Weekend En Famille
Mes parents, ces deux vieux bourges condescendants, navaient jamais accepté ma relation avec Pierre. Selon eux, cet homme navait aucun avenir et, de fait, moi non plus si je persistais à vouloir faire ma vie avec lui. Ma sur ainée était du même avis queux. Je les voyais le moins possible, et toujours seule. Pierre ne maccompagnait jamais lorsque jallais chez eux. De toute façon, il nétait pas invité. Du coup, javais été quelque peu surprise quand ma mère mavait appelé pour nous inviter, Pierre et moi, à passer un weekend dans la maison secondaire de la famille, dans le Sud de la France. Elle mapprit que Clarisse, ma sur, et son mari, Fabien, seraient également présents.
Lidée memballa tout de suite, même si jétais sûre quil y aurait une ou deux prises de tête au cours du weekend. Il suffirait déviter ma famille au maximum. Javais trop envie de profiter de la chaleur, du sable fin, de mon homme dans ce superbe paysage. Pierre, lui, rechignait mais, à force de persuasion, je finis par le convaincre en lui promettant mille et unes parties de baises dès notre retour.
Nous sommes arrivés les derniers, en soirée, tant Pierre sétait mis à rouler de plus en plus lentement au fur et à mesure quon sapprochait de la maison familiale. Il gara la voiture à côté de celle de mes parents et de celle de mon beau-frère. De grosses berlines, bien sûr. Personne nest sorti de la maison pour nous accueillir. Pourtant, jétais persuadée quils nous avaient entendu arriver.
- Ils ont besoin dune grosse caisse pour oublier le fait quils ont une queue ridicule ou quoi ? a grogné Pierre en tripotant nerveusement le volant.
Jai gardé le silence en essayant de cacher mon sourire. Pour avoir vu Fabien en maillot de bain à plusieurs reprises, je savais quil en avait une grosse, même au repos.
- Détends-toi mon chéri, jai fini par dire. Pense à toutes ces parties de baises que je tai promises.
En le regardant dun air lascif, jai quelque peu écarté les cuisses sur le siège de la voiture. Le bas de ma robe est doucement remonté pour dévoiler ma chatte épilée et entièrement nue.
- Salope, tas pas mis de culotte ! Si tu crois que je vais attendre dêtre rentré chez nous pour te prendre, tu te trompes. Et si ta connasse de mère ne nous regardait pas en ce moment, je le ferai tout de suite.
Il a terminé sa tirade en me donnant une tape sur la chatte. Ça ma envoyé une décharge de plaisir dans tout mon corps.
Jai regardé à travers le pare-brise. Ma mère nous observait par la porte dentrée quelle venait douvrir.
- Putain, je devrais le faire justement quand elle regarde. Au moins, elle verrait ce que cest de se faire baiser bien comme il faut, à défaut de le vivre.
Il a subitement enfoncé un doigt dans ma chatte moite de mouille. Putain, cétait bon. Je me suis efe de ne pas pousser de cris et, surtout, de conserver un visage neutre. Cétait peine perdue quand Pierre a mis un deuxième doigt et a commencé à me les enfoncer avec rapidité et force. Je me suis mise à haleter, la bouche ouverte et la tête renversée en arrière. Je me suis laissée aller, incapable de résister.
- Mais cest quelle regarde, la pute, constata Pierre.
Je me suis redressé un peu pour voir. Ma mère était en effet en train de nous observer. Jai repoussé la main de Pierre. Il a grogné.
- Jai envie de te baiser, sest-il plaint.
En effet, il bandait dur à travers son jean.
- Si tu es sage aujourdhui, je te sucerai ce soir.
Il a réfléchi un instant puis a hoché la tête. Jai resserré les cuisses en essayant doublier la moiteur qui perlait de ma chatte, puis je suis sortie de la voiture, un sourire faux cul accroché aux lèvres. Au regard noir que me lança ma chère mère, jai su quelle avait bien compris ce quil sétait passé dans la voiture.
Après avoir coincé sa bite toute dure avec lélastique de son boxer, Pierre me rejoignit. Ma mère lui a vaguement dit bonjour en le détaillant des pieds à la tête, sattardant un instant sur son érection qui était tout de même bien visible. On est entré dans la maison. Mon père, Fabien et Clarisse étaient déjà attablés pour le diner.
Le repas a été des plus chiants et des plus longs. Critiques répétées, conseils faussement gentils, regards méprisants
Quand javais senti que Pierre était prêt à les envoyer bouler, jai glissé la main sur sa cuisse, sous la table, puis je suis venue caresser sa grosse queue. Ça la immédiatement détendu. Enfin, disons quil était plus relax mais que sa bite, elle, était bien raide.
Dès que le repas a été terminé, on est directement monté dans notre chambre. Celle de mes parents se trouvait juste à côté et celle de ma sur et son compagnon, en face.
Pierre sest tout de suite jeté sur moi, le regard noir de colère et de désir. Apparemment, il navait pas apprécié être rabaissé constamment par ma famille pendant les trois heures quavait duré le diner. Jai senti que cétait moi qui allais en payer le prix. Rien quen y pensant, ma chatte sest remise à couler.
Pierre ma poussé violemment contre le mur, ce qui a provoqué un tremblement dans toute la cloison.
- Chut, fais moins de bruit, lui ai-je dit. Mes parents vont nous entendre.
- Jespère bien quils vont nous entendre, ces gros coincés. Je veux quils sachent exactement ce que je suis en train de faire à leur fifille chérie.
Il ma retiré ma robe en quelques gestes empressés, manquant de la déchirer de peu. Collant son bassin et donc son érection contre moi, Pierre a pincé mes tétons, déjà dressés par lexcitation. Jai laissé échapper un petit cri, ce qui a fait rire Pierre.
- Ça te plait de savoir quon nous entend, on dirait.
Je suis restée silencieuse, sachant quil était inutile de nier.
- Dis-le, que tu aimes ça, petite salope.
- Oui, jaime ça, jai répété en chuchotant.
Jai vu au regard de Pierre quil nétait pas content de moi. Il voulait mentendre le dire plus fort. Mais il na pas insisté. Il ma à magenouiller et a sorti sa bite. Elle sentait bon le sexe. Ça ma direct fait saliver.
- Je vais te remplir la bouche, comme ça, tu nauras pas à parler puis que visiblement, tu as peur quon tentende.
Cétait clairement une critique. Il ma mis une petite gifle du bout des doigts. Jai souri. Jadorai quand il passait en mode mâle alpha, contrôlant et violent.
- Putain, tu souris comme une grosse salope.
- Sans doute parce que jen suis une, nai-je pu mempêcher de le provoquer.
- Ta gueule !
A ces mots, il a attrapé le bas de mon visage entre son pouce et son index et ma à ouvrir la bouche. Puis, il a enfoncé sa grosse queue odorante et toute chaude dans ma bouche, bien au fond. Il ne ma même pas laissé le temps de mhabi à sa grosseur quil a commencé à me pilonner comme il laurait fait dans ma chatte. Javais du mal à respirer, je suffoquais à moitié, je bavais abondamment mais jadorais ça.
Sa bite tapait dans ma gorge, marrachant de petits hauts le cur qui ont fait ricaner Pierre.
- Tu mas à venir ici, maintenant, tu vas le regretter ! a-t-il dit en me mettant une deuxième gifle.
Il a retiré sa bite et ma craché dans la bouche qui était toujours ouverte. Puis, il a recommencé à me baiser la bouche, encore plus vite et plus fort. Jétais tant excitée que je nai pas pu résister à lenvie de me caresser la chatte. Jai glissé une main entre mes cuisses et jai commencé à faire des cercles sur mon clito, en appuyant bien fort comme jaimais.
Pierre la vu.
- Aie !
Mon cri était entre le gémissement de douleur et de plaisir.
- Ferme-la, salope ! Je croyais que tu voulais pas que papa et maman nous entendent.
Lui-même parlait fort. De toute façon, je men foutais quon mentende ou non. Javais juste envie dêtre baiser, le reste ne mimportait plus.
- Baise-moi, lai-je supplié. Baise-moi je ten prie.
- Tu es vraiment une chienne hein ? Une chiennasse qui veut prouver à maman et papa quelle nest plus une petite fille, je me trompe ?
- Tu as raison. Je suis une chienne, une salope, une suceuse de bite et je veux quils le sachent.
Nouvelle claque sur mon cul. Très forte celle-ci. Mon cul allait être bien marqué, jen étais sûre. Puis, jai senti quelque chose à lentrée de mon vagin tout dégoulinant. Pierre a frotté son gros gland turgescent contre ma fente avant de senfoncer entièrement en moi, dune seule poussée bien puissante. Ça ma provoqué une brulure vive, entre douleur et plaisir.
- Oh putain, cest bon !
Pierre ressort sa bite et la re-rentre dun coup à plusieurs reprises, marrachant des gémissements de plus en plus forts. Puis, il commence à me limer doucement. Il en profite pour me dire des cochonneries en me mettant des fessées bien sonores.
- Tu crois que tes vieux nous entendent ?
Incapable de parler tant je prenais mon pied, jai hoché la tête. Javais envie et besoin quil me prenne plus fort et plus vite. Jai bougé le bassin pour accompagner ses coups et le forcer à aller plus vite. Il ma empêché de continuer en plaquant une main sur ma nuque. Du coup, javais la tête écrasée sur le matelas. Je ne pouvais plus bouger, seulement recevoir ses coups de bite.
- Tu crois que ça les excite ? Je suis sûre que ta pouffiasse de mère na jamais été prise comme ça par ton père. Mais je suis sûre quelle en crève denvie. Sa vieille chatte doit être au moins aussi mouillée que la tienne.
Je ne savais pas pourquoi, sans doute limpression de braver un interdit, mais ses mots me faisaient encore plus mouiller. Mes gémissements se sont transformés en véritables cris quand Pierre sest mis à me labourer la chatte avec force et rapidité. A chaque coup de reins, son bassin claquait contre mon cul. Ce bruit a suffi à me rendre encore plus folle de désir.
Jai senti tout mon corps se contracter, surtout ma chatte. Lorgasme ma submergé brusquement, menvoyant des ondes de plaisir en rafales. Jai hurlé dans le matelas, toute tremblotante, consciente toutefois quon mentendrait à travers toute la maison.
Pierre a continué ses coups de butoir au fond de mon sexe tout sensible, prolongeant mon orgasme. Quand il a fini par passé, jai commencé à avoir mal en sentant la grosse bite de Pierre en moi.
Il sest retiré, ma mise sur le dos et, en me relevant les cuisses contre mon torse, il ma reprise dans un râle.
- Je veux tentendre jouir encore.
- Jen peux plus, Pierre. Jai la chatte en feu.
Javais envie de le finir dans ma bouche, de savourer son sperme bien épais. Mais Pierre adorait trop me faire jouir plusieurs fois daffilées. Etre privée dun orgasme est horrible mais quand on force un orgasme juste après en avoir eu un, cest tout aussi horrible. Horriblement bon.
Sa main sur mon clito a accompagné ses coups de bite dans ma chatte toute serrée après lorgasme. Aussitôt, mon envie de baiser est repartie de plus bel. Mes jambes narrêtaient pas de gigoter sous la brulure que ses doigts provoquaient sur mon clito. Une putain de brulure douloureuse mais ô combien délicieuse. Jai poussé des cris en continu. Continuer de me faire prendre après un orgasme me rendait toujours plus chienne, plus dévergondée, plus salope.
- Plus fort, plus fort !
- Oui, cest ça ma salope. Laisse-toi aller.
- Défonce-moi ! Défonce-moi comme une putain de grosse chienne, une pute, une salope.
Mes paroles crues ont fait redoubler Pierre de fougue. Il a mis un pied sur le matelas et ses coups de butoirs sont devenus encore plus rapides et plus puissants. Et surtout, plus profonds.
- Putain, tes vraiment une grosse pute, ma-t-il insulté.
En parlant, il ma attrapé un sein et la serré fort, à men faire mal.
- Tout ce que tu mérites après mavoir obligé à venir ici, cest de te faire prendre comme une chienne.
- Oui, oui, oui. Je suis une chienne en chaleur.
- Oui et je vais te saillir, la pute.
Il a grogné, ma mis une gifle, puis une autre, en me crachant au visage. Il était en train de me punir pour lavoir à passer tout un weekend avec ma famille et jen redemandai. Putain, jadorais le voir dans cet état dexcitation, me dominer, me traiter comme la dernière des trainées.
Jai senti mon vagin se contracter quand mon deuxième orgasme ma cueillie. Je me suis cabrée sous cette exquise sensation. Jai eu limpression dexploser en hurlant ma jouissance.
Pierre a grogné en même temps que je jouissais, quand mes chairs intérieures ont enserré sa grosse bite. Il ma mis trois coups de queue encore et jai senti son sperme chaud se déverser en moi. Il a sorti sa queue et a frotté son gland sur ma fente pour bien létaler partout, le regard brillant de fierté. Il adorait voir son sperme dégouliner de ma chatte. Moi aussi, alors je me suis redressée sur les coudes pour admirer ce beau spectacle. Son sperme coulait sur les draps. Jétais un peu déçue de ne pas avoir pu y gouter, alors jai glissé mes doigts entre mes lèvres intimes et, après avoir récolté sa semence, je les ai portés à ma bouche. Chaud, épais et salé, juste comme je laimais.
- Tu crois que ta mère va plus mapprécier maintenant quelle sait que je te baise bien ? ma demandé Pierre en venant sallonger sur le lit.
Je me suis blottie contre lui, repue et quelques peu fatiguée. Il ma serré contre lui, plus tendre maintenant que la tension et le désir étaient redescendus.
- Vu comme elle est coincée, ça métonnerait.
- Je suis sûre quelle est jalouse, cette vieille pute.
- Peut-être
Pour linstant, jassumai ce qui venait de se passer dans cette chambre, mais demain, lorsque je croiserai les regards réprobateurs de ma famille, je savais que ce serait une autre histoire.
- Je taime ma petite salope.
- Je taime aussi mon chéri.
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