Le Jour De Mon Mariage ...
Rien nest plus doux quun libertinage assumé. Et assumé dès le début de ce qui, pour certains esprits étriqués et médiocres, en sonne le glas : le mariage.
Je voulais être lhomme le plus prompt de lhistoire à tromper sa femme. Cette perspective menthousiasmait au-delà des mots. Je voulais que cette conne, Léa, qui allait devenir ma tendre épouse, soit à son insu humiliée plus vite et plus fort que quiconque le fut jusqualors.
Le stratagème a fonctionné à merveille et se déroula sans accroc le jour de note union sacrée. Pendant que le nous étions cote à cote, Léa et moi, devant le maire qui célébrait la cérémonie, je commençais à imaginer que cette pute serait bientôt cocue. Cela me fit instantanément bander. Il fallait que je sois prêt pour ce qui allait suivre. Mon sexe sest tendu si fort que je craignais dattirer lattention. Je ne pensais plus du tout aux mots prononcés par lofficiant, mon esprit entièrement tendu vers le vice délicieux de ce qui avait été échafaudé. Je métais arrangé pour que la cérémonie se termine juste après les mots fatidiques prononçant le mariage. Dès que nous passons nos alliances à nos doigts, que nous sommes officiellement mari et femme, je déclenche donc secrètement le chronomètre de ma montre. Jembrasse ma jeune, très belle et très pure épouse en lui murmurant à loreille « je suis à toi seule pour toujours, aucune autre femme ne comptera jamais pour moi ». Je pus alors lire un ravissement confiant sur son visage qui me fit bander au-delà de limaginable, sachant ce qui allait advenir.
Quelques secondes plus tard, nous sortons avec les convives de la salle doffice pour nous rendre dans celle, voisine, où était installé le buffet de la réception. Avec un sourire, je précise à Léa quil me faut mabsenter quelques instants pour satisfaire un besoin pressant.
Pressant, le besoin létait en effet ! Mon sexe tendu comme jamais nen pouvait plus.
- va dans mon cul, cest plus serré, tu déchargeras plus vite. Je viens de me lubrifier à la mouille. Sodomise moi comme un porc.
Sans mot dire je plonge vigoureusement ma queue dun coup de rein sec et puissant au plus profond de son fion en interrompant mon chronomètre : 58 secondes ! Moins dune minute après mon mariage javais réussi à tromper ma femme. Cette pensée mexcitait plus encore que le corps sublime de Léa qui se penchait au-dessus des chiottes pour me laisser le loisir de lenculer sans frein.
- penser à ma sur, si romantique et si heureuse de son mariage, suffirait presque à me faire jouir, suffoque-t-elle entre deux couinement de chienne. Défonce moi. Putain, cest si bon de savoir que tu viens de te marier et que tu me bourres sans limite alors que ta connasse de femme tattend avec tous les invités à quelques mètres
Jouis vite maintenant, tu dois y retourner
Jatt les longs cheveux blonds de la jeune Louise, je les tire brutalement en arrière, et laisse un vif jet de foutre emplir son cul bien serré. Je regarde à nouveau ma montre : tout juste 2 minutes et 7 secondes après lunion ! Je souris de fierté. Louise commente :
- ce que nous avons accompli touche au sublime. Mais tu as été si brutal, je vais avoir du mal à masseoir pour la suite de la fête ! Jadore quand tu me détruits lanus comme ça. Je reste ici quelques instants : je vais me finir à la main, il faut que je me branle la moule maintenant, cest vital
- Bien, lui dis-je.
Elle sexécute, passant méticuleusement sa langue sur mon gland et aspirant les gouttelettes de sperme qui perlaient encore.
- Tu es vraiment la dernière des putes, Louise.
- Merci, me répond-elle avec un sourire extatique qui illumine son visage encore juvénile. Va retrouver Léa, ta petite femme.
Je rejoins rapidement lassemblée des invités. Serre quelques mains. Échange quelques mondanités. Goutes les gâteaux dapéritif. Quelques minutes plus tard, Louise rejoint la foule qui se presse autour du buffet. Sa tenue si provocante ne manque pas dattirer les regards. A commencer par ses talons interminables qui nentravent en rien sa démarche sensuellement nonchalante. Elle sapproche de moi et, discrètement, passe son doigt manifestement trempé sur mes lèvres.
- je voulais que tu aies mon jus de chatte sur les lèvres quand tu embrasseras Léa. Ma conne de sur ne sen rendra pas compte, jen suis certaine !
Émoustillée par cette belle idée, je me presse vers mon épouse. Je lui déclare mon amour éternel et exclusif. Je lui jure une fidélité sans faille et lembrasse tendrement. Elle saccroche à mes lèvres avec passion et suce ainsi, en lignorant, la cyprine encore chaude de sa petite sur. Je recommence instantanément à bander
Mon téléphone vibre. Louise ma envoyé un SMS : « regarde ma cuisse droite, regarde la goute qui coule dessus. Je mouille tellement de ce que nous venons de faire que sans culotte je ne parviens plus à contenir
». Mon ravissement atteint son apogé. Elle marche vers moi et, juste en passant, susurre à mon oreille :
- je misole 3 minutes, tu vas aimer
Ces quelques minutes dattente me semblent durer une éternité. Je regarde Léa, ma tendre femme, et me délecte déjà à lidée de la baiser violemment tout à lheure. Elle comprendra que je vais la traiter comme une chienne. Une esclave. Jimagine le raffinement des humiliations à laquelle je la soumettrai pour notre nuit de noce.
Mais Louise revient vers moi, arborant cette petite moue boudeuse de très jeune fille, et interrompt mes rêveries :
- tout ton sperme était encore dans mon cul, me dit-elle doucement. Je viens de me doigter pour le recueillir. Jai écarté à fond avec deux doigts de la main droite et il a coulé dans ma main gauche. Tu en avais déchargé tellement ! Jai tout avalé dit-elle en approchant son visage de moi. Tu sens comme mon haleine est celle de ton foutre ?
À cette instant Léa dapproche de nous :
- Je suis si heureuse et émue que vous vous entendiez bien, dit-elle ! Mon petit mari adoré et ma jeune sur sont amis, cest merveilleux !
- Oui, je suis touché par votre bonheur, déclare Louise en approchant outrageusement son visage de celui de Léa, cherchant manifestement à lui exhaler à la face la fragrance douce de mon sperme juste ingéré après avoir séjournée une dizaine de minutes dans son cul.
Louise, doucement, chante alors à Léa une chanson de leur enfance. Prétexte pour que ma femme respire son haleine saturée dodeur de foutre. Léa semble infiniment touchée, tout en candeur, tandis que Louise me regarde avec la perversité absolue de son visage dange.
- Traite ta femme comme une merde, mon doux, me murmure-t-elle en retournant vers le buffet. Il faut que cette pauvre conne comprenne. Sois un salaud méchant et impitoyable. Fais chialer ma sur quand tu la tringleras comme une trainée. Commence par lui foutre ta grosse queue en « gorge profonde », fais la , fais-le dégueuler. Sois le dernier des porcs.
En prononçant ces mots si touchants, avec un sourire innocent dirigé vers Léa, Louise se cambre légèrement et je constate que non contente de sêtre privée de culotte et sest aussi dispensée de soutien gorge. Tout juste majeure, cette jeune pute est une salope très prometteuse.
- Très douce idée mon ange, lui réponds-je.
Je suis satisfait de la première heure qui a suivi mon mariage. Jai traité ma femme comme toute femme mérite de lêtre : en esclave, en salope, en éponge à sperme.
(N'hésitez pas à laisser vos commentaires. Mesdames, dites-moi si vous avez mouillé !)
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