La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°901)
Le pensionnat, propriété du Marquis (suite de l'épisode précédent N°900) -
En attendant, elle avait envie de samuser. Elle ordonna alors à eNatacha daller chercher une petite balle en mousse quelle gardait sur une étagère, et de la lui rapporter. Ceci fait, elle expliqua à ses deux esclaves, quelle allait la leur lancer et quils devraient la lui rapporter. Celui qui réussissait aurait une récompense et celui qui échouait un gage. Ils neurent guère le temps de faire que deux passes. La première fut gagnée par e64 et la seconde par eNatacha. Ils obtinrent chacun un biscuit et furent envoyés en leur panier, le Maréchal Ferrant et le Cordonnier-Bottier sétant fait annoncés.
Autant lun était fait dune forte carrure, autant lautre était petit et malingre. Tous deux saluèrent Dame Laétitia bien bas, et la félicitèrent pour lheureux évènement. Les nouvelles allaient très vite au château, et arrivaient tout aussi vite au village.
- Je vous remercie, Messieurs de votre attention. Je vous invite à commencer tout de suite. e64, approche.
Lesclave interpellé se leva et sapprocha de sa Maîtresse.
- Messieurs il me faudrait deux paires de bottes dentrainement et une pour le jour J. Je vous en prie, faîtes votre office
Les deux hommes prirent divers mesures, tâtant, touchant. Prenant des notes. Faisant des croquis. Discutant de la meilleure manière dopérer. e64 se pliait à la moindre de leurs volontés. Lorsquils eurent terminés, e64 repris sa place dans le panier et ce fut le tour deNatacha. Puis lorsquils eurent enfin fini :
- Messieurs, je tiens à vous remercier pour votre diligence. Je vous invite à passer dans mon petit salon. e64 et eNatacha vont vous accompagner. Je suis sûre quils sauront vous satisfaire selon vos goûts.
Les deux hommes sinclinèrent et remercièrent maintes et maintes fois. Puis les deux esclaves les suivirent dans la pièce attenante.
- Comment oses-tu dormir en ma présence, chienne ?
Myna se dépêtra précipitamment de sa couverture et sagenouilla devant la Favorite du Maître. Cette dernière enroula la chevelure de la jeune fille autour de son point. Elle lentraîna à sa suite. Elle lui fit faire le tour de lappartement dans cette pot sition, à une allure assez soutenue. Les genoux, et les mains de lesclave, peu habituée à ce genre de traitement, souffraient. Arrivées dans le grand salon, Dame Laétitia sortit un petit lien et attacha les cheveux de lesclave. La femme sabaissa au niveau de Myna. Dune main, elle lui montra la balle en mousse avec laquelle e64 et eNatacha avaient joué. Dans lautre se trouvait une espèce spatule plate. Myna chercha où elle avait vu ce genre dinstrument. Elle sen souvint, Monsieur Auel, lavait puni avec lors de la cérémonie de sa libération. Dame Laétitia qui sétait relevée pris la parole :
- Bien, je vois que tu te rappelles de cela. Tu te rappelles de sa morsure dans tes chairs ? Oui tu ten souviens. Vois-tu cette balle ? Je vais te la lancer, et tu devras la chercher en rasant le sol, tu la prendras dans ta bouche et tu viendras la déposer à mes pieds. Je te ferais avancer grâce à ma palette. Tu vas vite comprendre comment.
Aussitôt dit, elle lança la balle à travers la pièce.
Vas chercher chienne !
Myna partit aussitôt, mais bientôt les coups se mirent à pleuvoir.
- Tu crois que je vais courir après cette balle ? Vas la chercher et dépose la dans ma main !
Myna rattrapa la balle avec ses dents et la déposa dans la main de Dame Laetitia. Aussitôt elle relança la balle, et lesclave de courir après sous les coups de palette. Tant et si bien que les fesses de la jeune femme rougirent bien vite. Elle avait mal, mais la Dame, ne semblait pas sen soucier ni vouloir arrêter. Le jeu ne sarrêta que lorsque les deux artisans ressortirent suivis de ses deux esclaves. Les hommes prirent leurs documents quils avaient posés sur une console et se retirèrent après avoir encore remercié. Les deux esclaves étaient totalement souillés. Ils nétaient pas à laise face à leur Maîtresse. Cette dernière fronça les sourcils, et leur indiqua leur salle de repos, de la tête. Le temps quils soient lavés et soignés, on avait servi le déjeuner, et rapporter trois gamelles. Myna sagenouilla devant lune et attendit. Ses pairs revinrent fraîchement nettoyer. Le regard de64 étais éteint. Dame Laétitia dû même sévir plusieurs fois durant le déjeuner, du coup lesclave fut privée de la fin de son déjeuner et dû se placer à genoux sur une barre carré les mains sur la tête sans bouger. De petites larmes coulaient sur ses joues. Après le déjeuner, e64 fut envoyé en cuisine. Dame Laétitia avait encore en tête le refus de Myna de la remercier pour sa punition de la veille. Elle la fit sagenouiller dans le lit et poser la poitrine sur le lit, les mains à plat au dessus de sa tête. Elle prit un martinet et le passa doucement sur le corps de lesclave.
- Jai un compte à régler avec toi, chienne. Je vais te faire regretter de mavoir défier hier.
Myna sentit un liquide froid contre sa rondelle et sans prévenir elle lui enfonça un plug de taille moyenne. Elle le maintint en place, pour éviter que lesclave le rejette, puis quand elle ne sentit plus de résistance, elle le lâcha.
Puis elle se mit à fouetter Myna tout le long de son dos et sur ses fesses. Elle sarrêta un instant lorsque64 revint de la cuisine. Dame Laetitia ordonna à eNatacha de rendre sa vigueur à la virilité du mâle. En effet, après sa séance avec les deux artisans, et celle en cuisine, il avait du mal à se maintenir en forme. eNatacha était moulue par sa position mais elle sapprocha de son confrère et pris son sexe en bouche, effectuant des vas et viens, caressant ses bourses. Ce dernier tentait tant bien que mal de maintenir son équilibre, il avait les mains derrière la tête. Lorsquil fut suffisamment dur, Dame Laétitia renvoya la femelle dans son panier et ordonna au mâle de sapprocher. Elle retira le plug du fondement de Myna.
- Le Maître nous a interdit de déflorer cette chienne, cependant il na pas interdit de la sodomiser. Tu aimes la sodomie, esclave ?
- Je
.
- e64 tu vas prendre cette chienne, tu vas la défoncer comme jamais tu nas défoncé desclave dans cette maison. Je veux quelle demande grâce et pardon. Si elle ne le fait pas je te le ferais payer très cher
Dame Laétitia sinstalla dans un fauteuil face au lit, de façon à ce quelle puisse avoir pleine vue sur le spectacle. Elle claqua des doigts et eNatacha vint sagenouiller à ses pieds. Elle lui caressait la tête, tandis que le mâle séchinait dans le fondement de sa jeune consur. Par instant, il sarrêtait et respirait un grand coup afin que sa jouissance ne vienne pas trop vite. Au bout dun moment Dame Laétitia fut fortement excitée par le spectacle que lui offrait ce mâle. Elle avait repris eNatacha entre ses jambes, cette esclave commençait à se débrouiller pas si mal que cela. Myna était en pleurs, lesclave qui la prenait sen faisait un devoir à réaliser cette profonde sodomie.
- Grâce, grâce, Madame, je nen peux plus
Dame Laétitia repoussa eNatacha. Elle se leva et sapprocha du lit. Elle caressa les cheveux de la jeune esclave. Elle comprenait pourquoi son Maître sétait entiché delle. Si jeune et si innocente
- Tu nen peux plus
(Elle lui releva la tête par les cheveux), tu aimerais quil sarrête ?
- Oui Madame
- Tu sais ce quil te reste à faire, demande pardon pour ton affront, et je lui ordonnerai de se retirer. Sa voix était douce et calme.
- Je vous demande pardon, Madame, pour mon affront et mon cur de rébellion. Je vous remercie de mon montrer la voie et de me remettre sur le bon chemin Sa voix était saccadée par la douleur et par les allées et venues de64.
Dame Laétitia eut un petit sourire de contentement.
- Je ten prie e64, finit donc, je tautorise à te décharger en elle
- Mer
ci
Maî
tre
sse
Il accéléra ses mouvements et éjacula profondément dans le fondement de Myna en poussant de longs râles. Lorsquil fut sorti, il lui fut ordonné daller se reposer sur la paillasse. Myna fut laisser en place. Elle neut pas à attendre bien longtemps. La porte des appartements souvrit sur Viktor, le valet attitré de Myna. Sans un mot pour la Dame, il sapprocha du lit. Il prit Myna dans ses bras et lemporta. Dame Laétitia ne répliqua pas, bien quelle devait encore la garder quelques heures, mais elle savait que rien ne se faisait dans cette maison sans ordre du Seigneur et Maître des lieux, le Marquis d'Evans ....
(A suivre ...)
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