La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°898)
Marion au Château (suite de l'épisode précédent N°897)
La balade à lintérieur du Château fut assez agréable. Malgré la légère douleur de mes muscles quand il fallait monter ou descendre un escalier, il y avait pratiquement partout des épaisses moquettes au sol, mais lorsque nous sortîmes dehors, jappréciais beaucoup moins les allées de graviers rouges, et jétais heureuse quand nous faisions, trop rarement à mon gout, des passages sur lherbe des magnifiques pelouses impeccablement entretenues. Il faisait froid et Monsieur le Marquis mimposa de porter une épaisse peau de mouton qui menveloppait par une fermeture éclair de la tête aux pieds mais avec une large ouverture à la taille afin de laisser bien en vue mon cul et mon sexe Cette peau de mouton avait deux jambes et deux bras chaudement molletonnés. Et même si la neige nétait pas encore tombée, le Maître fit remarquer que ce nétait pas un temps à mettre une chienne dehors si on ne voulait pas quelle tombe malade avec le cul nu. Alors après mavoir ordonné, et que je me sois exécuter, de pisser contre un arbre, ce qui me bloqua quelques secondes du fait que ce soit devant des inconnus, mais je mefforçais à ne penser quau Maître, nous rentrâmes au chaud et nous retournâmes dans le petit salon, où un feu de cheminée avait été allumé. Là, le Maître me fit quitter ma peau de mouton et une fois de nouveau dénudée, il mordonna de masseoir, jambes écartées mais pliées genoux au torse, les mains posées au sol en arrière la gorge offerte. Il éloigna un peu plus mes genoux entre eux de quelques coups de cravaches, et lorsque la position le satisfit, il posa une plaque en verre sur moi afin que je leur serve de table.
Lexercice dura une bonne demi-heure, au bout de laquelle mes bras et mes jambes commencèrent à trembler de fatigue. On me débarrassa alors et jeus le droit de « me reposer » un peu en restant prosternée une bonne heure à écouter les trois hommes converser sur le monde des affaires, des cours de la bourse et des hautes finances faisant références à des personnes que je ne connaissais pas.
- Mes amis, je dois vous laisser, jai des choses importantes à finaliser. Comme vous men avez exprimé le souhait ce midi, je vous confie Ma petite chienne, qui saura, je nen doute pas vous contenter. Allez où vous le souhaitez, vous savez où sont vos chambres, le donjon
Sil vous manque quelque chose, nhésitez pas à faire appel à Walter. Et toi ma chienne, je veux que tu obéisses à tout ordre que tu recevras, comme sil venait de moi ! Ne me déçois pas !
Et il partit après mavoir caressé la tête et avoir tendu la laisse aux deux hommes. Ils mentrainèrent vers une de leurs chambres. Ils me firent mettre à genoux sur le lit. Pendant que lun deux sassit dans un fauteuil, jétais dos à lui, le second attrapa un fouet et men appliqua une dizaine de coups, forts, mais à un rythme lent, sur le cul et sur le dos. Quand il eut fini, il posa son fouet sur le lit sinstalla derrière moi et commença à me caresser doucement les seins, il me malaxait chacun deux sattardant à chacun de mes tétons. Puis il joua avec ceux-ci, il les étira, les pinça. Et tout à coup, il se mit à donner des claques sur mes seins, de bas en haut, de gauche à droite, de haut en bas
Lhomme dans le fauteuil sétait déshabillé et se masturbait en nous regardant, il arborait déjà une bien belle érection, visiblement la situation lui faisait de leffet. Celui qui soccupait de moi souffla dans mon cou avant de me murmurer à loreille sur un ton nadmettant pas la réplique :
- Je ne veux pas tentendre, la chienne ! Jexige le silence complet.
Et ses mains descendirent vers mon entre cuisses.
Puis une fois ses doigts nettoyés, il me bâillonna. Il me coucha alors sur le lit, attacha mes poignets à mes chevilles et commença à me pénétrer très lentement, millimètre par millimètre, tout en faisant des cercles autour de mon clito après avoir craché sur celui-ci. Il senfonça entièrement pour ressortir aussitôt, me claquant mon petit bouton rose avec sa queue. Puis il membrocha à nouveau dun coup profond, net, puissant. Le second homme sapprocha, me branla furieusement le clito dune main, de lautre me donnait des claques soit sur lintérieur des cuisses soit sur les seins. Jétais baisée furieusement maintenant, défoncée, profondément pénétrée par une raide verge qui me semblait épaisse et longue. Je ne criais toujours pas, mais je sentais le bâillon en mauvais plastique (sûrement un des leurs car ceux du Maître était de très bonne qualité !) se déformer légèrement. Après de longs et vigoureux coups de reins et quand il se fut vider à longs jets saccadés de sperme chaud au fond de ma chatte, il vint se faire nettoyer la queue pendant que lautre fit deux trois allers retours dans ma chatte pour se lubrifier avant de menfiler par le cul sans aucune préparation. Une véritable saillie ! La position ne dut pas lui plaire. Il me détacha, me fit mettre debout à côté du lit et me pencher en avant jusquà avoir les bras sur le matelas, les jambes bien écartées
Puis il me pénétra de nouveau par lanus à la hussarde, jusquà la garde et pendant quil me défonçait le cul à grands coups de boutoirs laissant lui échapper des han de bûcheron, lautre homme reprit le fouet et alternait coups de fouet sur le dos ou claques du plat de ses mains sur mes fesses.
- Tu seras punis car jai exigé le silence complet. Tu nauras pas le droit de jouir et tu subiras vingt coups de fouet quand mon ami aura fini de te labourer le cul !
Je priais pour quil en finisse vite, sinon jamais je ne pourrais tenir sans jouir ! Et je me devais de faire honneur au Maître, je savais que je le décevrais énormément, et quen plus de la sanction que je recevrais par les deux hommes, je serais également punie soit par Sa propre main, soit par une main subalterne. Je maccrochais tant bien que mal à cette pensée, et lhomme déchargea au fond de mes entrailles sa semence au moment où je ne pus retenir ma jouissance, que je réussis cependant à laisser éclater silencieusement !
- Jai réussi ! dit-il avec un sourire carnassier ! Javais parié avec Monsieur le Marquis que nous finirions par te faire jouir petite salope ! Maintenant passons à la première sanction !
Mes poignets furent attachés à un des piliers du lit, à un anneau situé en hauteur. Les vingt coups de fouet me firent hurler de douleurs, heureusement ils men avaient donné lautorisation auparavant ! Et plus je hurlais plus je mouillais encore et encore, je me surpris même de lexcitation produite par ce traitement douloureux mais o combien excitant
- Pour la seconde, cest Monsieur le Marquis qui en décidera. Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne chose pour toi
Il sera certainement moins indulgent que nous aurions pu lêtre, vu que tu nétais pas notre propriété ! Tu peux passer dans la salle de bain, pour prendre une douche, froide évidemment ! Ensuite, tu devras rejoindre le Châtelain dans Son bureau. Pendant que tu te doucheras, nous lui enverrons notre compte-rendu, alors dis-toi bien que ce sera inutile de chercher à lui cacher ta faute !
Je pris ma douche, mais jétais anxieuse ! Je navais pas réussi à me retenir de jouir.
(A suivre
)
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