La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°912)

Marion au Château – (suite de l'épisode N°908) –

Mais je me sentais avant tout moi-même, c’est-à-dire chienne soumise MDE !... Le samedi matin, Walter me mit dans l’équipe de ménage des chambres. Nous eûmes à préparer un peu moins d’une vingtaine de chambres, sûrement en prévision de la grande réception de ce soir, si les Invités restaient passer la nuit au Château. La matinée fût longue et fatigante. Passer l’aspirateur, la serpillère, le plumeau, faire les vitres, lustrer à faire briller le mobilier, tout en restant au maximum soit à quatre pattes soit à genoux n’était pas de tout repos, surtout avec les interruptions fréquentes des domestiques que le Majordome avait chargé de vérifier l’avancement et la qualité du travail des chiens et chiennes affectés à ce service. Ils ne se dérangeaient pas pour se servir de nous comme vide-couilles ou urinoir. Si le soumis ou la soumise laissait tombait une goutte, que ce soit d’urine ou de sperme, il était alors fouetté avant de devoir nettoyer ses salissures et se remettre au travail aux côtés des autres.

Durant l’heure du déjeuner, j’eus droit à un rapide repas, puis Walter et Marie m’enseignèrent l’art de servir à table. J’étais la seule à suivre cet enseignement. Je supposais que j’étais la seule ignorante à ce sujet, et que les autres soumis et esclaves, qui devaient être assignés comme moi à ce service, étaient déjà instruits à ce niveau… Après le repas, je fus séparée de tous les autres et fus conduite dans la salle de soin. J’eus droit à une douche chaude, mais je fus étrillée plutôt que lavée par une jeune soumise, fort belle d’ailleurs, un beau visage d’ange avec une chevelure blonde et ondulée lui retombant jusqu’aux épaules et ses gros seins aux tétons percés et annelés reliés entre eux par une chainette cadenassée. J’eus droit à une épilation totale dans des conditions fort délicieuses puis à un massage aux huiles essentielles envoutantes. Mon corps fut recouvert d’une fine poudre légèrement pailletée.

Ensuite cette même soumise laquelle était aussi coiffeuse s’occupa de mes cheveux, pendant qu’une autre était intervenue et qui prenait son temps pour me pratiquer un maquillage magnifique. Me préparer ainsi avait pris toute l’après-midi car cela dura dans la mesure où elles avaient eu pour Exigence du Maître de s’occuper de mon corps disons plus intimement. Comme par exemple lors de l’épilation, la soumise aux seins annelés ne s’était pas gênée pour me doigter de ses mains baladeuses sur tout mon corps… Ensuite son doux et excitant massage côté pile et côté face se ponctua par un toucher rectal et une délicieuse sodomie ‘’doigtale’’. Avant le maquillage, elle m’embrassa à pleine bouche avec un regard plein de chaudes envies de chienne en chaleur sous ses caresses des plus vicieuses n’oubliant aucune partie de mon corps. Je n’étais pas coutumière de relations saphiques mais je dois bien avouer que ce fut un véritable moment de détente et de plaisir de se sentir caressée tout en étant préparée à être la plus belle possible par une coiffure et maquillage parfaitement pratiqué sur mon visage… Quand je fus amenée en cuisine, les esclaves et soumises MDE en sortaient, chargés de plateaux pour l’apéritif. Je fus conduite à Marie la sévère cuisinière.

- Écoute-moi bien la chienne ! Je n’ai jamais mis en doute les Exigences de Monsieur le Marquis, mais pour ce soir, j’en ai quand même un petit. Ce soir, tu vas servir, seule, le dîner. Notre bien aimé Châtelain a une vingtaine d’Invités triés sur le volet, des Dominas et Dominants de renoms. Tu ne dis rien qui ne soit indispensable, quoi qu’il se passe, tu dois continuer au mieux ton service, tu apportes les plats et sers chaque convive, tu sers à boire. Il t’est interdit, jusqu’à nouvel ordre, de parler, crier, geindre, ou jouir, même si on te pelote, doigte ou baise. C’est une vraie épreuve qui t’attend, tu es prévenue ! Je ne pense pas qu’il soit utile de te rappeler que tu n’as pas intérêt à décevoir le Maître de ces lieux.
Maintenant, redresse-toi.

J’obéis, et Marie me passa de lourdes menottes de fer aux poignets et aux chevilles. Une chaine reliait mon collier, mes deux poignets et mes chevilles ensemble. Et Une chaîne plus petite reliait les deux chevilles entre elles, rendant mes déplacements difficiles, et certainement un peu ridicule à regarder. J’étais anxieuse. J’allais devoir servir seule, et cela m’inquiétait fortement. Je ne pourrais pas jeter un œil à un frère ou une sœur de soumission, si jamais j’avais un doute sur ce que je faisais. Il allait falloir une forte concentration pour ne pas m’embrouiller.

- Maintenant, va annoncer que le repas est prêt, et n’oublie pas les consignes ! Ah, une dernière chose, sauf si on t’exige une autre position, tu restes debout, pour faire le service à table, c’est tout de même plus facile pour ne pas casser la luxueuse vaisselle !

Je pénétrais alors dans la grande salle à manger. La première personne que je vis fut le Maître de dos, et mon cœur s’accéléra. Je me raclais la gorge, Il se retourna me fixant de Ses yeux bleus perçants, et j’annonçais que le repas était prêt à être servi. Sans un mot ou un geste pour moi, Il se tourna vers ses Invités et les invita à prendre place autour de la table avec une prestance, un charisme d’une grande classe. Tandis que tous s’installaient, j’ouvrais une porte dérobée qui donnait sur l’office où se trouvaient des chariots couverts des plats du diner. Des soumis se chargeaient de remplir les dernières assiettes encore vides que j’allais servir aux Invités. L’entrée était un tour de force de Marie, car elle finissait de les préparer avant que je ne puisse les servir. C’était un velouté d’asperges avec une mousse au Reblochon, qu’elle mixait au dernier moment, décoré de baies roses. Je pense pouvoir affirmer que Marie aurait pu être un grand chef étoilé dans un grand restaurant tellement elle excellait aux manettes de ses fourneaux. Je commençais donc en prenant deux bols et en allant aussi vite que possible jusqu’à la table, commençant par la première Invitée à la droite du Maître, puis celle à sa gauche, en servant par la gauche.
Alors que je venais de finir de poser le velouté, une Domina, plus loin, Maîtresse Épine d’Or, réclama sur un ton hautain de l’eau. Je pris donc une carafe et me penchait à sa droite pour remplir son haut verre à pied en cristal ciselé. Ce fut une tâche ardue, pour ne pas verser une goutte à coté car elle prenait un malin plaisir à me pousser le bras et l’épaule, dans le but évident et pervers de me faire commettre, à peine le service commencé une première faute. Je me contractai autant que possible, respirais profondément et réussis à lui remplir son verre sans débordement. En récompense, j’eus droit à une petite baffe au moment où je me redressais. Maître Kalès, à droite de Maîtresse Épine d’Or, voulut également boire de l’eau, et tandis que j’obéissais, il me pétrit les fesses fermement de sa large poigne. Je commençais à trouver la situation excitante, mais j’appréhendais la suite du dîner. J’étais le seul gibier vulnérable de toute une tribu de vicieux chasseurs…

Plus personne ne réclamant de l’eau, je retournai chercher d’autres bols de soupe veloutée, sous les grognements de la cuisinière qui râlait que son entrée allait être gâchée si elle n’était pas servie chaude et donc rapidement. Mais comme les plateaux étaient chauffants, et qu’elle ne préparait la mousse qu’au dernier moment et au fur et à mesure, il n’y avait aucun risque. Je continuai le service par les femmes, toujours une à droite, une à gauche, me faisant pincer un téton par ici, caresser une fesse par là… Alors que j’avais presque fini de servir le velouté, Maître Wallance m’ordonna de me pencher sur ses genoux, et alterna caresses et claques sur mes fesses, puis pinça fortement mes tétons avant de me repousser brusquement. Je refis un tour de table avec une carafe d’eau à la main. Maîtresse Diamina m’arrêta, me tourna dos à elle et se mit à me griffer les fesses verticalement, puis horizontalement, m’écartant mes deux globes le plus possible, me faisant haleter, mais sans qu’un gémissement ne franchisse la barrière de mes lèvres.
Je me laissais faire docilement en bonne soumise MDE, digne de ce nom. Pendant ce temps, Maîtresse Fatalis, face à moi, s’occupait de mes mamelles qui pendaient, après qu’elle me fit pencher légèrement en avant. Elle les pinçait, les malaxait, les claquait. Maîtresse Diamina, elle, ne s’occupait plus que d’une fesse, la griffant et la claquant à tour de rôle. Et alors que j’essayais de me contrôler, on me tendit un bol vide, me faisant comprendre que j’allais devoir commencer à débarrasser. Alors que mes fesses se faisaient toujours martyriser, je servais de l’eau dans les verres que l’on me tendait. Puis sur son ordre, je me redressais et commencer à m’éloigner doucement, continuant à recevoir des claques sur mon cul...

Alors que je ramassais les magnifiques bols vides, bols en porcelaine personnalisés au motif des Armoiries de la Famille des Evans, tout en gardant ma carafe dans une main, le Maître me fit signe de Lui servir à boire. Et tandis que je m’exécutais, tellement heureuse de pouvoir Le servir, même si à partir du moment où j’avais vu Son signe je n’eus plus droit à la moindre attention, une personne que je ne voyais pas me doigtait la chatte, pendant qu’une autre me claquait le cul. Celui qui me doigtait me fit me pencher au-dessus de la table, et la Domina qui se trouvait en face se mit à étirer mes tétons vers le bas. J’avais toujours dans une main ma carafe, dans l’autre quelques bols. La tension qu’elle imprimait dans mes tétons était douloureuse et je grimaçais silencieusement. Puis elle se mit à me donner des claques régulièrement. Ce n’était pas spécialement douloureux mais d’une main, elle continuait en même temps à m’étirer un sein. La Domina se déplaça. On exigea que je me retourne. Je me retrouvais donc face à l’homme qui venait de me doigter prestement la chatte, et dos à la Domina qui venait de me r les seins. L’homme, un Maître appelé Le Comte d’Orlan, sortit sans aucune gêne, une queue large et raide de son pantalon, après s’être levé, m’attrapa les cheveux et me força à me courber pour que je le prenne en bouche, exposant mon cul à sa femme, la Maîtresse et Comtesse d’Orlan qui claqua mon fessier avec force, écartant les globes, les malaxant. Les claques, sans arriver à me faire crier, me faisaient sursauter et lâcher la verge qui se présentait à moi.

Le Comte d’Orlan appuya alors fortement sur ma tête, s’enfonçant aussi loin que possible dans ma gorge me faisant monter les larmes aux yeux, tandis que la Comtesse d’Orlan augmentait la force et la rapidité de la fessée qu’elle m’administrait sans ménagement. Puis elle enfonça plusieurs doigts dans ma chatte trempée, qui n’eurent aucun mal à rentrer tellement j’étais excitée par cette situation. Je n’étais vraiment qu’un objet pour toutes ces personnes, dont ils pouvaient user et r à leur convenance de mon corps. Je sentais que j’allais avoir du mal à contenir mes cris et mes jouissances au cours de cette soirée. Elle ne faisait que commencer et j’avais déjà très envie de jouir. Le Comte d’Orlan me laissa respirer puis il imprima des mouvements à ma tête pour que je le suce au rythme qu’il l’avait décidé, restant de son côté parfaitement immobile. Il n’éjacula pas, mais me laissa tout de même continuer mon service après une forte et double claque sur mon cul de la part de la Comtesse d’Orlan. Je repartis donc tremblante d’excitation et de jouissance contenue. Maîtresse Épine d’Or me héla de suite près d’elle, et après avoir exigé que je me mette à genoux, elle me tira par les cheveux après avoir largement écartées les cuisses, laissant apparaître un sexe glabre, pour plaquer ma tête sur sa chatte, et m’ordonna de la lécher. Je n’étais pas une experte dans ce domaine, mais je m’y appliquais de mon mieux. Je commençais par des coups de langue très lents sur son clitoris, la faisant doucement gémir. Puis ma langue la lécha du bas de ses lèvres jusqu’à son clito, d’abord en surface puis j’enfonçais de plus en plus ma langue entre ses lèvres intimes. J’accélérais, faisant des cercles autour de son clito, le suçotant, le léchant, l’aspirant…

(A suivre …)

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