentir autant de plaisir comme ça ; sa technique d'expert fait monter le feu en moi. Je sens que ça vient...Ça arrive... Je vais tout lâcher. Je presse sa tête entre mes fesses pendant qu'il enfonce sa langue à l'intérieur de mon cul, et dans un râle puissant, je lâche tout le foutre que j'avais en moi. Cette semence que je gardais depuis si longtemps, ce désir insatisfait qui se matérialisait en de longues giclées de sperme qui venaient s'écraser contre mon ventre et mon torse. Je sentais mes couilles remonter et ma prostate qui pulsait pour éjecter de grandes rasades de liquide blanc.
Je m'étalais en arrière, le shoot d'hormones dû à l'orgasme tendait les muscles de mon dos, et je me mordais la lèvre inférieure pendant que la personne qui était il y a encore quelques heures mon professeur retirait sa langue de mon fondement et se relevait doucement.
Il se penche sur moi, lèche tout le sperme qui s'étalait sur mon torse, et m'embrasse tendrement, mélangeant nos salives, nos langues et ma semence.
J'ouvrais les yeux, et le vit enlever sa chemise. Apparemment, il en voulait plus.



Merci beaucoup de m’avoir lu, n’hésitez pas à commenter, ça m’aidera à m’améliorer ! ^^

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