Salope De Vanessa

5 h 30 du matin, l'interphone sonne. Je regarde le radio-réveil, qui peut bien sonner à cette heure. Je décroche le combiné.
- Tonton, c'est Vanessa ! Tu m'ouvres ?
Je reconnais la voix de Vanessa, ma nièce. Elle a 18 ans ans aujourd'hui. Mais à cette heure, je doute que ce soit pour fêter son anniversaire. J'entends l'ascenceur stopper à mon étage. J'ouvre la porte, et Vanessa s'engouffre dans l'appartement. Elle est essoufflée. Elle porte un ciré jaune.
- Il pleut ? demandais-je.
Elle se lève sur la pointe des pieds. Passant un bras autour de mon cou, elle me roule un patin. Pendant ce temps-là, son autre main se glisse dans mon caleçon et saisit ma bite.
- Eh ! criai-je. Qu'est-ce qui te prends !
- Je savais que tu serais pas encore habillé ! Tonton, j'ai 18 ans aujourd'hui.
- Oui, je sais...
Elle se laisse tomber à genoux.
- Tonton, ça fait 3 ans que j'attends ce moment. Elle prends ma queue entre ses lèvres, et m'administre la plus belle pipe que j'ai jamais eu.
Elle enlève son ciré. Elle est à poil dessous.
- T'es sortie comme ça ?
- Tonton, il faut que tu me baises. Je suis amoureuse.
Elle me prends par les mains et m'entraîne vers le sol. Une fois allongé par terre, elle m'enfourche, saisit ma bite et s'empale dessus. Elle se penche vers moi et m'embrasse de nouveau.
- Je veux que tu prennes mon cul aussi !
C'est à ce moment que je me suis dit :
- Après tout, c'est pas un e puisque c'est la nièce de ma femme. C'est elle qui est partie. Alors pourquoi pas !
La petite fille que j'ai connue quand je me suis marié, est devenue une jeune femme super sexy. Blonde, avec des seins lourds, un cul à faire bander un moine, et une bouche experte.

A la pause, elle m'a avoué qu'à 15 ans, elle m'avait trouvé sexy et qu'elle s'était promis qu'elle se ferait son oncle.
Elle se releva et se dressa sur ses jambes. Elle se retourna et écarta ses fesses avec ses mains, pour me montrer son petit trou. Elle se retourna de nouveau vers moi et écarta mes jambes, Elle se retourna une nouvelle fois, tendant son cul magnifique vers moi. Elle se mit à genoux entre mes jambes, se pencha en avant et souleva ses fesses.
- Je veux que tu vois ta pine entrer dans mon cul !
Elle saisit ma queue, et la dirigea vers son anus. Une fois le gland posé sur la rosette, Vanessa se redressa doucement. Ma queue commençait à pénêtrer entre ses fesses. Vanessa ramassa ses jambes sous elle. Bientôt, elle fut sur ses pieds. Elle se redressa et ma bite toute entière s'enfonça dans son cul. Elle posa ses mains sur mes cuisses et commença à monter et descendes le long de mon membre. Quand elle me senti au bord de l'éjaculation, elle s'assit carrémént sur mon pubis. Ma queue fichée au fond de son cul. Nous avons pris un pied monumental.
Vanessa allait toujours à l'école.
- Tonton, j'ai dit à Papa que je resterais à l'école pour me perfectionner. Quelque part, je n'ai pas menti, puisque je me perfectionnerai sur ta bite. D'ailleurs, je vais te le prouver.
Elle se releva, et se retourna une nouvelle fois. Elle se mit à genoux entre mes cuisses, et emboucha ma pine toute visqueuse de mon sperme. A grands coups de langue, elle me nettoya en avalant ma semence.
Ses lèvres juvéniles glissant le long de ma pine m'excitaient un max. Je me suis relevé, l'ai plaquée sur le dos et l'ai baisée brutalement. Elle râlait de plaisir. Elle criait :
- Plus fort Tonton, plus fort !
Après avoir joui une nouvelle fois, elle m'a dit :
- Josais pas te le demander ! La prochaîne fois, je veux que tu me violes !
- Tu sais Van, un viol c'est quand on veut pas !
- Fais pas l'idiot ! m'a-t-elle dit. Je veux que tu me baises avec brutalité. Que tu m'arraches ma juppe et ma culotte. Que tu me jettes à terre et que tu me prennes des deux côtés. A sec ! Comme si t'avais pas fait l'amour depuis longtemps.
- Ben si je m'attendais à ça !
- Tu sais Tonton, avec internet, maintenant, on apprends beaucoup de choses. Par exemple, que, quand on veut se faire sauter par un adulte, il faut attendre d'avoir 18 ans. Alors j'ai attendu. Et maintenant, d'après ce que je viens d'apprendre, je sais que tu me baiseras autant , et où je voudrais.
- T'es devenu une vraie salope !
- C'est bizarre, c'est comme ça que les garçons m'appellent...