Exhibitionniste.
Depuis mon adolescence jai toujours attiré le regard des hommes. Assez précoce, à 14 ans javais déjà des formes plutôt avantageuses pour cet âge. Grande fille à la peau laiteuse des rousses, javais une longue chevelure auburn, des yeux verts ourlés de longs cils bruns et le visage constellé déphélides. A quelques centimètres près, javais déjà atteint ma taille dadulte.
A 15 ans, lorsque ma mère est allée acheter avec moi des soutiens gorge, je faisais déjà du 85.B. Au cours de ma dix-septième année, dès que jai commencé à baiser avec des garçons de mon lycée, mes hanches se sont élargies et ma taille sest amincie. Heureusement jétais très proche de ma mère et aussi très complice. Grâce à elle, jétais avertie de tout ce qui touche au sexe et, dès que le médecin a considéré que je pouvais prendre la pilule contraceptive, elle a veillé à ce que je la prenne régulièrement en me disant : Ludivine, noublie jamais quun non désiré peut très vite devenir un boulet quon traine longtemps ! Fais donc attention !
Un jour que ma mère reprenait son refrain je lui ai répondu : Ne tinquiète pas ! En plus de la pilule, jai demandé au garçon qui ma dépucelé il y un mois de mettre une capote
Mère célibataire, elle avait souhaité faire et élever un toute seule : MOI ! Jignorais qui était mon père et je ne me suis jamais souciée de le savoir. Cest aussi grâce à elle et à sa situation professionnelle que jai pu avoir de la lingerie belle et agréable à porter. Javais toute une collection de petits soutiens gorge et de culottes assorties et des vêtements seyants qui mettaient ma silhouette en valeur. Les hommes, qui parfois auraient pu être mon père, se retournaient volontiers sur mon passage et certains amants de ma mère auraient bien voulu minscrire aussi à leur tableau de chasse ! Mes copains ne se privaient pas de me flatter en disant que jétais «la fille la plus canon du lycée» espérant ainsi obtenir mes faveurs.
Plus tard, lorsque je poursuivais sérieusement des études supérieures, jai pris lhabitude de porter des jeans très moulants qui étaient comme une seconde peau avec des bodys près du corps. Lorsquils nétaient pas outrageusement décolletés, je les portais parfois sans soutien gorge. Ainsi, on distinguait sous le tissu les aréoles et leurs pointes toujours érigées. Lorsque je portais des jupes, bien que ce ne soit plus très à la mode, elles arrivaient à mi cuisse et lorsque volontairement ou non, elles volaient un peu, on apercevait facilement les jarretelles qui maintenaient mes bas. Lorsque je portais une jupe, jétais toujours chaussée descarpins ou de bottines avec des talons hauts qui me faisaient une démarche chaloupée et cambrait ma taille. Mesurant 1,75 m, avec de tels talons, je dépassais presque tous mes condisciples dune tête. On me voyait arriver de loin.
Cest aussi à cette période que jai commencé à porter des strings de plus en plus petits, voire même ne rien porter lorsque jétais en pantalon. Puis jai franchi un nouveau pas lété de mes vingt et un ans. Il faisait tellement chaud que pour me sentir plus à laise, je nai même plus rien porté, ni string ni culotte sous mes jupes. Cétait agréable de sentir le vent sengouffrer sous ma jupe, frôler mes cuisses et ma chatte nues mais pas encore rasée.
Lorsque jallais à la piscine, je portais des maillots les plus réduits possibles mais je me faisais souvent rappeler à lordre et je devais revêtir des maillots plus fermés. Je marrangeais assez fréquemment pour quun sein soit dénudé lorsque je sortais du bassin en faisant glisser par inadvertance une des bretelles. Je le cachais bien vite, mais pas assez cependant pour que des garçons ou des hommes le remarquent.
En fin de première année duniversité, nous sommes partis à deux couples de copains pour deux semaines au bord de locéan atlantique à quelques kilomètres du bassin dArcachon. Lorsque jai vu que la plupart des femmes étaient sur la plage avec les seins nus, jen ai fait autant.
Cest au cours de ce séjour que jai découvert le nudisme. Nous parcourions la plage après nous être baignés lorsque nous sommes tombés sur une plage naturiste. Jai compris tout de suite que ma nature exhibitionniste allait prendre le dessus : jai immédiatement enlevé le bikini que je portais ce jour là. Agnès, Freddy et Jérémie, mes trois amis en ont fait autant avec leurs maillots et nous nous sommes mêlés aux autres nudistes. Jai aussi compris que les poils du pubis étaient disgracieux.
De retour au camping, jai demandé à Jérémie, mon compagnon du moment, de me prêter son nécessaire à rasage et en prenant ma douche, je me suis débarrassée de tous ces poils fauves qui couvraient mon bas ventre. A mon retour au bungalow, il ma trouvée très belle ainsi et aussitôt il est venu embrasser ma chatte nue. Il est inutile de vous dire ce qui a suivi.
De retour à Paris et pour gagner un peu dargent, jai fait le tour de quelques peep-shows afin de chercher un engagement de quelques heures par semaine. Pour le plaisir des hommes je dansais sur la petite scène entourée des cabines. Je ne voyais jamais à qui javais à faire mais mon excitation était à son comble lorsque jentendais les pièces tomber dans le monnayeur et voyais les rideaux se lever devant les miroirs sans teint. Cétait le signe que jétais observée.
Je ne restais jamais bien longtemps dans le même établissement. Le bouche à oreille dans ce milieu avait fonctionné et jétais très demandée par les tenanciers. Jai même été embauchée dans un sex-shop où fonctionnait un peep-show. Là, pour peu quun voyeur glisse un billet ou deux de 10 euros dans une fente, il avait droit, et uniquement lui, à la nudité intégrale et une séance de masturbation avec les mains ou un gode.
Mes amis savaient ce que je faisais mais ils nont jamais su où. Jignore si lun dentre eux a pu me voir.
Le temps a passé. Jai terminé mes études et désormais je travaille à plein temps depuis bientôt deux ans. Je suis sans compagnon depuis plusieurs mois, ce qui ne mempêche pas de baiser de temps à autre lorsque jaccepte de me laisser draguer, en fait quand quelquun a été attiré par mon manège exhibitionniste. Je porte toujours des vêtements très ajustés qui mettent mon corps en valeur. A la belle saison, cest assez souvent que je minstalle à la terrasse dun café avant de rentrer chez moi. Sans string, je croise ou écarte mes cuisses pour mexhiber.
Lorsquun homme a mordu à mon appel, sil me plait, il a gagné le droit de memmener dans un hôtel discret et accueillant où je moffre complètement à lui pour une baise sans lendemain. Pour linstant, je suis heureuse ainsi : je mexhibe ! Et je fais des envieux. Jusquoù irai-je ? Je ne sais pas. Par contre, jai conservé des contacts avec la gérante de ce sex-shop avec peep-show, ce qui fait que de temps à autre, je peux encore moffrir une heure ou deux dexhibition dans son établissement, soit pour mon plaisir soit pour lui rendre service quand il manque une fille.
Quelques années plus tard
A 30 ans, mon penchant pour lexhibitionnisme na pas varié. Lété, je suis presque toujours sans string avec des jupes tout juste au dessus du genou. Quand je nai pas de copain attitré, je marrange pour me faire remarquer à la terrasse dun café en ouvrant largement mes cuisses. Si un des hommes présents mord à mon manège+et quil me plait bien, jai vite fait de le conduire dans un hôtel proche où il me saute sans autre forme de procès et sans lendemain.
Samedi dernier, je suis passée en vitesse saluer mon amie Claudie, la gérante du sex-shop où je travaillais la dernière année de mes études et où il marrive de retourner pour une heure ou deux de show, juste pour le plaisir.
Soudain, deux hommes sont entrés ensemble en poussant le rideau de velours rouge qui masque lintérieur du magasin depuis la rue et ils se sont dirigés vers le fond où se trouvent les cabines de vidéo où des séquences de films X. sont proposées en visionnage direct. Claude ma soufflé discrètement : Ce sont deux homos ! Ce nest pas la première fois quils passent par ici. A chaque fois, ils choisissent la cabine des films gays.
Jai suivi Claudie dans ce qui lui sert de bureau, une grande pièce avec une petite scène que je connais bien ! Cest là quelle ma fait me présenter il y a déjà quelques années
Depuis, il y a du changement. Le décor est resté assez semblable mais sur le côté droit, il y a une série de petits écrans de télévision qui lui permettent de voir ce qui se passe dans la boutique, le vestiaire des filles et les cabines de projection.
Elle sélectionne immédiatement la cabine des films gays et transfère limage sur un téléviseur grand écran. Si elle nest pas surprise de ce que nous découvrons, je suis sidérée par la scène. Les deux mecs sont intégralement nus et ne semblent pas du tout intéressés par ce qui se passe sur lécran de la cabine. Le blond, environ trente ans, les cheveux mi longs ondulés, les muscles à peine dessinés est à genoux sur la moquette. Il est en train de faire une fellation au plus jeune, un maghrébin je pense tant il a la peau mate et les cheveux crépus. Il suce goulument et avale une bite de taille imposante jusquà coller sa bouche contre le pubis du brun.
Sil métait arrivé de voir deux filles baiser ensemble, je navais jamais vu deux hommes ensemble sauf bien sur dans une ou deux séquences de films X javais eu loccasion de regarder. Là, ce nétait pas du cinéma mais bien un baise homo en direct qui se préparait. Au bout dun certain temps, le blond sest relevé pour enlacer son compagnon. Ils se sont embrassés à bouche que veux-tu longuement, masturbant mutuellement leur bite dressée entre eux ou encore se collant lun à lautre ils se prenaient les fesses à pleine main en faisant rouler leur bassin. Le blond sest installé en levrette dans le fauteuil de la cabine pendant que le jeune beur se mettait derrière lui, la bite couverte dun préservatif.
Il a glissé sa queue bandée entre les fesses et lentement, il est entré dans le fondement de lautre sans avoir, semble til, besoin de forcer. Waaouhhh, ce devait être un adepte régulier de la sodomie car la bite qui le défonçait nétait pas un petit gabarit, jen aurais bien fait mon quatre heure. Le jeune beur a entrepris les mouvements de va-et-vient, lents et profonds, sortant presque à chaque fois du cul de lautre pour rentrer à nouveau. Nous ne pouvions pas tout voir mais nous étions sures quil lui dilatait bien la rondelle. Le blond masturbait doucement sa bite qui battait sous lui, puis les mouvements se sont accélérés pour finir par une estocade brutale. Le jeune beur jouissait dans le cul du blond qui, de son côté, crachait quelques jets de sperme. Çà avait été chaud et je sentais ma chatte qui ruisselait tant le spectacle mavait excitée. Claudie a coupé la caméra et limage des deux homos a disparu.
Javais chaud, mes tétons étaient dardés dans mon soutif. Si bien que jai demandé à Claude sil y avait une cabine disponible. Il y en avait une : la numéro 3, bien sur ! Claude me connaissait bien. Jai déposé rapidement mes vêtements de ville dans le vestiaire et je suis entrée dans la cabine en string et soutien gorge.
Cette cabine N° 3 était celle que je préférais car il y avait plein de jouets divers à la disposition de la danseuse et les clients le savaient car elle était très souvent demandée. Jétais certaine quun voyeur allait mobserver pendant que je me ferais plaisir avec un beau gode.
Je suis entrée et tout de suite les petits projecteurs se sont allumés. Dans la lumière crue, jai choisi un beau gode en silicone couleur chair, avec des reliefs bien dessinés et un gland bien rond, comme le chapeau dun champignon.
Dès quun rideau sest levé, jai esquissé quelques pas de danse en roulant exagérément des hanches puis jai englouti le sexe factice dans ma bouche et je lai enduit copieusement de salive avant de lintroduire dans ma chatte.
Javais fait glisser le cordon de mon string sur le côté pour faciliter la pénétration. Ce jour là, je navais pas mis un de mes strings fendus
Quand jai vu quun second rideau se levait derrière une autre glace sans teint jai fait sauter lagrafe de mon soutif que jai jeté dans un coin de la cabine. Quand jai entendu tomber plusieurs pièces dans le monnayeur, je me suis masturbée ainsi quelques minutes avant de faire glisser mon string. Jai pris un second gode que jai placé entre mes seins, le gland à hauteur de les lèvres lorsque je baissais la tête. Ensuite comme il restait un peu de temps, je me suis mise en levrette sur le pouf, les fesses tournées vers le miroir, le gode planté au fond de ma chatte.
Jai entendu tomber trois nouvelles pièces puis un billet de 10 euro a été glissé dans le coffret translucide. Oulla ! Javais à faire à un gourmand. Jallais lui en donner pour son argent. Toujours en levrette mais légèrement tournée sur le côté, jai continué ma masturbation avec le gode puis, je lai introduit dans mon petit trou en le maintenant enfoncé dune main.
La joue collée sur le velours du pouf, jai mis deux puis trois doigts dans ma vulve pour me caresser. Puis cest la main toute entière qui est entrée. Je me suis fistée comme une démente jusquà ce que mon plaisir éclate. Le rideau sest refermé pendant que je reprenais mes esprits, assise sur le pouf, les jambes flageolantes tant la jouissance mavait déchirée.
Je pensais marrêter là. Mais le rideau sest levé à nouveau. Javais un nouveau voyeur derrière la glace ! Généreux aussi celui-là car il avait mis demblée un billet de 20 euro. En écartant les pans du pouf, je suis allée chercher le coussin que je savais y trouver. Avec un beau gode rigide au centre, assez long mais pas trop volumineux, jallais menvoyer en lair une seconde fois pour le plus grand plaisir de mon voyeur (et du mien).
Je me suis approchée au maximum du miroir, les jambes écartées de chaque côté du coussin, jai descendu mon bassin jusquà ce que le gland factice soit bien en place à lentrée de ma chatte. Jai commencé le va-et-vient en me tenant à une poignée pour conserver ma stabilité. Parfois je faisais ressortir le gode de ma chatte pour mieux le sentir ensuite écarter mes petites lèvres.
Pendant ce temps, je faisais une fellation à un gode en silicone de couleur mauve. Finalement, je lai glissé entre mes seins en les resserrant avec mon bras. Je le faisais coulisser comme si un partenaire avait envie dune branlette espagnole. Jétais tellement excitée par le plaisir que je me donnais et de me savoir observée que ma jouissance est arrivée une seconde fois. Dès que le rideau est redescendu, je nai pas trainé dans la cabine. Jen avais assez pour cet après-midi. Généralement, il est rare quune exhibitionniste en peep-show se fasse jouir devant un client. Elle est surtout là pour lui offrir un spectacle capable de le faire fantasmer.
Je suis allée rejoindre Claudie dans son bureau où nous avons bavardé encore un peu et je lai quittée pour rentrer chez moi. Javais besoin dune bonne douche !
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