La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°907)
Marion au Château (suite de l'épisode N°898)
Javais désobéi aux Invités du Maître, jallais le décevoir, je ne doutais pas que jallais passer un mauvais moment. Je me dépêchais néanmoins. Lorsque je sortis de la salle de bain, aucun des deux hommes ne me regarda, seulement lun deux me désigna la porte. Je sortis et allais donc vers la pièce où Il mattendait. Je tremblais comme une feuille lorsque je frappais à la porte du bureau du Maître et patientais quIl me donne lautorisation dentrée. Sur son ordre, je passais le pas de la porte et me prosternais en maplatissant le plus possible au sol mes épaules et ma tête, tout en relevant ma croupe en levrette prosternée. Il se planta devant moi, je voyais le bout de Ses pieds. Il resta là, sans un bruit, sans un mot. Le silence était pesant, je le percevais comme un reproche. Quand Sa voix séleva enfin, elle était dure, sèche, cinglante.
- Je napprécie pas de perdre un pari, chienne ! Surtout lorsquil sagit de léducation dune de Mes soumises !
Il parlait lentement, pesant chacun de Ses mots, qui chacun me touchait tel un coup de fouet Puis il sarrêta en reprenant ce lourd silence. Je le sentais en train de me dévisager, de me jauger, de mausculter de Son puissant regard Dominant de toute Sa hauteur, me fixant du bout de mes orteils jusquà lextrémité des doigts de mes mains bien plaquées en avant. Puis il se remit à parler toujours en pesant ses mots :
-
Je tassure que tu vas regretter davoir joui pendant quelques secondes. Ce que tu vas endurer va durer bien plus longtemps, crois-moi sur parole !
Je tremblai de plus belle. Jespérais de tout cur quIl ne me renvoie pas, à linstar du soumis qui avait été renvoyé le matin, durant un mois. Je gardais une position parfaite, ne voulant pas aggraver mon cas, aux tremblements prêts que je ne pouvais réfréner. Le silence retomba à nouveau, encore une fois, me faisant redouter dautant plus la sanction qui nallait pas tarder à tomber.
- Il est dix-neuf heures. Ce soir tu es au service de Marie, donc tu vas te dépêcher daller aux cuisines ! La première partie de ta punition commencera avec elle. Elle se poursuivra demain matin et se terminera demain après-midi. Tu ne sauras pas en quoi elle consiste, tant que tu ny seras pas confrontée. Si ! Je vais ten révéler une partie
Je suis réellement déçu et insatisfait ! Tant que cela durera, Je ne veux pas te voir. Demain, tu passes ta journée en sanction avec Walter. Ensuite, tu viendras travailler dans ton « bureau ». Dès que tu entreras dans la pièce, tu fermeras la porte qui communique avec le mien. Et tant que tu ne men entendras pas sortir, tu nauras pas le droit de quitter le tien. Tant pis, si cela te fait sauter un repas si jai trop de travail pour sortir !
Maintenant, va la chienne, Je ne te veux plus dans mon champ de vision !
Je partis les larmes aux yeux, le cur serré ! Il ne voulait plus de moi à Ses pieds pendant un temps indéfini
Malgré tout, au moins javais la chance de ne pas être renvoyée, de rester au Château et de continuer à travailler dans la pièce voisine de Son bureau
Je me présentais donc à Marie, qui fit un rictus pervers, la tête haute et des yeux sadiques en me voyant.
- Ah te voilà ! dit-elle en se frottant les mains. Depuis le temps que jattends de tavoir entre les mains, petite salope ! Je vais men donner à cur joie, sale petite chienne, même pas capable de retenir un orgasme et ça se veut soumise ! Laisse-moi rire ! Faudrait commencer par réussir à obéir ...
Je me sentais humiliée, et javais aussi peur de ce dont elle pouvait être capable. Elle attrapa ma laisse et me traina vers un grand buffet. Elle en sortit une magnifique ceinture de chasteté, équipée dun gode très long et très épais. La taille mimpressionna. Je ne me voyais pas avec les chairs aussi écartelées pendant longtemps. La cuisinière perverse me lenfonça profondément dans la chatte sans ménagement, sans préparation, me tirant un cri de surprise et aussi de douleur.
- Alors écoute-moi bien, la bâtarde jouisseuse ! Quoiquil arrive, tu ne dois pas jouir, tu ne dois pas émettre le moindre son ! Il est un peu plus de dix-neuf heures, tu es avec moi jusquà au moins minuit. En attendant, au travail ! Tu as la plonge de la préparation du dîner à faire, ensuite tu auras celle des différents services. Ensuite, on verra bien !
Et alors que jallais me mettre debout devant lévier pour nettoyer la vaisselle empilée, je sentis un coup de fouet dans le dos :
-
Non, les chiens et chiennes qui ont le droit de faire la vaisselle debout, ne sont pas en pénitence ! Suis-moi, petite putain !
Et dans une petite pièce attenante, je découvris un long évier bas en zinc, où je ne pouvais être autrement quà genoux. Et une fois que je me fus mise en position agenouillée devant celui-ci, Marie mattacha les chevilles à un anneau scellé dans le sol, et plaça juste sous mes fesses une tige réglable en hauteur se terminant par un plug. Lentement, très lentement, elle tourna la petite vis de réglage, enfonçant inexorablement le plug au fin fond de mes entrailles. Lorsquelle vit à mes traits que cela devenait douloureux, elle arrêta. Ainsi, je ne pouvais pas maffaisser sans enfoncer encore plus le plug, me provoquant une douleur lancinante. Le temps promettait dêtre long. Cependant je me répétais sans cesse dans mon esprit, ces mots qui me revenaient en boucle :
« Quoiquil arrive, tu ne dois pas jouir, tu ne dois pas émettre le moindre son ! »
Je ne voyais rien dans ma situation qui puisse donner envie de jouir
Quand soudain, je sentis le gode de la ceinture se mettre à vibrer, me provoquant un cri de surprise.
- Ah, je tavais dit que je ne voulais rien entendre ! sécria la cuisinière, surgissant de nulle part. A chaque fois que je tentendrais, tu recevras dix coups de badines, et bien sûr dans un silence total !
Et sans me détacher, elle sappliqua à me donner les dix coups promis sur mes fesses et le dos.
Et cétait sans compter les interruptions de Marie la cuisinière. En levrette, elle mencula après avoir passé un gode ceinture, en ayant évidemment mis en route le gode de ma ceinture de chasteté (cette fois-ci sans que je némette le moindre son !), sans jouir, malgré que ce fut très très difficile de me contenir ! À un moment, elle minterrompit dans le ménage, me tirant la tête par les cheveux, me la plaquant entre ses jambes, jusquà ce que je la fasse jouir avec ma langue enfoncée entre ses lèvres intimes. Parfois, elle mordonnait de prendre telle ou telle position, juste pour le plaisir de me voir immobile dans une position peu confortable, mettant toujours le gode en puissance maximale, ne manquant jamais de me faire pousser cris ou gémissements, provoquant invariablement les coups de badine de la maîtresse de la cuisine.
- Eh bien ! Si tu ne veux pas finir par tomber dépuisement, il va falloir que tu retiennes les sanctions plus vite que cela ! Mais au moins tu auras réussi à arrêter de brailler. File dans ta niche maintenant. Walter doit tattendre pour fermer le Chenil et il ne va pas être content davoir dû tattendre encore une fois au vue de lheure tardive !
Je me dépêchais tant bien que mal, à quatre pattes, malgré les douleurs intenses de mes muscles et de mes articulations, de retrouver ma niche. Effectivement, Walter, prévenu par la cuisinière, se tenait devant la grille debout les bras croisés, en tapotant du pied, montrant son impatience. Après mavoir ordonné de me tenir debout contre le grillage, bras écartés au-dessus de la tête, jambes écartées également, croupe tendue, il minfligea autant de coups de fouet que de mots :
« Il
serait
bon
que
tu
rentres
au
Chenil
au couvre
feu
! »
Ensuite, il nhésita pas à sa sortir sa grosse queue déjà en érection (je suppose que de me fouetter devait lavoir excité grandement) et il mencula dune saillie fulgurante contre ce grillage sans préambule tout en me pinçant fortement mes tétons dressés. Je subis cette sodomie sans dire un seul mot, sans émettre un seul cri, mais en mouillant fortement dexcitation ... Ses coups de reins étaient puissants, rapides et profonds écrasant mes seins contre le grillage et jusquà quil se soulagea au fond de mon cul en lâchant son sperme chaud par de longues saccades et de longs et bruyants râles de jouissance. Puis il me fit me retourner, me fit mettre à genoux afin que je nettoie sa verge ramollie avec ma langue. Ensuite il me poussa dans lenclos sans un mot avant de refermer la grille
Je me précipitais sous ma couverture, trempée des yeux, trempée de la chatte, le cul en feu, complètement exténuée, et malgré tout excitée, du moins encore à ce moment-là. Avant de fermer les yeux, je repensais à la partie la plus dure de ma sanction, le fait dêtre ignorée par le Maître pendant un temps indéfini, et je versais des larmes de tristesse en pensant à la déception que je Lui avais causé
(A suivre
)
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