Le Bouchon Trop Loin 1 (Version2 - Présentation Plus Aérée)

Le bouchon trop loin 1

Anne est une belle femme de quarante ans. Bon, un peu plus mais on lui en donne dix de moins grâce à des soins de beauté qui, certains soirs, donnent l'impression que l'on vit avec Fantomas. Des cheveux blonds et courts, la nuque dégagée. Un minois à faire décrocher les mâchoires. Des yeux bleus, un corps bien foutu et bien conservé. Des seins bien suspendus qui, il y a quelques petites années, ne tenaient pas encore le crayon, c'est dire. Bref, un tout qui m'a fait me masturber maintes fois avant de la mettre dans mon lit. Comme dit le proverbe : tout vient à point dans le même panier.


Moi, Julien, même âge, bien entretenu sous la surveillance de ma femme qui me fait bouffer des haricots verts dès que je prends 100 grammes. Ce qui me permet d'attirer encore le regard des femmes, peut-être pas comme du temps de ma jeunesse avec ma belle gueule, et je sais qu'elle en tire une certaine satisfaction.
Ce qui permet à Anne de me faire remarquer le bienfait des courgettes bouillies sur mon charme naturel. Les périodes de disette mises à part, l'un comme l'autre cuisinons bien. C'est un des ciments d'un couple. Cela dit, je ne me plains pas de la taille de mon sexe, du vingt par cinq. Sans être d'une endurance remarquable j'assure mais au bout de trois jours d'abstinence, ça commence à me chauffer sérieusement dans le bas-ventre et n'importe quel moyen d'évacuation est bon.


Mais comme dit le proverbe : l'habit ne fait pas l'argent du beurre. Sexuellement, on ne peut pas dire qu'elle a une libido exacerbée, néanmoins elle ne me fait pas souvent le coup du mal de tête. Il est très rare qu'elle prenne l'initiative d'un rapport mais surtout, Anne est un peu rigide sur certains points.
Elle n'avale pas, pas de sodomie. Elle ne se masturbe pas devant moi. Pour les lieux c'est surtout dans le lit ou encore sur le canapé, encore qu'elle aime bien que je la punaise contre un mur.

Dans la nature je peux le compter sur les doigts d'une main, les sièges de la voiture n'ont jamais reçu la moindre goutte de sperme. La touffe pubienne, de forme ovale et dont les poils s'orientent vers l'intérieur demande peu d'entretien et la blondeur la rend quasi invisible sous une culotte transparente, mais pas question de rasage. Les gods et autres accessoires c'est pour les détraquées.


Pas de mots crus non plus. Nous étions tout jeunes dans notre deux pièces et Anne balayait les quelques miettes tombées par terre après un repas. Elle portait une minijupe et, dans cette manœuvre ménagère, reculait vers moi, me présentant son joli derrière. Sans nul doute inspiré par quelque démon passant par là, je la saisis par les hanches pour la faire asseoir sur mes genoux.

- Viens ici salope que je te baise ! Dis-je.

C'était la première fois que j'utilisais ce terme avec elle. La réaction fut violente. Elle se releva comme s'il y avait eu un cactus sur mes genoux, se retourna et cracha d'un air menaçant :

- Ne me traite plus jamais de salope !

Étonné, après un temps pour me remettre de mes émotions, je tentai de calmer le jeu.

- Hola ! Pardon ! Dis-je, ya pas mort d'homme. Ça se dit dans tous les couples, c'est pas une insulte dans ce cas.
- Je ne suis pas tous les couples ! Et puis tu n'en sais rien.

Oui c'est vrai après tout, je n'en savais rien. En tout cas, ce mot et tous ceux apparentés ont été rayés de mon dictionnaire depuis ce jour à son adresse. Et comme dit le proverbe : un homme averti vaut mieux que deux tu l'auras.


Les années passant, elle s'est quand même améliorée, son vocabulaire s'enrichissant de mots tels que bite, couille, chatte, niquer, tringler et quelques autres. Il aura bien fallu cinq ans avant qu'elle prenne ma queue d'une main pour la guider et s'empaler dessus. Ça n'a l'air de rien mais ce détail fut pour moi un grand progrès dans sa façon de baiser.



Mais quand on arrive à la quarantaine, on est dans la dernière ligne droite de la jeunesse et je voudrais bien la décoincer avant que son joli corps ne commence à flétrir. Je voudrais qu'elle puisse se dire plus tard qu'elle a vécu quelques aventures interdites, qu'elle a séduit des hommes, qu'elle les a menés selon son désir, qu'elle en a rejeté avec dédain, telle une beauté fatale, mystérieuse et inaccessible. Je ne veux pas qu'elle se dise qu'elle a seulement été une femme ordinaire ayant bien tenu son foyer. Elle est belle et intelligente, elle mérite mieux que ça.
Certains à l'esprit mal tourné diront que derrière cette honorable façade se cache un fourbe qui ne cherche qu'à assouvir ses fantasmes, se masturbant en imaginant sa femme en baisante compagnie. À ceux-là, je rétorquerai que… ma foi, c'est vrai aussi. Quant à moi, je demande simplement à être au courant du fait. Je ne veux pas savoir avec qui et où, cependant je raffolerai de détails croustillants si elle veut bien m'en faire part. Je pense vraiment être prêt à voir ma femme se faire draguer et partir au bras d'un autre homme pour se faire sauter. Je n'ai plus la jalousie que j'avais à vingt ans.


Le problème, et même gros problème, est d'amener la chose car elle est capable de se bloquer définitivement sur une position et là, fini fini fini jusqu'à la mort. Passer par un club échangiste, on a parlé une fois entre amis de ce genre d'établissement, je sais que c'est niet de niet. En plus, c'est qu'elle est futée la Anne, elle voit les choses venir de loin et moi je suis loin de voir venir une idée.

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Nous sommes au restaurant un soir en fin de repas avec des amis, deux couples, Véro et Marc d'une part, Agnès et Paul d'autre part. Agnès et Véro sont un peu pompette après l'apéro, le vin blanc et le vin rouge. Surtout Agnès qui semble avoir pris de l'avance avant le resto et j'ai pu constater par le passé qu'en plus elle ne tient pas l'alcool.
Anne, toujours sérieuse, n'a fait que trempouiller les lèvres dans le vin. Arrivé au dessert, la discussion porte sur une amie à la cuisse légère dont les frasques la mène au bord du divorce.

- Quelle salope celle-là, ça lui pendait au nez, depuis le temps, dis-je.

Aussitôt Anne m'adresse un regard de reproche mais sans mot dire.

- Ah ! Ça y est, j'ai dit un gros mot, Madame fait les gros yeux.
- Ah bon ? Julien te traite jamais de salope au lit ? Dit Agnès alcooliquement.
- Certainement pas ! Rétorque Anne.
- Je l'ai fait il y a vingt ans, je n'ai pas osé le refaire depuis, dis-je.
- Moi j'aime bien, ça m'excite. Pendant l'acte bien sûr. Et toi Véro ? Demande Agnès.
- Oui moi aussi, salope, putain, traînée, petite pute, j'aime bien, répond Véro.

En effet, les discussions de bonnes femmes parlent aussi d'autres choses que de cuisine ou de couture. Surtout avec un petit coup dans le nez.

- Oui ben moi j'aime pas, c'est dégradant, dit Anne.
- La vache ! T'as été élevée dans un couvent ou quoi ? Dit Agnès.
- Je voulais te demander Anne, la cornette, ça tient tout seul ou il y a des agrafes ? Ajoute Véro.
- Ça tient dans ton cul ! Répond Anne.

Les deux avinées partent en fou-rire et Anne se fend d'un sourire. Je note qu'Anne a utilisé un mot grossier en public et que la discussion prend une tournure qui m'intéresse.

- En tout cas, le mien tient bien la bite. Et le tien ? Demande Véro.
- Pareil ! Répond Agnès.

Sur ces mots d'une grande poésie, elles partent d'un nouveau fou-rire. Agnès en tape sur la table du plat de la main. Quant à Anne, elle préfère laisser courir en buvant une gorgée d'eau. Dans le relatif silence du restaurant nos manifestations font tache. Des clients alentour nous regardent mais en souriant, la bonne humeur est communicative. Heureusement, nous n'avons pas de voisins proches.

- Bon, faut se calmer les filles, dit Marc, et laissez Anne un peu tranquille.
Chacun mène sa vie comme il veut.

Il faut battre le fer tant qu'il est chaud, je relance.

- Ce n'est pas dans les habitudes de ma femme d'user d'une pratique condamnée par l'Église. Par contre, elle suce très bien.

J'exagère pour lui faire plaisir, elle n'est pas la suceuse du siècle.

- Ah ouais, et t'avales ? Demande Véro à ma femme.

J'étais sûr qu'une de deux dévergondées allait poser cette question.

- Si ça avait le goût du yaourt à la fraise, j'en boirais des litres mais c'est loin d'être le cas alors je ne vois pas pourquoi je me forcerais.

Les deux la regardent avec des yeux ronds.

- Putain, mais tu fais rien au lit ! Je ferais pareil mon mec irait voir ailleurs, dit Agnès.
- Et la chatte ? Tu te rases la chatte au moins ? Demande Véro.
- Le maillot.
- Oh la nunuche ! Je le crois pas ! Mon pauvre Julien, t'as pas décroché le gros lot, dit Agnès.
- Moi vous savez, sa beauté me suffit amplement, dis-je en lui faisant une bise sur la main et ainsi lui signifier mon soutien dans l'épreuve. Bon d'accord, c'est surtout pour éviter qu'elle me mette dans le lot des emmerdeurs et me fasse la gueule ensuite.
- Bon ça suffit les filles, vous ennuyez Anne, intervient Paul. Agnès tu as trop bu et tu me fous la honte.
- Mais non ! Je vais bien ! Rétorque Agnès.

En fait Agnès est de ces personnes qui ne se rendent pas compte de leur état d'ébriété. Elle insiste.
- Anne, dis-moi, tu te masturbes souvent ?
Véro pouffe de rire. Moi, je guette la réponse car après vingt ans auprès de ma femme je n'en sais toujours rien. Elle m'a dit une fois que c'est « de temps en temps ».
- Agnès tu arrêtes maintenant. Anne, excuse-la, elle est complètement jetée.
- Pas grave, ce n'est pas moi qui me donne en spectacle.

Bon. Je n'en sais toujours pas plus. Comme Agnès et Véro deviennent intenables, on quitte le resto.


Dans la voiture sur le chemin du retour, Anne n'est pas loquace. Quand je lui demande si elle a froid, elle ne répond pas.

- Hé ! Je te cause.

Elle resurgit dans le monde réel.

- Ah qu'est-ce que tu disais ?
- Si tu as froid.
- Non, ça va. Excuse-moi, je pensais aux deux pouffes. Je ne comprends pas pourquoi elles m'ont agressée comme ça. J'en suis… je sais pas quoi.
- Elles étaient bourrée et comme elles sont portées sur le sexe, elle sont un peu sorties de la route. Elles t'ont chambrées pour s'amuser.
- Pour s'amuser ! J'ai trouvé que c'était méchant, quand même, pas toi ?
- Elles étaient ivres, je te dis, les mots ont dépassé leurs pensées, c'est tout.
- Mouais. D'un autre côté, la vérité sort de la bouche des ivrognes. Elles n'ont peut-être pas tout à fait tort.

Excellent ! Voici posée la première pierre de mon ouvrage simplement en navigant sur la vague. Reste à trouver une idée pour la deuxième, on est loin du but.

Dans le lit, elle me demande comment je sais qu'elles sont portées sur le sexe.

- Par leur mari. On discute de cul, comme tous les hommes.

J'en profite pour placer une info mine de rien.

- Je sais qu'elles vont sur des sites porno, qu'elles se branlent devant l'écran.
- Et comment ils le savent ?
- Parce qu'elle le leur disent et même qu'elles font ça devant eux sans se cacher.
- Ah ! Fait-elle, perplexe.
- Si tu veux, demain je te ferai voir des sites.
- Ben pourquoi pas.
- Et je te montrerai aussi comment je me branle devant l'écran.
- Tant qu'on y est !

Pas de refus ou remarques désobligeantes. Voici la deuxième pierre. À moi de jouer et comme dit le proverbe : c'est au pied du mur qu'on voit le forgeron.

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Je lui montre des sites de vidéos que j'ai dans le marque-page, dont celles de femmes se masturbant sur un lit vue de dessus avec caméra au plafond, de belles vidéos dans un univers féminin pour commencer en douceur. Je lui indique des mots-clés pour le moteur de recherche, des sites d'histoires et roule ma poule, je sors de la pièce et ferme la porte pour qu'elle se sente tranquille.
C'est une chambre d'amis et bureau à l'étage, le lit est relevé contre un des murs en attendant de servir. Je m'occupe de l'intendance de la maison pour la soirée afin qu'elle puisse y passer plus de temps.


Elle a passé trois heures devant l'ordi, limitée par l'heure tardive, on travaille le lendemain, on se retrouve au lit. Ses premières impressions sont qu'il y en a des tonnes et que la qualité est très variable. Je suis contre elle, une main baladeuse sur la poitrine, la bite bien dure contre la hanche car moi aussi je suis quelque peu émoustillé alors que je n'ai rien vu de ce qu'elle a parcouru sur la toile. Je m'attendais à une vulve plus humide au départ mais bon, bien que la mouille soit suffisante, j'ai quand même lancé des préliminaires pour le plaisir et nous jouons enfin au train qui rentre dans le tunnel. Pareil le lendemain.

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Pour le week-end, ça ne rigole pas, je l'ai mise à poil et je lui ai demandé de s'enfermer à clé pour qu'elle puisse se mettre une carotte dans le cul si elle le voulait sans être dérangée. Bon, je n'ai pas laissé de carottes à sa disposition, elle ne s'en serait pas servi. Par contre, en début d'après-midi, je lui fournis un vibro acheté le matin même, d'une taille semblable à ma queue, elle a accepté en souriant.
On est juste sorti quelques heures pour s'aérer et faire des petites courses. Anne semble y trouver un peu de plaisir puisqu'elle ne se plaint pas et y retourne sans que je la force. Comme quoi même chez elle le sexe attise la curiosité.

Dimanche midi elle descend pour le repas, elle a mis un slip et un T-shirt, elle ne se balade jamais à poil dans la maison hormis la chambre et la salle de bain.

- J'aurais pu te monter un plateau repas, dis-je.
- Non merci, c'est gentil. Il faut que je fasse une pause et que je me dégourdisse les jambes. Je marcherai un peu après le repas.

Après une promenade digestive, elle remonte dans le bureau. Je me demande si elle va se remettre nue, ce matin c'est moi qui l'avait déshabillée. J'installe donc mon échelle silencieusement et je grimpe. Je suis déçu de constater qu'elle n'est pas nue et surpris de constater qu'elle tiens dans sa main un stylo, il y a une feuille de papier devant elle. Elle doit prendre des notes.
Je me demande quoi, peut-être note-t-elle l'adresse des sites car il est vrai que pour retrouver quelque chose autre que du texte, hors marque-pages, c'est peine perdue. Aucune chance de trouver ce papier qu'elle aura caché, plié en quatre quelque part, comme dit le proverbe : autant chercher une anguille dans une botte de sept lieues.


Le soir, nous mangeons en parlant de choses et d'autre puis après le dessert elle se lance.

- Dis moi, j'ai vu que dans ton marque-pages le seul site de textes que tu as mis renvoie à des histoires de cocus.

J'en sais quelque chose, j'ai prestement mis ce signet avant qu'elle utilise l'ordi.

- Oui, j'aime bien ces histoires, je trouve que c'est les plus bandantes et les plus marrantes. Par contre les histoires « j'ai perdu mon pucelage, prise par trois blacks dans le parking, mon bel amant d'une nuit » ça ne me branche pas. En revanche, une histoire de cocu bien ficelée, ça, ça me fait fantasmer.
- Je suppose que je fais partie de ces fantasmes.
- Ben oui, je ne vais pas fantasmer que c'est la boulangère du coin qui me fait cocu.
- Oui enfin, si ça t'arrivait, ce dont je doute, tu ferais certainement moins le fier.
- Ne crois pas ça. Il y a vingt ans, oui, pas aujourd'hui. À condition que je sois au courant, autrement dit, que tu ne me trompes pas. Sinon effectivement je le prendrai mal. Et aussi à condition que ça ne dure pas.
- Et ça t'apporterait quoi ?
- Écoute, rien que de savoir que tu mates du porno, ça me fout la trique.
- Ben on dirait pas, dit-elle en regardant mon short.
- Évidemment, Popaul s'est calmé pendant qu'on mangeait.

Je baisse mon short et approche ma chaise en face de la sienne.

- Vas-y, branle moi.

Elle semble hésiter.

- Oui je sais, on est dans la cuisine mais tu feras une exception pour une fois.

Elle se met à l'ouvrage. Ma queue rebande très vite et en une minute, faut dire que je m'était tripoté toute la journée tout à mon excitation, j'envoie une première giclée sur son T-shirt, une deuxième sur son short, les reste suit sans battre de record. Bien sûr, autrefois j'envoyais des spermatozoïdes à engendrer des aviateurs, mais bon, à mon âge je pense que c'est pas mal.

- Tu vois l'effet que ça fait ? Alors imagine si tu te fais sauter.

Sur cette démonstration, elle est bien obligée d'admettre que la performance est supérieure à l'habitude.

- Donc tout ça pour que tu puisses te branler et jouir plus fort. Ça fait beaucoup pour pas grand chose, je trouve. Juste pour ton plaisir en plus.
- Mais non ! Après je te baise comme un dératé, je te défonce la chatte, toi aussi tu en profites. Et puis tu as le plaisir de te faire draguer, le jeu de la séduction, une partie de jambes en l'air avec celui que tu as choisi. Quand tu te maquilles ou tu t'habilles, tu cherches à plaire, alors autant que ça serve à quelque chose. Je te garantis que comme tu es foutue tu vas avoir des amateurs, tu ne trouves pas ça grisant ?
- Bof !
- Ma pauvre ! Qu'est-ce que tu es nunuche ! Tu es nunuche et tu resteras nunuche. N'importe quelle femme sauterait sur l'occasion et toi : bof ! Ton mari te laisse avoir des amants et toi : bof !

Je pense avoir mal joué en la traitant de nunuche, de peur qu'elle ne se vexe, mais finalement j'ai peut-être fait mouche. Elle ne dit rien et regarde par terre.

- Bon ben je sais pas. Pour ce qui est de moi tu me suffis, je n'ai pas besoin d'amant.
- Amant, amant ! C'est un bien grand mot. Baiseur suffit. D'ailleurs tu pourras en profiter pour apprendre quelques trucs nouveaux qu'on pourra refaire après si ça te plaît. Et je vais même te dire, tu vas peut-être faire avec lui ce que tu n'oses pas faire avec moi, tu vas pouvoir te lâcher. Et lui peut te faire des choses inavouables que tu n'oserais jamais me demander et que tu vas laisser faire. Tu dis que je te suffis mais tu ne sais pas ce qui existe à côté, peut-être faudrait-il aller y voir avant de dire ça. Tout cela bien sûr dans le respect des règles sanitaires.
- Oui mais il y a un risque, celui de tomber amoureuse.
- Je te connais, je te fais confiance, tu es intelligente, tu sauras garder la tête sur les épaules, je sais que tu m'aimes, je suis tranquille. Et tu sais que je t'aime.

Voici une troisième pierre.

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