Elina S'Organise Elle-Même Une Soirée Gand-Bang (5)

Comme je ne suis pas sensée rentrer chez moi avant demain, je décide de trouver refuge dans un hôtel pour me laver de toute souillure, soigner les blessures qui peuvent l’être, dissimuler celles qui ne sauraient être guérie immédiatement par un savant maquillage recouvrant.

J’ai apporté une valise et c’est, rompue, qu’après ces 24 heures de sexe et de s, tant physiques que psychiques, je ferme les yeux, désireuse de trouver un vrai repos réparateur.

Embrumée par la fatigue, je pense à Lui. Je suis fascinée. J’ai envie de Lui. Je suis captivée. Je suis complètement obsédée par un Homme dont je ne connais rien, pas même l’apparence et qui fait naître en moi des désirs de femelle juste bonne à être saillie par des mâles sans pour autant daigner la juger digne de recevoir son jus de couilles.

Je m’endors quelques heures rêvant d’être l’objet de son bon vouloir. Mais quand je me réveille, c’est encore le soir, la tête me tourne, ma chatte me tourmente à nouveau et je sais que, non, je ne pourrai pas dormir, cette nuit, j’ai besoin de me faire baiser pour trouver l’apaisement.

J’ai besoin aussi de me prouver que je n’ai pas besoin de Lui, que je peux « m’éclater » sans Lui, que je vais L’oublier très vite, que je peux gérer ma double vie sans m’attacher à qui que ce soit et sans contrainte.

Je cherche de manière désordonnée dans mon sac une jupe courte et un chemisier transparent et j’enfile à la hâte. Ce ne sont que mes vêtements de travail, les éléments d’un tailleur classique, je n’ai rien apporté de sexy, je n’ai que ce tailleur trop sérieux mais je sais comment adapter ces pièces vestimentaires pour leur donner le pouvoir d’exprimer ce que j’ai envie d’exprimer avec cette tenue.

Je me parfume et pose sur mes lèvres un maquillage rouge écarlate. Je me regarde dans le miroir et ce rouge à lèvres est un véritable appel au viol buccal. C’est très exactement le message que je veux envoyer.



J’enfile mes escarpins à talons très hauts, ma silhouette est impeccable. Je me sens reprendre le pouvoir sur ma vie dont « l’Inaccessible pour moi » a voulu prendre la direction.

Dans l’ascenseur de cet hôtel, deux hommes me matent puis se regardent avec un sourire graveleux. Il faut dire qu’il y a de quoi mais ils n’ont encore rien vu.

Je les trouve à mon goût, la trentaine, habillés sportwear « chic et décontracté » comme on dit maintenant. Grands, car étant grande moi-même, ils me dépassent largement.
L’ascenseur s’arrête comme je l’ai demandé à la mezzanine où se trouve le bar de l’hôtel. Sans surprise, c’est à cet étage que les deux hommes descendent également et nous entrons dans l’espace dédié à la détente.
Il y a plus d’hommes que de femmes : visiblement des commerciaux en déplacement, des cadres en formation loin de chez eux.

Mon arrivée ne passe pas inaperçue. Il faut dire que n’ayant pas apporté de vêtements qui disaient « Baisez-moi », je n’ai rien mis sous mon chemisier blanc et transparent d’attachée de direction.

J’ai deux s et quoi que je sois mince et ferme grâce au sport, mes mamelles qui ont allaité sont plus lâches que lorsque j’étais jeune mais elles ont gagné en rondeur et cette souplesse rend les hommes encore plus avides de les empoigner, de les malaxer et de les gober ainsi qu’ils l’ont fait des seins de leur propre mère.

Mes tétons sont durs car, depuis que je me prépare l’excitation qui m’a envahie, ne m’a pas lâchée. Mes bouts roses pales sont dressés et il n’est nul besoin d’imagination pour comprendre la raison de ma venue dans ce bar.

La quinzaine de personnes s’est tue et me suis du regard. J’ai trouvé des yeux les deux jeunes mecs de l’ascenseur qui sont venus retrouver un troisième larron debout au bar. Ils constituent l’unique groupe dans lequel il n’y ait pas de femme. Ils se chuchotent des paroles à l’oreille, me matent sans retenue, alors je marque un arrêt en écartant légèrement les jambes et en posant une main sur ma taille.


Je me laisse contempler quelques secondes et je me dirige droit vers eux et, sans même leur demander quoi que ce soit, je fais lever un des hommes et m’assieds sur son tabouret, jambes nues croisées.

Tous, dans la pièce, me regardent et je vois à leurs mines déçues qu’ils regrettent bien d’être venus en déplacement avec une collègue femme.

- Salut les mecs, moi c’est Elina… Envie de m’offrir un verre peut-être ?
- Certainement me réponds avec une assurance qui me séduit le 3ème. Que prendrez-vous, belle Elina ?
- Un mojito, merci.

Je ne bois jamais : que m’a-t-il pris de commander un cocktail ? Comme si mes deux expériences des dernières 24 heures ne m’avaient pas suffi.

- Je suis Jérémy et voici mes collègues Ludovic, Ludo quoi, et Romain ; dit-il en relevant sa mèche de cheveux d’un coup de tête et me souriant de toutes ses dents blanches Ultra-Brite.
- Salut, salut…
- Salut…
- Et vous êtes là pour la nuit ?

Pas grand-chose à se dire, il est évident que je suis là pour passer la nuit mais pas seule et que de ces trois-là, j’en ferai mon « quatre heures », surtout s’il s’agit d’un packaging de trois !!!

Pour que la discussion ne s’éternise pas, tout en sirotant mon apéritif je décroise mes jambes en prenant soin de laisser ma micro jupe remonter un peu et j’écarte les cuisses juste un peu pour laisser entrevoir que je ne porte pas desous-vêtements.

Les trois amis se sont resserrés autour de moi, le souffle coupé. Mon mont de vénus soigneusement épilé s’écarte et l’un d’eux a déjà pris l’initiative de passer sa main dans la fente. Il sait déjà que je suis trempée et me triture le bourgeon tout en murmurant à l’oreille de ses potes.

- Nous serions peut-être plus à l’aise dans votre chambre pour discuter de tout cela, Elina ? Qu’en pensez-vous ?

Déjà bien « émue » à cause du cocktail et de la main qui me doigte l’entrée humide de ma cramouille, je murmure le numéro de ma chambre.


Juste avant que ne je me lève, les trois potes se sont fait des signes de la tête, Ludo parle au barman et quelques instants plus tard, il a deux bouteilles d’alcool dans la main.
Je descends de la haute chaise de bar, chancelant quelque peu sur mes escarpins aux talons effilés et vertigineux et c’est suivie de ma garde rapprochée que je traverse la salle à nouveau, sous les regards à la fois goguenards et envieux des membres de l’assemblée. Bien avant que nous ne soyons au dehors du champ de vision de cette assemblée, Jérémy, qui semble résolument être le leader, prend soin de passer sa main sous ma courte jupe puis de la soulever pour que tous comprennent quel genre de salope je suis et, lui, à quelle race de mâle dominant il appartient, puisque c’est avec lui et ses larbins que la femelle en chaleur a choisi de partir et ne tardera pas à se soumettre.

Tout en marchant, je sens le tissu du vêtement minimaliste remonter assez haut et sa main s’insérer entre mes deux fesses, continuant leur chemin jusqu’à mon fruit bien mûr, il fait pénétrer ses doigts bruyamment et ostensiblement et l’effet escompté ne tarde pas car, immédiatement, des murmures, des encouragements bruyants et des sifflets se font entendre.

- Oh la vache mettez-lui son compte à cette truie !!!
- Putain… Elle est bonne… J’ui boufferais bien sa moule à cette poufiasse !!!
- Y en a qui ont du bol et qui vont pas se faire chier cette nuit avec une trainée pareille…

Avant que nous ne sortions du champ de vision de ce public improvisé, Jérémy me plaque le dos contre le mur de l’ascenseur, il remet sa main dans ma fente en passant par devant et pose, sans délicatesse, sa bouche sur la mienne. Il att ma langue et l’aspire dans sa bouche sans que je ne puisse me soustraire et entame de prendre possession de cette partie de ma personne.
Ludo et Romain ont tiré mon chemisier qui ne dissimulait, à dire vrai, que bien peu de mon anatomie, et ont entrepris de me malaxer chacun un sein.


Je peine à retrouver mon souffle tant Jérémy a l’attention de faire durer cette galoche interminable mais je sens qu’il fait des signes au spectateurs de derrière car ces derniers applaudissent.

Quand la porte de l’ascenseur s’ouvre et que je m’y engouffre, je suis déjà presque nue, mon visage doit être barbouillé de rouge à lèvre car le visage de Jérémy est lui aussi maculé et que, sans état d’âme, il s’essuie dans mon chemisier blanc.

Nous sortons de l’ascenseur, j’ouvre la porte de ma chambre avec ma carte et aussitôt les trois trentenaires me poussent sur le lit et m’arrache le peu de vêtements qu’il me reste.

Un peu frustrés de ne s’être pas servis, Ludo et Romain s’allongent sur le lit, chacun d’un côté et c’est à tour de rôle qu’ils se collent à moi et m’embrassent tour à tour à pleine bouche en frottant contre mon entrejambe le paquet qui dans leur jean est déjà gonflé et dur.

- Je passe à ma chambre et je reviens, dit Jérémy en s’emparant de la carte de ma chambre, j’ai quelques trucs à prendre et je reviens. Ne la bouffez pas toute entière les mecs, laissez m’en un peu, haha !!!

Ludo monte sur moi et pèse de tout son poids sur moi pour que sa queue pleine de sang puisse s’appuyer et se masturber sur moi à travers le jean épais. Il m’a saisi les bras et les immobilisent de ses mains fermes au-dessus de moi afin que je ne puisse pas trop bouger. Mon corps se tend pour s’aligner parfaitement avec le sien et je lui rends son baiser avec fougue imaginant déjà, dans mon esprit, que cette langue va devenir une bite.

Quand je vois qu’il me regarde dans les yeux, je me déconcentre un peu. Il me passe à Romain qui, lui, n’a pas pu attendre et s’est déshabillé complètement. Romain m’attire à lui et me fait rouler sur lui en m’écartant les cuisses de chaque côté de son corps. Sa queue est tendue, il se frotte, lui aussi contre moi et fourre une langue longue et épaisse dans ma bouche pendant qu’il empoigne les fesses, les pétrit avec force allant jusqu’à les pincer, les griffer et les étirer sans aucune intention de me donner du plaisir. Sa langue m’étouffe et quand il la retire, c’est pour essayer d’attr la mienne et tenter de la mordre.

Ils sont nus tous les deux quand ils me mettent sur le côté, l’un se colle face à moi et l’autre derrière moi et tous deux se frottent le sexe contre ma peau en poussant des soupirs.

Je ferme les yeux et je me rappelle… Les mecs, les queues, le Maïtre, l’Inaccessible, Lui et mon désir augmente.

J’entends la porte s’ouvrir et probablement Jérémy entrer mais je ne le vois pas, car je suis face à la fenêtre.

Depuis que mes yeux sont clos je me sens encore plus chienne, prête à m’offrir totalement à ces trois-là.

- S’il vous plait les mecs, pourriez-vous me bander les yeux ? J’aime bien faire l‘amour dans le noir, ça décuple mon plaisir…
- Ben ma salope, y a pas grand-chose que t’es en droit d’exiger mais ça, tu vois, quelque part, ça nous arrange, répond Jérémy en riant et faisant rire ses deux potes.
- Voici un bandeau, murmure Romain, mais cela ne signifie aucunement que tu auras le droit d’avoir du plaisir…

Il ne faut pas longtemps à Jérémy pour s’approcher de moi par l’arrière pour trouver une place sur le lit king-size et ce que je vois en dernier est une longue étoffe d’un beau rouge vif qui vient me clore les yeux. Le contact est doux, ce doit être de la soie. Il a donc apporté avec lui un certain nombre d’objets.

Il examine mon corps et passe ses doigts sur les cicatrices qu’ont laissé mes folies des 30 dernières heures et que les attouchements avec les corps de Ludovic et Romain avaient exposées en effaçant le maquillage qui avait vainement tenté de les dissimuler.

- Oh la vache ! Les mecs, matez un peu cette salope dans quel état elle se trouve ! Elle a des cicatrices partout… Qu’est-ce qu’elle a dû prendre !

Les mains passent sur les traces de lacération que le fouet at laissées, sur les légères brûlures que la lame électrique a provoquées. Les mains, puis les ongles, puis des doigts pénètrent ma bouche et recueillent ma salive et l’étalent sur mes plaies.
Je ressens une légère brûlure.

- Wow wow ! Dis… Trainée ! Tu n’vas pas te plaindre pour si peu ! T’as gueulé quand on t’a fait tout ça ? T’as joui j’parie ? Les salopes comme toi, plus on leur en fait et plus elles en redemandent.

Et à ses deux potes, il ajoute :

- Ben, on va pas s’gêner, hein ? Si la dame aime ça !

Romain, le moins bavard, que j’avais cru réservé et plus tendre, se saisit de mes pointes de seins et tire sans aucune retenue, il pose sa bouche sur un téton et mords comme si je n’étais qu’un objet et tête ensuite, il change de téton et alterne également morsure et succion.

Je ne peux me retenir de crier car il y va franchement.

- Je préférerais que tu ne cries pas, tu comprends ? ordonne Romain plus qu’il ne demande, froidement, sans émotion tout en continuant à me lécher et à me mordre les tétons avec une brutalité qui tranche avec le ton doucereux de sa voix
Après tout, poursuit-il, c’est bien toi, qui est venue nous chercher, et tu voulais plusieurs hommes et non un seul… et au vu de l’état de ta peau… tu es coutumière du fait ma belle… alors tu vas te taire, parce que j’ai dans l’idée que tu sais ce qui arrive aux filles dans ton genre qui se mettent à crier pour un oui pour un non ?
- Oui !

La morsure est immédiate et plus violente que les autres.

- Oui ? Oui qui ?
- Oui Monsieur.
- Bien voilà… Nous allons nous entendre, susurre-t-il, continuant de me mordiller plus doucement le bout des seins, les enroulant autour de sa langue.

Bien que les manières de faire de Romain soient imprévisibles et empreintes de mes tétons sont durs et elles augmentent le désir qui m’a poussée à amener des hommes dans ma chambre et malgré la douleur, mon corps est irradié d’ondes qui convergent toutes vers mon sexe.

Pendant de temps, le pantalon de Jérémy était tombé par terre suivi par le reste de ses vêtements.

Tous trois me descendirent du lit et me posèrent sur la moquette au sol.

- Que le fête commence ! cria Jérémy joyeusement.

« Que la fête commence »…

Cette expression résonne dans ma tête et dans tout mon corps et réveille la diablesse qui vit en moi, j’ai l’impression de me retrouver au début mon rendez-vous de la soirée précédente. C’est ainsi que les agapes ont été lancées.

- Mets-toi à genoux espèce de salope, je suis sûre que ta bouche est un bon trou à bites.

Toujours excitées, j’ai faim de sucer des queues, je m’exécute donc, ouvre la bouche avec gourmandise, empoigne magistralement les deux sexes qui sont juste à côté de Jérémy et j’entreprends de les branler de manière synchrone.

Ludovic que l’on n’a pas trop entendu jusqu’alors, propose aux deux autres de se succéder dans ma bouche et entre mes mains pour juter au plus vite car il sentait ses couilles allaient exploser et qu’ensuite, vidés de ce premier jet, ils pourraient s’occuper de moi de manière moins rapide et plus sophistiquée.

Ce qu’ils font, se succédant dans ma bouche, s’agrippant à ma tête pour aller et venir, pour retirer partiellement ou totalement leur chibre dans le même mouvement que s’ils me baisaient le sexe.

Dans l’obscurité que j’ai choisie, ce que je vis est un mélange subtil de ce qui se passe et de ce que j’ai subi quelques heures auparavant. Les membres gonflés passent les uns après les autres dans la bouche que j’ouvre en grand et quand ma langue s’enroule autour du gland, c’est, en esprit, la queue de l’Inaccessible que je recherche.

En amenant ces types dans ma chambre, j’ai cru que je pourrais oublier un temps le désir inassouvi que j’éprouve pour Lui, mais Il est toujours présent jusqu’au plus intime du bas de mon ventre et quand j’avale, tour à tour, ces trois membres c’est Lui que je suce et c’est de Lui que je veux rassasier mon besoin de lubricité.

La tension d’amour qui grouille entre mes grandes lèvres se nourrit de mon besoin de Le séduire, Lui, ce qui me fait gober, englober ces memebres comme sans doute elles ne l’ont pas été depuis longtemps. La folie me gagne, en même temps que je pompe goulument, je branle, avec chacune de mes mains, leur bite et ils ne cachent pas leur plaisir en poussant des cris rauques d’animaux et m’injuriant de tous les noms qualifiant une trainée qu’ils peuvent trouver.

Seul, Romain de pipe mot et je si je reconnais sa queue, plus massive que celles des deux autres, je reconnais malheureusement bien aussi, la manière violente qu’il a de me tenir la tête comme s’il voulait que je comprenne que, peu importe l’art que j’y mettrai, il prendra plus que ce que je donnerai.

Le premier à expulser cette première production de foutre au fond de ma gorge, bien au-delà de ce que l’on peut tolérer sans avoir de haut-le-cœur est Jérémy qui crie comme un démon.

- Han ! Han ! Ouvre grand poufiasse et avale… Je t’envoie la sauce et ne gâche rien… Han !

Je sens des jets puissants et abondants comme le sont les premiers jets du premier orgasme des hommes qui ont été chauffés à bloc par une allumeuse.
La queue encore dure de Jérémy qui se devait d’être le premier à m'utiliser laisse la place à Ludo qui est, lui aussi, au bord de l’explosion.
Après qu’il eût pris place à nouveau entre mes lèvres, il ne fait que quelques mouvements de d’aller-retour et mes joues n’ont nul besoin d’aspirer longtemps autour de sa verge qu’il se raidi quelques secondes puis se relâche en ahanant.

- ‘tain ! Elle est bonne… La vaaaaache….

Son jus inonde ma bouche ; il m’enfonce son gland moins profond et c’est ma langue qui recueille le liquide et l’avale en plusieurs gorgées car, ses couilles sont, elles aussi, bien remplies.

Forte de ces libérations rapides, je n’appréhende pas trop de reprendre en bouche le silencieux Romain qui se saisit à nouveau de ma tête avec autorité voire avec une force exagérée.

Il recommence à me pilonner avec une détermination qui n’a que peu à voir avec la baise assez joyeuse de ses compagnons. S’il est important pour Jérémy d’inaugurer, je commence à comprendre qu’il est tout aussi essentiel pour Romain de passer en dernier pour bien laisser son empreinte.

Ses comparses, le connaissant, se sont d’ailleurs allongés en sur le lit et nous observent, riant et m’adressant de petits commentaires.

- Le meilleur pour la fin !!!
- Tu vas prendre espèce de pute !!!
Ils rient et j’entends le cliquetis d’objets qu’on manipule.

Je prends les couilles de Romain entre mes deux mains pour lui donner du plaisir et pour que cette épreuve prenne fin plus rapidement car je suis moi aussi prise d’une frénétique envie d’être saillie autrement par ces fellations. Il retire sa queue de ma bouche et me gratifie la joue droite d’un coup de paddle en latex qu’il donne sans retenir la puissance de sa main, immédiatement suivi du retour sur la joue gauche.

Très calmement, il murmure :

- Qui t’a demandé de me toucher avec les mains ? Tu fais ce que JE te dis de faire ! Tu peux comprendre ça ? Tends tes bras derrière ton dos !

Et s’adressant à ses amis :

- Passez-moi la barre avec les menottes !

Je ne sais pas ce que c’est mais je le comprends vite : il m’attache les poignets avec des menottes derrière le dos et les menottes sont elles-mêmes attachées à une barre qu’il étire au maximum de ce que mes bras peuvent supporter.
La position est périlleuse et je peine à conserver mon équilibre.

Je me repositionne donc à genoux devant Romain, bouche grande ouverte pour bien le satisfaire et ne pas provoquer son mécontentement, mais, de nouveau, je suis reprise à l’ordre d’un aller-retour sur les deux joues qui commencent à chauffer sérieusement. L’objet plat en latex fin porte en son extrémité de courtes franges qui augmentent la douleur lors de l’impact sur la peau.
Toujours très maître de lui, avec une voix pleine de douceur :

- On ne t’a pas appris la politesse ?
- Si…

Un troisième aller-retour qui me fait jaillir les larmes des yeux.

- On dit « oui…. » ?
- Oui Monsieur.
- Et quand je t’honore d’une leçon, espèce de sac à foutre, on dit ?
- Merci…

Empoignant mes cheveux, il tire ma tête en arrière :

- Merci…
- Merci Monsieur !
- Et bien voilà… Il n’est pas nécessaire de hausser la voix.

Ce Romain me fiche une trouille terrible et je frémis rien qu’en imaginant ce qu’il pourrait me faire tout en me parlant sur ce ton douceâtre.

Dans ma bouche il fourre une de ses couilles recouverte d’un poil dru et frisé et m’enjoins de la sucer et d’essayer d’attr l’autre en alternance, sans les mains, bien sûr, et surtout sans les dents.

Je m’exécute en prenant soin de bien masser chaque gonade dans ma bouche avec ma langue tout en aspirant sans qu’il n’y eu contact avec mes dents, et je perçois que, dans le même temps, il s’astique tranquillement le manche à un rythme assez lent qui me laisse augurer que la fin de cette fellation n’est pas encore imminente.

Quand il retire ses couilles de ma bouche, il se tourne, déclenchant un énorme fou rire de ses amis :

- Tire la langue ma belle et avance ta joli p’tite gueule, j’ai un cadeau pour toi.

Il a écarté ses fesses avec ses mains et me présente son trou froncé à lécher avec ma langue. L’odeur est assez forte et âcre, le goût est celui d’un anus lavé du matin mais ayant servi, sans doute, dans la journée.

Je suis un peu dégoutée mais la crainte que m’inspire Romain censure toute manifestation de rejet.

- Lèche tout au long de la raie, ma beauté !

Je m’exécute, je me familiarise, peu à peu à l’environnement qui m’avait semblé d’abord hostile et m’accoutume à cette moiteur très intime. Je lèche avec application toute la raie, je lèche de la base du scrotum jusqu’au début du dos, de bas en haut et du haut vers le bas, plusieurs fois, en prenant soin de marquer un arrêt à l’endroit de l’orifice plissé.

- Enfonce ta langue, oui comme ça, bien profond… Nettoie-moi le cul avec ta langue bien experte !

Le ton est toujours faussement aimable et je sais qu’il en faudrait peu pour que ce simulacre d’amabilité ne se transformât en punition violente.

Je trifouille donc avec ma langue au plus profond de son anatomie qu’il ne me soit permis par la nature. Dire que j’aime ça ne serait pas le terme approprié mais l’énergie que j’y emploie me viens directement de mon sexe qui réagit à sa manière en m’envoyant des signaux électriques qui irradient l’ensemble de mon corps. Indépendamment de mon esprit qui est apeuré, mon bas-ventre est envahi d’éclairs de désir de baise qui sont à la fois doux et forts et qui, je le sens, humidifie mon entre-jambe.

Romain se tourne à nouveau face à moi, son manche qu’il a entretenu bien dur pendant que je soignais l’autre côté pénètre sans précaution ma bouche et, comme il en a pris l’habitude, il agrippe ses mains à ma tête et lui imprime un rythme effréné, ayant sans doute décidé d’en finir lui aussi avec ce premier round qui libérera son précieux liquide devenu à ce moment-là trop abondant dans ses couilles.

Son mandrin se gonfle et commence à expulser les tout premiers jets, il me dit, comme s’il était tendre :

- Garde tout dans ta bouche, n’avale rien… Je veux que tu savoures ce avec quoi j’honore ta belle bouche qui sait donner du plaisir aux hommes… Il faudra nous montrer, hein ? Sinon, tu sais que je devrai t’expliquer… De la seule manière que tu puisses comprendre…

Lorsqu’il se retire, je retiens donc le précieux liquide dans ma bouche, me gardant bien de déglutir et je peine à respirer tant les jets furent abondants. Je suis à genou, les mains cadenassées de part et d’autre de mon dos, je me redresse et présente ma cavité buccale emplie et j’attends.

En me passant la main dans les cheveux qu’il tire au passage avec sadisme, il me « suggère » d’aller, en me déplaçant sur mes genoux, en bonne chienne, montrer à chacun de ses deux amis comment je suis docile et comment j’ai toujours dans ma gueule béante la substance – désormais froide – dont il m’a gratifiée.

Avec une démarche ridicule, sur les genoux, déséquilibrée par mes bras complétement écartés derrière moi et la gueule grande ouverte remplie de foutre, j’avance donc vers le lit et me présente d’un côté pour montrer à l’un qui me flatte d’une tape sur le cul puis après avoir fait le tour du lit, je me poste pour montrer à l’autre qui rit – c’est Jérémy – et me pince le nez pour m’empêcher de respirer.

- Que nous avons là un beau specimen de chiennasse bien obéissante…

Après deux ou trois minutes durant lesquelles il me faut ouvrir plus grand encore pour pouvoir inspirer un peu d’air, Jérémy décide qu’il est temps de passer à autre chose et m’autorise à avaler lentement pour apprécier l’auguste breuvage.

- Reste à genou et écarte tes cuisses ! Tiens-toi droite ! Pas bouger !

Je me mets en position d’attente prenant soin de ne pas m’avachir et de garder la tête haute.

- Regarde Romain ce que Ludo et moi avons trouvé dans la valise de la demoiselle. Pas si demoiselle que cela au demeurant si j’en crois les objets qu’elle a planqués dans un sac au fond de la valise !!! Et vu l’odeur, ils ont servi il y a peu de temps… Nous avons donc : des boules de geisha encore toutes parfumées de cyprine, des pinces à tétons, des pinces à clitos, un fouet, un bâillon… enfin bref tout ce qu’il faut pour s’amuser quand on est une espèce de chienne lubrique…
- Et attends…. C’est pas tout, continue Ludo, t’as pas vu dans son téléphone, les photos d’elle que je vois dans sa messagerie… Un vrai gang-bang ! Il lui faut plus d’un mec pour la soulager !
- Passe, s’impatiente Romain.

Les trois contemplent les photos de la veille.

- Tu vois que cette salope n’en est pas à son coup d’essai !
- Ah ça des coups, elle en a pris, se marre Ludo, des coups de poings, des coups de fouets, des coups d’électricité et des coups de bites à peu près partout !
- On a lu ses p’tites discussions dans sa messagerie, avec Ludo, poursuit Jérémy s’adressant à Romain, tu ne vas pas le croire mais cette pute s’est rendu à un gang-bang sans même connaître un seul des mecs qui se trouvaient là, quoi ! Y a des meufs qui ont vraiment une chatte à la place du cerveau !
- - J’y crois pas, Elle s’appelle même pas Elina, elle s’appelle Chloé d’après les SMS de son mari et son boss… Complétement schizophrène et nympho cette trainée, elle a une famille, un job… C’est vraiment n’importe quoi…
- Tiens, Ludo, laisse m’en, passe-moi une bouteille…
- Romain ? Une gorgée ?

Les trois se reposent en se passant la bouteille.

- Romain, toi qui a la réputation d’être prévenant avec les dames, propose donc à ta copine de quoi se désaltérer…

Romain s’approche et, toujours sur le même ton calme et inquiétant me propose à boire. Je ne m’aventure pas à refuser, j’ouvre la bouche et il y déverse des gorgées d’une vodka pure qui m’anesthésie les muqueuses de la bouche, de la gorge et de l’œsophage. Je m’efforce d’avaler à son rythme mais il verse trop vite et je perds quantité de boisson.
- On n’apprécie pas ma délicate attention, jolie poupée ?
- Si…

Un aller-retour cinglant de la main me rappelle comment je dois m’adresser à lui.

- Oui, Monsieur ; merci Monsieur.
- Ben voilà, c’est pas compliqué, me félicite Romain en me tirant le bout de seins comme s’il voulait me les allonger.

Les garçons ont dû recouvrer de l’énergie car il m’ordonne de monter sur le lit. Je m’y hisse, les yeux toujours bandés et les mains toujours attachées dans le dos et m’y remets à genoux, cuisses écartées, en position d’attente.

Je suis de plus en plus brûlante car, si je leur ai permis de se vider de leur premier jet, je n’ai pour ma part, pas encore joui et je suis prête à me soumettre à toutes leurs fantaisies tellement je suis excitée.

- Nous n’allons pas laisser de si précieux accessoires croupir dans le fond d’une valise, dit, avec son calme inquiétant habituel, Romain.

Dans mon esprit, je me dis : « Que la fête commence pour moi ! ».

(à suivre)

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