La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°908)
Marion au Château (suite de l'épisode précédent N°907)
Le lendemain matin, je fus réveillée sans ménagement par Walter qui me tirait par la laisse à lextérieur de la niche. Après mavoir amenée aux douches communes et mavoir laissée me laver à leau froide, il me conduisit dans la salle de dressage.
- Comme chaque sanction que le Maître décide pour ceux qui Lui appartiennent, il y a toujours un côté éducatif derrière. La première partie de ta sanction aujourdhui continuera ton dressage sur le contrôle de tes cris, et cette après-midi ce sera le contrôle de jouissance... La finalité, lobjectif affiché est dobtenir de toi que tu némettes plus aucun son à tout que lon pourrait tinfliger mais aussi à obtenir un parfait et total contrôle de tes orgasmes parfaitement maitrisés.
Il actionna un mécanisme et un grand pan de mur sescamota, découvrant une grande roue-pendule mais sans la petite aiguille indiquant les minutes. Walter régla la grande aiguille des heures, puis mattacha bras et jambes écartelés, ma tête servant à indiquer les minutes. Il était 6h30, je me retrouvai donc la tête en bas. Il mintroduisit dans la chatte et dans le cul des petites électrodes, ce qui me fit un peu peur et me demander ce qui allait marriver. Il appuya sur un bouton, et il sortit de la pièce. Laxe sur lequel jétais attachée se mit à tourner, lentement très lentement. Le sang me montait à la tête, je voyais des petits points noirs devant les yeux. Jespérais que je retrouverai vite une position plus confortable. Au moment où jatteignis la position horizontale, indiquant 6h45, je ressentis une décharge électrique dans mon bas ventre et dans mes entrailles me faisant hurler autant de douleur que dun plaisir que je naurai pas soupçonné. Cela dura une dizaine de secondes. Puis cela sarrêta. Laxe continua à tourner, doucement sans quil ne se passe rien. Jusquà ce que sonne sept heures et que je me retrouve en position à la verticale.
Cela continua durant des heures, tous les quarts dheure, une décharge plus forte que les précédentes, marrachait des cris de plus en plus forts et déchirants, mais aussi des excitations de plus en plus fortes. Jétais épuisée, la douleur devenait de plus en plus intense, lhumidité de ma chatte trempée aussi. Je navais vu personne, je commençais à paniquer et les larmes coulaient sans que je puisse les retenir. Et paradoxalement, je navais jamais tant mouillé de ma vie sans quune personne ny soit pour quelque chose. On arrivait à onze heures, javais la gorge en feu à force de crier et je commençais à avoir la voix qui faiblissait. Jeus limpression que la décharge était un peu moins forte. À moins que je ne devienne insensible à force de subir
jessayais donc de me contenir, même si cela métait difficile. Et plus le temps passait, plus je contrôlais ma voix et criais de moins en moins fort, et plus les décharges diminuaient, jusquà complètement sarrêter à midi et demi. La roue, elle, continua à tourner jusquà treize heure, moment où Walter revint sans dans la salle de dressage. Il sapprocha de moi, un sourire vicieux sur les lèvres :
- Eh bien, eh bien ! dit-il en passant sa main entre mes cuisses. Si je nai pas une petite salope de chienne en chaleur lubrique en face de moi, je ne sais pas ce que cest ! Tu dégoulines littéralement.
Et sur ce, il mordonna la position prosternée, baissa son pantalon et son boxer et exhiba déjà une verge dressée. Pui il me pénétra sans autre préambule, comme la veille au soir contre le grillage, à la différence que cette fois cest ma chatte quil posséda au lieu de mon cul. Après mavoir interdit toute jouissance et tout cri, il me pilonna sauvagement, soufflant bruyamment. Il ne tarda pas à éjaculer dans ma chatte lâchant de puissants han de bûcheron. Ça avait été rapide, limite violent, il avait vraiment pris son plaisir, sétait servi de moi comme le trou à bites que jétais, la salope que je revendiquai ! Je fus pour lui un véritable vide-couilles pour être ainsi prise à la va-vite à se soulager dans ma chatte trempée
Après sêtre rajusté, il me traîna vers les cuisines, où, alignée aux côtés dautres chiens et chiennes, je reçus une gamelle dune pâté revigorante mais sans goût et dapparence douteuse. Je fus choisie, ainsi quun autre chien soumis, à la fin du repas pour servir durinoir à tous les domestiques souhaitant se soulager après leur repas. Puis je fus ramenée à la salle de dressage.
- Alors, chienne, voilà la dernière partie de ta sanction. Du moins celle que je suis chargé de tadministrer
Donc tu es une chienne tellement en chaleur que tu es incapable de retenir un orgasme si les assauts durent un temps soit peu. A la fin de ta sanction, tu seras capable de te retenir de jouir, je peux te lassurer, comme je némettre plus aucun bruit en toutes circonstances !
Il mattacha à une table gynécologique, les bras tirés en arrière, à la limite du supportable, les jambes et cuisses largement écartées, laissant mes parties intimes pleinement exposées à son regard. Il alla chercher un appareil sur roulettes. Sur une tige se trouvait un gode au gland épais, tige reliée à un moteur, permettant au gode de senfoncer et de se retirer en de vas et viens mécaniques, et de tourner sur lui-même en une rotation variable selon la volonté de Walter, les deux mouvements pouvant ainsi accélérer séparément ou simultanément.
- Il est trop tôt pour te ramener au Chenil, et toutes les corvées ont été assignées pour ce soir. Alors nous allons rester dans la salle de dressage et je vais remettre le parcours en place. Tu nauras jamais trop dentraînement pour apprendre à évoluer dans tes déplacements comme une chienne digne de ce nom !
Et pendant deux heures, je dus marcher sur le sol, des graviers, du sable, dans de leau, monter et descendre des marches, passer des obstacles
au rythme des coups de fouet du Majordome qui mindiquait la cadence sur mon dos et mes fesses.
« Ma chienne, ta sanction est presque achevée. Demain soir, je vais avoir besoin de toi pour un dîner que jorganise au Château. Tâche que Je sois fier de Ma propriété ! Je naccepterais aucun manquement. Il nappartient quà toi que ta sanction ne se prolonge pas indéfiniment. Tu nen sauras pas plus jusquau moment venu. Le Maître. »
Jen avais les larmes aux yeux. Pour avoir un tel avertissement, cest que cette soirée était très importante, et que jallais sûrement être soumise à rude épreuve. Mais jétais tellement heureuse de savoir que demain je serais de nouveau à Ses pieds ! Je ferai tout pour ne pas le décevoir, je me dépasserai autant quil le faudrait pour cela. Risquer une exclusion définitive était inenvisageable ! Lorsque je regagnai ma niche, jétais partagée entre joie, angoisse et féroce volonté
Mais je me sentais avant tout moi-même, cest-à-dire chienne soumise MDE ! ...
(A suivre
)
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