Emilie Et Le Meilleur Ami De Son Mari

EMILIE


PRESENTATIONS

Je me prénomme Emilie, mariée à un homme que j'aime malgré de longues années de vie commune. Nos deux s sont déjà grands et volent de leurs propres ailes pour mon plus grand plaisir, comme beaucoup de femmes, j'ai consacré une bonne partie de ma vie à les éduquer, les élever et les protéger.

Pendant plus de vingt ans, j'ai laissé ma vie de femme en hibernation, mon amour pour nos s à user notre couple, sans prévenir, petit à petit et très sournoisement nous nous sommes laissé anéantir par cette routine mortelle.

Je n'arrive presque pas à me souvenir de la dernière fois où j'ai eu envie de faire l'amour avec mon mari, oui, je dit bien avoir envie...a ne pas confondre avec faire l'amour pour l'hygiène ou par pure nécessité.

Nous avons passé la quarantaine et je n'ai pas honte d'avouer que nous ne baisons que deux à trois fois par mois, c'est comme ça et on si habitue doucement, au bout d'un moment le corps ne réclame plus sa dose de plaisir, la nature considère que notre travail est fait et l'approche de la ménopause fait le reste.

Mon mari semble bien le vivre, on s'aime toujours mais différemment, c'est moins intense et ressemble plus à une solide et agréable amitié, une complicité à l'épreuve du temps qui passe.

C'est donc sous cet état d'esprit de quadragénaire encore potable mais très chaste que je me suis laissé entraîner dans un terrible tourbillon sentimental, une véritable descente aux abîmes de l'infidélité, je suis devenue, sur le tard et malgré moi, une véritable petite salope.

C'est donc malgré moi que je vais vous racontez tout cela, obligé contre ma volonté mais avec la complicité de mon autre moi, celui qui se complet dans la luxure, le sexe et la jouissance, car j'ai cette double personnalité avec toute la complexité que cela engendre dans ma vie.

LA RENCONTRE

Tout a commencé il y a un peut moins de trois ans, mon mari à rencontré un de ses amis d'enfance lors d'un stage de formation, dans leur jeunesse ils avaient fait les quatre cent coups ensemble et puis la vie les avaient séparé pour de nombreuses années.



C'est donc avec beaucoup de plaisir qu'ils se sont revus autour d'un verre, en fait Christian, son ami était le formateur du stage spécialisé en phycologie managériale. Une vraie pointure aux dires de mon mari, d'ailleurs ce Christian était devenu le centre de discutions de nos repas, mon chérie me racontait leurs exploits de jeunesse, en long et en large.

C'est donc tout naturellement que j'ai dit à mon mari qu'il pouvait l'inviter un soir, ni une, ni deux, il a sauté sur l’occasion en me remerciant et m'embrassant plus que d'habitude.

Il ne lui a pas fallu deux jours pour m’annoncer que son ami était disponible pour le vendredi soir de cette même semaine et le soir venu, après mon travail, je me suis mise aux fourneaux afin de préparer un bon dîné pour les deux copains.

Entre temps, mon chérie est rentré avec un joli bouquet, tout joyeux de la soirée à venir il m'a embrassé en me remerciant, encore et encore,de recevoir son meilleur ami , selon ces propres dires.

C'est tout naturellement qu'il m'a proposé de prendre le relais en cuisine afin que je puisse me préparer pour recevoir notre hôte. Me faire belle pour un homme, cela faisait bien longtemps que cela ne m'était pas arrivé et je me suis surprise a éprouvé un certains plaisir à le faire.

D'après mon chérie, Christian devait approcher de la cinquantaine, un à deux ans de plus que lui qui venait de fêter ses quarante sept ans, alors que moi j'allais mes quarante trois printemps.

Nos âges étaient en adéquation et cela me rassurait sur mon apparence physique, bien que je n'ai aucune raison de me plaindre, bien au contraire, tout le monde me dit très belle, les hommes comme les femmes me complimentent régulièrement. Avec mes un mètre soixante cinq, une belle chevelure châtain clair et des reflets roux, de très jolies formes sensuelles, une taille marqué sur des hanches pulpeuses et une sacré paire de nichons, comme le dit si bien mon mari.


Une jolie poupée d'après mes collègues de travail, pourtant malgré ces atouts, ma vie sentimentale était devenue morne et tiède, sans aucune saveur, juste le stricte minimum et c'est bien pour cela que cette soirée avait comme un petit je ne sait quoi d'excitant, une rare occasion de me faire belle et d'attirer les regards sur ma personne.

C'est donc pour ces raisons qu'après une bonne douche j'ai décidé de choisir une de mes plus jolies robes, petite robe courte à mi cuisses, juste à la limite du déraisonnable, de couleur bleu nuit, légère et vaporeuse avec un décolleté plutôt flatteur qui ne peut laisser de regards indifférents.

Ensuite pour parfaire le coté glamour, tout en sachant qu'ils resterons invisibles aux yeux des autres, je n'ai pu m'empêcher de choisir de jolis dessous chics en dentelle noire, contrastant parfaitement avec ma chaire laiteuse.

Alors que je n'en porte quasiment jamais, je me suis surprise à sélectionner un ensemble porte jarretelle, des bas en satin de couleur noir avec cette fameuse couture qui embellie et affine les jambes, mais surtout un minuscule petit string, petit bout de triangle ridicule cachant à peine le strict nécessaire pour ne pas perdre ma dignité.

Ainsi paré devant ma glace, je me sentait vraiment femme, j'avais comme une irrésistible envie de plaire et de rayonner auprès de mon homme et de notre invité.

Mes yeux étaient attirés par mes seins lourds et bien ancrés dans leur balcon-né pigeonnant, laissant apparaître le galbe de ma généreuse poitrine, masse laiteuse ondulant au gré de mes mouvements, j'étais encore à deux doigts de penser que c'était peut être à la limite du vulgaire, mais n'est ce pas aussi cela qui nous rend belles et si désirables.

Pour finir ma tenue de soirée, une magnifique paire d'escarpins vernis à hauts talons, un dernier contrôle devant ma glace, non... tout était parfait, retouche de maquillage et un nuage de mon plus envoûtant parfum, j'étais enfin prête.
..

De retour à la cuisine c'est mon mari qui m'a surprise en me complimentant, ce qui ne m'était pas arrivé depuis des lustres, les yeux grands ouverts il me dit :

ma chérie tu est magnifique, une vrai beauté, tu vas vraiment plaire à mon ami depuis le temps que je lui parle de toi, il meure d'envie de te connaître...

Assez fière de ses compliments, je me suis remise au fourneaux avant que notre repas ne soit complètement brûlé, car comme beaucoup d'hommes, mon chéri n'est pas très à l’aise dans une cuisine, à défaut il a bien entendu beaucoup d'autres qualités.

Mais n'étant plus habituée à de tels compliments, je me suis mise à épier du coin de l’œil les regards discrets que mon mari portait sur moi, comme s'il me jaugeait pour la première fois, tantôt sur mes fesses ou mes jambes, ses yeux se promenaient sur mon corps en s'attardant souvent dans mon profond décolleté.

Plutôt amusée qu'il me trouve de nouveau à son goût, alors que ces dernières années il m'avait délaissé, il me semblais redevenir pour un soir une femme désirée et désirable, ne pouvant rester insensible à son flagrant désir je me suis fait un malin plaisir à user de mon pouvoir de séduction.

Prise au jeu et sans savoir vous dire pourquoi, j'avais l'agréable sensation que nous allions passer une excellente soirée et j'avais hâte de rencontrer ce fameux Christian, de voir a quoi il ressemble et de vérifier s'il était aussi intéressant que le disait mon mari.

Mais le temps passe vite et je n'ai pas vu l'heure, tout çà pour vous dire qu'il était au moins ponctuel car à l'heure dite il a sonné à notre porte et mon mari, excité comme un gamin, s'est empressé d'aller lui ouvrir.

Après les embrassades d'usage entre copains, je suis venue les rejoindre dans l'entrée pour être présenté, là... face à moi, un grand brun ténébreux au regard de velours ma tendu un magnifique bouquet de roses multicolores et avec un sourire ravageur il me dit :

Tenez.
.. Emilie... merci pour votre agréable invitation, c'est un très grand plaisir que de vous connaître enfin, votre cachottier de mari m'avait dit que vous étiez belle, mais pas à ce point là, vous êtes vraiment ravissante...

Comment vous dire, un bel homme, élégant, grand, brun, assez galant et avec du savoir vivre, un bon point pour lui, mon mari savait au moins choisir ses amis, mais j'étais si peu habituée aux compliments des hommes que c'est légèrement rougissante que j'ai réussie à lui répondre :

Merci... c'est très gentil... vous me faite rougir... ces fleurs sont magnifiques...

Chère amie, après vous avoir enfin vu, ces fleurs mon l'air tellement fades...

J'étais sous le charme, presque incapable de répondre ou de réagir et c'est mon mari qui ma sorti de l'embarras, prenant son copain par l'épaule et en poussant vers le salon il lui dit en riant :

Et ho....le dragueur... doucement c'est ma femme, alors pas touche

Les deux hommes se sont installés au salon pour nous servir un verre pendant que je jetais un dernier œil en cuisine, de retour vers eux, je me suis installée sur le canapé juste à coté de mon homme, Christian était juste en face dans un des fauteuils.

Les mecs ont commencé a parler du bon vieux temps et de leurs quatre cent coups, je les regardais à tour de rôle, bien installée les jambes croisée, j'écoutais religieusement des fois que je puisse apprendre quelque chose d’inédit sur mon mari.

Mais à les entendre, le plus chaud des deux était bien Christian, grand coureur de jupons et tombeur de ces dames, d'après les dires de mon époux, ce qui ne m'étonnais pas du tout vu la façon qu'il avait de me regarder avec ses yeux gourmands.

Son regard passait plus de temps sur mes jambes et dans mon décolleté que sur les tableaux du salon, mais la présence de mon mari me rassurait et puis ce Christian avait néanmoins un certain savoir vivre, ce n'est qu'après deux, trois verres et quelques blagues salaces, que je me suis sentie en confiance et plus détendue.

Peut habituée à l'alcool, j'avais la tête légère et je rigolais assez facilement à la moindre blague, mais il fallait que je finisse de préparer le repas, je me suis donc levé pour rejoindre la cuisine et là les deux hommes ont tout de suite remarqués mon état, ils se sont mis à rire en duo.

Et bien ma chérie, tu ne tient pas la route, fait attention de ne pas te cogner...

Mon ami tu n'es pas très sympa avec ta femme, ce n'est pas bien de se moquer, du coup moi je vais l'aider en cuisine...

Ok, vas y, pendant ce temps je vais finir de mettre la table

Effectivement, Christian est venu me rejoindre à la cuisine, nous nous sommes retrouvés seuls devant les fourneaux.

Et bien Emilie, que puis je faire pour t'aider, tu permet que je te tutoie ?

Pourquoi pas, après tout... nous sommes voués à être amis, non ?

Je l'espère... et bien plus... si affinités

Et hop, je n'ai pu retenir un petit fou rire, impossible de résister, c'était nerveux et l'alcool aidant je ne me maîtrisais plus trop, le ( et bien plus si affinités ) était plutôt équivoque mais j'ai pris çà comme une petite blague.

Je vois que j'ai mes chances, n'est ce pas... Emilie ?

Non, je ne rêvais pas, Christian me draguait ouvertement, là... à quelques mètres de mon mari, son soit disant meilleur ami... je ne savais pas vraiment comment réagir à cela et mon temps d'hésitation lui est sûrement apparu comme un encouragement.

Alors que j'étais tournée vers le four, il s'est approché de moi et a poser ses mains sur mes anches, je ne m'attendait vraiment pas à ce contact de sa part et cela m'a encore plus déconcerté, sans pouvoir vraiment réagir.

Emilie... par quoi puis je commencer, il y a tant de tentations dans cette cuisine.

J'étais perdue face à l’ambiguïté de ses mots, si évidents, presque irrespectueux envers l'épouse de son ami, je cherchais un éventuel échappatoire qui ne remettrait pas la soirée en cause.

Mais maintenant il se tenait tout contre moi, bien appuyé contre mes reins, il me fallait réagir vite pour qu'il ne s'aventure pas plus loin, mais légèrement ivre ressentant la chaleur de son corps contre le mien, je n'avais plus la ressource physique ni même mentale de me dérober.

Pourtant, ce qui ce tramait était si évident, mon manque de réactivité était pour lui comme un consentement évident de ma part, il me fallait trouver une solution, mais il y avait aussi mon homme, son ami, là juste à coté, que la moindre réaction inapproprié pourrait alerter et je ne voulais vraiment pas lui casser ses retrouvailles.

je ne pouvais laisser dégénérer la situation, malgré les agréables frissons que je commençais à ressentir, le contact de ses mains chaudes sur mes anches et la tiédeur de son corps que je devinais au travers de ma robe.

Cette robe, qui d'un seul coup me paru bien trop courte et trop légère, ce décolleté si profond qui se gonflait outrageusement au rythme des battements de mon cœur et de ma respiration qui s'accéléraient, il était impossible que Christian ne s’aperçoive pas de l'effet qu'il me prodiguait.

La honte m’envahissait et je me surprenais face à mon comportement de femme facile, dans un dernier espoir j'ai tenté de l’apitoyer et de le raisonner :

Je....je vous en... prie....

Peut convaincu par mon supplice, j'ai senti ses mains venir frôler mes seins au travers du fin tissu, mon buste battait la chamade et mon trouble ne pouvait être ignoré, mes jambes flageolaient sous un évident plaisir montant.

Je me savais perdue et désormais soumise à ce véritable don Juan, en parfais connaisseur il a rapidement décelé en moi la femme fragile en manque d'amour et de tendresse, une proie si facile pour ce type de chasseur.

Ses mains soupesaient déjà mes attributs alors qu'il me déposait de doux baisés au creux de mes épaules dénudées, ses lèvres humides remontaient lentement sur mon coup en direction de ma bouche, j'étais immobilisé par le désir, ne cherchant plus à m'enfuir, espérant presque que tout s’accélère.

Complètement affamée de plaisir, mon corps était en transe, il vibrait déjà sous de simples et encore naïves caresses, cet homme me possédait corps et âme sans même le savoir, lui qui pensait juste à me séduire pour agrémenter son tableau de chasse.

C'est à cet instant précis que du bruit en provenance du salon la stopper dans son élan, il s'est rapidement reculé et s'est mis à couper le pain sur la table comme si de rien n'était.

Moi je suis resté pétrifiée devant mes fourneaux, le corps en manque mais néanmoins soulagée par l'arrivé de mon homme, encore toute rouge, tremblante et consciente d'avoir échappée au pire, lorsqu’il nous a demandé :

Et bien alors les deux cuistots, vous en êtes où....

C'est presque prêt.... mon chéri, emmène ton ami a table... je vous rejoint.

D'un coup, je me suis sentie libéré d'un poids, je n'aurais sûrement pas pu m'en sortir seule et j'avais de toute évidence laissé les choses allés trop loin, j'ai ressentie un grand sentiment de culpabilité qui ma complètement retourné l'esprit.

La tête encore très embrouillée, je n'en étais pas moins consciente des sensations dévastatrices que cet homme venait de réveiller en moi, résultat de son comportement osé mais surtout par mon manque cruel de tendresse et soyons honnête, par le manque évident de sexe.


LA FIN DE SOIREE

Comme beaucoup de femmes, je dit toujours que je peut facilement me passer de sexe, mais il ne faut surtout pas réveiller la bête qui sommeille en moi.

Avec ce qui venait de ce passer, j'étais tiraillée entre mes devoirs de femme sérieuse que je croyais être et les désirs irrésistibles que cet homme avait réveillé dans mon corps, il me fallait j'allais reprendre mes esprits, attendre encore un peut pour réduire la pression.

Non, je ne pouvais pas laisser ce mec avec de faux espoirs, après tout ce salaud cherchait à trahir son meilleur ami en abusant de sa femme, non... sans faire de scandale il me fallait le remettre à sa place, je reprenait petit à petit le contrôle de mes émotions.

Nous sommes donc passés à table et au cours du dîner je ne me suis pas montré très agréable, restant distante pour lui faire comprendre qu'il avait mal agit au point que mon mari s'est senti mal à l'aise.

Et bien ma chérie, tu vas bien ? Tu as l'air triste alors que nous avons un invité...

Mais non mon amour, c'est l'alcool qui m'a donné la migraine, tu sait bien que je ne tient pas... ton ami...m'excusera, il comprend si bien les femmes...

Trop fière d'exprimer mon petit coté rebelle envers Christian qui a fait style de ne pas avoir entendu tout en continuant à me défier du regard tel un conquérant insatisfait.

Je pouvais lire dans ses yeux qui semblaient me dire ( tu ne perd rien pour attendre.... ), mais rassurée par la présence de mon mari je me permettais de soutenir son regard pour lui faire comprendre que cela n'était pas possible.

Mais qu'est ce qu'il croyait ce mec, qu'il allait arriver comme ça chez son pote et hop vite fait bien fait, je vais me faire sa femme, il va pas bien ce type... ce serait vraiment trop facile.

Le reste du repas c'est passé sans autre détail, désert et café puis j'ai prétexté la fatigue pour allé me coucher.

J'ai embrassé mon homme et salué Christian en le remerciant d'être venu, histoire de rester polie et ne pas donner l'occasion à mon mari de se douter de quoi que ce soit.

Les deux hommes sont restés à parler de tout et de rien et je crois que malgré mes fortes émotions je me suis endormie assez vite.

LA SURPRISE

Ce n'est que vers les trois heures de matin que je me suis réveillée avec l'envie d'aller aux toilettes, mon chéri était couché à mes cotés et ronflait doucement.

Je me suis levé sans trop de précautions, il a le sommeil tellement profond que je ne risquais pas de le déranger et je suis partie traverser le couloir en direction des toilettes.

J'ai encore rouspété contre mon homme qui ne baisse jamais l'abattant et j'ai fa it mon petit pipi sans même avoir fermé la porte des toilettes, après tout j'étais chez moi et nous étions seuls mon mari et moi.

Le bruit du pipi à raisonné dans la maison, troublant ce silence religieux, j'ai pris du papier pour m'essuyer l'entre jambes et j'ai enfin tiré la chasse d'eau.

Puis je suis allée dans la cuisine pour boire un verre d'eau, j'ai ouvert le frigo pour voir s'il y avait encore de l'eau fraîche et là j'ai cru défaillir...

J'ai senti des mains chaudes se poser sur moi et j'ai reconnu la voix de notre fameux Christian..

Hummm... Annabelle, que tu est belle et sexy dans cette petite nuisette

Cherchant à protester, je faisait néanmoins attention à ne pas faire trop de bruit pour ne pas réveiller mon mari

Mais...ça va pas...vous êtes pas bien....que faite vous là ?

Chut....doucement...ne réveillons pas ton gentil mari...laisse moi t'embrasser

Mais...non....il n'en est....pas question....

Sa bouche cherchait la mienne et je faisait tout mon possible pour échapper à cet impossible baisé, je me contorsionnait dans tous les sens mais il me maintenait fermement contre lui et mes faibles ruades l'excitait encore plus.

Oui... c'est bien... défend toi... j'adore ça... j'aime pas les filles faciles...

Vous êtes fou.... et si mon....mari...

Ton mari... il dort...t'inquiète pas ma belle... allez laisse toi faire...

Non... je vous en...prie... non...

Ma voix faiblissait encore, dominique venait de me saisir les seins, nus sous ma petite nuisette transparente, ils n'étaient que tentation pour ce prédateur.

Humm.... mais tu as de gros nichons... et les tétons qui bandent...hummm... tu es une chaud-asse..

Surprise par cette situation, l'humiliation de ses mots crus et ses mains qui me pelotaient outrageusement dans ma cuisine, là à quelques mètres de mon mari...

Le salaud savait si prendre, sans même que je m'en aperçoive, il avait déjà une de ses mains dans ma culotte et me titillait l'entre jambes.

Voilà... c'est mieux... tu vois... c'est pas compliqué... ta juste à me laissé faire...

Humm... non....c'est pas...bien....mon...mari...

chuttt...laisse le, là ou il est.... je vois bien qu'il ne te baise plus... je ressent ces choses là...

oui...mais, non... je veux....pas....hummm... non...

C'est vraiment terrible, lorsque votre corps fait le contraire de ce vous dite, vous vous refusez mais vos jambes s'écartent encore plus, vous dite non et votre sexe s'entrouvre sous la pression des doigts qui veulent vous fouiller.

Il est des moments de la vie ou rien ne se passe comme vous l'entendez, pour moi ce soir là en était un, je n'allais quant même pas laisser ce mec r de moi et en plus à la maison.

La raison cherchait un moyen pour me sortir de ce traquenard alors que mon âme ne voulait que du sexe, que ce mec me viole, qu'il me baise à fond.

Depuis trop longtemps que mon homme me néglige, que je fantasme à tout vas et là d'un seul coup ce gars sans gêne qui me pelote de partout, qui me fait monter le plaisir, qui me fait mouiller comme une petite catin.

Et bien oui, j'allais me laissé faire, rouspéter pour la forme m ais le laisser faire, le laisser r de mon corps trop longtemps insatisfait, tant pis pour tout le reste...

Humm... oui....oui... c'est pas....bien....hummm...

Et bien voilà, on y arrive... il faut pas longtemps pour te faire mouiller....

Ses doigts entraient et sortaient en rythme de mon vagin, frottant mon clitoris a chaque passage pour me faire grimper plus vite et il m'embrassait dans le coup, là ou c'est sensible et ou se déclenche les frissons.

Pour une première fois, je suis tombée sur un bon amant, Christian savait comment faire reluire une femme, utilisant la juste dose entre l'excitation et cette agréable humiliation qui nous rend si folles.

Jamais mon mari ne m'avais parlé comme çà, il ne m'a jamais traité comme une fille facile, je savais que ce n'était pas bien mais à entendre ses saletés mon excitation était décuplé

Oui...voilà, ma belle... tu vois que t'aime ça... tu dégouline ma cochonne

Humm... hummm.....

C'était bien la peine de me résister alors que tu ne demande que ça... tu en rêve, hein... ma petite salope...tu en veut de la queue... hein que tu en veut...

Hummm...oui..........hummm........mais....c'est pas.....bien...

On sens fou, je vais te la mettre à fond et tu vas jouir comme une pute.... je vais te remplir et te dilater avec ma queue....tu sera ma putain....

Plus il m'insultait et plus il m'excitait, mon cul ondulait contre son membre déjà tout dur et très gros, je sentais sa queue contre mes fesses au travers de ma petite nuisette qu'il commençais déjà à retirer.

Une épaule, puis l'autre, les seins à l'air et enfin la nuisette à mes pieds, il ne me restait plus que ma petite culotte comme dernier rempart aux assauts de ce beau mâle.

Plus rien ne serait comme avant, je prenais consciente de mes actes, j'allais cocufier mon mari avec son soit disant meilleur ami... et en plus chez nous, offrant mon intimité la plus précieuse

Il fallait vraiment que ce Christian soit un grand pervers, sans âme et sans aucun respect pour les valeurs minimales de tout être humain.

Mais je savais aussi que plus rien ne nous arrêterait dans cette débauche, que j'allais le laisser r de moi comme il le voulait, selon ses envies, il allait m'initier à l'adultère pour mon plus grand plaisir.

S'il te plaît... éteins... je préfère...

Dans un dernier sursaut de pudeur, je lui est demandé d'éteindre la lumière, seule condition pour que je puisse m'abandonner à cent pour cent.

Je comprend ma belle... tu vas voir, je vais te faire jouir comme jamais...

Il a entrouvert la porte du frigo et éteins le plafonnier, créant ainsi une faible lueur tamisé qui laissait juste deviner les contours de nos corps et rendait la situation encore plus excitante.

Le silence régnait dans la maison et j'entendais juste des froissements de tissu car Christian se déshabillait à son tour, ceinture, pantalon, chemise et tout le reste, puis il est venu de nouveau contre moi.

J'ai immédiatement senti son membre contre mon ventre, dur, chaud et apparemment assez gros il s'est appuyez et frotté contre moi.

Tu la sent...hein, ma belle...dit moi....tu la sent, là contre toi, ma grosse queue...tu la sent ?...

Ho que oui que je la sentais, sans la voir rien que par le contact je devinais quelle était plutôt d'une taille inhabituelle et n'avais rien a voir avec le sexe de mon homme, vraiment rien à voir.

tu vas voir... toute les filles en raffolent, elle va te rendre dingue, tu vas bien la sentir...

Je me suis décidée à l'approcher de mes mains, il fallait bien les deux pour pouvoir la saisir, répondant à ses baisés goulus, ma langue tournoyait dans sa bouche en mélangeant nos salives.

Mes doigts ont touché le membre, doux et chaud, ils l'on saisi tant bien que mal, mes mains encore tremblantes ont parcourue la colonne de chair découvrant au fur et à mesure le gigantisme de l'engin.

Jamais je n'avais vu un tel membre, sauf dans les quelques films x que mon mari ma fait découvrir dans nos meilleures années, mais là, en vrai, tout contre moi c'était autre chose.

De la base au gland, il y avait sûrement plus de vingt à vingt cinq bons centimètres, difficile à jauger comme cela mais je ne devais pas en être très loin.

Le genre de sexe qui vous fait jouir rien qu'a le voir, vous vous sentez fondre de gourmandise, vous n'avez qu'une envie qu'il vous remplisse le ventre et vous tapisse de son jus bien chaud.

Pendant ce temps il ne restait pas inactif, ses mains me parcouraient le dos et les reins, m'offrant de douce et voluptueuses caresses qui finissaient de me détendre parfaitement.

Tu vois ma belle, nous sommes tranquilles, tout va bien se passer et tu va adorer

Puis ses doigts se sont glissés entre mes fesses, écartant les lobes laiteux pour se frotter dans ma raie

Ils allaient et venaient jusqu'à l'entrée de ma vulve, prélevant à chaque passage le jus visqueux de mon plaisir qu'ils étalaient aussitôt sur toute mon intimité.

Je ressentais le mâle grogner de satisfaction en découvrant le plaisir malsain qu'il me prodiguait, les hommes adorent les femmes réactives et qui expriment leurs pulsions.

Je ne me rappelais pas avoir autant mouillée pour un homme, là j'étais liquéfiée, ma petite chatte dégoulinait comme jamais, mon jus coulait le long de mes jambes tremblantes et cela rendait mon futur baiseur fier comme un coq.

Alors...tu te sent prête ?

Hummm...non...heu, oui...mais je n'ai....jamais...

Quoi, jamais trompé ton homme ?

Oui...aussi...mais jamais....une aussi....grosse...

Je te comprend, mais n'ai pas peur...tu vas voir elle est douce... ta chatte va se dilater doucement et tu vas vraiment adorer

Joignant les gestes à la parole, il ma retourné vers la table de la cuisine, il m'a plié pour que je plaque mon buste dessus en m'appuyant sur le dos de sa main.

De son autre main qu'il m'a glissé entre les cuisses, il m'a à ouvrir les jambes faisant apparaître à ses yeux mon petit abricot tout luisant.

Là, c'est bien, ne bouge pas... laisse toi faire et profite

En temps habituel je n'aurais jamais aimé qu'un homme me parle ainsi, qu'il me contrôle et me domine, même pas mon mari, mais là, je n'avais pas envie de réagir imaginant une récompense à la hauteur de mes fantasmes les plus fous.

Déjà ses mains me flattaient la croupe, caressant ma peau fragile et délicate, il passait d'une fesse à l'autre, s'attardant parfois dans le sillon laiteux en écartant les chairs rougies par le désir.

J'étais électrisé lorsqu'il me frôlait le clitoris, inadvertance ou acte calculé, allez savoir mais il semblait savoir manipuler l'intimité d'une femme.

Plus rien n'existait autour de moi, j'étais là, nue et appuyé sur la table de la cuisine, les cuisses bien écartés offrant à qui le veux une parfaite vue sur ma vulve trempée, attendant d'être saillie par le sexe démesuré de ce mec, encore inconnu quelques heures plus tôt.

Je savais mon mari là, juste à coté dans notre chambre, dormant naïvement sans pouvoir imaginer que sa petite femme chérie allait se faire enfiler d'un instant à l'autre et le pire par son soit disant meilleur ami.

Je ressentais comme de la honte, mais aussi une indescriptible excitation, un plaisir sale à le tromper, à ressentir cette étrange mais agréable humiliation qui me retournait le ventre.

Seules les femmes qui pratiquent l'adultère peuvent comprendre ces délicieuses contradictions qui font qu'on adore ça, qu'on fini par en redemander au point d'en être accros, car c'est bien ainsi que cela va finir.

Mais ce soir là, ce n'était que ma première fois et pour une première je suis tombée sur un amant exceptionnel, plus par la nature de son anatomie que ses autres qualités.

Je l'ai senti appuyer son bassin contre ma croupe, logeant du même coup sa grosse queue entre mes fesses, puis il a ondulé du bassin faisant allez et venir sa bite comme s'il me baisait mais sans pénétration.

Je sentais son gros gland se décalotter à chaque passage, libérant des perles lubrifiées qui se fouraillaient immédiatement vers mon intimité.

Tout en se frottant, il s'est penché contre mon dos pour venir me chuchoter à l'oreille.

Ma jolie petite putain.... depuis le temps que je rêve de te la mettre... tu vas m'offrir ce qui ne m'appartient pas, je vais te baisser comme jamais tu ne l'a été...

Je ne sais pas si c'est pareil pour toutes les femmes, mais pour moi, entendre des mots sales, pervers et humiliants alors que je suis complètement excitée ça me rend folle.

Je sent ma chatte fondre de plaisir, ma cyprine se répand partout, dans les moindres recoins de mon intimité pour préparer ce que mon corps attend avec impatience, d'être comblé...

Christian se régalait de ma passivité, d'obtenir si facilement ma soumission à ses moindres désirs, il allait se faire la femme de son pote, sans aucun remord, sans une once de morale, juste envie de jouir en elle.

Hummm... J'adore baiser les petites salopes mariées, j'aime leur dilater la chatte avec ma queue, voilà laisse toi faire... oui, ouvre bien ta petite chatte...

Mon dieu, que vous dire, j'adore mon époux et beaucoup ne pourront pas comprendre ce que les femmes comme moi ressentent, mais je vous assure qu'à ce moment précis rien n'aurai pu arrêter l'impensable.

Sans me reconnaître, j'ai glissé ma main entre mes cuisses ouvertes pour pouvoir ressentir son membre chaud et déjà tout gluant de mouille qui m'ouvrait les grandes lèvres a chacun de ses passages.

Le contact avec cette bête perverse m'a électrisé, je ne désirai plus rien d'autre que de la sentir s’engouffrer dans mes chaires brûlantes, je lui caressais vulgairement la tige sur toute sa longueur jusqu'à pouvoir saisir les bourses velus et bien pleines.

Hummm... je vois que tu commence à aimer çà.... tu sent comme elles sont bien pleines, hein...çà t'excite espèce de petite salope.

En quelques secondes je suis devenu une véritable salope, impossible de me reconnaître, je n'étais plus moi même, le trop plein d'excitation ma complètement transformé et ce bien malgré moi.

Plus rien n'existait autour de nous, juste moi, mes désirs, ma chatte dégoulinante et cette formidable queue qui allait me remplir d'un instant à l'autre.

J'étais tellement sous l'emprise du plaisir que je crois bien que même si mon mari se pointait là face à moi, je me laisserais baiser devant lui avec autant de plaisir.

Je suis même certaine que cette folle idée m'a encore plus excitée au point que ni tenant plus, c'est moi même qui ai agrippé fermement la grosse queue pour la placer juste à l'entré de son futur fourreau.

En bon amant, il a bien compris là où je voulais en venir et c'est avec une certaine fierté de mâle dominant qu'il m'a laissé conduire la pénétration de sa nouvelle conquête.

Oui... vas y, fait toi plaisir... on voit que tu aime la bite.... oui, fourre là dans ta chatte juteuse... hummm... serré comme une pucelle, j'adore çà...

Avec son gland et des petits mouvements du poignée, j'ai entrouvert mes muqueuses afin que celui-ci se place bien au chaud, puis j'ai glissé le long du membre jusqu'à pouvoir prendre les grosses couilles en main et enfin j'ai appuyez lentement sur les bourses pour qu'il comprenne que c'était à lui de jouer.

Telle une putain docile j’attendais de pouvoir enfin ressentir mes chairs se dilater sous la pression d'une bonne queue, d'un coup, je comprenais que le manque de plaisir peut être cruel et nous faire faire n'importe quoi et surtout avec n'importe qui.

Ses mains puissantes ont agrippé mes poignées d'amour pour que je ne puisse me dérober à son futur plaisir et lentement, très lentement, comme pour me punir, il a commencé sa cruelle pénétration.

Tout mon esprit était concentré sur ces quelques centimètres de mon corps, sur le ressenti de mes muqueuses qui prenaient doucement la forme du gland qui se logeait en elles.

Centimètre par centimètre il entrait dans ce que je n'aurai jamais cru donner à un autre que mon mari, je laissai cet homme encore inconnu hier prendre possession de mon intimité la plus précieuse.

Mon ressenti confirmait la belle taille de l'engin et comme pour me prémunir d'une éventuelle douleur je conservai ma main crispée sur les couilles velues qui semblaient pousser cette chose en moi.

Mes chairs étaient bien écartés et le gland à néanmoins peiné à se faire un passage, mais il était déjà en moi et je me suis surprise à en désirer le reste, tout le reste qui se trouvait encore à l'extérieur de moi.

Le salaud connaissait parfaitement les femmes, il savait bien qu'a ce stade je ne lui refuserai plus rien et même pire que je réclamerai de moi même telle une perverse en manque.

En mâle satisfait il m'a laissé faire, convaincu que son plaisir serait encore plus grand que s'il me la mettait lui même

Effectivement que doit il y avoir de plus jouissif que de ressentir celle qui encore quelques minutes avant voulait se dérober à votre volonté de la baiser et s’apercevoir quand à peine quelques minutes c'est elle même qui guide votre queue en elle.

J'avais encore du mal à croire qu'il allait pouvoir me mettre un tel engin en entier dans ma petite chatte, mais il poussait encore et encore, dilatant tout sur son passage pour me remplir le moindre petit recoins du vagin.

Cela m'a paru durer un heure alors que tout c'est fait en deux, trois minutes, au fur et a mesure que sa grosse queue prenait sa place en moi je ressentait une véritable fierté de femelle satisfaite.

Ma chatte était si excitée et baveuse que ma cyprine coulait abondamment sur ma main encore agrippé aux bourses de ce vulgaire salaud, plus il entrait en moi et plus mon jus débordait pour laisser la place a ce gros piston.

Voilà... c'est bien, encore un peu et tu aura tout ma bonne queue en toi... bien au fond pour que je puisse te ramoner la chatte... comme tu en rêve...

hummm.... ouiiiiiiii.... ( je n'avais pas pu retenir mon premier soupir )

Comme s'il pouvait lire dans mes pensées

Ouiiii.... ouiiii... remplie moi.... ( je commençai à perdre mes esprits )

Jamais je n'avais exprimé ainsi mon plaisir, même avec mon mari je n'aurai pas osé lui dire de telles choses et là avec cet inconnu, comme hypnotisée, je lui réclamai encore plus de plaisir.

Comme s'il m'avait entendu, d'un dernier coup de reins puissant, il m'a logé le restant de sa bite bien profond jusqu'à me libérer un cri de satisfaction.

Haaaaaaa....hummmm.....

Tient....petite salope, c'est çà.... que tu voulait....hein.... tu la voulait ma queue et bien voilà... tu là bien profond.... hummm... jusqu'aux couilles

Incroyable, la totalité du membre était en moi, jamais je n'aurai cru cela possible et pourtant ma main encore agrippé à ses grosses bourses était bien en buté contre ma vulve gluante.

Comment vous décrire cette formidable sensation, ressentir vos chaires totalement dilatées, votre cavité intime complètement remplie par ce gros bâton bien dur, relater ce plaisir qui fleur-te avec la douleur et qui accentue votre humiliation de femme profanée.

Ce savoir offerte sans retenue, dans une position délicatement perverse, le cul relevé et le con offert à qui le veut, sentir sa cyprine abondante ruisseler le long de vos jambes bien écartées alors que votre esprit ce concentre sur le membre qui vous empale profondément.

Savoir votre époux juste à coté, jouir du danger de pouvoir se faire surprendre en pleins adultère, comprendre que cela nous émoustille plus que de raison, découvrir à quel point une femme peut s'abandonner sous les assauts d'un amant expérimenté.

C'est ainsi, l'esprit perturbé et volage que je me suis abandonné entre ses puissantes mains qui me maintenaient fermement par les hanches, lui laissant libre court pour pouvoir m’enfiler à sa guise, profitant de toute sa vigueur qui commençais lentement à remuer en moi.

A chaque nouvel appui, je ressentais mes chaires se dilater plus que nécessaire pour laisser sa grosse bite se loger au plus profond de mon ventre.

Puis il me laissait un court moment pour que mes entrailles puissent épouser au mieux le membre inquisiteur, libérant les tensions presque douloureuses étant donné la grosseur de l'engin.

Mais avant même que je ne savoure cette courte pause, il repartait de plus belle vers la sortie, laissant son énorme gland reprendre son souffle juste au bord des muqueuses endolories.

Alors que mon vagin se resserrait déjà faute d'être rempli, il replongeait sa queue, de plus en plus vite et plus fort afin que j'exprime ouvertement ce mélange de plaisir et de douleur qui me ravageait le bas du ventre.

Quelle délicieuse humiliation que d'entendre les bruitages spécifiquement liquoreux que fait votre chatte dilatée à chaque intromission du membre profanateur, preuve évidente du plaisir que vous prodigue le salaud qui vous baisse sans retenue.

Nous savons toutes que les hommes adorent les femmes qui expriment leur plaisir, ils aiment nos soupirs langoureux, nos petits cris de surprise et surtout l'abondance de notre jus d'amour, preuve évidente et infalsifiable du plaisir qu'ils nous procurent.

Mais de toutes les façon, là je ne pouvait feindre, j'étais réellement possédée par mes démons sexuels, depuis trop longtemps que je n'avais pas eu ma dose de bite et ce mec l'avait parfaitement détecté afin de pouvoir en r.

Mais là, seule sa queue qui me comblait m'importait, seuls ses vas et vient puissants et profonds me préoccupaient, seul le ressenti de son gros gland qui me dilatait le vagin, plongeant jusqu'à venir buter sur mes ovaires en libérant mes soupirs de surprise.

Oui, j'étais devenu sa chose, il jouissait de mon corps à sa guise, agrippant mes poignées d'amour pour que je ne puisse me dérober à ses coups de reins, puissants et de plus en plus rapides, libérant des bruits de chienne qui ruisselle tellement ma chatte mouillait d'excitation.

Et puis ses injures humiliantes et pourtant si excitantes qui vous renversent les sens, ces mots qui vous transforment en véritable petite salope, qui vous font accepter les pires outrages, les plus dégradantes perversions, oui.... ces phrases qui vous font jouir l'esprit.

Haaaa.... putain, ce que t'es bonne.... depuis le temps... que j'avais envie de te baiser

Ta chatte est faite pour moi.... bien juteuse et dilaté...

Avec un cul pareil....hummm.... tu est faite pour les grosses queues...

Écoute, salope.... écoute comme elle s'ouvre bien, comme elle se dilate....

J'étais renversé sur la table de la cuisine, le cul à l'air, bien en évidence avec cette grosse queue qui me pourfendait la chatte en rythme, les seins écrasés qui se frottaient en mesure à chaque coup de reins.

Mes mains agrippaient les bords de ma table comme pour me retenir d'un plaisir bien trop évident et malgré ma gorge sèche, je ne pouvais retenir mes petits cris et soupirs rauques qui rendaient mon amant encore plus fou et plus pervers.
Putain de salope... tu cache bien ton jeu, j'en ai baisé des putes... mais toi... hummm...

Je pouvais parfaitement ressentir la monté de son plaisir, sa queue gonflait encore et encore, toujours plus dure et plus grosse, elle m'écartelait la moule jusqu'aux prémices de la souffrance.

Du coup ma main a libéré ses couilles velues pour venir titiller mon bouton d'amour, je n'y tenais plus et javais trop envie de jouir, alors qu'il me pistonnait de plus belle j'ai commencé à me branler comme une jeune pucelle.

Clitoridienne dans l'âme, je ne vous dit pas, au point d'excitation où j'en était, il ne ma pas fallu longtemps pour libérer tout le surplus d'adrénaline que possédait mon corps depuis de bien nombreuses semaines.

La chatte si bien remplie et ramonée et mes doigts experts qui ont fini le travail, je n'ai pas pu retenir les flots de jouissance qui ont submergés mon corps de part en part, libérant de véritables cris de plaisir tout en m’agrippant du mieux possible à la table pour ne pas en tomber.

Des soubresauts involontaires me faisaient sursauté comme une anguille à tel point que mon baiseur a du plonger sa queue au plus profond de mes entrailles tout en me bloquant fermement afin que sa bite ne soit pas éjecté de son agréable fourreau.

Je ressentais ses muscles tendus qui réussissaient tant bien que mal a maintenir sa grosse bite bien logé dans ma chatte dégoulinante, pendant que je laissais le plaisir m'envahir de toutes parts.

Putain de salope... mais tu jouis... ma grosse queue te fait reluire...

Écoutant ses mots tout en jouissant, je gémissais de plus belle, libérant les derniers soupçons de pudeur qui pouvaient me rester, le plaisir était bien trop fort et même la crainte de réveiller mon homme qui dormait juste à coté ne pouvait m'empêcher d'exprimer mon plaisir.

J'étais allez trop loin pour me retenir, faute pour faute, il me fallait jouir au maximum, laissant les ondes de plaisirs me retourner les sens, me brûler les chaires au plus profond de mon être, seul le moment importait.

Ce qui devait arrivé, arriva, Christian se cabrât d'un coup d'un seul, il serra mes anches encore plus fort, plantant ses doigts dans mes chaires délicates et il lâcha un véritable cri de mâle satisfait.

Bloqué sur cette position il a libéré un véritable flot de semence brûlante en moi, j'ai ressentie des jets courts mais puissants venir buter au plus profond, un véritable trop plein s'est déversé pendant un bon moment.

Toutes ces sensations cumulés, nous avons jouis ensemble presque simultanément, dans un véritable capharnaüm de cris, de soupirs et de soubresauts, le tout dans une odeur de sexe et de sueur indescriptible.

Les couilles parfaitement vidés il s'est abattu sur mon dos de tout son poids, sa queue épaisse encore logé dans ma chatte qui débordait de son sperme fécond.

Houaaa... tu m'a vider... jamais je n'aurai pensé que tu soit aussi bonne... ton mec ne sait pas la chance qu'il a d'avoir une femme comme toi, Je ne peut comprendre qu'il ne te baise plus, avec le cul que tu as...

S'il te plaît... ne parle pas de lui, je m'en veut déjà bien assez comme çà...

Dit moi au moins si çà t'a plut ?

A ton avis, grand bêta... je ne pense pas avoir simulé... mais sache que je n'aime pas les discours après l'acte... et puis tu m'écrase la poitrine

Ok, désolé mais j'étais si bien en toi... j'aurai aimé faire durer

Il s'est doucement relevé et j'ai sentie son membre ramolli qui glissait vers la sortie, le gland s'est dégagé dans un bruit de succion assez poisseux, j'ai sentis couler le mélange onctueux de ma cyprine encore abondante et de son sperme sur mes cuisses encore largement ouvertes.

Mes doigts étaient encore restés sur ma fente tuméfié et ils s'humectaient de cette crème qui se dégageait de mon orifice béant, après avoir été si bien profané.

Il m'a aidé à me relever et je me suis assise sur le bord de la table pour récupérer mes esprits, il est resté face à moi, souriant et sur de lui, sa queue molle ballottait entre ses jambes avec des perles de sécrétions poisseuses juste au bout du gland encore décalotté.

Moi j'étais là, les cheveux défaits et tout ébouriffés, les traits tirés et les yeux cernés d'avoir autant jouis, je sentais encore la sueur et même le sperme tellement la quantité qui sortait de ma chatte était importante, il m'avait mit une sacré dose.

J'ai relevé la tête cherchant son regard, comme pour tenter de comprendre ce qui venait de nous arriver, il m'a souri... a pris mon visage entre ses mains et m'a déposé un baisé sur les lèvres.

Cet acte de tendresse ma rassuré après notre copulation bestiale, il se pourrait que mon baiseur soit un homme bien, légèrement romantique malgré sa fougue.

Reprenant mes esprits assez rapidement je prenais enfin conscience de notre acte, du terrible adultère que nous venions de commettre au domicile conjugal et pire encore en présence de mon époux qui dormait, du moins je l'espérait de plus en plus, juste dans une pièce à coté.

D'un coup je me sentais mal, une sorte de crise d'angoisse ma traversé et mon corps a frissonné comme jamais, j'avais soudainement froid et javais envie de m'enfuir, loin, très loin.

Mon amant occasionnel a du la ressentir car il m'a pris dans ses bras et m'a dit :

Ne t’inquiète pas, il dort à point fermé... je le connaît il a le sommeil lourd... et puis ce n'est pas de ta faute, il te néglige depuis trop longtemps, une belle femme comme toi... cela devait arriver tôt où tard...

Cela ne nous pardonne en rien, je suis sa femme et toi son soit disant meilleur ami, laisse moi rire... heureusement qu'il n'ai pas ton ennemi sinon qu'aurait tu fait de moi...

Ce n'est pas si facile, cela ne change rien il est et restera mon ami... mais c'est plus fort que moi, le sexe est mon pêché mignon et puis tu est si belle, si désirable, si.... bandante...

n'empêche que je regrette, nous avons mal agis et il nous faudra oublier tout çà...

Il m'a serez fort contre lui, ses mains ont recommencés à me parcourir le corps, faisant de nouveau frémir mes sens sous les agréables caresses.

Tu m'en demande trop, maintenant que je t'ai goûter, je ne pourrait plus me passer de toi, de ton corps et de ta si bonne petite chatte.

Joignant le geste à la parole, il m'a poussé de façon a que je me retrouve de nouveau couché sur le dos, il a pris mes jambes pour les placer chacune sur une de ses épaules lui permettant ainsi d'approcher son bassin au plus prêt de mon intimité.

J'ai aussitôt compris qu'il allait de nouveau me baiser, mais il était hors de question de lui refuser ce privilège, espérant que cela soit la dernière fois je me devais de lui céder ce dernier caprice.

Les yeux dans les yeux, je l'ai senti déposé son gros gland de nouveau bien dur juste à l'entrée de ma caverne intime, d'un seul coup de reins il ma écartelé pour lui céder le passage, il y avait encore tellement de sperme et de cyprine en moi que je n'ai ressentie aucune douleur.

L'énorme bite a plongé brutalement au plus profond, venant buter jusqu'aux couilles venues qui m'ont claqué les fesses, il est resté un long moment ainsi en moi tout en me savourant du regard.

De son regard il me faisait comprendre que désormais je lui appartenait, qu'il me baiserait quant il le voudrait, que je ne pourrais rien lui refuser et sur le coup de mon excitation je me suis mise à le penser moi aussi.

Il m'a de nouveau baisé et bien baisé, là sur la table de notre cuisine, comme une vulgaire soubrette à sa disposition, j'ai jouis comme jamais et mon mari n'en as jamais rien su...

Il m'a de nouveau bien remplie de son jus de couille, bien chaud et visqueux, il faut dire que j'adore ce moment où l'homme libère sa semence en moi en criant son plaisir, mon égo s'en trouve flatté au plus haut point et je prend toujours çà comme une récompense.

ENFIN LIBEREE

Ce soir là, nous avons baisé une troisième fois tels des pervers en manque, puis complètement exténuée j'ai voulu en finir et enfin retourner me coucher alors que Christian en voulait encore et encore.

Arrivée au fond du couloir au seuil de notre chambre, j'ai fait signe à Christian de ne plus faire de bruit, croyant qu'il voulait juste un dernier baisé je l'ai laissé m'enlacer dans ces bras et nous avons échangé un baisé profond et humide, sa langue tournoyait dans tous les recoins de ma bouche.

Ses mains agrippés à mes fesses qu'il pelotait encore sans vergogne, il était insatiable et de nouveau j'ai senti son membre se redresser contre moi, il était chaud et doux contre ma peau.

Je ne saurait vous exprimer ma honte et ma crainte d'être ainsi abusée juste derrière la porte où mon mari dormait, il aurait pu surgir et découvrir ce que son ami, Christian était en train de me faire sans même pouvoir imaginer tout ce qu'il avait déjà fait à petite femme.

Mais cherchant a calmer le mâle en rut, j'ai répondu a son baisé passionné, je l'ai laissé parcourir de nouveau mon corps de ses mains gourmandes, mais j'aurai du me méfier car son gros membre était déjà parcouru de convulsions m'indiquant qu'il était de nouveau prêt à saillir la belle femelle.

Craignant le pire, je me suis mise à lui chuchoter que cela n'était plus possible, que j'étais fatiguée et qu'il avait déjà bien profité de moi... et que de plus, là juste contre la porte de notre chambre, ce n'était vraiment pas raisonnable, ni même pensable.

Justement... c'est çà qui m'excite, regarde touche ma queue ( il posa ma main dessus et effectivement il était de nouveau gros et dur ) tu vois dans quel état tu me met, impossible de ma laisser comme çà...

Non... on ne peut pas... hummm... pas là.... tu .... s'il se réveille... non...

Mais si... laisse toi faire, je bande trop... tu est trop bonne...

Il commençait déjà à frotter sa queue sur ma vulve en vue de préparer le passage, étalant cette crème visqueuse mélange de mouille et de sperme qui allait lui permettre d'entrée plus que facilement.

Non... je t'en pris... pas ici...

Tu ne peut pas me laisser comme çà.... allez, au point où nous en sommes....

Je me voyais mal engagée pour lui échapper, l'excitation aidant je ne pourrais pas le retenir bien longtemps et il finirait bien par obtenir ce qu'il voulait.

Alors je me suis dit que si je lui accordais une bonne gâterie cela lui suffirait et je prendrais moins de risques de réveiller mon homme.

hummm... si tu veut.... je te suce, mais ce sera tout... rien de plus....

Il a marqué un léger temps d'arrêt, semblant réfléchir et d'un coup il a posé ses mains sur mes épaules en m’appuyant vers le bas, signe équivoque d'un d'accord conclu.

C'est ainsi que je ma suis retrouvée à genoux face à ce gros sexe pervers qui m'a plutôt bien travaillé toute la soirée, assez long et parcouru de veines saillantes bleuies par l’afflux sanguin, ma main ne pouvait faire le tour de ce membre trapu.

A sa base pendaient les deux bourses velues, véritables usines à semence qui chez Christian semblaient inépuisables et au bout de la tige, l'énorme gland lustré et brillant, presque rouge de m'avoir autant limer toute la soirée.

Déjà Christian m'enfilait ses doigts dans la chevelure, appuyant légèrement sur ma tête pour m'indiquer la direction à suivre, sa grosse queue pointait en l'air vers mon visage, insolente, perverse et fière.

Résignée à lui accorder son dû, j'allais prendre sur moi de faire vite et bien pour pouvoir me libérer au plus vite des éventuels risques que nous courions à être surpris par mon mari.

C'est donc en silence, en douceur et avec application que j'ai embouché le gland violet, déposant le maximum de salive pour lui rendre la place la plus confortable possible ce qu'il m'a aussitôt confirmé par un premier râle de plaisir.

Hummm.... ma salope.... mais tu suce... merveilleusement... hummm... bien

C'est donc à genoux et juste contre la porte de notre chambre que je me suis mise à sucer le meilleur ami de mon mari, jamais encore quelques heures avant je n'aurai cru en arriver là, moi la femme fidèle et heureuse, moi la mère de nos s, malgré ma honte et une certaine forme d'humiliation je suçais un parfais inconnu et le pire c'est que je le faisais avec application et je dirais même avec un certain plaisir.

Je ne me souvenais pas avoir pris autant de plaisir a sucer une bonne queue que ce soir là, d'ailleurs je ne me souvenais pas non plus avoir été aussi bien baisé ?

Sûrement l'effet de surprise cumulé avec la nouveauté, mais surtout ce que j'ai compris bien plus tard, c'est l'acte d'adultère qui ma le plus excitée, sans le savoir j'étais une véritable petite salope qui s'ignorait, adorant tromper son mec parfois même avec ses amis et collègues.

Mais çà je vous le raconterais peut être plus tard, là je m’appliquais à faire reluire cette bonne queue, il me fallait la récompenser pour les bons moments qu'elle venait de me procurer.

En connaisseuse j'ai posé ma main tiède sur les bourses pendantes du mâle, provoquant aussitôt les première vibrations de son gros sexe dans ma bouche.

De mon autre main que j'ai posé sur ses fesses, je lui imposais un vas et vient langoureux selon mon rythme, selon mon ressenti de son plaisir, car malgré tout je voulais qu'il jouisse le plus vite possible

Je m'appliquais à lui gober le gland le plus profondément possible, appliquant ma langue sur toute la longueur de la hampe tout en frôlant les veines tuméfiés qui apportaient à la bête une virilité exceptionnelle.

Il bandait encore très bien malgré nos multiples copulations de la soirée et cela m'apportait une certaine fierté d'être encore à mon age capable d'affoler un homme à ce point.

A chaque pénétration de son membre vers le fond de ma gorge je flirtais avec l’ tellement il occupait toute la place disponible et évidement cela comblait son égo de mâle, car il libérait de petits râles rauques au rythme de mes déglutitions.

Malaxant sa paire de couilles afin de le satisfaire au mieux, je sentait enfin le plaisir monté en lui, des petits signes annonciateurs qui ne trompent pas les femmes d'expérience.

Respiration saccadé, soupirs réguliers, légers tremblement musculaires et micro convulsions du sexe en bouche, petits détails qui me permettaient d'espérer une apogée rapide de ma prestation buccale.

Prestation de qualité car il ne manquait pas de me chuchoter de vulgaires encouragements ;

Hummm... putain... quelle bouche... tu est une vraie merveille... depuis le temps que je voulais te la mettre.... hummmm... comme quoi..... hein, ma belle.... tout se mérite....

Il était vraiment excité car les convulsions de sa queue dans ma bouche devenaient plus longue et régilières, le moment était venu pour moi d'utiliser mon arme fatale, tout en maintenant ses bourses je me suis mise à appuyer sur la prostate avec mes doigts.

Ce qui devait arriver, arriva, ses doigts se sont plantés dans mon cuir chevelu, ses muscles fessiés se sont contractés, ses jambes avaient la tremblante et ses soupirs sont devenus des grognements de bête satisfaite.

D'un coup son corps sait raidie, il m'a planté sa grosse queue bien au fond de la gorge tout en me maintenant vigoureusement le visage contre son pubis et là j'ai crue défaillir lorsque j'ai senti le premier jet de liquide chaud couler dans ma gorge.

Surprise et néanmoins soumise pour ne pas alerter mon homme sur ce qui se passait dans son couloir, j'ai inauguré ce soir là ma première éjaculation en bouche.

Malgré ma première impression de dégoût je me suis résignée à en accepter le goût et la texture épaisse et crémeuse, toujours solidement maintenue il m'a éjaculé plusieurs jet encore assez puissants bien au fond s'assurant ainsi que je n'en perde pas une goutte.

Hannnn.... ouiiiiiii.... putain de salope... oui avale bien.... oui.... comme çà.... oui

J'étais impressionné de la quantité de semence qu'il avait encore dans les couilles après avoir déjà autant baisé et éjaculé dans la soirée, déglutissant tant bien que mal les dernières gouttes j'ai relevé mes yeux vers lui.

Il avait encore les yeux fermé et semblait vraiment apprécier le moment, puis il m'a regardé à son tour et avec un beau sourire, il m'a dit :

Depuis longtemps que je rêvait de cette soirée... mais j'étais loin d'imaginer à quel point tu est un bon coup, belle, sensuelle et superbement délicieuse.

Écoutant religieusement ses mots sans osé bouger, son sexe toujours en bouche et les yeux bloqués sur les siens

Je crois que pour ce soir nous en avons fini ( posant tendrement une de ses main sur une de mes joues ) j'espère que tu a aimé et que tu ne regrette rien... pour ma part c'était mieux que tout ce que je pouvais espérer.

Il a libéré ma bouche et m'a aidé à me relever, debout face à lui je n'avait plus aucune force, fatiguée et l'esprit troublé par cette incroyable soirée, je n'était plus capable de sortir un seul mot.

Il m'a retourné face à la porte de ma chambre, ses mains sur mes anches dont il semblait apprécier les dernières secondes de contact et il m'a déposé un véritable baisé à la base du coup, là où naissent les frissons les plus doux.

Je crois qu'il est enfin l'heure... merci pour cette fantastique soirée... oui, merci de m'avoir offert ton superbe corps...

Une légère tape sur ma fesse et je l'ai senti disparaître dans le couloir, la porte de la chambre d'ami à légèrement grincé et puis le silence... un terrible et soudain silence...

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