La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°904)

Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°903) –

L’homme se redresse, ferme le peignoir, s’assoit dans le fauteuil faisant face à la jeune femme, puis timidement lui sourit.

- J’espère ne pas avoir été trop dure, dit-elle en lui rendant son sourire.
- Vous avez été d’une grande sensualité, vous m’avez appelé de tous les noms de chiens et votre ton était sec et ferme. Vraiment j’ai beaucoup apprécié… merci pour cette agréable soirée.
- Bien, il me semble que vous avez des rendez-vous demain, je vais vous laisser vous reposer.
- Entendu, je vous raccompagne, répond-t-il en se levant dans une galanterie appréciée de Vanessa.

Keira MDE quitte la suite et informe immédiatement le Maître par un SMS, en prenant l’ascenseur, brièvement du déroulement de la soirée, sans détailler. Elle reçoit la réponse presque immédiatement :

« Parfait soumise, je t’attends pour que tu me contes ta soirée, plus en détail, vas patienter dans un des fauteuils du salon de l’accueil, Walter va venir te chercher sous peu. »

La soumise MDE rejoint la salle de réception et patiente dans un des fauteuils, l’arrivée du Majordome du Maître. Alors qu’elle patiente pensant au Maître, le directeur de l’hôtel s’approche d’elle.

- Eh bien, penses-tu que ce soit la place qui te sied le mieux ? interroge-t-il d’un air accusateur.
- Lorsque c’est un ordre du Maître d’y être, oui Monsieur, répond-t-elle avec le plus grand respect.
- Hum…allons suis-moi on va t’occuper comme il se doit en attendant.
- Monsieur, je me vois dans l’obligation de décliner votre offre, ayant reçu l’ordre de patienter ici-même, dans un des fauteuils du salon.
- Sais-tu à qui tu parles, interroge-t-il fâché.
- Oui, vous êtes le directeur de cet hôtel, je présume.
- Tu présumes bien. Et que penses-tu que je sois pour Monsieur Le Marquis.

- Un de ses salariés, qui dans certaines circonstances doit avoir le droit d’user de ses soumises.
- Exactement, circonstances comme ce soir.
- Sauf le respect que je vous dois, Monsieur, je ne peux obéir à votre volonté si celle-ci va à l’encontre d’un ordre du Maître.
- Ne t’inquiète pas, tu seras bien assez-tôt à Ses pieds, en attendant tu vas nous détendre un peu, répond-t-il en la tirant par les cheveux pour qu’elle le suive.

Il la mène jusqu’à la salle de repos des employés, où il retrouve la plupart du personnel de nuit qui prend sa pause.

- Messieurs, je vous propose une pause plaisir, annonce-t-il en forçant la jeune femme à monter sur la table.

Tous applaudissent à cette annonce, et s’approche de Keira MDE les mains baladeuses, n’oubliant aucun recoin de son corps. Les hommes sont visiblement excités par la situation soudaine et ils ne tardent pas à bander et à sortir les verges en érection. La robe de Vanessa est remontée, plusieurs hommes frottent leur sexe contre son visage, son cul, sa poitrine. En peu de temps elle est libérée de ses vêtements, et plusieurs hommes se frottent à elle. Le directeur se place derrière elle, et tout en tirant sur ses cheveux l’encule sans plus de prémices. Il effectue de brutaux va-et-vient, tout en fouettant sans ménagement son fessier de sa ceinture en cuir y laissant de larges marques rouges. C’est une véritable saillie, puissante et sauvage jusqu’à qu’il lâche son foutre dans les entrailles de Vanessa à grands coups de reins. Pendant ce temps un autre se sert de sa bouche comme d’un vulgaire trou, la laissant à peine reprendre son souffle. En quelques minutes aucun de ses orifices n’a été oublié, plusieurs hommes ont éjaculés en elle et sur elle, la jeune femme réalise qu’elle ne va pas être présentable et que ce contretemps va retarder sa venue aux pieds du Maître… Au même moment Walter se présente au salon de la réception et s’étonne de ne pas y trouver Keira MDE. Il interroge le réceptionniste qui lui indique la salle de repos, et c’est dans une humeur furax qu’il pénètre dans la salle.

- Que fais-tu ? envoie-t-il d’un ton sévère au directeur de l’hôtel.
- J’octroie un repos à mes employés, mon cher Walter….
- Elle ne t’a pas informé qu’elle devait m’attendre à la réception ?
- Si, mais j’ai trouvé plus opportun de gérer son temps libre autrement.
- Eh bien la prochaine fois que tu jugeras plus opportun un ordre contraire à celui de Monsieur Le Marquis, retiens-toi ! Il l’attend, tu as vu dans quel état tu l’as rendue, tu penses que je peux la mener ainsi devant Le Maître ? Maintenant il va falloir que j’attende qu’elle s’apprête de nouveau, et si elle ne va pas assez vite, je devrais expliquer au Maître la raison de son retard. J’espère pour toi qu’elle est d’humeur à pardonner, sinon elle va en profiter pour prendre son temps, termine-t-il bien fort pour que Keira MDE comprenne qu’elle a le choix de faire sanctionner ou non le directeur de l’hôtel.

La jeune femme est menée dans une salle de bain équipée des produits de toilette et de maquillage nécessaires. Elle prend une douche froide en moins de deux minutes, se sèche, se maquille, sèche ses cheveux, passe sa robe et ses bas et revient promptement auprès du Majordome qui l’attend à la réception… Sans dire un mot Walter lui fait signe de le suivre et l’installe dans la voiture avant de prendre place. Keira MDE est silencieuse tout le trajet, respectant sa place, mais une question taraude l’esprit du Majordome.

- Pourquoi ne pas avoir pris plus de temps à te préparer ?
- J’avoue avoir hésité Monsieur, mais Le Maître m’attendait, si je prenais plus de temps afin que Monsieur Le Directeur soit sanctionné, j’aurais également été la cause de mon retard, et j’aurais dû confesser cette faute.
- Eh bien, je te félicite pour ton raisonnement, je pense que j’aurais fait un bien plus mauvais soumis que toi, sourit Walter….

La voiture se présente devant les grilles du Château et traverse le parc pour s’arrêter devant le perron, Walter tend son collier à Keira MDE qu’elle passe immédiatement.

- Reste habillée, avance debout jusqu’au bureau du Maître et présente-toi devant Lui sans tarder.

Keira MDE obéit à la lettre, et frappe à la lourde porte du bureau du Maître. Elle sent son cœur battre plus fort lorsqu’elle entend sa voix lui ordonner d’entrer, et retrouve un véritable sentiment de bien-être lorsqu’elle s’agenouille au centre de la pièce.

- Bonsoir soumise, ta soirée s’est-elle bien passée, demande Monsieur Le Marquis assis à son bureau.
- Bonsoir Maître, très bien, je Vous remercie de Vous en soucier.
- Donc tu as passé ta soirée avec un soumis ? interroge Le Noble amusé.
- Soumis, je ne suis pas certaine qu’il le soit entièrement, même s’il me l’a affirmé ! Disons qu’il aime l’être comme une soupape, ça c’est une certitude, Maître.
- Parfait, tu vas me raconter ta soirée, plus en détails, mais avant retire tes vêtements.

Sans attendre la jeune femme se dévêtit et se replace immédiatement à genoux les mains dans le dos. Vanessa commence son récit, débutant par son arrivée dans la suite de l’homme, puis la teneur de leur discussion au bar, et enfin pendant le repas. Alors qu’elle entame le récit de leur retour dans la suite, Monsieur Le Marquis qui s’est levé pour récupérer un document laissé sur un fauteuil remarque les traces laissées par la ceinture du directeur de l’hôtel.

- Je pensais qu’il était soumis, il t’a également dominé ?
- Non Maître.
- Alors quelles sont ces traces sur ton fessier, un jeu avec ton compagnon ?
- Non Maître, elles datent de ce soir, après avoir quitté la suite.
- Soit plus claire, insiste Le Noble qui ne comprend pas.
- Monsieur Le Directeur de Votre hôtel est venu me chercher pendant que j’attendais Monsieur Walter dans le salon de la réception, ces traces proviennent de sa ceinture.
- Lui as-tu manqué de respect pour qu’il décide de te corriger ? accuse Le Châtelain.
- Non Maître, ce n’était pas une correction, il a laissé ces marques pendant qu’il prenait possession de mon corps.
- Raconte-moi en détail.
- J’attendais dans un des fauteuils du salon, il m’a reproché ce fait, insistant que ce n’était pas ma place, je lui ai répondu que c’était Votre Volonté, il m’a demandé de le suivre, j’ai refusé avec respect, mais il m’y a contraint, Maître.
- Et ?
- Et il m’a livré à ses employés après s’être servi en me sodomisant et me fouettant d’où les marques rouges que vous venez de constater. Ca a duré jusqu’à ce que Monsieur Walter ne les interrompe par son intervention.
- Hum, je reviendrai sur ce fait plus tard, mais sache que mon directeur d’hôtel ne restera pas impuni. Raconte-moi ta soirée avec mon client aux futurs contrats, demande Le Marquis fâché par ce qu’Il vient d’apprendre.

Keira MDE reprend son histoire, donnant chaque détail de la « soumission » de l’homme d’affaire, relatant ses réactions avec précision. Elle précise aussi qu’il a voulu là faire jouir dans sa bouche et comme elle avait l’ordre de contenter le PDG, qu’elle s’est sentie logiquement autorisée à la jouissance. A la fin de son histoire, elle reste silencieuse, toujours dans la même position, le regard baissé. Monsieur Le Marquis ne lui répond pas, Il la regarde satisfait de la mission qu’elle a remplie, même s’Il ne s’attendait pas à ce qu’elle doive dominer… Il prend son téléphone et compose un numéro.

- Bonsoir Bruno, comment se passe ton poste à la réception ?... Tu m’en vois ravi, tu as mérité de travailler dans mon hôtel. … Je voulais parler au directeur, est-il encore présent ? … Ce n’est pas grave, lorsqu’il arrivera demain, informe le qu’il est convoqué à 14h précise dans mon bureau au Château. … Parfait, bonne soirée.

Alors qu’Il raccroche, le Majordome entre dans la pièce.

- Ah Walter, je t’en prie assieds-toi, invite Le Noble tout en prenant place dans un fauteuil devant une tasse de thé. Puis-je savoir pourquoi on ne m’a pas informé plus tôt de ce qui s’est passé à l’hôtel ?
- Monsieur le Marquis, je venais vous en faire part, mais je vois que votre soumise m’a devancé, sourit le Majordome, se servant également une tasse.
- Disons que je pense qu’elle ne m’en aurait pas fait part si je n’avais pas remarqué les marques rouges sur son fessier.

Walter surpris tourne les yeux vers la jeune femme qui leur tourne le dos, pour remarquer les vives traces qu’il n’avait pas observées.

- Oh Monsieur, je suis désolé, si je les avais vues je les aurais faites atténuer.
- Raconte-moi un peu plus en détails.
- Lorsque je suis arrivé, ne la voyant pas j’ai demandé à Bruno qui m’a fait savoir que Franck l’avait amené dans la salle de repos. Et lorsque je l’ai découverte, elle était utilisée par plusieurs de vos employés, largement souillée, et sans sa promptitude à s’apprêter nous aurions été en retard.
- Et qu’as-tu dit à Franck ?
- Qu’il n’avait pas à aller à l’encontre de Votre Volonté et qu’il se retienne de tels actes la prochaine fois.
- Très bien, ponctue Le Noble en claquant des doigts.

Aussitôt Keira MDE Le rejoint à quatre pattes et se met à genoux à Ses pieds. Le Noble flatte sa tête d’une main doucereuse, avant de s’adresser à elle.

- Je te félicite de ta soirée, demain matin tu auras une autre mission à accomplir, puis tu rejoindras ton domicile dans l’après-midi. Pour cette nuit, tu vas servir Monsieur Walter pour le remercier de s’être occupé de toi.
- Monsieur, ce n’est pas nécessaire, je ne fais que mon travail.
- Eh bien considère-la comme une prime. Bien, je vais te laisser en profiter j’ai encore quelques dossiers à relire, je la veux préparée demain à 9h, entendu ?
- Très bien, bonne soirée Monsieur le Marquis

Walter se lève et quitte le bureau du Noble suivit de Keira MDE MDE à quatre pattes…

(A suivre …)