La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°910)
Une belle lope soumise au Château - (suite de l'épisode précédent N°909) -
Sissy, titubante, trouva la force d'aller jusqu'au lit. Epuisée par les deux saillies consécutives elle s'affala sur les draps noirs. Rose s'était dirigée vers une belle commode louis XV, ventrue, cossue avec ses pieds courbés, elle aussi en marquéterie de frène, pour y prendre la ceinture harnais spécialement fabriquée par le sellier du Marquis pour Sissy. L'objet, par sa fonction, n'avait rien de très banal : Il s'agissait d'une ceinture verrouillable permettant de maintenir différents types de plug.
Comme pour ses chevaux, Monsieur le Marquis faisait personnaliser tout le harnachement de ses esclaves. Comme le boulier, le harnais de Sissy portait inscrit, en cristaux de Swarovski rose, l'inscription :"Sissy, catin de Me Cathy, Putain du Marquis dEvans." Sissy repartirait avec son "trousseau", ce serait là le cadeau de baptême que le Marquis ferait à sa chère amie Cathy.
S'approchant du lit Rose s'adressa à Sissy :
- "Tends-moi ton joli petit cul, il ne faudrait pas qu'il se rétracte et oublie sa fonction première".
Presque endormie, comateuse Sissy obéit, soulevant ses fesses. Rose lui passa la ceinture autour de la taille, puis fit glisser la sangle entre ses cuisses. Comme l'avait prescrit Marie elle s'était munie du plug N°3, c'est-à-dire de diamètre 3 centimètres à l'anus. Elle le plaça sur son anneau de maintien et l'enfonça dans le cul de Sissy. Trop fatiguée celle-ci eut à peine un soubresaut.
Rapidement Rose ajusta le dispositif de fermeture et verrouilla le tout. Le cadenas était en acier brossé rose, il portait sur une face les armoiries de Monsieur le Marquis et sur l'autre celles de Maîtresse Cathy. Rose alla déposer la clé sur le
guéridon puis quitta la pièce, Sissy dormait déjà
Sissy était profondément assoupie lorsque, une heure plus tard, Rose, suivit de e46 et e47 entra dans la pièce.
Pour la seconde fois déjà depuis son arrivée au château Sissy, en levrette, offrait son cul.
Rose se leva et, prenant la clé qu'elle avait laissée sur le guéridon, libéra Sissy de son harnais et de son plug. Un long filet du sperme mélangé de e44 et e45 ruissela le long des cuisses de Sissy...
Elle revint se placer dans le Voltaire, face à Sissy qui avait maintenant les yeux ouverts. Elle prit son menton entre ses deux mains, e46 était en place, sexe gonflé, dressé, dur. D'un battement de paupière Rose indiqua à l'esclave qu'il pouvait procéder à la saillie.
e46 approcha son gland de la rondelle encore dilatée par le port du plug, il se positionna, se cala, mit ses mains sur les hanches de la chienne offerte et d'un coup lui enfila toute la longueur de son sexe.
Une nouvelle fois la pièce qui allait abriter l'éducation de Sissy retentit du son de son gémissement sourd. Elle sentait son cul à nouveau , rempli à l'excès par un membre de bonne taille. Impuissante, le souffle presque coupé elle sentit les douces
mains de Rose qui remontait son menton. Leurs yeux se croisèrent, ceux de Rose, pétillant malgré l'heure avancée de la nuit, et ceux de Sissy, embués de larmes.
- "Sissy" interrogea-t-elle avec une grande douceur "Qui es-tu ? Que dit-on ?"
Sissy respira et dans un souffle réussit à dire :
-"Je suis la putain de Sir Édouard Monsieur le Marquis d'Evans".
e46 s'était retiré en même temps que Sissy parlait. A peine avait-elle finit la "profession de foi" que le sexe gonflé et raide de e46 s'enfonçait une seconde fois jusqu'à la garde, butant contre les fesses de Sissy qui gémit.
- "Je suis la putain de Sir Édouard Monsieur le Marquis d'Evans". Prononça Sissy sans même que Rose n'ait à le demander.
e46 se retire une troisième fois pour mieux revenir et s'enfoncer d'un coup de butoir dans la croupe exposée sans défense
- "Je suis la putain de Sir Édouard Monsieur le Marquis d'Evans".réussit à dire Sissy
dans un nouveau souffle.
Rose retourna le sablier. "C'est bien Sissy" dit-elle en indiquant à e46 qu'il pouvait donner libre cours à sa fougue. Sissy regardait le sablier. Secouée par le rythme infernal de l'esclave reproducteur, elle essayait de lâcher prise pour que son corps se détende, pour que son cul s'ouvre et se fasse vagin
Cinq minutes
cinq minutes d'un viol méthodique du cul de la chienne, cinq longues minutes d'une saillie virile, d'un assaut implacable du mâle reproducteur.
Sissy perdait totalement pied. Au delà de la douleur qui finalement était passé au second plan son esprit réalisait qu'elle avait perdu toute identité, toute dignité pour ne plus être qu'un objet de luxure.
Le sablier se vida, immédiatement suivit de e46. Rose fit glisser une troisième boule vers la droite. e47 se mit en position, s'enfonça avec la même ardeur que ses congénères e44, e45 et e46. Sissy gémit encore, presqu'un râle, elle prononça à nouveau trois fois "Je suis la putain de Sir Édouard Monsieur le Marquis d'Evans", Rose retourna le beau sablier d'argent. Par gravité les petits grains de sable du 4° sablier se faufilèrent les uns après les autres vers le bas.
Cinq minutes plus tard, une nouvelle fois le sablier, l'esclave et Rose témoignèrent à Sissy la volonté implacable de Monsieur le Marquis : "Putain ta Maîtresse te veut, putain tu seras, à jamais !". Rose soigna à nouveau le trou de Sissy qui ne disait
plus rien et réagissait à peine. Elle le replugua, l'accompagna jusqu'au lit... A six heures du matin Rose entra à nouveau "chez" Sissy.
- "Sissy ! Il te faut te laver et te préparer, Monsieur le Marquis te recevra dans deux heures.
Abrutie par cette première nuit Sissy, aidée de Rose se dirigea vers le cabinet de toilettes. Elle passa devant le guéridon
8 petites boules noires étaient passées du côté droit ...
(A suivre
)
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