Une Infirmière Au Petits Soins.
(fiction partielle écrite en 9.2010).
A lautomne dernier, jai du être hospitalisé dans un grand établissement assez loin de mon domicile. Je devais y rester une petite semaine pour subir une série dexamens dont certains devaient se faire en continu sur au moins deux jours. Les deux premiers soirs, je mennuyais ferme car, branché à divers moniteurs, je ne pouvais pas bouger ni même regarder la télévision.
De temps à autre, une infirmière venait voir si les appareils fonctionnaient bien et si javais besoin de quelque chose de particulier. Puis cétait la longue nuit inconfortable de tous les hôpitaux, avec les bruits divers qui se répercutent dans les couloirs déserts.
Le mercredi, jai eu la surprise de voir arriver une infirmière différente des soirs précédents. Très grande, la silhouette élancée, de longs cheveux noirs pris dans une coiffe pour les couvrir avec une frange tombant quelques centimètres au dessus des sourcils. Agée dune quarantaine dannées tout au plus, cétait vraiment une belle femme et sa blouse blanche ajustée sur son corps mince accentuait encore son allure sexy et des formes agréables à regarder.
Pendant quelle vérifiait le dernier appareil auquel jétais encore relié, je lui fis des compliments pour la flatter un peu tout en plaisantant. Sur le même ton, elle me traita de coquin mais elle appréciait ce que je venais de lui dire car, me dit-elle, les patients qui la voyaient réellement comme une femme étaient rares. La plupart ne prêtait guère attention à ses charmes.
Ce soir là, jeus encore plus de mal à trouver le sommeil, chaque fois que je fermais les yeux, je voyais ma belle infirmière penchée sur moi et mon imagination galopait, inventant divers scénarios coquins où nous nous trouvions mêlés. Avant de quitter son travail au petit matin, elle est repassée par ma chambre pour sassurer que tout allait bien. Dans mon demi-sommeil après une très mauvaise nuit, je répondis par un grognement peu sympathique.
Le jeudi soir, jétais libre de mes mouvements mais je devais encore passer la nuit à lhôpital car le lendemain je devais avoir les premiers résultats de mon bilan de santé. Vers 22 heures, je vis arriver ma belle infirmière. Elle navait rien de particulier à vérifier car javais reçu mes médicaments du soir et du matin en même temps que mon repas. Nous avons repris notre conversation de la veille sur un ton badin et elle ne semblait pas pressée de continuer sa ronde dans les autres chambres.
Soudain, elle sassit sur le lit en posant une main sur ma cuisse puis elle remonta jusquau pli de laine. Là, au travers de la couverture, elle découvrit mon sexe à demi bandé. Je vis passer dans ses yeux comme un éclair dexcitation et de mon côté, javançai ma main droite vers le bas de sa blouse blanche. Quand jai commencé à remonter entre la fourche de ses cuisses, elle na rien dit.
Ma main a poursuivi son cheminement jusquà la limite de ses bas où jai trouvé une chair chaude et une chatte totalement accessible. Ma belle dit alors quelle ne portait jamais de string ou de culotte. Elle aimait sentir son abricot à lair. Pour faciliter ma caresse, elle se releva et se mettant le long du lit, elle fit voler la couverture et le drap, abaissant le pantalon de mon pyjama, elle vint masser ma bite pour achever de la faire dresser. Javais la main sur sa chatte et je la pénétrais de deux doigts. Chaude et humide sa gaine ! En peu de temps, elle était lubrifiée. Quand elle se baisa pour venir emboucher mon sceptre, elle maintint la position pour que je continue à la masturber.
Cela ne devait pas lui suffire. Elle monta sur le lit, enjamba mon bassin et, tout en continuant à me pomper, elle frottait sa vulve sur une de mes jambes. Lorsquelle me sentit à point, elle se releva et dun seul mouvement elle introduisit ma bite dans sa chatte en relevant le bas de sa blouse. Je voyais mon sexe disparaitre au fond de sa grotte lisse et je pouvais de cette manière saisir ses hanches et laider à faire les mouvements de va-et-vient sur mon bâton de chair.
Elle ne portait quun soutien gorge à demi bonnets qui soutenaient ses seins tout en laissant voir une grande partie des aréoles. Jai tendu mes bras pour aller les caresser. Waouh! Quelle poitrine, pas très volumineuse mais dune fermeté telle quon aurait pu la croire artificielle. Il nen était rien. Delle-même elle a dégrafé son soutif pour libérer sa poitrine tout en me chevauchant de plus en plus vite.
Soudain elle se cabra, jouissant fortement au moment précis où je déversais un abondant flux de sperme au fond de sa chatte. Elle resta le buste allongé sur le mien pendant quelques minutes pour retrouver son souffle puis elle me quitta en membrassant amoureusement pour reprendre sa ronde de nuit.
Au petit matin elle est revenue dans ma chambre en tenue de ville. Elle avait terminé son service. Je la remerciai une fois encore de ce quelle mavait accordé la veille au soir. En riant elle rétorqua que cest elle qui me disait MERCI car elle avait bien joui et quaprès, sa nuit avait été calme et sereine et que pour bien la terminer, elle allait soffrir une rasade de sperme. Joignant les actes à ses paroles, elle se mit à genoux devant moi, fit glisser le zip de mon pantalon (je ne porte que rarement des slips) et emboucha ma bite jusquau fond de sa gorge. Quelle suceuse et quelle gorge profonde, en moins dune minute, je déversai au fond de sa gorge une nouvelle giclée de sperme.
Avant de me quitter, elle me dit que si je revenais dans un autre service, je devais demander Sandrine. Elle sarrangerait pour venir me voir. A plus de cinquante ans, je mesurais la chance que javais eu de la rencontrer.
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