Une Longue Vie D'Étudiant - Le Lycée Partie 2/?
Petite précision, vu que lon ma posé la question : Mr P. avait 29ans au moment de mon année de première (il a fait son master de biochimie, puis a passé son CAPES et est venu sinstaller au soleil dans le Sud). Sur ce, voici la suite : bonne « dégustation » !
Apparemment, il en veut plus. Cest dingue comme une soirée « diner avec un professeur » peut rapidement se transformer en soirée « fellation et anulingus ».
Il se déshabille devant moi, avec un regard quasi lubrique. Je découvre des abdominaux magnifiques (les 4 paires, excusez du peu) et des pectoraux de culturiste. Mr P. étant blond, il na pas un poil, exception faite de son pubis (que jaurais le plaisir dapprécier plus tard).
Je vois une bosse se former au niveau du pantalon : on a tous déjà eu ce sentiment que quelque chose de gigantesque arrivait ; on ne sait pas de quoi il sagit, mais on sait que ça arrive. Eh bien là, cétait la même chose : je navais pas encore vu la chose, mais je savais pertinemment bien que cétait énorme.
Il retire son jean, le boxer vient avec, et je le découvre nu, avec une verge gonflée, absolument gigantesque : pas particulièrement longue, mais incroyablement large avec des veines qui courent le long.
Et cest à ce moment-là que je me suis dit que jétais dans la m**de : parce que savais très bien que ce monstre de chair nallait pas entrer en moi sans douleur.
Il se rapproche de moi, et me fait me retourner : je suis sur le meuble de cuisine, sur le ventre, avec les jambes vers le bas, et les fesses offertes à mon professeur. Il ouvre un tiroir de cuisine, et en sort un préservatif et du lubrifiant.
Attendez : quest-ce que ça fout là ça ? Le salaud avait prévu que ça dé. Bordel que ça me fait bander de penser quil a voulu que cela arrive.
Il enfile la capote, écarte mes fesses dune main et me dit « Ne bouge pas » : il verse le lubrifiant depuis le haut de la raie de mes fesses, qui coule le long de la commissure entre les deux lobes fessiers, jusquà ma rondelle qui se contracte à cause de la faible température du produit.
Il pose une main sur mon dos, membrasse dans la nuque, et me souffle à loreille « Détends toi : ça va faire mal, mais ça ira mieux après ». Son chibre droit comme un bâton vient se poser contre mon anus, et il commence à pousser avec les hanches. Le gland commence à entrer, et je ressens une forte douleur, qui irradie dans le bassin.
On y pense pas au quotidien, mais lanus est une zone extrêmement sensible : et là, jai pris connaissance de ce détail physiologique de lanatomie humaine : je ressens chaque veine épaisse et chaque cm² de ce cadeau divin. Il me pénètre doucement, lentement, mais inexorablement, comme une coulée de lave qui viendrait enflammer mon fondement en détruisant tout sur son passage.
« Ca va aller ? Tu vas supporter la douleur ? » me demande til. En guise de réponse, je me redresse, tourne la tête vers larrière et lembrasse. Il descend ses mains le long de mes cotes, le long de mes hanches, et ses mains simmobilisent autour de ma bite quil commence à branler doucement. Il me décalotte doucement, joue avec ses doigts autour de mon prépuce, puis il sattaque au pourtour de mon gland quil caresse délicatement. Je bande maintenant comme un âne, et il pratique sur moi de longs mouvements de va-et-vient avec sa main.
Il pousse plus fort avec ses hanches : son pieu mempale progressivement, avec douleur, mais aussi un début de plaisir, qui compense ce sentiment désagréable. Après quelques secondes, je sens son pubis contre mes fesses, son buisson fourni qui me caresse doucement : il est totalement en moi.
Maintenant, cest moi qui en veux plus : je veux quil me baise, je veux quil me fasse lamour, comme le ferait un couple, comme le ferait un mari.
« Vas-y » lui lance-je. Je le sens sourire : il me plaque sur le ventre, écarte mes fesses, et commence des vas-et-viens : lents au début, puis de plus en plus rapides, de plus en plus violents.
Mr P. : « Oh putain tas un cul hyper serré, rien à voir avec ma femme »
Moi : « Alors vas-y : baise moi comme elle»
Mr P. : « Tu me rends fou depuis la rentrée avec ton petit boule : jen rêvais de te remplir le cul avec ma bite ».
Je le regarde en me mordant la lèvre, pour lui montrer quil peut y aller. Il accélère le mouvement. Son gland large vient taper au fond de mon intimité et je sens lorgasme qui monte : cette douce chaleur qui monte furtivement, puis se transforme en un picotement de plus en plus intense qui remonte de la prostate jusquau bout de ma bite.
Mr P. : « Ça vient
je vais tout lâcher »
Moi : « Moi aussi » dis-je, sous a forme dune vague de chaleur.
Il éjacule en même temps que moi, en madministrant de puissants coups de bassin, et en poussant des râles puissants. Pendant que ma bite laisse tomber sur le sol les dernières gouttes de foutre qui restaient dans mes boules, lui reste en moi, agrippé à mon bassin, allongé sur mon dos, en me mordant doucement le cou. Sa verge redevient molle progressivement, ressort de mon trou désormais grand ouvert, et vient se coller à ma raie. Il menlace de ses bras, il ne me lâche pas : il sourit, puis dépose un baiser dans mon cou. Ce câlin très particulier prend fin au bout de quelques instants : il me regarde, me sourit, et membrasse délicatement. Puis je mets fin à ce contact intime, jatt sa bite imposante (même au repos), et retire le préservatif remplit de ce jus dhomme.
Nous passons le reste de la soirée à nous câliner dans son canapé, après une douche ensemble.
Mr. P : « Je dois avouer que je suis fan de ton cul : jai jamais vu un trou aussi serré de ma vie »
Moi : « Et votre bite est la plus grosse que jai vue » dis-je en souriant
Mr.
Moi : « Daccord » réponds-je en approchant ma bouche de la sienne pour y déposer un baiser. « Tu penses quon pourra remettre ça ? »
Cyril : « Si tu veux, mais il faudra être discret : je ne veux pas que lon sache que je couche avec lun de mes élèves ».
Moi : « Ça tes déjà arrivé de coucher avec un élève ? »
Cyril : « Non jamais. Je tavais repéré en début dannée, avec ton sourire dange, et surtout tes fesses. Sérieusement jai jamais vu un cul comme celui-ci, et je ne suis même pas sûr que ce soit légal de le laisser à la vue de tout le monde : cest de lincitation au désordre public ça !» dit-il en souriant.
Je me suis endormi dans ses bras après quelques verres de vin et de longs baisers.
Je suis réveillé en étant secoué : un peu comme dans un train qui passerait un virage, je suis poussé sur les côtés, une fois lun, une fois lautre. Jémerge doucement, en laissant mes sens séveiller lun après lautre. Cyril essaierait-il de me réveiller ?
Minute.
Il nest pas en train de me réveiller (enfin si, mais non !) : il est en train de menculer, au beau milieu de la nuit !
La suite à venir (si jai le temps, chose dont je manque).
Une fois de plus, jespère que vous avez apprécié, et nhésitez pas à vous servir de la section commentaires pour maiguiller dans ma rédaction ! Merci ^^
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!