Chloé/Elina Rencontre Des Joueurs En Ligne (4)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Après la soirée de bacchanales, transition
ou
« Quand Chloé laisse sa vie lui échapper et décide de devenir Elina »
Jouvre les yeux, je suis toujours dans le noir, les yeux derrière le bandeau que lon ma posé lorsque je suis arrivée.
Je nentends pas un bruit mais ce nest pas cela qui me surprend le plus.
Je suis à nouveau suspendue à la croix sur laquelle javais déjà été écartelée à mon arrivée bras et jambes écartées.
Mes poignets et mes chevilles sont serrés très forts avec des liens de cuirs qui me coupent la circulation sanguine.
Jai dans mon vagin des boules de geishas et dans mon anus un gode : tous les deux vibrent.
En plus des pinces que jai depuis le commencement, jai maintenant des pinces sur mes grandes lèvres et une pince acérée qui comprime la langue que je possède à lentrée de mon abricot.
Je veux crier car, là, ça va trop loin, mais aucun son ne sort de ma bouche : je bave car on ma placé un objet de tel que jen ai vu sur les sites pornographiques : une boule qui me maintient la bouche grande ouverte, qui mempêche de parler, de crier, dappeler au secours, qui mempêche de respirer normalement par la bouche.
Prise de panique, je me mets à pleurer et prise de spasmes, les sécrétions que secrétait mon nez se mêlent à la bave et aux larmes. Jaurais voulu messuyer mais je ne le peux pas.
Il faut que je retrouve mes esprits et que je réfléchisse, la panique ne mapportera rien.
Je me calme donc, je cesse de pleurer, de tenter vainement darracher des liens, qui, je le sais, ne rompront pas.
Je me concentre à faire le moins de bruit possible en respirant et doucement et en ne bougeant pas.
Je crois percevoir une respiration à peine audible et le mouvement léger dun corps qui effleure un canapé, un lit ou un coussin.
Ainsi, je ne suis pas seule ?
Quelle heure est-il ? De quel jour ? Depuis combien de temps suis-je là ? Combien de temps cet homme va-t-il me garder prisonnière ? Que va-t-il me faire ?
A-t-il pour projet de me ?
Mon ventre est noué par la peur.
Jalterne entre périodes durant lesquelles je me débats vainement et temps dacceptation où je ne bouge ni ne cherche à crier.
Quand je suis calme je sens bien les vibrations des objets électriques qui ont été introduits dans les deux orifices qui sont sensibles aux mouvements et qui savent déconnecter mon corps et ma tête, les orifices qui sont la porte dentrée de lunivers où je suis une chienne déchainée.
En tendant loreille, jentendis dans un appartement voisin un couple qui fait lamour tendrement. Les murs de cette cité ne sont pas bien épais et jentends presque tout ce quils se disent. Il lui dit quil la trouve belle, elle sa femme, sa promise, son unique, il lui dit combien il la désire, elle et aucune autre, il sait quelle est pure et il aime en elle sa fidélité, sa pureté et que ça lui donne envie delle.
Elle lui répond quil est beau, quelle lui appartient toute entière, quelle na jamais appartenu à aucun autre et nappartiendra jamais à aucun homme car il la comble damour et de tendresse, il a delle une femme à la fois digne et sexuellement apte à le satisfaire et satisfaite elle-même.
Après ces préliminaires, jentends des bruits de baisers fougueux, de sucions puis il a dû la pénétrer car elle gémit tandis que le lit grince et que la tête de lit tape contre la cloison.
A les attendre baiser, à nouveau, mes orifices, que les vibromasseurs titillent en permanence se contractent comme si mon cur battait non pas dans ma poitrine mais entre mes cuisses. Je frotte mes hanches contre la croix en bois sur laquelle jétais écartelée, jessaie de ressentir plus les sex-toys mais si leur vibration est agréable et excitante, elle me laisse frustrée.
Ces ébats lointains rappellent ceux de Chloé mais le corps qui est à nouveau tordu de pulsions de démence animale est le corps dElina.
Je reconnais les coups de boutoirs aux bruits quils font contre le mur et jentends quils saccélérèrent. Elle feule la première et quand il gueule son extase, elle accueille son trop plein jute blanche en lui criant : « Donne-moi tout, je suis à toi ! » ».
Je nen peux plus. Ma chatte est douloureuse de cet insoutenable désir de queues entretenu par les voisins qui baisent et par les objets qui mexcitent les parois de mes parties sensibles.
Pour passer le temps et faire patienter mes désirs, je me remémore les bacchanales davant mon profond sommeil et jai, par moment, limpression quil sagissait dun rêve sauf que mon corps me fait bien sentir comment il revit avec bonheur ces scènes où il avait pris le dessus sur lintellect bien rangé qui était le mien.
Mon corps déchainé sest résigné à limmobilisation totale qui dure depuis des heures au point que mes membres sont terriblement douloureux, mon corps accepte tout pourvu que mon cerveau ne reprenne plus le dessus.
Les souvenirs défilent encore et encore quand soudain Il sapproche de moi.
Je ne sais rien de Ses intentions et je suis terrorisée. Si javais été détachée rapidement après mon réveil, jaurais peut-être enlevé mon masque, je me serais enfuie, jaurais mis un terme à cette expérience qui, je trouvais, été allée trop loin.
Davoir entendu ces voisins crier leur jouissance ainsi que cette attente qui dure depuis des heures générant douleur des poignets et des mains, des chevilles et des pieds immobilisés, engourdissement généralisé de tout mon corps, davoir senti les objets vibrer en moi entretenant un état dexcitation permanente ; tout cela a annihilé en moi mes capacités à résister à lAgresseur.
Je Lui sais gré de vouloir bien sapprocher, enfin, de moi, minable objet indigne dintérêt.
Sans mot dire, Il me gifle.
Sans mot dire, Il tire violemment sur les pinces au bout de mes seins dont je ne sais même plus sils sont infiniment douloureux ou complètement insensibles.
Sans mot dire, Il fait claquer le fouet sur le sol, puis comme je my attends en contractant les muscles de mes cuisses et de mon ventre, Il le fait claquer de deux coups très secs entre mes cuisses écartées, sur ma protubérance charnue.
La douleur est fulgurante mais elle me semble tellement préférable à limmobilité et à lattente !
Il séloigne, jentends leau couler dans la baignoire.
Il me détache. Je voulus me mettre sur mes deux pieds mais mon corps ne peut plus me porter. Mes membres ont atteint un point de tétanie extrême.
Le sang qui afflue soudainement dans mes mains et mes pieds provoque une autre sorte dengourdissement, ce quon appelle « des fourmis ».
Il me fait me relever dun coup de pied quil me donne dans les reins. Je me relève tant bien que mal, mes jambes me portent difficilement, il me pousse jusquà la salle de bain, jusque ce que mes pieds butent contre la baignoire. Il att ma main, la pose sur ma chatte puis sur mon illet.
Je me doute que je vais prendre un bain car je suis répugnante à cause de tout ce foutre que jai reçu en moi et sur moi, de ce foutre que des hommes ont tenu à éjaculer en faciale pour se sentir puissant devant la poufiasse de la soirée.
Je retire les boules de geishas en tirant sur la ficelle qui dépasse de mon vagin et je déguste avec plaisir le passage de chaque boule qui sort de ma chatte.
Je retire de mon cul le gode ventouse vibrant. Je cherche un endroit pour poser les deux objets gluants de tout ce dans quoi ils ont trempé dans mes parties intimes.
En tendant le bras, je trouve un plan sur lequel je les pose.
Il me pousse fermement dans la baignoire.
Je pousse un cri, lui aussi étouffé par le bâillon.
Quai-je cru ? Quil allait me plonger dans un bain bien chaud ?
Il entreprend de me laver, sans douceur. Il est vrai que ce corps de femelle a été souillé par tant de déjections dhommes en rut, il est vrai que tant de foutre a inondé ma chatte et mon cul et quon ma « tartiné » le surplus partout sur la peau du corps, du visage, jusque dans les cheveux. Il est vrai quils ont bien ri de me faire lécher les doigts quils plongeaient dans un trou duquel coulait du sperme frais. Le reste était étalé parfois formant des dessins et des lettres qui les amusaient.
Il passet le savon partout, sur mon visage et sur mon corps ainsi que dans mes cheveux. Sa main vient tout spécialement nettoyer mon intimité, celle que javais offerte de manière impudique à ces mecs tellement jétais ivre dalcool, ivre de sexe, ivre de bites, ivre de sperme.
Quand je sens Sa main se glisser entre mes cuisses, entrer sans délicatesse dans ma fente afin de récurer de cette eau glacée toutes les déjections que jai non seulement acceptées mais recherchées, mon corps a de nouveau pris le dessus sur mon esprit.
Mon bassin se met à onduler, mes cuisses sécartent, mon antre soffre à Sa main qui na pourtant aucune douceur pour moi mais voyant comment je réagis, Il se met à entrer et sortir Ses doigts avec une rapidité accrue en prenant soin dégratigner les parois de mon vagins au passage.
Quand Il estime que ce passage est assez propre, Il me retourne et nettoie avec la même autorité mon fion qui a lui aussi bien besoin dêtre débarrassé de toutes ces impuretés.
Il glisse trois doigts et je me mets en levrette, relevant une jambe que je pose sur le rebord de la baignoire afin dêtre complètement ouverte pour lui.
Il continue de me ramoner le cul avec ses trois doigts et il en ajoute un de plus. Je me sens maintenant propre à nouveau, bien fraiche grâce à leau froide et mon corps a retrouvé toute sa bestialité ; il la manifeste en souvrant au maximum, chatte et cul, et en accompagnant les mouvements de la main qui fait des va-et-vient rugueux et appuyés dans mon rectum.
Lhomme silencieux doit tout de même être un peu remué par ma capacité à redevenir aussi vite une chienne avide de soffrir car mon ouïe affinée par labsence de vision perçoit quelques respirations un peu plus fortes.
Il pose Sa seconde main sur mon abricot certes mouillé mais juteux déjà des sécrétions produites de lintérieur, dans lattente de servir les désirs de Celui qui avait autorité sur lui.
Il malaxe la turgescence épaisse pleine de sang quIl a dégagée de ses doigts experts et, malgré labsence totale de tendresse dans le contact, mon clitoris est reconnaissant de ce traitement de faveur.
Il enfile les doigts de cette main dans mon vagin, lubrifié de mon désir de putain excitée comme une truie en chaleur qui aurait senti un mâle derrière elle.
Jai des doigts qui coulissent dans mon conduit anal en même temps quIl exacerbe mon point G. Jécarte autant que je peux la cuisse que jai posée sur le bord de la baignoire jusquà la lever en lair, ne reposant sur rien car je me veux ouverte, offerte, complètement à Lui, disponible.
Il joue avec la synchronisation de Ses bras. Les va-et-vient sont tantôt effectués en même temps : je suis pénétrée par les doigts devant et derrière en même temps et je suis vide des deux orifices en même temps attendant quelques secondes dêtre à nouveau prise par ses doigts selon Son bon vouloir. Tantôt il désynchronise : il fait entrer les doigts dune main tandis quil retire les doigts de lautre main.
Leffet de surprise me rend dingue dautant quil noublie pas de tirer ou décraser mon bouton de rose.
Ce traitement ne tarde pas à me faire monter jusque dans les contrées où lon flirte avec lorgasme et après avoir profité pleinement de ces instants intenses durant lesquels on est au bord, tout au bord du moment suprême, je finis par me cambrer, plus encore et à hurler, telle une démente, les spasmes qui se répandaient en moi
sauf que de ma bouche, seuls des sons étouffés sortent à cause de la boule-bâillon que jai toujours dans la bouche.
Des gifles sabattent bruyamment sur mes joues, données avec tellement délan que ma peau me brûle.
Il y a des bagues sur Sa main qui me blessent quand Il frappe avec le revers de Sa main.
Il frappe de toutes Ses forces, cela dura longtemps.
Je ne sais pas pourquoi. Parce que jai tenté de crier ma jouissance ? Parce que jai joui peut-être ? Mais cest Lui qui a déclenché cette déferlante de vibrations en moi en travaillant mes trous !!!
Je me demande QUI Il est. Qui Il est dans la vie et Qui Il est parmi mes correspondants dans le jeu et sur Kik, la messagerie anonyme que nous utilisons.
Etait-Il le Maître de la soirée ?
Je me demande ce quIl attend de moi tout en mimaginant avec délice Lui appartenir et vivre à Ses pieds et devenir Sa chose quIl baise à Sa convenance.
Il me sort de leau glacée, me fait me lever et rester debout sans même me proposer une serviette pour me sécher. Je grelote.
Il enlève le bâillon et met sa main sur ma bouche immédiatement afin que je comprenne que je nai pas le droit de parler.
Il pose sur mes lèvres, comme on lavait fait hier, une bouteille dalcool fort, de la vodka sans doute, et Il lève la bouteille me faisant comprendre que je devais boire. Je bois quelques gorgées et je fais montre de marrêter. Immédiatement je reçois un choc électrique sur le clitoris et je hurle. Il est aussitôt suivi dun second choc donné sans doute avec un couteau de chasse électro. Je ne crie plus mais ne peux retenir une plainte qui est, je men doutais, suivie dun troisième choc électrique, sur mon pubis, soigneusement épilé, cette fois.
Je me garde bien démettre le moindre son et jouvre grand la bouche : je comprends que Sa volonté na pas à être contestée. Je bois autant du liquide brûlant quIl le souhaite, je ne sais pas quelle quantité, je sais juste que ça me dévaste lsophage, lestomac et que très vite la tête me tourne parce que je ne bois jamais dalcool.
Il me remet le bâillon. Je commence à comprendre quil ny aura certainement pas de mot échangé entre nous.
Il me fait avancer sans plus de précautions en me tirant par les cheveux. Je suis surprise, je trébuche dautant que ma tête tourne.
Il me pousse sur un lit et me fait mettre à quatre pattes, en levrette.
Je sens Ses doigts pénétrer mon illet et, ne demandant que cela, je creuse mes reins et écarte mes cuisses, ouvre mes trous à bites du plus que je peux.
Ses doigts commencent à aller et venir facilement car ma rondelle lubrifiait facilement tellement elle est insatiable. Dabord trois, il enfile ensuite quatre doigts qui entrent sans difficulté faisant naître dans mes parties intimes des vagues de plaisir qui me submergent et me rendent, à nouveau, alcool aidant, complètement hystérique.
Jondule, je remue le cul telle une damnée quand je sens Sa main sarrondir pour entrer Son cinquième doigt.
Il retire Sa main me laissant vide, le trou béant et jentends un bruit de caoutchouc qui claque. Mon cul reste bien ouvert et je relève un peu la tête pour présenter mon dos plus droit, moins creusé.
Il posa à nouveau sa main arrondie et désormais protégée par un gant de latex directement dans mon fondement qui était resté largement offert et entreprend de la faire entrer sans me blesser mais sans me respecter non plus. Respecte-t-on la salope dont on fiste, non pas la moule mais le rectum ?
Quimporte ? Jallais faire en sorte que cette main puisse pénétrer toute entière dans mon cul de femelle lubrique qui avait renoncé à toute dignité de femme libre et qui se satisfaisait dêtre lobjet trous à prendre quil était devenu.
La démence qui me fait baver des litres deau par la bouche me fait aussi balancer mes hanches frénétiquement de droite à gauche et de gauche à droite permettant ainsi à la main davancer un peu à chaque mouvement.
Il ne faut pas longtemps pour que la main ne soit enfin entrée complètement jusquau poignet ce qui ne calme pas ma frénésie, au contraire. Il se met à me limer le fion avec son poing comme laurait fait une bite monstrueuse, entrant et sortant, très durement et très vite, ce qui me rend à nouveau chienne, truie, vache sous le mâle, incapable de contrôler mes pulsions. Ma tête ne mappartient plus, je suis ivre, je suis en transe et le va-et-vient du poing qui me fiste les entrailles déclenche un orgasme si fort quil sécoula de mon clitoris un liquide chaud et abondant.
Jai joui du cul et jai joui de la chatte en même temps.
Il retire son poing et je goûtai, brûla lanus béant un fois encore, de la lame de son couteau électrifié qui me. Sans doute pour me faire payer ma jouissance animale. Etais-ce ce que je devais comprendre ?
Javais déjà lu des textes sur les femmes fontaines mais je ne savais pas que cela pourrait marriver. Javais dabord cru avoir uriné mais après avoir touché et porté le liquide à ma bouche je fus certaine que jétais bien capable moi aussi de jouir tellement fort du cul que jéjaculais du clito.
Mais pas le temps de me remettre de cette déferlante quà nouveau Il menlève la boule-bâillon, sempressant de poser sa main devant ma bouche.
Je comprends que je dois me taire.
Il me menotte les poignets dans le dos.
Dun coup de pied dans les tibias Il me fait tomber à terre et me tirant par les cheveux me met à genoux, à genoux devant Lui, à genoux à Ses pieds. Je Le hais à ce moment-là mais jai envie dêtre exactement ce quIl veut que je sois pour Lui
Ah !!! Si seulement Il daignait me parler
Mes questions trouvent rapidement réponse car ce quIl attent de moi à ce moment précis est assez facile à comprendre. Je suis à Ses pieds, à genoux et je viens de sentir Sa queue longue et épaisse, bien dure, me fouetter le visage, plusieurs fois, toujours sans un mot.
Jaime la dimension de sa bite, longue et dune belle épaisseur, je sens que cest un sexe circoncis ce qui me plait. Jaurais aimé lavoir en moi, dans ma chatte ou dans mon cul. Peut-être lavais-je satisfait, hier, sans le savoir ? Peut-être avait-t-il répandu sa semence en moi ?
Pour lheure je mapprête à lui faire une pipe magistrale comme jaimais à montrer que je savais faire. Je voulais limpressionner. Dommage que mes mains aient été entravées dans mon dos, pensais-je, car jaurais pu lui faire encore plus de bien en lui malaxant les couilles.
Désireuse de montrer que jétais une bonne salope digne dintérêt, jouvre grand ma bouche et à tâtons, dans lobscurité dans laquelle je me trouve et privée de lusage de mes mains, je cherche à engloutir limpressionnante verge de Celui que je voudrais pour Amant.
Ce nest pas ce quIl a imaginé pour moi, Il ne se laisse pas attr par ma bouche affamée de bites, Il me gifle, pour me rappeler que je nai pas à prendre dinitiatives.
Il att ma tête par les cheveux avec ses deux mains et sen sert comme un homme se sert de la chatte dune pute, en faisant des aller-retours en force. Il senfonce dans lorifice quIl a choisi de saillir et en ressort tandis que Ses mains puissantes immobilisent ma tête.
Ce nest pas une fellation, mais le viol de ma bouche. Son chibre senfonce au plus profond de ma gorge, buttant jusquà ma luette, provoquant des réflexes de haut-le-cur. Par vice, Il lui arrive de me boucher le nez pendant quIl reste planté tout au fond de ma gorge. Jessaie douvrir plus grand ma bouche pour avaler un peu dair mais Son sexe est si gros
Je le trouve particulièrement endurant. Il me lime depuis plus dun quart dheure et jessaie denrouler ma langue autour de Son gland pour amplifier Son plaisir et Le faire éjaculer plus vite. Il semble apprécier puisque Sa queue accepte la caresse de ma langue mais Il ne se décide pas à cracher Son liquide blanc dans ma gueule de poufiasse déchainée bien que, encore saoule,
jy mette une énergie frénétique.
Un quart plus tard au moins jai toujours la bouche en cul de poule, Il saccroche toujours à mes cheveux et les genoux fléchis Il continue à entrer et sortir de ma bouche qui est douloureuse dêtre si grande ouverte depuis si longtemps crispée davoir tant veillé à ne pas toucher sa queue de mes dents et le fond de ma gorge est douloureux davoir pris les coups répétés du gland imposant et dur.
Il me faut attendre encore au moins dix minutes qui me paraissent interminables pour que je sente Son corps se tendre et que je Lentende meugler de plaisir du plaisir de lhomme qui expulse son foutre au fond de la bouche dune pute.
Cest la première fois depuis que nous sommes seuls que jentends, non pas véritablement Sa voix, mais un son émit par Sa bouche. Je reconnais la voix du Maître qui dirigeait lorgie du soir où je suis arrivée mais je reconnus aussi le vagissement de lhomme qui avait baisé sa bienaimée plus tôt de lautre côté de la cloison lorsque jétais attachée. Cest donc pour cela quIl était aussi endurant et quIl prenait tout Son temps pour me limer la bouche alors que je nen pouvais plus. Cet homme-là ne sest pas servi de moi comme vide-couille durant la soirée : jaurais reconnu le cri sauvage de Son orgasme quand Son jus ne peut plus être contenu dans Sa queue et ne peut quen sortir en un jet violent.
Il a certainement été metteur en scène et observateur de cette bacchanale dont jai été objet de toutes les humiliations.
Toutes ces pensées se bousculent dans ma tête quand jentends Son râle, signe quIl va sexpulser dans ma gorge qui a reçu déjà des quantités de foutre.
Jexulte de recevoir, enfin, Son liquide à Lui et je mapprête à aspirer goulument et à jouer de ma langue experte pour que Sa bite reçoive le meilleur traitement que je sois capable doffrir, pour quIl ait un orgasme décuplé dont Il se souviendrait.
Ce nest malheureusement pas ce quIl a décidé pour moi. Il nhonorera pas ma bouche de trainée du précieux jus que jai pourtant contribué à faire monter dans une position inconfortable durant une longue demi-heure.
En même temps quIl gueule Son orgasme, Il se retire de ma bouche, lâche ma tête quIl tenait encore très serrée depuis le début et Se branle pour cracher son jus sur ma tête et mes cheveux.
Je ne peux même pas attr quelques gouttes du précieux liquide avec ma langue que javais sortie dans lespoir quIl men attribue un peu malgré tout.
Jusquau bout, Il naura pas voulu mélanger Ses fluides aux miens. Je suis déçue mais nen suis que plus prise dun désir sauvage pour le Maître, désir de lui appartenir et de le satisfaire et je reste au sol, atterrée.
Quelques instants plus tard, Il matt par les menottes qui me maintiennent encore les mains dans le dos, Il me fait me lever et marcher. Il pose sur mes épaules une couverture, libère mes mains pêle-mêle mon sac, ce qui reste de mes vêtements et mes chaussures.
Pour la première fois depuis que je suis entrée, yeux bandés dans cet appartement que je naurai jamais vu, la porte souvre et Il mattire vers lextérieur.
Je suis saisie par le froid de lhiver, je ressers la couverture autour de moi pour avoir chaud et surtout cacher ma nudité au milieu de cette cité où mes contacts de jeu mavaient donné rendez-vous, je marche péniblement car mes pieds sont nus et il y a beaucoup de cailloux.
Il nen a cure et me fait presser le pas malgré les objets coupant qui me blessent les pieds.
Après quelques minutes de marche, nous nous arrêtons et je ne sens plus sa main dans mon dos, alors, désormais bien dressée à ne pas contrarier Ses attentes, je ne bouge pas ; je me permets juste de remettre la couverture du mieux que je peux.
Autour de moi, jentends des rires ds qui se moque de moi, de mon apparence et des femmes qui me crient des injures.
- Regarde-moi cette salope qui est plantée là à poil !!!
- Casse-toi espèce de pouf avant que je te casse ta gueule de petite pute !!!
Je nentends pas le Maître alors après que plusieurs groupes de femmes maient menacée de me faire la peau si je continuais à allumer leurs hommes, jai enfin oser retirer mon bandeau.
Il fait nuit, je suis à côté de ma voiture.
Je me dépêche de monter à lintérieur pour me soustraire à la vue des habitants de la cité. Je cherche mon téléphone pour regarder mes messages. Outre les messages de mon mari et de mes s qui me croient en déplacement professionnel, outre les messages de mon patron qui me croit en visite dans ma famille, je découvre sur la messagerie Kik des dizaines de photos de moi dans toutes les positions et des photos prises au plus près de ma chatte et de mon cul.
Un nouvel interlocuteur « Inaccessible pour toi » demande à mon pseudo, Elina, de pouvoir chatter, avec elle. Jaccepte avec empressement, je veux savoir ce que je dois faire pour quIl accepte déteindre lincendie géant quIl a allumé dans mes entrailles.
- Je te connais mieux que tu ne te connais toi-même. Ce que tu as vécu ici nest quun aperçu de ce que tu peux vivre grâce à moi.
Mais ce sera MES conditions espèce de trainée et ça commence MAINTENANT.
(à suivre)
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